Collection Agent S69. Le Sous-Marin (12/14)

COLLECTION AGENT S69. Le sous-marin (12/14)

Pas le temps de me souvenir de ce qui nous était arrivé avec Thierry, nous sommes en plein cœur de notre mission, nous avons été récupérés par Maya jeune blonde qui nous conduit vers la maison ou l’ambassadeur que nous devons sortir des mains d’ennemi.
Nous réussissons à entrer au prix d’une première vie pour trouver la pièce ou l’ambassadeur devrait être vide.
Maya me suggère de faire sauter la porte d’un coffre-fort antédiluvien qui me sera facile d’ouvrir comme une boîte de sardines vu son âge.
Je me méfis de cette jeune femme fort belle ma foi, car les volets qu’elle vient d’ouvrir me montrent que le jour est presque là, nous avons ½ heure de retard sur l’horaire prévu.
Pierre mon binôme a remarqué sur sa montre le déplacement d’un des gardes présumés de l’ambassadeur et est descendu s’en occuper, j’espère qu’il réussira à l’éliminer, car comme moi tout à l’heure, il devra pour la première fois mettre en pratique ce que nous avons appris dans notre stage commando sur des mannequins.
Impossible de nouveau de communiquer mais il est temps d’agir alors j’enclenche la charge.

Nous sommes assourdis par le bruit de l'explosion, la porte est ouverte, mais coincée, je sens la mallette mais impossible de la faire sortir, je vois sur ma montre les points bouger, je prends le canon de la Kalachnikov et je fais levier, le passage est suffisant et le sors la mallette.

• Go.

Maya disparaît dans le vide, je vois Pierre sortir par la porte armant une Kalach, il a dû la récupérer sur le corps de sa victime me montrant qu’il n'a eu autant de cran que moi.
Je prends un risque vu les doutes que j’ai sur Maya, est-elle réellement le contact qui devait nous attendre, je lui envoie la mallette et je saute près d’elle.
C’est un tir nourri que Thierry, pardon Pierre déclenche, pas le temps de regarder si nos adversaires se réduisent, car j’entraîne Maya qui marche difficilement.



• Avance, je me suis tordu la cheville.

Hors de question que je la laisse avec la mallette surtout que je me saisis de l’arme en regardant comme Pierre derrière moi si des hommes sortent de la maison.
C’est le cas au moment de tourner un coin de rue nous rapprochant de la plage, j’arrose et je vois un gars en slip tomber son arme à la main.

• C’est le sixième, il en reste un.

Il a dû avoir le temps de compter les adversaires qu’il a éliminés dans le couloir de la maison, mais nous sommes sur la plage, sans que quiconque se montre.
Comme nous l’a dit Virginie, un Zodiac est là moteur en marche et au loin malgré le jour et le risque le sous-marin en surface, c’est Laurent, le second qui le conduit seul prenant les risques.
Je suis fière de mes deux amants comme l’on dit, ils en ont.

• Montez, le sous-marin est près de plonger, je croyais que je devais vous récupérer avec un homme.
• Fonce, changement de plan, elle vient avec nous.

C’est un officier et il se tait, d’un regard entre nous il comprend que toute question supplémentaire serait mal venue.
Nous grimpons Maya en tête, et je la suis s’il lui prenait l’envie de sauter à l’eau avec la mallette qu’elle a gardée tout le temps de notre course vers la plage.
Je fais bien car les quelques mètres qu’il nous faut franchir me montrent que la coquine est la chatte à l’air.
Dès que nous sommes à bord Laurent ayant sauté laissant le Zodiac partir à la dérive, je sens le bruit de l’eau le long de la coque et rapidement nous rejoignons le monde du silence.

• Content de vous revoir, je vois que vous nous ramenez une invitée.

C’est le commandant qui nous parle.

• Madame, je vais vous donner la cabine que j’avais prévue pour l’homme que vous deviez ramener !
• Inutile, cette jeune femme s’appelle Maya et elle vient avec moi dans ma cabine, avez-vous un coffre-fort à mettre à notre disposition ?
• Bien sûr, justement dans ma cabine donc là vôtre.

• Parfais, conduisez-nous et enfermez cette mallette à l’intérieur, nous la récupérerons arrivé à bon port.

Le commandant ouvre la marche suivie de Maya et de Laurent, je retiens Pierre quand nous remontant dans la coursive, je lui donne quelques consignes.
Nous arrivons à ma cabine, Pierre s’éclipse avec Laurent et après avoir refermé le coffre, il nous salue et nous quitte.
Je sens bien que Maya est surprise que je la fasse venir dans ma cabine, mais elle semble être une femme à sang froid, car elle me regarde attendant mes ordres.

• À la douche ma belle passe devant, je me doucherais après toi, l'adrénaline due à tout ce que nous avons subi me colle à la peau.
• Je connais cette sensation.

Elle se déshabille me montrant ses formes parfaites, elle a des seins à en faire damner plus d’un, elle va dans la douche et l’eau se met à couler.
En deux minutes, je suis nue et je me glisse derrière elle, ma bouche se pose sur son cou et elle tourne la tête pour que nos bouches et surtout nos langues se trouvent.
Peu farouche la demoiselle, elle se retourne et nos seins viennent en contact, je suis comme un homme, je bande, du moins la pointe de mes seins bande.
Sa main part dans ma chatte et surtout mon clitoris qui apprécie d’être stimulé.
Après un moment où moi aussi j’explore la fente toute lisse de ma deuxième maîtresse après Virginie, je coupe l’eau et je la savonne, je passe bien partout sans oublier le moindre recoint, le travail est sans fin, sa chatte coule aussitôt que j’y passe mes doigts m’obligeant à refaire le travail.
Voyant que c’est mission impossible, je m’agenouille et lui enserrant les hanches, j’avance ma bouche, malgré l’exiguïté de la cabine, elle écarte ses cuisses et je peux mettre ma langue sur son bouton aussi sensible que le mien.
Je l’entends gémir alors je me relève et reprend ses lèvres.

• A-toi, savonne-moi, avant que je te conduise sur la couchette.


Elle passe sur moi le savon récupéré dans sa main aussi précisément que je l’ai fait et sa bouche trouve mon excroissance comme j’ai trouvé la sienne.
C’est plus qu’un gémissement qui sort de ma bouche, quand le frisson qui part de lui monte le long de ma colonne vertébrale et arrive à mon cerveau.

Finit l’espionne que Maya doit être, ma nature portée sur le sexe qui a permis à Virginie de me détecter, reprend le dessus et sans aucune retenue, je m’abandonne aux plaisirs lesbiens.
Nous étant rincés et essuyés, ce sont deux chiennes en chaleur qui se sucent les chattes avant de les joindre pour que nos boutons déjà beaucoup sollicités depuis que nous sommes entrés dans la cabine reprennent de la vigueur et déclenchent un orgasme simultané qui nous laisse pantelantes.
Je refais surface quand on frappe à la porte en métal, je prends la serviette tombée au sol qui nous a permis de nous essuyer que je noue sur mes seins.

• C’est nous Anabelle, nous vous apportons à manger, je vois que la vie est belle dans votre cabine.

Laurent porte un plateau suivi de Pierre nom de Thierry pendant cette mission ayant lui aussi un plateau dans ses mains.
Ils les posent sur la table et se rapprochent de Maya qui s’est levée et qui comme moi a autour de ses seins une serviette de toilette pour cacher ses formes, elle s’approche de la table.

• Cela sent bon, on vous bichonne sur vos bateaux.

Thierry se retrouve à sa gauche et Laurent à ma droite, avant que j’aie compris ce qu’il arrive, Thierry ceinture Maya en la strangulant, Laurent sort une paire de menottes et lui lie les mains dans le dos.
La serviette tombe au sol, mais la réaction de Maya est étonnante, d’autres qu’elles se seraient rebellées.

• Depuis quand avez-vous des doutes ?
• Depuis que nous sommes arrivés sur la plage, le signe de reconnaissance était différent de celui que nos chefs nous avaient donné.

• J’ai joint Virginie comme tu me l’as demandé et elle m’a confirmé que rien ne concordait, d'autant plus que notre contact était brune et que tu es blonde.
• Je me nomme Maya, je peux simplement vous dire que comme vous je travaille pour mon pays et que votre contact se porte bien, je suis sûr que, lorsque nous serons arrivées dans votre pays, je serais libéré par vos chefs, je fais partie d’un pays ami, mais j’avais une autre mission que la vôtre.
Nos routes et nos intérêts se sont croisés et j’ai à moitié réussi ma mission, j’ai faim, Anabelle tu m’as ouvert l’appétit, vous pouvez me libérer les mains, il me sera difficile de m’échapper dans ce cigare.
• Je vais appeler Virginie, je vais voir si ce qu’elle nous dit est plausible et si nous prenons un risque à la laisser les mains libres, enlevez-lui toute possibilité de trouver des fringues.
Je la vois mal se promener à poil dans le sous-marin.
• D'autant plus qu’ils sont 100 derrières cette porte qui se feraient un malin plaisir à s’occuper de son petit cul, nous sommes revenues à la base vous chercher alors que nous avions déjà 45 jours de mer et aucun des garçons n’a eu de permission.

Je m’habile avec un pantalon et une chemise propre qui a été mise sur une chaise à ma taille et à ma disposition car il me serait difficile de remettre ma combinaison de plongée, que j’ai ôté pour rejoindre Maya sous la douche.
Les deux garçons restent auprès de notre prisonnière pendant que je retrouve le commandant qui m’emmène jusqu’au poste radio afin de joindre Virginie par satellite, je reste seule.

• Bien joué Juliette, tout de suite, l’ambassadeur est libéré, le groupe terroriste qui a essayé de nous faire chanter est décimé, mais tu en sais assez pour le moment.
• Voilà ce que Maya la jeune femme que Thierry garde dans ma cabine vient de nous dire, que faisons-nous ?
• Je sais à qui nous avons affaire, je l’ai rencontré deux fois dans mes missions, parle lui de Violetta et de Martine, dans ses missions, elle a toujours des noms de personnages ins, elle est redoutable si tu es son ennemie, une fois elle a failli m’avoir depuis, j’ai intensifié mon entraînement et la seconde fois, nous avons travaillé de concert comme tu viens de le faire aujourd’hui.
Essaye de la faire dire, comment elle a réussi à prendre la place de notre contact, nous gagnerons du temps avant que l’on se retrouve à Paris…

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