La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°984)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°983) -
Et cela m'aiderait à passer ces quelques jours sans nouvelles du Maître Vénéré... Je n'étais pas la plus à plaindre avec trois jours de "réclusion". Zao, se trouvant dans la maison des gardes-chasse au coeur de la forêt du Domaine, était plus à plaindre que moi. Elle, c'était un mois complet où elle allait devoir être à la botte de ces rustres gardes sans savoir si Monsieur le Marquis allait se préoccuper delle, ne serait-ce que demander de ses nouvelles. Elle se demandait également si Wangdak prenait la peine de demander à son ami, si sa soumise se portait bien et ne craignait rien. Et c'est en se posant ces questions et pleine d'appréhensions qu'elle se dirigeait, au bout de la laisse tenue par Walter, vers son nouveau lieu d'habitation en pleine nature où cette maison des gardes-chasse se trouvait. Elle était située à lorée dans une grande clairière entourée de grands arbres touffus et ombrageux. Quand ils arrivèrent, quatre gardes étaient assis sur des souches, un pantalon de treillis vert, torses nus, une bière à la main. Ils avaient des gueules pas très sympathiques avec des coupes de cheveux taillées au couteau, ils étaient mal rasés et visiblement avaient lair assez macho. Ils se tournèrent tous dun même mouvement, quand ils entendirent Walter les interpeller :
- Eh bien, vous navez pas lair très actif les gars !
- Cest la pause, Monsieur Walter. Vous voulez boire un coup avec nous, une ptite bière ?
- Non, je nai pas le temps de prendre de pause, moi. Mais je vous amène de quoi vous occupez et vous détendre ! Voici une des dernières chiennes arrivées au Château, et elle est ce quon pourrait appeler indisciplinée et rebelle. Vous avez lautorisation de Monsieur le Marquis den faire ce que bon vous semble, de lutiliser comme vous le voulez. La seule chose quIl exige, cest quelle soit dans lincapacité de parler, soit au moyen de pinces lui maintenant la langue hors de la bouche, soit par bâillon-boule ou bâillon-anneau si vous vouliez quelle puisse garder la bouche ouverte pour que vous puissiez vous en servir.
- Que Monsieur le Marquis est généreux ! Vous Lui transmettrez nos remerciements, et lassurance que nous traiterons comme elle le mérite cette chienne récalcitrante.
Et ils éclatèrent tous dun rire gras et moqueur. Le Majordome partit, riant également, après avoir lâché la laisse et avoir claqué le cul, pour linstant blanc, de Zao
Un garde sapprocha. Nétant pas en présence dun Dominant, elle leva la tête et le regarda franchement dans les yeux, en se redressant sur les genoux. La réaction du garde ne se fit pas attendre, et une paire de gifles magistrale atterrit sur les joues de la chienne, la faisant sétaler au sol, sous les rires moqueurs des autres qui regardaient la scène. Celui qui avait mis la baffe lattrapa par les cheveux et la tira après lui, se penchant au maximum pour lui maintenir la tête au plus près du sol, et lobligeant à ramper pour pouvoir le suivre, tout en lui faisant renifler la terre. Les gardes formèrent un arc de cercle autour deux, quand lun deux lui lança un ordre sur un ton autoritaire nautorisant aucune réplique :
- En levrette et écarte ton cul avec tes mains, salope ! Quon puisse voir ta rosette de chienne !
Alors docilement et craintivement, Zao se cambra en levrette cul bien relevé et fit saillir sa croupe et s'aidant de ses mains, ouvrit largement sa rosette... Crachant dans ses mains, le garde qui venait de parler et qui visiblement bandait déjà, humidifia son pouce et s'approchant, l'enfonça dans le cul de la soumise... l'ouvrant plus encore et ouvrant le chemin à son sexe déjà tendu, dur, long et épais... il l'enfonça d'un coup de reins violent sans autre préambule et commença à limer sans ménagement la souillon soumise. Longtemps... très longtemps... ils la baisèrent et la baisèrent encore à tour de rôle par tous ses orifices.
Ensuite, ils lemmenèrent jusquà une cage. Elle y fut attachée avec une chaîne. Il y avait une petite porte qui fut fermée, obligeant la soumise à rester dabord accroupie, cuisses et sexe bien écartés. Elle pouvait tout juste changer de position, pour se mettre à genoux, assise ou prosternée, mais elle naurait pas pu se lever. Lun des hommes exigea quelle se mette à genoux, la bouche ouverte, mains dans le dos. Tous sapprochèrent, sortirent leurs sexes de leurs pantalons pour lui uriner tous dessus. À lodeur, cela devait faire un moment quils navaient pas vider leur vessie. La pisse, mélangée à la terre, forma rapidement une flaque de boue. Lun des gardes la détacha et saisit Zao par sa tignasse et la força à se rouler dedans avant de lattacher de nouveau dans la cage. Ils partirent ensuite sans un mot pour la soumise, toujours en riant, et se disant quils allaient bien samuser durant le mois où cette petite salope allait être à leur disposition. Zaō était humiliée et en larmes. Jamais elle ne sétait sentie aussi rabaissée, humiliée, mais ce qui la surprit, cest de constater malgré tout ça que son bas-ventre navait pas été insensible à ce qui venait de se passer, lhumiliation lexcitait, cela était une évidence quelle devait accepter...
En effet, elle se sentit toute excitée et lenvie de se caresser devenait de plus en plus intense, ceci dit elle nosa pas se toucher ny étant pas autorisée après les orgasmes lors de la baise de tantôt. Mais quoi quil en soit, son excitation davoir été ainsi humiliée était bien réelle et elle ne pouvait plus le nier à elle-même. De plus sans quelle veuille encore le reconnaître, la pensée quil allait vraiment falloir quelle fasse un effort pour retrouver un jour le Maître quelle désirait, sinsinuait de plus en plus sincèrement dans son esprit.
La longueur de sa chaîne ne lui permettait pas de pouvoir sen mettre totalement à labri. Zao navait plus quà espérer quelle sèche rapidement. En attendant, elle décida de sasseoir en se tendant pour être le moins en contact possible avec la flaque. Malheureusement pour elle, le temps était très humide et la terre ne sécha pas. Elle ne pouvait même pas sabriter à lextérieur de la cage, car les gardes avaient cadenassé la porte. Ce nest quune fois la nuit tombée, que quelquun vint la déverrouiller. Il lui jeta une couverture, qui était sale et qui sentait mauvais, mais qui lui permit de ne pas attr froid. Même si sa sanction était que les gardes arrivent à la faire se sentir encore moins que rien, ils avaient lobligation de veiller à sa santé, sils ne voulaient pas à leur tour subir le courroux de Monsieur le Marquis dEvans. Alors, à cause de la météo pluvieuse en ce début de nuit, on la mena dans une niche abritée, à deux pas de la cage. Elle fut reconnaissante davoir pu entrer dans cette niche à labri car peu de temps après la pluie se mit à tomber abondamment. Le bruit quelle faisait empêcha Zaō de dormir une grande partie de la nuit. Elle sassoupit seulement quand le soleil se leva et que la pluie cessa. Mais son repos fut court car un garde vint la chercher pour quelle prépare leur petit déjeuner.
La maison au fond du Domaine de la Famille des Evans où vivaient les gardes-chasse, était assez éloignée du Château, et il était très rare quils se déplacent jusque là-bas pour les repas, sauf sils devaient avoir quelque chose à y faire auparavant ou par la suite.
- Mais quelle sale petite chienne puante ! Prosterne-toi et implore-moi de texcuser.
Implorer le pardon de qui que ce soit, cétait hors de question pour elle ! Mais de plus, elle ne pouvait pas le faire, toujours appareillée quelle était. Elle regarda alors le garde, avec un air désemparé. Une fois de plus, elle fut giflée, à croire que cétait une des pratiques favorites des gardes.
- Chienne, tu nas pas encore compris que tu ne devais jamais regarder quelquun de supérieur à toi ? Je sais bien que tu ne peux pas parler, cependant si tu avais eu un minimum dimagination, tu te serais prosternée, puis aplatie au sol et tu aurais rampé jusquà mes pieds ! Alors quattends-tu pour mimplorer maintenant que tu sais ce quil faut faire ?
Zao sexécuta enfin, et fit par la même de longue trainée de terre au sol.
- Tu seras pardonnée après avoir été punie et avoir nettoyé tes saletés. Et pour ta punition tu vas recevoir 25 coups de fouet dans la position où tu te trouves, et tu les compteras à voix haute. Fais-le à haute et intelligible voix, cars si jamais je ne tentendais pas, je reprendrai à zéro !
Les coups étaient forts, sans toutefois faire plus que lui laisser des marques. Mais elle passa dabord plus de temps à crier quà compter et donc le garde recommença quelques fois, mais heureusement pour la soumise à chaque fois, il navait eu le temps que de donner un coup. Au final elle en reçut une bonne trentaine, et si elle avait mal à en pleurer, elle était également trempée, sa cyprine coulant sur ses cuisses, et commençait à accepter quelle pût prendre du plaisir à se faire dominer sévèrement. Quand la punition fut terminée, elle eut droit de se lever pour pouvoir préparer et servir le petit déjeuner. Mais elle eut surtout le devoir, une fois le service fait, et après quon lui eut enlevé ses pinces (ce qui lui arracha des larmes et des gémissements de douleurs) et son bâillon, de passer sous la table et de sucer tous les gardes, un par un, qui étaient cette fois-ci plus nombreux. À chaque fois quils sapprêtaient à éjaculer, ils la repoussaient et se vidaient dans une écuelle en bois. Quand ils eurent fini de manger, ils vidèrent leur vessie dans une seconde écuelle. Ils les mirent de côté et exigea que Zao nettoie alors le sol à quatre pattes, mais sans avoir eu droit de se laver avant. Elle passa un très long moment à repasser derrière elle, car au fur et à mesure quelle nettoyait, elle resalissait le sol, surtout quand elle marchait là où cétait mouillé et que la terre se mélangeait à leau. Lorsquelle eut enfin fini, elle était épuisée et rêvait de pouvoir se restaurer, mais aussi elle était toujours très très excitée par un sexe vraiment trempée quand il fallut avaler les deux écuelles, celle remplie de pisses et celle de spermes... Elle nen revenait pas elle-même de se sentir dans cet état second dexcitation quasi permanente face à cette situation aussi dégradante et humiliante
(A suivre
)
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