Deuxième Soirée Bien Arrosée Chez Bettina
Voici la suite d'un premier récit dans lequel je racontais mes retrouvailles avec une amie d'adolescence beaucoup plus vicieuse que je ne croyais et son amant Carlos, un homme d'une grande beauté au sexe envoutant.
Déçu et même blessé par mes maigres performances lors de cette soirée qui m'avait placé dans la position du suceur, du médiocre baiseur, et donné à Carlos le rôle de l'étalon, j'hésitais à me représenter devant le couple, d'autant que Bettina m'avait laissé entendre que c'était la première et la dernière fois qu'elle s'offrait à moi. À ma surprise, après avoir laissé passer une semaine, elle m'appela un matin vers onze heures, au bureau :
- Comment tu as eu ce numéro ?! m'étonnai-je.
- Aucune importance. On voulait te réinviter.
- Euh
quand ?
- Ce soir, même adresse. Mets le même jean.
Et elle raccrocha.
Mon sexe grossit instantanément dans mon slip, je n'osai lever les yeux de peur de voir les collègues présents lire la gêne sur mon visage. "Une mauvaise nouvelle ?" me demanda une voisine de bureau. "Une tuile. Je vais devoir partir un plus tôt ce soir, je rattrai mon retard demain."
Ma décision était prise et le prétexte miraculeusement trouvé sur l'instant. Je mourrais d'envie de les revoir, ne retenant que le meilleur, oubliant la faiblesse de mes assauts dans la chatte de Bettina pour préférer la vigueur de Carlos. Quelle queue il avait ! Peut-être la plus belle que j'ai sucée dans ma vie, je rêvais d'y goûter à nouveau.
Sur place, rien n'avait changé dans le décor si ce n'est une bâche de plastique noire recouvrant la moquette au milieu du salon. L'éclairage était plus cru et plus fort que la dernière fois, sur l'écran de 75'' défilaient des images d'orgies bi en extérieur : pipes, gorges profondes, défonces, sodos et doubles sans scénario, de la baise pour la baise mais plutôt bien filmée, les mecs étaient bandants, les filles jolies et bien faites.
- Attends, je vais défaire mon jean, ça va exploser là-dedans.
- Non, garde ton paquet au chaud pour le moment, on a le temps.
- Mais
Elle s'empara d'une coupe de champagne tendue par Carlos qu'elle versa sur mon torse lisse, le vin se glissa sous ma ceinture jusqu'à atteindre ma queue comprimée dans mon slip. Je bandais comme un âne, le porno aidant en plus de la proximité de Bettina qui ne cachait pas ses intentions d'aller loin, plus loin et plus vite que la dernière fois. Moi aussi j'en voulais, je m'étais promis de la bourrer au sens technique du terme, de lui mettre ma queue bien profond, de la remplir. Plusieurs fois ces derniers jours, je m'étais masturbé en imaginant la scène.
- Arrête, je vais en avoir partout.
- Tu n'aimes pas ça ? Laisse-toi faire.
Carlos, déjà nu et complètement raide, s'était rapproché et nous observait en souriant. "Branle-moi", me demanda-t-il d'une voix douce. Bettina renchérit sur un ton ferme et plus autoritaire : "Et applique-toi, je te regarde".
Je me saisis de son engin et entama mon va-et-vient avec le plus grand soin, le regard fixé sur son gland visible en toutes circonstances car, comble du raffinement, il était circoncis. Bonheur de contempler de près ses grosses couilles épilées ballotant dans une valse harmonieuse et sa queue grossir encore dans ma main. Je la voulais dans ma bouche, là, tout de suite, immédiatement, mais trop timide me retins, attendant qu'on m'en intima l'ordre. Après s'être déshabillée presque entièrement, ne gardant que ses cuissardes, Bettina versa une nouvelle coupe de champagne le long de son manche de plus de 20 centimètres de long, ce qui provoqua chez lui un petit "ouh !" de plaisir.
- Garde ce rythme, ne va pas trop vite, me commanda-t-elle, je ne veux pas que tu le fasses jouir avant mon signal.
Je levai les yeux vers lui en quête d'une approbation ou d'un encouragement mais il m'ignorait toujours, ne me considérant que comme un instrument de son plaisir. À nouveau, je demandai la permission de baisser mon jean : "tu n'as qu'à débander si elle te fait mal", me répondit Bettina en souriant. Facile à dire ! Elle me tendit une autre coupe que je vidai d'un trait, comme si c'était de la limonade, sans cesser de masturber Carlos de ma main libre, le regard fixé sur son membre sublime.
- Maintenant mon mignon, prends-le dans ta bouche.
Je m'exécutai aussitôt, sachant ce qui m'attendait et l'espérant : après seulement quelques allers-retours entre mes lèvres, il éjacula copieusement dans un long râle de satisfaction ; je reconnus immédiatement le goût de son sperme qui ne m'avait pas quitté depuis la dernière fois, le gardai en bouche sans avaler, n'ayant pas reçu d'avis contraire. Son chibre dégonflait à peine, baignant dans son foutre qui refoulait inévitablement entre mes lèvres, coulant sur ma poitrine et sur mon ventre tout en refroidissant. Quand il se retira enfin, Bettina se saisit de son cylindre qui commençait à perdre de sa rigidité et balaya son gland sur mon visage. Je me sentais délicieusement salope, salie, étape indispensable de mon plaisir. Être une bouche à foutre me plaît, j'aime les queues et leur jus, je suis fait pour ça.
- Avale, après tu pourras retirer ton jean.
J'engloutis immédiatement le sperme qui me restait en bouche et libérai ma queue qui put enfin se déplier, entièrement décalottée. Après une deuxième coupe de champagne vidée d'un trait qui dissipa un peu le goût de la semence, je n'eus plus pour objectif que de fourrer Bettina avec la vigueur qui m'avait fait défaut il y a une semaine. Plus de panne, plus de panique, plus de trac, j'allais la prendre et la défoncer, la faire couiner, la faire jouir et la forcer à me remercier.
- Où tu vas comme ça ? Allonge-toi et fais-moi reluire la chatte avant que je t'offre ton cadeau. Il faut le mériter.
Carlos me fit signe de m'allonger sur la bâche de plastique noire, ce que je fis sans même penser à discuter, puis Bettina s'accroupit et me présenta sa vulve encore sèche.
- Allez, fais-moi mouiller si tu veux me baiser Sylvain, c'est le contrat.
J'écartai ses lèvres de mes doigts avant d'être stoppé net : "Non ! Seulement avec ta langue, et fais ça bien." Assoiffé comme jamais, je me mis à laper sa fente avec avidité. Elle sentait bon, elle sentait propre, virginale malgré toutes les queues qu'elle avait dû engloutir, glabre comme les plus succulents des sexes féminins, faussement innocente et sublimement perverse. Carlos déboucha une troisième bouteille, servit une coupe qu'il versa en partie sur mon sexe avant de le branler, puis la passa à Bettina qui la vida sur son pubis.
- Mmmm, délicieux
- Tu aimes ? Et ça, tu aimes ?
Elle lâcha un jet d'urine que je reçus en pleine bouche.
- Qu'est-ce que tu fais ?! Nooonnnn !!!
- Avale, après tu pourras me sauter.
Cette vicieuse me pissa sur le visage sans retenue, m'inondant la face. La mouille, le sperme, je connaissais et j'aimais ça, mais l'urine, c'était une première. Je me laissai faire en refusant toutefois d'en avaler la moindre goutte, fermant les yeux et recrachant sa pisse trop abondante qui me rentrait dans les narines, coulait derrière mes oreilles et me rinçait littéralement les cheveux. Des flots de pisse tiède auxquels rien ne m'avait pas préparé. "Salope", rageais-je intérieurement, "immonde salope".
- Alors, tu aimes ?
-
- Dis-moi que tu aimes.
- C'est dégueulasse, dégueulasse, t'aurais pu me prévenir.
- Debout maintenant, et baise-moi.
Sonné, saoulé, trempé de pisse mais saisi d'une érection démentielle, je me relevai. Elle s'était mise en levrette, cuisses écartées, laissant apercevoir sa vulve derrière son anus, prête à se faire défoncer. J'empoignai ses fesses et dirigeai ma queue qui ne fut pas longue à trouver son trou, mes 16 centimètres de bite rentraient facilement dans cette chatte habituée à plus long et plus gros. "Son cul doit être plus serré, me disais-je, ne sachant pas si elle avait l'habitude de se faire sodomiser par son amant ou par d'autres. Moi, avec un peu de préparation, je suis sûr de pouvoir prendre les 22 centimètres de Carlos, soit deux de plus que Fabrice, le premier homme à m'avoir enculé sous le regard et avec l'aide de Charlotte, celle à qui je dois de tant aimer le sexe et la baise".
C'est sur ces pensées que je me régalai à limer la belle quand un second imprévu surgit : Carlos enjamba calmement ma partenaire, sa campa face à moi, le manche à nouveau raide, et lâcha un long trait de pisse sur les fesses de Bettina.
- Oui !!! Oh OUIIII !!! s'écriât-elle.
Puis il releva sa queue pour diriger son jet sur mon ventre. En temps normal, j'aurais hurlé et me serais dégagé instantanément, mais qu'est-ce que le temps normal pour quelqu'un qui comme moi est dépendant au sexe et prêt à toutes les expériences, toutes les humiliations pour un orgasme, cérébral ou physique. Je continuai à besogner frénétiquement ma pisseuse pendant que son pisseur d'amant se soulageait sur moi. Son urine dévalait sur mon pubis et mon sexe qui allait et venait dans Bettina, déchaînée, qui accompagnait ma pénétration par des mouvements de hanche.
- Je vais jouir, ça vient
prèvenais-je.
Elle ralentit, éjecta ma bite de son vagin puis fit volte-face pour me présenter sa bouche ouverte, langue tirée : "Je veux tout dans ma bouche, pas à côté, dans ma bouche". Je saisis fermement ma queue pour la branler dans la même direction et quelques secondes plus tard, giclai entre ses lèvres dans un orgasme de tous les diables.
- À toi, avale maintenant, eus-je l'impression de lui ordonner.
Mais elle n'avala pas. Sans un mot qu'elle aurait été bien incapable de prononcer la bouche pleine, elle se releva, me força à m'agenouiller, pris ma tête entre ses mains et laissa couler mon sperme sur mon visage.
- Ouvre la bouche, ordonna Carlos. Ce que je fis immédiatement pour recevoir mon propre jus. C'est une pratique à laquelle je m'adonne régulièrement et l'exercer avec elle me plaisait doublement. Sans me faire prier, j'avalai ma semence goulument. J'aimais qu'elle fut passée par sa bouche, ça n'en changeait pas vraiment le goût mais ça décuplait mon plaisir post-éjaculatoire. Carlos, adorable, se chargea ensuite de nettoyer soigneusement ma bite, en divin suceur qu'il est. Après quoi il pénétra puissamment, longuement et profondément Bettina avant de lui offrir un orgasme qui la cloua littéralement au sol.
Sublimée et vaincue, l'entrecuisse ruisselante de mouille, de foutre et de pisse, elle caressa sa chatte comblée par les assauts répétés de nos queues, repris son souffle et me lança, les yeux brillants : "Prends-en de la graine Sylvain, c'est comme ça que je veux que tu me baises à l'avenir."
J'avais encore perdu pour cette fois, ce n'est pas moi qui avais fait jouir Bettina. Déçu mais toutefois moins que la dernière fois, j'eus en compensation le privilège de nettoyer le sexe de Carlos, parvenant même à le faire rebander et jouir une deuxième fois dans ma bouche.
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