Pour Les Pieds De Natacha

Ce dimanche là nous étions invités à déjeuner chez des amis. Barbecue au programme. L’après midi les femmes avaient décidé d’aller faire les soldes. Pour récupérer du trop plein de boissons alcoolisés, Ferdinand m’entraîna jusqu’à devant la télé. Je m’installais sur le divan, alors qu’il prenait possession de son fauteuil. Il avait tiré les rideaux pour qu’en ne soit pas gêner par le soleil. C’est alors que Natacha fit son apparition, Elle cultivait ce qu’on appelé « Gothique » chevelure de sorcière. Yeux maquillés de Khôl. Lèvres fardées d’un noir profond.
Après nous avoir saluer elle prit place à mes côtés, sur le divan. Elle avait passé sa soirée en discothèque. Malgré des heures de repos elle n’avait pas tout à fait récupéré. Je me rappelle m’avoir posé la question, pourquoi ne retourne-t-elle pas dans sa chambre. Elle y serait beaucoup mieux !
Non, elle avait décidé d’investir l’autre côté du divan, pour soi-disant regarder sa série préférée. S’allongeant dessus. La tête sur l’accoudoir où elle avait placé deux coussins.
Dans la pièce nous étions tous trois silencieux, plus ou moins intéresser par la fiction Américaine qui passait à la télé. Au fil des minutes, je surpris le maître des lieux s’assoupir, alors que Natacha prenait de plus en plus ses aises sur le divan. Si bien que ses pieds touchaient à présent ma cuisse. Elle grelottait. Je mis ça sur l’effet de la fatigue. Puis elle succomba à son tour à la fatigue.
Je profitais de l’occasion qui m’était offert pour m’intéresser à ses pieds. Malgré le nylon qui les gainées, ils étaient magnifiques. Sans aucune blessure ni callosité. Les ongles étaient laqués en noirs. Les orteils étaient remarquablement alignés en escalier. Je n’ai pas pu résister de les toucher. Ils étaient aussi froids que de la glace. Je me suis pris à le masser. En pressant fermement certains points. Après
avoir sursauté de surprise, je la sentais se détendre. Pleinement réceptive à mes pressions, mes attouchements.


Dès lors, je me fichais éperdument de ce qui me passer dans l’écran. Mes yeux croisaient son regard. Un petit sourire flotta sur ses lèvres. Je trouvais que le moment était assez érotique. Ses paupières étaient devenues de nouveaux clos. Elle s’abandonna à mes mains chaudes. Je fus surpris de ne ressentir aucune honte, aucune gêne à ce que je faisais. Sentant même monté chez moi une douce, et agréable érection.
Elle prit conscience de la situation, et n’hésita pas à poser un de ces pieds sur la bosse que faisait mon érection. Cela me fit l’effet d’une décharge électrique. Avec ses orteils, elle taquina ma verge, à travers l'étoffe de mon pantalon. Je m’immobilisai et soupirai. Dans le fauteuil tout proche le père ronflait. Je n’en revenais pas de la situation. Il se dégageait de mon bas-ventre une odeur forte, lié à la sure excitation.
Puis elle pirouetta. Se coulant comme un serpent sur le divan, pour venir pose sa tête sur ma cuisse. C’était dans la nature des choses. Et j’avais bien l’intention de me laisser faire. Surtout ne rien accélérer, même quand sa main s’attaqua à la fermeture Éclair de mon pantalon. Pas plus, quand fébrile, elle insistait à faire jaillir ma verge saisissante de vigueur.
Posément, mais surement, je sentis frémir mon échine. Pas besoin d’être devin pour vite comprendre les intentions de la jeune fille. Lorsqu’on a la chance d’avoir sous la main une nature aussi bien disposée, on ne la laisse pas refroidir. Ses doigts me tâtèrent. Comme pour en évaluer la consistance avant de commencer à me caresser doucement. Quoique je bande dur, j’’étais tout de même un peu inquiet. Qu'arriverait-il si le père venait à se réveiller ?
Mais les sensations étaient trop fortes pour que j’y mette un terme. Machinalement, elle porta ses doigts à ses narines. Les mêmes qui avaient enserré mon pénis triomphant. Puis elle approcha son visage à la hauteur de ma verge. J’étais tétanisé, et impatient à la fois. Encore plus, quand je sentis ses lèvres effleurait mon gland.
Puis purement et simplement comblé, quand sa bouche m’enfourna. Diffusant à ma chair, sa chaleur.
Sa langue me léchait, alors que ses lèvres grappillaient de ma personne, millimètres après millimètres. Je me laissais investir. Par une bouche chargé de douceur et de détermination à la fois. Je ne pus m’empêcher certaines ondulations intempestives du bassin.
Pour mon plus grand désarroi, elle se retira. ant un bruit de ventouse au moment où ma verge sortait d’entre ses lèvres. Le temps de reprendre sa respiration, et elle me reprit en bouche. Entamant une longue succion de haut en bas, et de bas en haut. Pressant ses lèvres sur chaque parcelle de ma queue. Avec en option, une langue victorieuse, inquisitrice, qui inlassablement aggraver mon délire, pourtant déjà très haute sur l'échelle de Richter. Elle s’avérait
être une élève douée.
Je sentis que bientôt, je ne pourrais plus contenir la vague de plaisir qui grondait de mon ventre, de mes reins, de ma hampe si bien cajolée. Elle le comprit et accéléra sa câlinerie. Je pressais sa tête sur mon sexe et lâchais la sauce, qu’elle ingérait au fur et à mesure de sa sortie.
Après un toilettage en règne, avec l’aide de sa langue, elle se retira et reprit sa place initiale. Je me reboutonnais prestement, alors que de l’autre côté du divan, Natacha fermait ses yeux.
Quelques jours plus tard j’eus la visite de sa mère, Sabine. Elle se tenait à la porte de mon bureau.
- Bonjours Alain, je ne te dérange pas .
- Non… non, vas-y rentrée.
Les bises d’usages.
- Qu’est-ce que me vaut ta visite ?
- Je venais voir si tu pouvais me ramener chez moi. Je viens de déposer la voiture au garage et je suis à pied.
- Oui… bien sûr. Je t’offre un café, avant.
- Non merci. On le prendra chez moi, si tu le veux bien.
Le temps de prendre les clés et je l’ai conduit jusqu’à son domicile.
Une fois sur place, elle me proposa le fameux café.

- C’est toujours d’accord pour le jus où préfères-tu une bière ?
Un coup d’œil à la pendule accrochée sur le mur. Les aiguilles indiquaient 11H27.
- Je ne dirais pas non à une petite bière bien fraîche, s’il te plaît.
Elle prit dans le frigo deux cannettes, qu’elle décapsula, avant de les poser sur la table.
- Tu préfères rester dans la cuisine, où nous allons dans le salon ?
- Nous sommes très bien ici, répliquais-je.
Elle ouvrit le buffer et y prit deux verres.
- Comme tu veux. Fit-elle, un petit sourire en coin.
Puis alors qu’elle les posait sur la table, d’une voix languissante, elle revint à la charge :
- Tu as peut-être peur de revivre quelques souvenirs.
- Tu veux en venir où, je ne te suis pas très bien là Sabine ?
- Tu ne devines pas . Tu sais, Natacha m’a parlé de ton après-midi du dimanche.
- Ah !
Bien sûr, j’avais deviné. Comme ça la fille s’était confié à la mère, pensais-je. Nous nous regardâmes dans les yeux, lèvres entrouvertes. Ce fut elle qui prit l’initiative, en se saisissant à l’ouverture de sa robe sans manches, boutonnée sur le devant, mi-longue, moulante à souhait de couleur jaune. D’un geste qui semblait marginal, elle défit le dernier bouton tout en bas d’une longue série.
- Tu ne dis plus rien . Fit-elle, le regard perdu dans le vague, alors qu’elle faisait sauter celui de qui suivait.
- Je veux que je te dise quoi . Je devine qu’elle t’a tout dit, je me trompe .
- Je reconnais qu’elle n’est plus une gamine. Il faut que je me rende à l’évidence. Mais reconnaît que cette fille à de la suite dans les idées. Faire une pipe à un homme à seulement quelques mètres du père, il faut être drôlement culottée, tu ne crois pas.
Dans son œil brillait cependant la flamme du désir. Cependant trois autres boutons venaient d’être ouvert. La robe s’entrebâillait à présent à mi-cuisse, découvrant une jambe gainée dans un bas fumé.

- Tu as trouvé qu’elle se débrouillait bien, non.
- Oui, à un tel point que j’ai succombé sous sa caresse. Je pense qu’elle n'a pas manqué de te le dire.
Je fixais maintenant l’attache d’un porte-jarretelles.
- Oui bien sur. Confidence pour confidence, ça faisait longtemps que cela lui trotter dans la tête.
- Ah oui… elle te l’avait dit…
- Non ! Je l’ai lut sur son cahier intime.
Je la fixais avec un désir d’une intensité effrayante. Un désir qui soulevait impérieusement, peu à peu, le tissu de mon pantalon.
- Quand elle m’a avoué dimanche soir qu’elle t’avait sucé, je ne l’ai pas tout de suite cru. Mets-toi à ma place, c’était irréaliste. Et peu à peu, au cours de sa confidence, j’ai senti qu’elle ne me mentait pas. Ce n’était plus un fantasme, mais une réalité. Quand j’ai fermé la porte de sa chambre, j’étais tout émoustillé.
Je profitais de l’instant pour faire glisser en bas la fermeture Éclair de mon pantalon. Je sortis mon sexe et me caressais en défiant du regard Sabine. Elle me regardait, d’un œil légèrement dilaté, tandis que ses doigts jouaient avec le bouton situé à la jointure des cuisses. Puis d’un petit mouvement de doigts, elle l'ouvrit. Je sentais un courant électrique me parcourir la colonne vertébrale. En dessous, Sabine était nue, à l’exception d’une guêpière de soie noire, prolongée de porte-jarretelles retenant des bas fumés. Le tout, contrastant de
manière éblouissante avec sa toison parfaitement taillée en triangle, que ne cachait aucune culotte.
Elle baissa les yeux sur mon érection et arrondirent les lèvres sur une exclamation muette. Elle écarta lentement les jambes. Je lâchais un soupir de satisfaction, alors qu’elle avait glissé une main entre ses cuisses. Dont le majeur bougeait rageusement dans son épaisse toison. Bouche entrouverte, elle respirait à petites goulées précipitées. Les yeux accrochés à ma main qui montait et descendait de plus en plus vite.
Par pure provocation, elle plongea alors deux doigts en elle et les fit aller et venir. Sa paume claquait sur son pubis. Sa respiration sifflait entre ses dents. J’eus un halètement rauque et délivrais la jouissance en plusieurs longs rubans qui atterrirent loin devant moi. De son côté, elle poussa des cris stridents, tandis que son corps se tendait brusquement.
Une fois ressaisie, elle s’approcha de la table. Souleva la cannette et la porta à sa bouche. Une trop grande rasade de liquide ambré sortit du goulot, trop pour qu'elle puisse tout ingurgiter. De la bière dégoulina jusqu’à ses seins avant de dévaler sur son ventre. Je me précipitais jusqu’à elle et me penchais au-dessus de sa poitrine et
titillaient les mamelons, d’une langue dardée. Sabine renversa sa tête en arrière, gorge tendue, les yeux fermés.
- Oui… Tète-les… goûte comme c’est bon.
Je mordillais les pointes, léchais les contours des aréoles. Revins aux pointes. Alternativement, les suçant, les aspirants. Elles étaient si volumineuses qu’elles m’emplissaient complètement à bouche.
Une fièvre montait dans son corps, brutale et affolante. Mes doigts glissèrent dans l’épaisse toison noire et furent comme aspirés dans le sillon humide. Agitant les reins, Sabine se mit à haleter, manquant de perdre l’équilibre. Elle fléchit les genoux, écartant les cuisses pour faciliter le passage à ma main qui séparait les replis de sa fente.
- C’est bon… Alain… Attends, attends un peu.
Elle me repoussa, versa le restant de sa cannette dans le creux de son nombril. J’y plongeais ma langue, bus l’intégralité du liquide.
- Mieux encore, infiniment mieux, tu vas voir...
Elle tendit le bras jusqu’entre ses cuisses ouvertes, renversa ma cannette. Le liquide s’infiltra parmi sa toison. S’immisçant dans l’intimité de son sexe.
- Lèche- moi, Alain, suce-moi toute.
Je m’installai entre ses jambes. J’enfouis mon visage, heureux d’être chatouillée par les innombrables poils frisés qui s’épanouissaient librement autour de la fleur carnivore et douce. Elle n’était plus qu’un râle interminable, son corps parcourut d’une vaste ondulation. Je plongeais mes lèvres avides au cœur de cette parcelle mousseuse de poils crépus et odorants.
Ma langue prit incontinente possession des lèvres mauves, entrouvertes et trempées. Après une exploration très poussée, j’avais fini par trouver le petit bourgeon dur et gonflé. J’en avais tiré tout le plaisir qui y était stocké depuis toutes ces années de disette. Elle n’était plus que jouissance. Alors que ma langue s’activait. Me gavant de sa niche aux douceurs jusqu’à l’ivresse.
- Oh ! Alain, c’était si délicieux… Mais toi, tu n’as pas envie de jouir.
- Oh que si !
- Eh bien, viens, mon chéri, m’invita Sabine tout émoustillé. Je guidais ma verge le long de sa fente dissimulée sous une épaisse toison brune frisottée. Elle s’immisça entre les cuisses de la femme. Glissait entre les grandes lèvres, chercha l’ouverture et s’enfonça dans
la chaude cavité qui s’entrouvrit et se resserra sur mon gland comme pour le happer. Par mouvements de va-et-vient lents et progressifs, je m’enfonçais profondément. Sabine bascula la tête en arrière et râla de plaisir.
J’accélérais le rythme. Lubrifié par l’abondante source vaginale. Ma verge glissait avec aisance sur toute sa longueur. Avec une technique avérée et une parfaite connaissance sur le sujet. Elle accompagnait mon admission, en faisant basculer sa croupe d'avant en arrière. Les yeux révulsés, la tête renversée, elle gémissait. J’étais fasciné par le spectacle qu'elle m'offrait. Je n’imaginais pas qu’une femme puisse atteindre un tel degré d’orgasme.
Après cette apothéose orgasmique, Sabine sombra dans un état de calme béat. Elle était apaisée et son visage reflétait une indicible paix.
Si la fellation de la fille avait été mémorable, l’appétit sexuel de la mère m’avait mis sur les genoux.

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