Une Tranche De Vie 4
Lundi 29 Juillet au bureau
Je devais partir le lendemain, étant donné que nous nous étions séparé rapidement, je dirais sans même que je puisse lui dire au revoir, depuis le matin, cela me taraudait de savoir si je devais lappeler à son bureau (chez elle cétait interdit) et lui faire mes adieux. Oui,
, Non, ... En fait il mest apparu quil serait parfaitement mal élevé de ne pas lui passer un coup de fil pour la saluer avant mon départ. Le numéro de son bureau était dans lannuaire, je le composais et naturellement je tombais sur sa secrétaire :
« Bonjour, je voudrais parler à Mme P. »
« Cest à quel sujet, svp ? »
Après une seconde dhésitation je répondis : « Elle ma laissé un message, me disant de la rappeler «
« Bien, je vous la passe »
« Bonjour Sophie, je voulais tappeler, pour,.. »
« Bonjour Jean, attends, ne quittes pas, je prends une autre ligne »
Effectivement jentendis un vague déclic et Sophie se remit à parler.
En fait le changement de ligne navait pas opéré et jentendis toute la conversation.
« Maïté, jai un RV à 2,30 heures vous le déplacez à quand il veut, trouvez une excuse, il ne posera pas de problèmes. Par contre jen ai un autre vers 4,00 heures, faites le glisser dune demi-heure. Lui on ne peut pas le déplacer »
« Désolée Jean, mais jai du appeler ma secrétaire pour déplacer un RV. Comme ça, tu pourras venir en début daprès-midi, je suis libre »
« Mais,
(un moment dhésitation car je ne voulais seulement lui dire au revoir par politesse et voilà quelle voulait que je vienne, que faire),
Javais prévu de finir mes bagages, mais je suis content que tu aies pu te libérer, je viendrais en début daprès-midi »
« Bon je tattends à deux heures »
Et en garçon bien obéissant à 2,00 heures précises, jétais dans ses bureaux. Sa secrétaire me fit rentrer et se retira rapidement. Son bureau était en fond dune grande pièce, sans particularité spéciale, sinon perpendiculaire à son bureau, une table de conférence avec 6 chaises.
Enfin elle dit : « Je vois que tu es en forme, assieds toi sur une chaise, il ny a pas de fauteuils ici, un café ? »
Elle était habillée dun tailleur gris clair, jupe naturellement courte, assez courte pour attirer le regard sur ses jambes et être très sexy. Veste cintrée de même couleur légèrement décolletée, qui laissait apparaître le col dun corsage noir, bas fins noirs et escarpins évidemment.
Elle partit vers la machine à café qui se trouvait près de la porte dentrée à 4 ou 5 mètres, et je pus la regarder sy rendre. Elle balançait toujours aussi agréablement son petit cul.
Elle dut sentir que je la regardais et sans se retourner elle me dit : « Alors il te plait toujours autant »
« Oui, tu es toujours aussi élégante au travail »
« Oui, vis à vis des clients, pour ma part, je pense que cest une obligation et un respect pour eux. Le café est presque prêt, jai chaud». Aussitôt, joignant le geste à la parole, elle enleva sa veste. Elle avait sous sa veste un corsage noir dont le tissu était tellement fin quil me semblait transparent.
« Le café arrive » elle se retourna un gobelet de café dans chaque main.
Wouahhh, non seulement elle ne porte pas de soutien, mais le tissu étant vraiment très fin et surtout transparent, je distingue parfaitement ses seins, qui vivaient leurs vies au gré de sa marche vers moi. De plus le décolleté : profond, le premier bouton qui ferme le chemisier se trouve légèrement sous les seins, ce qui permet de voir leurs rondeurs.
Elle était bloquée par la table, jen profitais pour glisser une main sous sa jupe, mais bien quelle fut courte, elle était trop étroite pour me laisser atteindre sa moule qui devait être prête, chaude et humide, prête à être consommée.
Voyant mes efforts vains, Sophie me dit « Attends » et remontant sa jupe jusquà la ceinture elle libérait son entrejambe. En fait elle portait un PJ qui tenait ses bas et encadrait sa chatte nue et rien dautre. Je la repoussais, enfin, elle se laissa repousser vers la table, et sy assis. Je me positionnais entre ses cuisses quelle avait écartées. Elle me tendit les lèvres, sen suivi un long baiser, que jabandonnais pour descendre vers ses seins, puis vers son ventre. Au fur et à mesure que je poursuivais ma descente vers son intimité elle se laissait aller sur les coudes puis carrément sur le dos quand jarrivais à sa moule, qui comme je le pensais était chaude et humide croquable à souhait.
Elle écarta davantage les cuisses : « Viens, je veux sentir tes lèvres sur mes lèvres, sur ma chatte, prends moi avec ta langue, tes doigts, viens vite,
fais moi jouir ». Au lieu de lui obéir de suite, et de me précipiter sur ses grosses lèvres gonflées, je marrêtais un peu sur sa toison qui formait un tout petit triangle aux poils coupés très courts ; puis je me dirigeais vers lintérieur des cuisses, la partie entre le haut du bas et lintimité, ou la peau est toujours très douce et jembrassais et caressais cette partie et je tournais ainsi autour de sa chatte, en espérant faire monter ses envies. Dautant quelle avait glissée ses mains sous ses genoux et avait soulevé ses jambes bien écartées. Cette position faisait ressortir sa belle chatte aux lèvres gonflées et shumidifiant de plus en plus.
« Tu exagères,
viens, jai envie de tes lèvres,
, ne me fais pas attendre,
, je vais devenir folle,
tes doigts »
La pression avait augmentée, je navais plus quà obéir avec plaisir et même goulument, et cest ce que je fis. Je mattardais encore un peu juste sur ses grosses lèvres et me décidais enfin à utiliser ma langue et mes doigts. Je la masturbais avec des allées et venues assez rapides, mais le jeu ne dura pas longtemps. « Viens, prend moi,
tu mas fait trop attendre,
je te veux, je veux te sentir me prendre,
, viens »
Javais une trique de première classe, il fallait que je me dépêche, rapidement je dégrafais mon pantalon et baissais mon caleçon et vu la position de ma partenaire, je me positionnais et dun grand coup de reins je menfonçais facilement dans son fourreau qui était chaud humide et ouvert. Cette pénétration un peu brutale fuit accueillie par un « Ooohhh,
oui ».
Jétais excité et elle mexcitait encore plus avec ses : « OUIiiiii,
baises moi fort,
oui, continues,
, baises moi très fort, fais moi jouir,
». De faite, elle avait lâché ses genoux et ses deux mains cramponnaient le bord de la table, alors que moi je lui cramponnais les hanches, elle subissait mes coups de reins et continuait à en vouloir plus, la tête allant de gauche à droite.
Mais avec mon pantalon sur les chevilles et mon caleçon en ballade, je me sentais ridicule et jessayais de réajuster le tout au mieux. Alors elle saccrocha à moi et me dit « Après avoir fait lamour, jaime faire un petit câlin, sers moi fort dans tes bras ». Ce que je fis, et elle resta ainsi pendant un certain temps, je sentais ses seins contre ma poitrine, son ventre contre le mien, elle ne bougeait pas, simplement la respiration devenait plus calme, plus tranquille. Puis elle se sépara et dit quelle allait préparer un nouveau café. Elle avait rabattu sa jupe, mais à peine au niveau des bas, tant et si bien que celle-ci lui moulait les fesses. Aussitôt arrivé à la machine à café, elle se retourna, ce qui me surprit et elle sourit en me disant « Ça te plait toujours autant ». Que dire sinon « Oui, beaucoup, surtout enserré ainsi dans ta jupe »,
« Ça texcite ? Attends que je rapporte les cafés, tu devras être à la hauteur »
De retour alors quelle posait les godets de café sur la table, je me collais derrière elle et lui prenais les seins que je « triturais » gentiment. Les prenant à pleine main dans tout leur volume puis, caressant les aréoles et récupérant les mamelons qui durcissaient et que je caressais avec la paume des mains. Sophie, posa ses mains sur les miennes mincitant à malaxer plus durement ses seins. En même temps, je lembrassais dans le cou. Opérations qui était accompagnée de soupirs de plaisir. Tout ça entrainait une augmentation importante de lintérieur de ma braguette, ce que Sophie sentit, et elle se mit à frotter son joli cul contre ma trique. Visiblement elle se chauffait et après avoir hésité un moment, je me lâchais et lui glissais dans loreille : « Suces moi ». Honnêtement, je craignais un peu sa réaction. Il me sembla quil y eut un petit temps darrêt, puis se retournant elle me dit : « Tu as aimé, ça te ferait plaisir »
Moi : « Bien sur, jen ai envi, jai beaucoup aimé la dernière fois »
Elle se laissa glisser contre moi. Je voulu défaire mon pantalon, elle me dit : « Non, laisse moi faire, jaime aller chercher le petit oiseau dans son nid et le sentir grossir dans ma main et dans ma bouche, laisses moi faire »
Cest ce quelle fit, le caleçon descendu, loiseau avait sacrément grossi.
« Je vois quil grandi vite, jaime »
Elle me caressa légèrement, me lécha la tige à grands coups de langue, ce qui ne fit quaugmenter mon excitation et me prit en bouche et de me pomper.
« Je sens que ta queue prend des proportion agréables, elle devient bien dure, je sens que tu vas être prêt pour menculer,
hum,
. Cest bon,
Viens prends moi »
Elle se releva, remonta sa jupe jusquaux hanches, elle se pencha en avant et de ses deux mains écarta ses jolies fesses mettant bien en vue son joli petit trou marron clair juste au dessus de sa chatte plus rose et brillante de cyprine.
« Avant de prendre mon cul, lèche moi la raie »
Cest ce que je fis copieusement de façon à bien lhumidifier.
« Oui, viens, prends moi, fais moi plaisir, fais toi plaisir, oui,
. fais moi jouir »
Je me positionnais en face de son petit trou et tentais de menfoncer, lentrée ne résista pas longtemps alors quelle commençait à se décontracter et à souvrir, elle dit :
« Allons,
., défonces moi le cul,
tas dit que tu aimais rentrer par là, profites,
je veux te sentir,
je veux sentir ta queue senfoncer,
je veux que tu méclates,
»
Je réussissais enfin à la pénétrer et commençais mon va et vient lentement de façon à ce quelle shabitue à ma présence.
« Tu tendors,
., baises moi fort,
je veux te sentir me défoncer,
oui comme ça,
»
Je me cramponnais à ses hanches et jaccélérais la cadence et lenfonçais à grands coups de reins, elle encaissait et chaque coup de rein était ponctué dun « Oui,
Oui,
« ou « Oui, continues
» Puis la pression montait, son souffle saccélérait, les oui,
oui,
augmentaient en rythme. Pour ma part, jétais devenu une machine à baiser, un véritable piston qui allait, venait dans son joli cul accueillant. Je nétais plus quune queue.
Elle était très chaude et très excitée. Elle sétait cramponnée à la table pendant que je lui défonçais le cul à grands coups de rein.
« OUI, oui,
, continues,
, je sens que je vais partir,
ne tarrêtes pas,
OUIiiiiiiiiiiiiiii,
cest bon»
Elle était partie, elle avait eu un bel orgasme, avec un surprenant cri de gorge, suivi de deux spasmes et elle sétait laissée tomber sur la table et reprenais doucement son souffle.
Mais moi, elle mavait vidé un peu plutôt et là je navais pas mon compte, je continuais à bander dur et je continuais à prendre son joli cul. Elle se tortillait pour se sortir de sa position, mais avec une main je la maintenais couchée sur la table, malgré tout elle se tortillait et râlait :
« Ohhhhh,
, arrêtes, .., je nen, peux plus,
, oh,
. arrêtes STP,
tu en profites,
»
Mais je nentendais rien et je continuais à la ramoner furieusement. Puis ,
., elle arrêta de tortiller son joli cul et se cramponnant de nouveau à la table, cambra les reins et tendit son joli cul et « OHhhhhh,
. Oui,
continues,
encore, profites en ,
je te sens, continues,
»
Je bandais toujours autant et voyant quelle en demandait encore, je ralentissais un peu la cadence.
La réaction ne se fit pas attendre. « Ah, non,
. Narrêtes pas,
, continues encules moi fort,
jaime,
Oh,
OUI iiiiiiiiiiiiiiiii »
Jaugmentais la cadence ce qui au son était apprécié et cest alors moi qui me sentis partir et en même temps que je me vidais en elle, elle eu un nouvel orgasme et sécroula définitivement sur la table, le souffle court. Quant à moi la nature faisant ses effets, je me retirais delle et essayais de retrouver mon souffle et mes esprits, fier de la performance, mais peu fière de la méthode.
Heureusement Sophie se redressa et me faisant face : « Tu peux être fier de toi, tu mas épuisée » et elle se colla contre moi et nous nous embrassâmes avec fougue. Elle dit alors :
« Il faut que nous nous rendions présentable, (et en rigolant) je ne sais ce que penserais mon prochain fournisseur nous voyant ainsi attifé, toi le pantalon aux chevilles et moi les fesses à lair »
Je me réappropriais, elle baissa sa jupe, oublia le corsage, remis sa veste et la boutonna. Un cou de peigne, un aller retour de rouge sur les lèvres : « Je suis présentable ? »
« Oui, si on oublie que tu ne portes rien en dessous »
« Tu devrais savoir que jaime ça, la femme classe, peut réserver des surprises,
je ne tembrasse pas, le rouge, fais bon voyage »
Je men allais la tête un peu dans les étoiles.
Le 1er Août je partais en stage danglais
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