Collection Vengeance. Amour Sans Limite (2/2)

• Ha ! ma chérie, appelle le médecin, ça me sert au cœur.

C’est comme cela que j’ai senti ma vie m’échapper alors qu’une nouvelle fois, je viens de baiser avec Gladys ma jeune épouse.
Tous à commencé quand François, un concurrent et ami, m’a présenté cette jeune étudiante en droit dans sa dernière année avant de prêter serment.
Je l’ai embauchée et même épousé, mais depuis ce qui au début était un plaisir, est rapidement devenu à la limite de l’enfer.
Elle veut baiser plusieurs fois par jour et moi, je commence à me faire vieux.
C’est comme cela que je me retrouve par terre victime d’une grande douleur dans la poitrine.

• Lucien un de mes employés avant que tu rejoignes notre cabinet a fait un infarctus, je ressens les mêmes symptômes.
• Enfin, monsieur Pierre mon mari, ça fait quatre ans que j’attends ce moment.
• Que racontes-tu Gladys, j’ai mal, appel le médecin ?
• Oui, je vais appeler , mais avant on va parler de certaines choses qui me tiennent à cœur mon sucre d’orge d’amour.
• Tu veux ma mort pour hériter de mes biens et surtout de mon cabiner d’avocat.
• Ça, ça viendra naturellement, mais avant d’appeler, je voudrais te raconter ce qui aurait pu être une jolie petite histoire.
As-tu connu une jeune femme s’appelant Jeanette, elle aurait ton âge aujourd’hui !
• Non, à oui, Jeanette !
• Ça te revient, cette jeune fille, elle voulait se marier vierge, tu l’as prise en main et rapidement tu l’as mise plus bas que terre.
Alcool, drogue, tu as fini par l’offrir à de nombreux hommes dans des partouzes.
Rassure-toi, avant d’accepter de t’épouser, j’ai vérifié par un test ADN afin d’être sûr que ma mère, c’est avec un autre qu’elle m’a eu.
Ça m’a été facile, j’ai récupéré tes cheveux sur ta brosse dans ce petit cabinet de toilette à côté que je me sers chaque fois que tu me baises et une mèche des miens.
J’ai envoyé le tout à l’étranger, en t’épousant je savais que j’évitais l’e bien que dans l’autre cas, baiser avec mon père ce salaud, je l’aurais fait quand même.


• Vite j’ai mal.
• On a le temps, je vais finir mon histoire avant de faire le 18, si par malheur tu en crève, je serais une veuve éplorée qui gèrera dans le respect de ta mémoire notre cabinet.
Tu voulais un contrat de mariage, nous sommes mariés sous le régime de la communauté et tout ce qui est à toi est à moi.
Je te promets de mettre une grande photo de toi à l’entrée de nos bureaux, le personnel pourra te rendre hommage.
Mais tu vas vivre, pour souffrir comme maman as souffert après avoir été jetée au chien.
J’avais 7 à 8 ans quand j’ai compris que maman se prostituait pour me donner à manger et se payer ses doses.
D’une jeune femme pleine de vie, tu en as fait une épave offrant sa chatte pour quelques francs puis après quelques euros.
Chaque année passée jusqu’à mes 12 ans où elle est morte dans mes bras après m’avoir raconté son histoire et le saligaud qui l’avait initié à toutes ces débauches, j’avais de plus envie de la venger.
Elle m’avait donné assez de renseignement de qui tu étais.
Sans t’occuper d’elle, tu es monté à Paris continuer tes études comme je l’ai faite, moi aussi.
Le petit étudiant de province avait bien réussi et possédait l’un des plus grands cabinets d’avocats parisiens.
Je t’ai parlé de ta façon de t’exprimer à la télé et que j’étais tombé amoureuse de ta voix, c’était un magnifique bobard.
Chaque fois que tu apparaissais à l’écran, j’allais aux toilettes pour vomir.
J’ai tourné autour de toi, sans que jamais tu me remarques.
Je connais tous les petits restos que tu fréquentes.
Je connais toutes les petites putes que tu as sautées et que tu emmenais dans ton restaurant fétiche où tu m’as moi-même emmené pour les impressionner.
• Je t’en supplie, j’ai de plus en plus mal, mon bras gauche me fait horriblement souffrir, c’est un signe d’infarctus.
• Je vais faire mieux mon amour, j’adorais te voir manger tes steaks gros comme le bras malgré ton cholestérol avec tes frites et ta mayo.

Tu te souviens c’est moi qui te servais tes verres de vin de bourgogne.
Tes bouteilles de Givry, vin que tu disais être celui d’Henri IV.
Tu sembles avoir une passion pour ce roi de France, tu as oublié une chose, il est mort assassiné par Ravaillac.
Je veux être Ravaillac pour venger maman.

Je sens mes larmes coulées, moi qui me croyais si fort, presque invincible.

• Mon chéri, fais-moi voir ta verge, j’aime tellement la masturber, je la sucerais bien, mais la bouche pleine, je serais dans l’incapacité de te dire encore quelques vérités.
Tu sais, il y a si longtemps que j’attendais ce moment.
Regarde cette photo de maman qui reste toujours dans mon sac à main.
Regarde comme nous nous ressemblons.

Malgré ma douleur, je sais maintenant pourquoi cette jeune fille j’avais une impression de déjà-vu.

• C’est elle qui m’a fait tenir jusqu’à ce que j’arrive à mes fins.
Je savais que si je t’attaquais de front, tu risquais d’avoir des doutes.
En te suivant, j’ai appris que tu étais concurrent, mais ami avec François.
J’ai réussi à l’approcher et j’ai passé un contrat avec lui.
Il me présentait à toi et comme ton égo est surdimensionné, je savais que tu ouvrirais la concurrence.
• Qu’avait-il à y gagner ?
• Je vois que même si tu as mal, tu veux tout savoir.
En le suivant, lui aussi, j’ai vite compris qu’il était aussi porté sur le sexe que toi.
Alexie, elle s’appelait Alexie, elle était étudiante elle aussi.
Pour la première fois, j’ai couché avec une fille.
Quand je te dis que j’étais prête à tout !
Mais je recommencerais dès que possible, j’ai adoré sa cyprine coulant dans ma gorge.
Bien sûr, je l’ai interrogé pour savoir si elle était seulement lesbienne ou bi.
J’avais un avantage, je connaissais la réponse.
Ça m’a permis d’apprendre que ce monsieur, chez les filles, préférait leur cul à leur chatte.

Certainement un homo refoulé qui a peur de se faire lui-même enculer.
Voulant arriver à me faire épouser en restant pucelle pour toi, il m’a été facile de me faire mettre après avoir léché Alexie.
• Arrête, sort ta main, je vais bander.
• Tu vois que tout est possible quand on s’aime mon cœur.
Maman, me le disait chaque fois qu’elle était en forme après avoir réussi à piquer son bras avec la dose que moi sa petite fille, j’avais été chercher chez son dealeur.
Pendant qu’elles heures, elle pétait la santé, mais en profitait pour faire venir plus de mecs à la maison.
Tu vois la vie, quand elle vous quitte, c’est là que vous remarquez qu’elle était belle.
Voilà tu sais tout, François m’a présenté et dès notre retour, ma bouche l’a sucé et il m’a enculé.
J’ai eu plus mal avec lui qu’avec toi, je pense que maman a fait ce qu’il fallait de là-haut pour m’éviter une douleur trop grande et que j’arrive à me donner à toi.
• Je pars, ta vengeance aura été complète.
• Le 18, vite mon mari vient de s’écrouler, il se plaint de sa poitrine.
Plus de 50 ans, monsieur, vous arrivez, je vous attends à la porte de nos bureaux.

Voilà, pour tous à mon bureau, je suis celle qui a sauvé le patron.
Biens sur, il est dans un fauteuil dans notre salle à manger quatre étages plus haut avec une couverture sur les genoux.
Il aurait pu mieux s’en sortir si j’avais appelé plus tôt.
Mais, hélas, le temps a filé si vite, à apprendre qui j’étais et pourquoi j’avais tout fait pour l’épouser.
Son cerveau a mal été irrigué, et c’est devenu un légume.
Une infirmière vient trois fois par jour, le lever, le faire manger midi et soir et le coucher.
Oui, bien sûr, c’est elle qui lui change ces couches.

• Oui, François, j’ai étudié ta proposition de me racheter, tu souhaites avoir un pied près de l’Opéra.
Va te faire enculer, c’est moi qui veux avoir des bureaux dans le XVIe.

Si tu veux, je te passe mon bras droit.
Oui, Alexie, si tu savais comme elle me broute très bien la chatte.
Tu sais, l’affaire Martin dont tu t’es vanté à la télé de faire la preuve de l’innocence du client.
La partie adverse m’a mandaté pour la représenter.
Alexis se charge du dossier, tu as perdu.
Première affaire.

Il a raccroché, j’ai senti qu’il venant de sentir le vent du boulet passer au-dessus de sa tête.
Nous avons gagné, nous nous ayons quelques vacances sur la côte dans ma villa si chèrement gagnée.
Nous sommes nues sur des transats devant ma piscine.
Bien sûr, mon mari Pierre est resté à Paris sous la surveillance d’une garde malade.
Inutile de s’emmerder avec un boulet.
Ce soir, soirée sexe, je rappelle que nous sommes bi et une bonne chatte comme une bonne queue, c’est toujours bon à prendre.

En descendant sur la côte, en Audi nous avons fait le détour par notre village où maman est enterrée.
Alexie connaissant une partie de notre histoire, inutile de la choquer après avoir attendu tant d’années à me faire baiser pour arriver à me venger.
Nous sommes passées devant notre maison, c’est devenu une ruine, un panneau « à ventre ».
Nous sommes allées à l’agence, le panneau est enlevé.
Nous sommes passés chez Clotilde la fleuriste, amie d’enfance.
Un contrat à l’année a été signé.
Elle doit mettre un bouquet de roses blanches tous les jours sur la tombe de celle, j’éviterais de dire grâce à celle qui a fait qui je suis en me donnant comme conseil de garder ma virginité pour l’homme de ma vie.

En regardant la nudité d’Alexie, et si cet homme, c’était la femme de ma vie.

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