Une Tranche De Vie 3

Lundi 22 Juillet – Invitation impromptue
En fin de matinée, alors que je bricolais dans le garage sur une moto que je venais d’acquérir, le téléphone sonna.
Je décrochais : « Oui »
« Bonjour Jean, c’est moi Sophie »
Moi : « Pardon, vous êtes Sophie qui ?
« Sophie P … »
« OH, pardon, je n’avais pas reconnu votre voix, comment allez-vous ? »
« Bien, merci Jean. Mon mari est en déplacement et Je suis seule une partie de l’après-midi, si tu veux venir utiliser la piscine en début d’après-midi, il n’y a pas de problème »
« OH, oui, merci »
« D’accord, tu peux venir en début d’après-midi, je t’attendrais. Rentres ton scooter comme la dernière fois »
« Bien entendu »
« Au revoir, à cet après-midi »
« Au revoir »
Wouahh, Mme P., enfin Sophie m’invite à la piscine et elle a dit que son mari n’était pas là, Wouahh …
Début d’après-midi, je sonnais à la porte des P. qui s’ouvrit et je rentrais mon scooter et le garais dans l’allée.
La porte d’entrée s’ouvrit et apparu sur le perron Mme P. Je m’étais raconté une histoire, elle était vêtue comme pour sortir. En me dirigeant vers le perron, je constatais qu’elle portait un tailleur bleu pastel, une jupe droite peut-être un peu courte, une veste de même couleur cintrée dont le décolleté laissait voir l’arrondi de ses seins. Et elle était chaussée d’escarpins de la même couleur. Pas possible elle allait me laisser dialoguer seul avec la piscine, … J’étais furieux et de plus en me voyant arriver, elle me tendit la main avec un petit sourire en coin. J’étais en rage, mais mes parents m’avaient bien éduqué, également je lui serrais la main.
« Rentres, ne restons pas sur le perron »
Ce que nous fîmes. Elle ferma la porte. Puis se tournant elle se colla à moi, colla ses lèvres sur les miennes et sa langue partie à la recherche de la mienne. Le baiser fut long, humide, passionné.
« Je suis contente que tu aies pu venir, je suis seule cet après-midi »
« C’est gentil de m’avoir appelé »
« Viens j’ai préparé du café, … installes toi sur le canapé, le temps que j’aille chercher le café.

J’ai eu l’impression quand tu m’as vu sur le perron que tu étais déçu. Pourquoi ? Tu trouves que je suis pas « classe », J’ai pourtant mis un tailleur, des escarpins pour être très classe et te faire plaisir, j’espérais que tu apprécierais ».
« Oh, si, cela vous va très bien, vous êtes très élégante, mais j’ai été surpris de vous voir ainsi habillée »
« Ah bon et comment m’imaginais tu ? »
« Disons que je préférais le T-shirt décolleté et la mini jupe, mais il faut reconnaître là que vous êtes classe »
« Merci. D’abord arrêtes de me vouvoyer, le « tu » me paraît plus approprié. Mais, tu verras que je peux aussi tout en étant très classe comme tu dis avoir des idées. Disons, j’ai envie que tu me baises comme un catin. Mais même étant classe je peux quand même te réserver une surprise, je vais chercher la cafetière », le reste étant déjà sur la table basse
Je la regardais partir et pratiquement à l’entrée de la cuisine elle se retourna brusquement et me surprenant à la regarder fixement elle me dit :
« Qu’est-ce que tu regardes comme ça »
J’étais pris au dépourvu et répondis : « Toi »
« Ah, …, mais quoi, moi ? »
« Je te regardais marcher »
« Tu me regardais marcher et alors, … »
« Je trouve que tu as une démarche très, …, enfin très, … comment dire élégante, c’est ça »
« C’est flatteur, mais tu as hésité et ce n’est pas ce que tu voulais dire de prime abord »
Elle revint vers moi s’assit sur mes genoux, elle me lécha l’oreille et se tortillant un peu, l’effet ne se fit pas trop attendre.
Collé contre moi, et surtout contre l’oreille « Dis moi la vérité, je marchais comment ? »
J’hésitais, je me demandais si j’osais lui dire exactement et je me lançais :
« Oui tu as une démarche élégante, …, heu, …, excitante et surtout t’as un beau cul »
Est-ce que j’étais allée trop loin ?
« Ainsi quant tu me regardes marcher, ça t’excite de voir mon cul, (et toujours doucement dans l’oreille) ça te fait bander, … dis moi, … ça m’excite de savoir, … , ça te donne des idées »
« Oui, d’ailleurs tu devrais le sentir contre ta cuisse » et je commençais à lui glisser une main entre ses cuisses, cela la fit réagir, elle se leva, « le café d’abord »
Je la regardais s’éloigner, mais là elle le savait et je remarquais, encore plus son balancement, que quand je l’avais vu marcher nue sur le bord de la piscine.
Elle avait un balancement de hanches provocateur, excitant au possible.
Elle revint avec la cafetière et remplissant les tasses sur la table basse, je pus avoir une vue intéressante sur ses seins, que je savais bien ronds et bien pleins. Remplir les tasses lentement de façon à ne pas faire de mousse demanda un certain temps, pendant lequel sa poitrine remplissait ma vue et cette vue commençait à titiller ma tige, d’autant qu’elle savait que je la regardais.
Elle s’assit dans un fauteuil en face de moi et nous avons devisé gentiment. Elle posa plusieurs fois sa tasse sur la table basse. Je pense qu’elle le faisait intentionnellement pour que je remplisse mes yeux de ses nénés. Plusieurs fois, également, elle croisa les jambes et, là chaque fois sa jupe remontait, et je m’aperçus alors qu’elle portait des bas fins, transparents couleur chair.
Café terminé, tasses, cafetière, … sur un plateau, le tout direction la cuisine avec un balancement des hanches excitant au possible, ce qui se traduisit par une enflure au niveau de ma braguette. En revenant, elle vint tout naturellement s’assoir sur mes genoux et m’entourant de ses bras, se colla contre moi écrasant ses seins contre mon torse et sa bouche sur et même dans la mienne. De part et d’autre, baisers goulus, chauds, langue fouilleuse, dents mordillant lèvres et langue.
J’avais réussi à glisser une main dans son dos sous la veste, mais celle ci étant tellement cintrée, je n’avais pas accès à grand chose, et j’hésitais encore à défaire les boutons de la veste.
« Mes seins ne te plaisent plus ? Tu ne t’en occupes plus ? »
« Oh, que si » et je m’empressais de m’attaquer aux boutons. Ceux en dessous de la poitrine cédèrent rapidement. A leur niveau les seins tendaient tellement les boutonnières que je n’arrivais à rien, heureusement s’en rendant compte, c’est elle qui se déboutonna et là deux seins libres de tout soutien, bien gonflés me sautèrent à la figure. Sans attendre j’en prenais un en pleine bouche, pas seulement l’aréole, mais tout le volume que je pouvais prendre, je l’aspirais, le relâchais, passais à l’autre, les malaxant, les triturant avec énergie, car je savais que la brutaliser légèrement était une chose qu’elle appréciait.
Si j’abandonnais un sein, elle s’en occupait, puis me le donnait en bouche pour que je le suce, le lèche, … et que je le mordille.
« Suces le, … lèches le, …, j’aime, ça me fait mouiller, j’aime quand tu les mordilles ,… je veux que tu me fasses jouir, … fais ce que tu veux mais donnes moi du plaisir, … profites de moi tant que tu veux, mais fais moi jouir»
Pendant ces jeux de bouche, je glissais une main entre ses cuisses, la jupe bien qu’ayant remontée, était tellement étroite que j’arrivais à peine au dessus de bas, je n’avais pas accès à sa chatte, qui était le but de la manœuvre. Voyant cela, elle se leva, « Je vais enlever ma jupe, il faut que je l’enlève car tes jeux sur mes seins font que je mouille, une vraie fontaine et je ne veux pas la tacher ». Aussitôt, elle déboutonna le bouton de la ceinture et descendit la fermeture éclair. Un bon coup de rein et elle fit glisser sa jupe qui atterrît parterre. Je m’aperçus, alors qu’elle n’avait que son porte-jarretelle tendant ses bas, et rien d ‘autre. Elle avait la chatte à l’air. En s’éloignant du canapé et en remuant volontairement son joli cul elle me dit « Alors cette tenue n’est pas mieux que la minijupe, qu’en penses-tu ? » Elle revint vers moi, je l’attirais à moi et lui glissais une main entre ses cuisses, prenant à pleine main sa moule chaude, humide, trempée. Écartant les cuisses, elle me facilita l’accès. Je commençais la caresser en laissant trainer un doigt entre ses lèvres bien gonflées, bien mouillées. Pendant que je jouais avec sa chatte, elle continua à jouer avec ses seins, jusqu’au moment ou sa main descendit sur ma main et poussa mes doigts dans son fourreau chaud. « rentres, …, j’aime sentir tes doigts dans moi, …oui, … baises moi avec tes doigts, …» Sans hésiter avec 2 ou 3 coups de reins, elle s’empala sur mes doigts. Mais la position n’était vraiment pas confortable.
« Attends, on continue sur le canapé, ce sera plus confortable, et puis tu pourrais te déshabiller. Non laisses moi faire » et c’est ce qu’elle fit en me caressant, le torse, le sexe, ce qui ne fit qu’augmenter la pression.
Puis elle s’assit et écartant largement les cuisses : « C’est plus confortable, viens m’embrasser la chatte, elle t’attend, tu as bien commencé, viens continues, j’ai envie de te sentir en moi »
Je plongeais entre ses cuisses, décidé à profiter d’elle, de cette femme qui semblait me permettre de tout lui faire à la seule condition de la faire jouir. C’était le moment de faire preuve d’imagination. Elle était ouverte, ses grosses lèvres étaient gonflées accueillantes à ma langue, mes doigts et dégoulinât de cyprine. À chaque pénétration de mes doigts, de ma langue, c’était soupir de plaisir accompagné de « Oui, continues, … vas plus profond, … j’aime, … ho, oui, continues, …baises moi avec tes doigts …. ». Plus ça avançait plus elle gémissait de plaisir, m’encourageant à aller plus vite, plus profond, plus fort. J’avais aussi les mains qui remontaient sur ses seins et je les caressais en même temps qu’elle, quand mes mains n’étaient pas sur ses seins c’étaient les siennes.
Tout à coup, je dus m’arrêter : « Attends, arrêtes, …, ce n’est pas juste tu peux me gouter et moi, je ne peux pas. Couches toi sur le tapis, on va se gouter ensemble »
Sur le moment je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire, mais je me laissais aller sur le tapis. Elle se laissa couler le long de moi, commença par un long et mouillé baiser sur la bouche et elle descendit, le torse, le ventre, pour enfin prendre ma tige en bouche, en même temps elle m’enjamba. Elle me dit : « « Continues de t’occuper de ma chatte, je vais m’occuper de ta bite » et elle se coucha sur moi et me prit en bouche avec gourmandise.
Nous étions tête bêche sa chatte vint, naturellement, se poser
sur ma bouche, ce dont je profitais, pendant qu’elle me suçait, me léchait et que j’en faisais autant sur et dans sa chatte. Le tout accompagné de grognements de satisfaction de part et d’autre, mais j’avais l’impression d’avoir un sexe qui allait exploser. Elle s’en rendit compte, et s’arrêtant elle se retourna et vint s’empaler sur ma tige. « Laisses moi faire, je vais nous faire jouir, restes dur, oui comme ça » Elle commença un va et vient et chaque fois qu’elle s’empalait, c’était suivi d’un « Oh, … c’est bon ? … tu aimes, … retiens toi, … oui, je sens que ça vient, … oui, … ça vient, … ». Enfin j’éclatais, elle se redressa, écarta les bras, « Oui iiiiiiiii, » et s’écroula sur moi. J’avais le souffle court et elle aussi. Elle resta un moment sur moi, puis glissant su le coté, elle me dit : « J’espère que tu as joui, autant que moi, …, tu as été bon. Tu sais tu es bon, tu manques un peu d’expérience, mais tu es bon » alors que je n’avais fait que subir, mais si elle appréciait, je n’allais pas la contredire, trop heureux de me taper une telle femme. Elle me dit qu’elle allait prendre une douche. Elle se dirigea vers la douche de la piscine qui se trouvait à coté du local technique de la piscine, local sans porte. Les gens prenaient une douche avant de plonger dans la piscine. Sachant que je la regardais, elle accentua certainement le balancement de ses hanches et à la vue de sa démarche, il y eu une répercussion certaine sur ma queue. Cela s’accentua encore quand ouvrant l’eau elle commença à se doucher. Fermant les yeux sous la douche, elle leva un bras et le frotta avec son autre main du poignet à l’aisselle, puis fit de même avec l’autre bras, puis elle glissa ses mains sur ses seins les caressant, lentement, du bord vers les pointes. Les deux mains jointes descendirent sur son ventre, puis écartant les cuisses elle offrit son entrejambe à la douche. Cette séance de douche, c’était de l’exhibitionnisme pur et simple et c’était volontairement sensuel même érotique, fit que j’étais excité au possible et je bandais dur. La douche finie, « Tu viens » elle plongea dans la piscine. Je filais à la douche, rapidement et plongeais dans la piscine. Un aller retour et nous étions au bord à reprendre notre souffle.
« Je sors, me dit-elle, mais tu peux rester »
« Non, je sors avec toi » et nous nous dirigeâmes vers l’échelle de sortie. Je la suivais de très prêt. Elle commença à monter à l’échelle, quand ses fesses apparurent, j’étais derrière elle. Bien qu’elle n’ait rien dit la première fois et même qu’elle avait semblé apprécier, j’hésitais encore mais je me lançais et lui dit :
« T’as vraiment un beau cul »
« Il te plait tellement « Oui » et je m’approchais et lui faisais un baiser appuyé sur les reins et descendais vers les fesses.
Elle ne bougea pas, je montais d’un échelon je me collais à elle et ma queue se trouvait au niveau de sa raie, je me collais encore plus contre elle.
« Oh, je sens que tu as encore des idées, tu es insatiable, viens on sort, tu me donnes des envies »
Ce que nous fîmes. Elle s’assit sur le premier transat en bord de piscine, de façon provocatrice, les cuisses bien écartées, la chatte bien en vue, ce qui ne fit qu’augmenter mon érection, alors que je m’approchais elle me prit en bouche et commença à me sucer légèrement du bout des lèvres, excitant au possible. Puis s’arrêtant elle se coucha sur un proche matelas, les cuisses bien écartées : « À toi, je veux ta langue dans moi ». J’obéis et je lui suçais la chatte et à sa demande la pénétrais avec deux doigts et la langue, et la masturbais, elle appréciait et le faisait entendre.
« C’est bien, arrêtes, tu vas me faire jouir, mais je te veux, prends moi, … » et elle se retourna se mettant en levrette. Les fesses bien en évidence, les cuisses bien écartées.
« Regardes, ça te plait cette position. Viens, le catin a envie de toi. Viens, prends moi, …, enfonce moi, »
Je me positionnais et me guidais vers et dans sa chatte, dont les lèvres étaient bien entrouvertes et qui semblait m’attendre pour m’avaler. Je m’enfonçais dans son fourreau bien humide et bien chaud avec facilité, le tout accompagné d’un long : « Ouiiiiiiiiiiii » et je commençais à la travailler à grands coups de reins. Ce qui, au son, ne lui déplaisait pas.
Alors que je commençais à me chauffer sérieusement, elle me dit en mettant ses mains sur ses fesses: « Tu aimes mon cul, prends le, oui, …, prends le »
J’eus un moment d’hésitation, ne comprenant pas très bien, ce qu’elle voulait, quand elle me répéta :
« Prends mon cul, puisqu’il te fait envie, … viens, oui, … encules moi, j’en ai envie, je veux sentir ta queue s’enfoncer dans mon cul »
Enfin, je comprenais, je me retirais de sa chatte et me positionnais entre ses fesses qu’elle écartait de ses deux mains et je pouvais voir son petit trou qui semblait me faire de l’œil. Je me positionnais et essayais de forcer l’entrée. Elle était étroite au début puis elle se décontracta.
« Défonces moi, …, rentres, … oui, forces, comme ça, … ». Enfin je réussissais à passer et m’enfonçais dans son fondement. La première pénétration passée, je cramponnais ses hanches et je l’attaquais lentement puis j’augmentais le rythme et la prenais à grands coups de reins, ce qui lui plaisait. En fait pendant qu’on baisait, elle parlait ou gémissait tout le temps, ce qui était particulièrement excitant et permettait de savoir ce qu’elle ressentait, d’accélérer, de ralentir enfin de faire en sorte de la faire jouir et de me faire jouir au maximum. Je vis au bout d’un moment qu’elle avait glissé sa main droite entre ses cuisses, je pus constater qu’elle se masturbait au même rythme que celui de mes pénétrations. Les gémissements augmentèrent et tout d’un coup elle lâcha son entrejambe et se cramponnant des deux mains au matelas, elle poussa un long gémissement suivi d’un « Oh, … Oui iiiii, … », heureusement qu’elle était partie, car j’étais en train d’exploser et de me vider dans son joli cul.
Enfin elle s’allongea complètement sur le matelas et j’en fis autant. Elle se colla à moi, une jambe se glissa entre les miennes, un bras sur mon torse et je senti un sein se poser sur mon avant-bras. Ainsi installée, elle me glissa doucement dans l’oreille : « C’était bon, …, tu me rends folle, …, j’espère que tu as joui, ...». Il y eu une pose et se retournant pour se mettre sur le dos, elle dit : « Je me trouve bien, ainsi, nue au bord de la piscine à prendre le soleil, avec à coté de moi un beau mec, vigoureux et qui me donne du plaisir, je resterais bien tout l’après-midi. … au fait, il est quelle heure, j’avais dit à ma secrétaire que je serais de retour vers 4 heures, il est quelle heure ? » Je regardais ma montre.
« Si tu dois être à 4 heures au bureau, tu es déjà en retard, il est 4,15 heures »
Aussitôt, elle bondit : « Bon sang, de bon sang, dépêches toi de filer, je ferme la maison »
Ainsi, après un début d’après-midi fort agréable, je filais rapidement, nous n’avions pas eu le temps de se dire au revoir, alors que je partais trois jours après.

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