Sous Le Cerisier
Jean et Christine m'avait invité à passer le samedi en début d'après midi. La chaleur de ce mois de juin avait donné des idées à Christine qui m'avait demandé si j'étais intéressé pour m'amuser avec eux en extérieur. Comme toujours, le dress code était imposé par madame et je devais me présenter en polo et pantalon le plus moulant possible. A cela s'ajoutait un boxer. J'arrivais chez eux, dans une rue déserte de Vanves, non loin du parc Pic. Le trajet m'avait déjà donné chaud et j'avais juste envie de me désaltérer. Je sonnais au portillon quand je vis Jean à la baie vitrée du faux rez de chaussée qui me fit signe et m'ouvrit dans les secondes qui suivaient. C'était un petit pavillon de banlieue sur deux niveaux sur sous sol agrémenté d'un passage qui mène à un jardin de deux à trois cents mètres carré situé à derrière la maison avec quelques buissons et arbres fruitiers.
La porte s'ouvrait et mes amis m'accueillaient en me m'embrassant comme à l'habitude. Après les politesses d'usage et quelques mots échangés, ils me proposaient un rafraîchissement, ce que j'acceptais bien volontiers. J'avais quinze à vingt minutes de transports en commun et autant en marche à pied afin de ne pas avoir à multiplier les changements tant les distances peuvent êtes démesurées sur Paris si l'on veut arriver au plus près de son but en n'empruntant que le métro ou autres.
Christine était une femme de 55 ans, brune, de taille moyenne, ayant un peu d'en bon point, une jolie poitrine commençant à tomber mais très appétissante, un joli fessier et un minou dont je me délectais passionnément. Elle était dominante et son mari avait voulu réaliser certains fantasmes en compagnie d'un homme plus jeune mais c'est bien elle qui menait la danse. L'exemple le plus criant était sa volonté d'imposer un dress code à chacune de mes visites. Jean avait 57 ans, 1m76, brun légèrement dégarni et un petit ventre poussant, une bite de 14cm assez épaisse et une bonne paire de bourse épilée.
Après avoir bu un grand verre d'eau bien fraîche (la seule boisson qui vous désaltère vraiment !), Christine nous demanda de la suivre jusqu'à la véranda qui s'ouvrait sur le jardin à l'arrière de la maison. Jean me racontait qu'ils avaient installés deux transats sous le cerisier qui se situe au milieu du jardin vers la gauche. Le jardin n'est pas très grand, une fois le grand carré de la pelouse passé nous arrivons à un salon de jardin situé sous le cerisier qui est perpendiculaire à une haie de lauriers qui se poursuivait de petits arbustes à boules orange. Un drap de bain bleu foncé était sur le sol et disposé entre les deux transats, parallèles. Deux serviettes de couleurs différentes étaient disposées sur les transats en position de dossier relevé.Christine était vêtu d'un robe en jean bleu ciel, sans manche équipée de boutons pressions, pied nus, nous précisant que l'herbe lui rafraîchissait les pieds. Cela la rendait très sexy ! Jean et moi étions donc habillés à l'identique, exceptées les couleurs qui différaient. Il portait un pantalon beige avec un polo vert foncé et moi un pantalon bleu foncé et un polo rose. Je n'étais jamais allé dans leur jardin étant donné que nous retrouvions et toujours dans le salon ou dans la chambre d'amis à l'étage. C'était donc une première. Christine posa une cravate grise claire sur la table de jardin. Je n'y avais pas prêté attention et je me demandais pourquoi elle l'avait prise. Elle nous demanda de la suivre par l'allée de dalle jusqu'au petit cabanon du fond de jardin qui se situé à quelques mètres derrière. Elle commençait à nous embrasser et caresser langoureusement puis nous dit d'ôter nos chaussures et pantalons. Nos mains ne restant pas sans rien faire, la pelotaient et les boutons pressions s'ouvraient les uns après les autres. Madame ne portait rien dessous ! Ses mains nous caressaient par dessus nos sous vêtements et en jetant un coup dil entre deux baisers, Jean bandait déjà bien fort.
Elle nous fit asseoir puis allonger, s'assied entre nous sur le drap de bain et commença à nous pomper tout à tour. Je me délectais de la voir sucer son mari qui en faisait de même quand c'était mon tour. Depuis notre position nous avions une vue sur l'arrière du pavillon et sur celui des voisins mais d'après leurs dire le cerisier et les buissons ne permettaient pas d'être vu mais, en revanche,être entendu. Tout en nous suçant, elle nous demandait de ne pas être trop bruyant et que pour baiser nous rentrerions et irions à l'étage. Je n'allais pas me fâcher suite à cette décision, l'exigence a ses limites !
Au fur et à mesure, nous avions remonté sa robe au dessus de ses fesses et en fonction du partenaire une vue sur sa minette luisante était des plus appétissante. Nous pouvions en profiter et quand le tour de me faire sucer était arrivé, j'observais les cerises pas encore tout à fait mûres au dessus de moi et me disait que c'était dommage de ne pas m'en délecter en même temps. Elle se releva et nous embrassa tour à tour puis me demanda de rapprocher mon transat contre celui de Jean. Ce dernier transpirait plus que moi, je m'en étais déjà rendu compte lors de nos précédents trios. Elle nous demanda de nous mettre face à face, à genou sur les transats puis elle se remis à genoux sur également. Nos bites étaient à quelques centimètres l'une de l'autre. Elle les pris et commença à nous les frotter l'une contre l'autre, en passant çà et là un coup de langue.
Jean me tenait de sa main gauche sur ma fesse droite qu'il serrait et j'avais en main sa fesse opposée glissante de transpiration. Nous râlons mais Christine nous demande de suite d'être plus discret. Effectivement nous ne pourrions pas baiser, rien qu'une pipe et déjà tant de bruit. Jean et moi nous excitons l'un contre l'autre et continuons de nous vider tout en regardant nos chibrese nserrés par la cravate tel un serpent. Christine nous malaxant les bourses, donnant des coups de langues et nous baisant le bas du ventre jusqu'à ce que nos queues mollissent. Elle continuait jouer avec tandis que Jean et moi nous frottions toujours, ayant maintenu nos mains sur les fesses et nous regardions avec plaisir. Ce dernier me disait que çà lui plaisait énormément et que l'on allait pas s'arrêter là.
Christine saisit le rouleau de sopalin, afin de nous le tendre pour s'essuyer et nous demanda si nous voulions boire quelque choses. Elle repartit vers la maison et nous rapporta un bouteille d'eau sortie du réfrigérateur et trois verres. Nous nous sommes rallongés et jouissions de ces minutes de plaisir. Jean me disait qu'il appréciait ces moments entre hommes que se femme savait si bien orchestrer. La cravate était sur le drap de bain, plus humide qu'auparavant. Je lui répondais que ce scénario était des plus excitant. Nous baisions depuis quelques mois, environ une à deux fois par mois chez eux. Ce type de rapport entre homme était courant. Jean était jaloux d'après Christine et aimait voir sa femme se faire prendre par un autre homme, participant ou pas mais se délectant quand c'était le cas en regardant caressant.
Madame nous astiquait l'un contre l'autre et cela nous convenait.
Après avoir soufflé quelques instants, Christine nous demanda de nous remettre en "état de marche".
Les transats avaient été écartés de nouveau et nous étions allongés, ayant conservés nos polos, qui nous tenaient chaud, tant les marques de transpirations étaient présentes mais pas question de les enlever. Christine nous voulait ainsi ! Elle était debout, face à nous, avait une jambe pliée sur le transat ou se tenait Jean tandis qu'elle se doigtait avec intensité, se mordait les lèvres et nous regardait lubriquement. Elle vait également conservée sa robe en jean sauf que les boutons n'étaient plus grées. Son corps nous était découvert et elle avait chaud également. Sa peau luisante la rendait encore plus sexy. Elle s'approcha de son mari et lui demanda de la lécher. Je lui caressais les fesses et décidais de me lever pour l'embrasser. Je rebandais déjà comme un taureau et ma bite se frottait sur ses fesses. Nous nous embrassions goulûment, c'était délicieux. Elle me demanda de mettre mon transat en position allongée et de m'y positionner en me disant que nous allions faire un 69. Quelle femme, j'obéissais et me mettait en place.
Je recevais son minou humide sur le visage et enfouissait la langue aussi profond que je le pouvais.
Elle demandait à Jean de s'asseoir à cheval sur le transat et venir positionner sa queue au niveau de la mienne. Je l'entendais dire qu'elle allait prendre les deux en bouches. Je sentais donc son chibre pas encore raide se poser sur le mien déjà dur. Christine nous embouchait, nous branlait.
Je sentais les couilles de Jean se frottant sur les miennes. Ce moment fut terriblement excitant, nous n'avions pas encore réalisé ce type de 69 à trois. Christine nous lécha et nous mangea jusqu'à ma délivrance, demandant à Jean darrêter et de se garder pour la baise. J'avais d'avantage de ressource que monsieur... Elle se releva et s'agenouilla à coté de nous, ressaisissant ma queue et prenant en main la queue de Jean quelques minutes plus tard. Elle lui demanda de se repositionner devant moi et se frotter la queue, cette fois redevenue molle sur mon chibre et mes couilles encore humides de sueur et foutre. Elle frottait la queue de son mari et sucer le bout humide de ma semence. Nous sommes resté une dizaine de minutes sous le cerisier puis nous sommes habillé pour nous rendre dans la chambre d'ami et baiser...
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