La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°985)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°984) -
Elle nen revenait pas elle-même de se sentir dans cet état second dexcitation quasi permanente face à cette situation aussi dégradante et humiliante
Derrière lhabitation, il y avait une rivière à très faible courant qui passait et traversait toute la clairière et dont les rives devenaient rapidement vaseuses dès quil y avait un peu de pluie, et comme leau était tombée pratiquement toute dans la nuit, cétait devenu un vrai marécage. Les gardes eurent envie de samuser un peu. Ils attachèrent les bras de Zao dans son dos. Ils lui placèrent un large collier en métal qui avait un anneau et ils mirent une barre métallique qui longeait sa colonne vertébrale et qui montait au-dessus de sa tête.
Cet appareillage limitait de beaucoup ses mouvements. Ils la firent se déplacer à genoux, ne pouvant se mettre à quatre pattes dans cet accoutrement, et exigèrent quelle rentre dans le « marécage » devant savancer jusquà ses mollets soient bien recouverts. Ils lui ordonnèrent alors de se prosterner. La vase lui rentrait dans la narine la plus proche du sol. Lun des gardes qui sétait entièrement dénudé la rejoint et avec un de ses pieds boueux appuya sur son cul qui était relevé afin quelle saffale dans la vase. Puis il lui enfonça le visage dedans et ly maintint un moment, au point que Zao crut suffoquer au moment où on lui releva la tête en lui tirant par les cheveux. Les hommes, qui avaient suivi lexemple vestimentaire du premier en tenu dAdam, firent cercle autour delle, et lui donnèrent dix minutes pour se mettre à genoux si elle ne voulait pas être sanctionnée. Malheureusement pour elle, entre la barre métallique et la vase glissante, elle parvint à peine à se retrouver prosternée.
- Eh bien, puisque tu aimes te trainer dans la boue, tu vas avancer en rampant tant quon ne te donnera pas lordre de tarrêter !
La tâche était compliquée, ne pouvant pas se servir de ses bras attachés dans le dos à une barre de fer.
- Allez la chienne ! Viens nous nettoyer les pieds. On va tenlever ton bâillon et tu vas activer ta petite langue de salope. Ensuite nous taccorderons le droit à une douche.
Ils salignèrent tous les uns à côtés des autres, et la laissèrent prendre son temps. Le goût de la vase lui emplissait la bouche. Elle avait le cur qui se soulevait devant son labeur. Mais elle sappliqua de son mieux, trop épuisée pour essayer la moindre tentative de rébellion. Elle se raccrochait à lidée de la douche. Elle supposait quelle serait froide, elle ne se faisait pas dillusion. Mais lodeur de la vase la dérangeait et elle rêvait de sen débarrasser. Après une demi-heure de léchage dorteils, jusquà ce quils deviennent aussi blancs quil était permis, les gardes la libérèrent de ses attaches, lui laissant toutefois le bâillon. Ils lemmenèrent face à la maison, tous prirent leur sexe en main et lui urinèrent de nouveau dessus.
- Voilà ta douche, ah, ah, ah ! Sois heureuse, au moins elle est bien chaude ! Et maintenant, tu vas avoir droit au bâillon-anneau. On ne sest pas vider les couilles depuis plusieurs heures, et ça te nourrira un peu en attendant que ce soit lheure de dîner.
Et elle se vit baiser la bouche de très longues minutes, jusquà ce que la dizaine de gardes quils étaient à présent lui aient rempli lestomac à longs jets épais de sperme aux goûts différents.
Le soir elle dut préparer le dîner pour les gardes. Son estomac protestait car elle navait avalé durant la journée que de lurine et du sperme. Elle donnait régulièrement autour delle, espérant pouvoir manger directement dans les casseroles, mais il y avait toujours un homme en train de la surveiller. Elle vit ses espoirs dun bon repas chaud disparaître. Elle eut droit de rester debout pendant tout le service. Parfois un garde lappelait pour lui fourrer un ou plusieurs doigts dans la chatte ou le cul, la fesser, lui claquer les seins ou le visage, mais personne ne lui donna la moindre miette de nourriture.
Son mois de réclusion loin du Château se passa sensiblement comme cette première journée, à faire la femme de ménage, à servir de vide-couilles, ou durinoir, et à se faire humilier, abondamment baiser de nombreuses fois par jour et même parfois la nuit. Mais à la fin de sa sanction, elle avait gagné en humilité et en obéissance. Son caractère rebelle avait été dompté et plus aucun esprit de rébellion face à lautorité ne lui venait en tête, elle avait été dressée pour de bon. Elle fut alors autorisée à prendre une vraie douche chaude dans la maison, avec du savon et du shampoing, pour être propre pour se présenter en fin de journée à nouveau devant Monsieur le Marquis. On lui avait pour ce jour, maintenu la bouche ouverte et la langue sortie par des pinces à linge. On la conduisit devant la porte du bureau du Châtelain, frappa à la porte pour elle. Mais lorsque lautorisation dentrée fut donnée, on la laissa seule. Elle entra donc, referma la porte, et alla se prosterner delle-même au centre de la pièce. Le Maître lignora, comme Il le faisait souvent, montrant bien à la soumise quIl nétait pas à sa disposition.
- Bien ! Tu sembles avoir appris une certaine docilité évidente, et toute rébellion semble ne plus exister en toi, ça sera au moins ça de fait. (Son ton était froid et monocorde) Jai été tenu au courant quotidiennement de ton comportement. Il est vrai que mes gardes ont tendance à épuiser ceux qui passent entre leurs mains, les empêchant de montrer leur sale caractère, et par la suite, les rebelles prennent lhabitude de faire ce quon leur dit sans protester. Tu vas donc pouvoir regagner le Chenil du Château, qui y sera certainement plus confortablement installée que celui que tu as occupé ces trente derniers jours. Jespère que tu montreras ta reconnaissance par une obéissance sans faille, peu importe à qui je timposerai de te soumettre. Qui sait ? Peut-être que tu pourras rapidement retrouver le joug de mon ami tibétain
Il appuya sur un bouton, et le Majordome ne tarda pas à arriver dans le bureau.
- Walter, emmène cette chienne dans sa niche. Demain, tu la mettras au service comme nimporte lequel des membres de Mon Cheptel.
Et dun signe, Il fit comprendre quIl voulait se retrouver seul. Zao était reconnaissante de pouvoir retrouver sa niche chaude, bien odorante. Elle fut seulement surprise de voir quune nouvelle avait été installée dans la niche voisine de la sienne. Elles se sourirent, nayant pas le droit de se parler. Elles se montrèrent leur médaille pour faire connaître leurs noms. La nouvelle sappelait soumise Nééra. Elles se couchèrent alors toutes deux, et Zao partit dans des rêves de Tibet, de Domination aux pieds de Wangdak, et elle prit la résolution dêtre tellement obéissante quelle pourrait rapidement aller le retrouver. Mais ces derniers évènements sétaient passés plusieurs semaines après mon départ pour la villa, la fête des mères avec mes filles, et la sanction qui me faisait passer trois jours sans nouvelles du Maître Vénéré
(A suivre
)
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