Les Plaisirs De Marie
Le coeur de Marie fit un bon dans sa poitrine lorsque retentit la sonnette de la porte d'entrée de la maison. Elle s'arrêta devant le miroir du salon et passa ses mains dans les cheveux pour leur redonner du volume. Elle s'interrogea du regard en se demandant si elle était bien raisonnable. Elle respira profondément puis posa sa main sur la poignée de la porte.
Marie menait une vie heureuse. Mariée à Pascal et mère de trois beaux s elle était une jeune femme radieuse dans le tout début de la quarantaine. Pour pimenter leur vie sexuelle, il pratiquaient ensemble le libertinage. Elle savait que Pascal aimerait qu'elle puisse avoir une expérience avec un autre homme qu'elle choisirait elle-même sans qu'il soit présent. Cette marque de confiance l'avait beaucoup touchée mais elle lui avait signifié que pour l'instant l'opportunité ne s'était jamais présentée. Elle ouvrit la porte et le sourire de l'homme qui se tenait devant elle dissipa immédiatement tous les doutes qui l'assaillaient encore. Julien était un grand brun de quarante ans au regard chaleureux. Elle l'avait vu à de nombreuses reprises puisqu'il lui livrait assez fréquemment des produits surgelés. Au fur et à mesure ils avaient sympathisé, la bonne humeur permanente de Julien étant communicative. Parfois la discussion avait pris un tour plus grivois et Marie sentait bien qu'elle ne le laissait pas indifférent. Le matin même, assez tôt, il était venu effec une livraison et la belle brune l'avait reçu en peignoir. Pascal avait accompagné les s à l'école en partant à son travail et du coup elle traînait un peu chez elle car c'était son jour de repos. Elle surprit le regard de Julien plongeant dans l'échancrure du peignoir sur ses seins nus. "Ils vous plaisent ?" se surprit à dire Marie à l'homme qui fut sur l'instant déconcerté. "Oui, beaucoup" lui rétorqua Julien qui avait repris de la contenance. Marie prit alors son courage à deux mains et écartant les pans de son peignoir elle lui dévoila ses beaux seins galbés.
Alors que le regard de Julien ne pouvait se détacher des jolis tétons au centre de larges aréoles, elle lui expliqua que son mari était d'accord pour qu'elle rencontre un homme qui lui plaise. Julien s'approcha d'elle, posa sa main sur sa joue et déposa un baiser sur ses lèvres. "Je peux me libérer pendant la pause de midi, ça vous dit ?". Marie acquiesça dans un soupir et l'homme s'en alla pour continuer sa tournée. Julien avança dans la pièce et prit Marie par la main pour la faire tourner sur elle-même. La belle avait revêtu une petite robe légère et courte retenue aux épaules par de fines bretelles et boutonnée devant sur toute la hauteur. Aux pieds Marie portait de jolies sandales à fines brides de cheville. Ils s'étreignirent puis la femme prit son visiteur par la main pour le guider vers la chambre conjugale. Marie était très excitée par la situation et ne voulait pas dans un premier temps mettre trop d'affectif dans la situation alors elle avait opté pour une solution radicale. Elle se mit à quatre pattes sur le lit et souleva sa robe. Elle écarta le string noir du bout de ses doigts, révélant sa jolie fente rose et entrouverte. Elle murmura : "prend moi tout de suite". Julien défit la ceinture de son pantalon, baissa son caleçon et enfila le préservatif que lui tendait Marie. Il présenta son gland entre les grandes lèvres et pénétra la belle jusqu'à la garde lui arrachant un gémissement. Il ne bougea plus. Marie commença à onduler du bassin et imprima le rythme de la pénétration. Elle allait et venait sur le pieu chaud et tendu et la sensation était délicieuse. Marie s'empalait de plus en plus vite et elle atteignit bientôt le point de jouissance qui la terrassa d'un délicieux orgasme. Elle était heureuse car elle se sentait maintenant libérée d'une certaine tension et Julien n'avait pas joui. Après quelques secondes passées sans bouger à ressentir les contactions de son vagin s'estomper, elle se libéra du sexe de l'homme puis s'accroupit devant lui debout à côté du lit et le prit délicatement dans sa bouche.
Elle pouvait se regarder dans le grand miroir du dressing. Tout en suçant la belle queue de Julien, elle ôta un à un tous les boutons de sa robe qui tomba en corolle à ses pieds, offrant à l'homme la vision de ses seins ronds et lourds. Ses mains les saisirent, les caressèrent et pincèrent les tétons qui réagirent immédiatement à la caresse en se dressant. Marie avait posé ses mains sur les fesses poilues de Julien et l'attirait à elle, l'avalant jusqu'à la garde. Le beau brun s'assit sur le lit, cuisses écartées face au dressing et Marie se redressa, observant avec gourmandise cette hampe fièrement dressée et s'approcha de lui. Les mains de Julien saisirent le string et le firent glisser le long des jambes de la belle, lui révélant une jolie toison brune superbement taillée en ticket de métro au dessus de son sexe. Il enfouit son nez dans les poils soyeux et parfumés puis descendit vers les lèvres ourlées de son sexe qu'il commença à laper délicatement. La langue de Julien était très douce et Marie saisit sa tête pour la plaquer contre son sexe. La sensation de la langue agile sur son clito était divine. Marie imprimait des mouvements pour avoir des sensations sur l'ensemble de son sexe. Elle posa un pied sur le bord du lit, écartant bien ses fesses pour que Julien vienne également jouer avec son petit trou. Elle sentit la langue pointue jouer avec l'oeillet étoilé et s'immiscer dans son anus. C'était divin. Elle se remit à quatre pattes sur le lit et demanda à l'homme de remplacer sa langue par ses doigts. Excité, il ne se fit pas prier pour venir fouiller l'intimité de Marie qui s'ouvrait progressivement. Au bout de quelques minutes de ce délicieux traitement il présenta sa queue bien dure à l'entrée secrète de la belle et la pénétra avec beaucoup de douceur. Le fourreau lisse et brûlant de Marie l'aspirait et Julien se mit à la labourer vigoureusement, la belle ondulant des fesses pour venir au devant de ses assauts et amplifier les sensations. Marie haletait de plus en plus et éclata soudain, les digues de son plaisir se rompant pour la laisser pantelante et désarticulée telle une poupée de chiffon.
Julien se retira doucement d'elle et enleva sa capote. Il approcha doucement son membre tendu de la tête de la belle qui reposait sur le lit sur le ventre et les yeux fermés. Le gland toucha les lèvres qui s'entrouvrirent. Délicatement il avança pour se glisser dans cette bouche chaude qui l'accueillait. Toujours immobile et les yeux clos, Marie sentait ce dard chaud prendre possession de sa bouche, de plus en plus profondément et frémir sous sa langue. Ce membre qui lui avait donné tant de plaisir allait bientôt exploser et Marie se retourna vivement pour s'allonger sur le lit juste au moment où Julien aspergea son ventre et ses seins de longs jets chauds et puissants. Les doigts de la belle jouèrent avec cette crème délicieuse, heureuse et comblée. Julien sera rhabilla rapidement sans même prendre le temps d'aller prendre une douche et s'en alla sans un mot pour reprendre sa tournée. Marie décrocha son téléphone pour appeler Pascal. Elle avait hâte de tout lui raconter et de jouir à nouveau en se caressant.
admin
Jan. 31, 2023
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