Je M'Appelais Myosotis ; Épisode Premier.
Histoire vraie qui se serait passée dans un village au XVIIème siécle situé quelquepart dans le Hainaut ,qui a cette époque, n'etait pas encore une région Française...
Aprés avoir essayer de m'echapper du château sans la permission du Comte , je m'en suis sortie avec deux blessures ensanglantées sur les fesses telles deux griffures profondes.
Avant que je m'en aille de chez lui, le Comte me dit :
"Ca va trés mal aller pour vous deux si Philippe s'approche encore du chateau quand je suis avec toi"
Je finis tout de même par sortir de la , il faisait déjà nuit noire...
Philippe me disait :
"Je n'étais pas bien de la journée, je t'ai cherché partout : à la maison, aux champs, au moulin mais tu n'etais pas la. Je suis monté au village mais je ne t'avais pas trouvé sur la place. J'ai fini par comprendre que tu étais encore au chateau...pourquoi enocre? "
Je lui réponds
"Le Comte a decidé que l'on paiera pas d'impots pour les 3 prochaines années a venir". Tout en me forçant a sourire.
Il me dit "Mais...tu pleures? que c'est il passé ?"
"Le Comte s'est énérvé que tu sois venu me chercher, il dit que tu n'as plus le droit de le faire."
Philippe, hors de lui me réponds :
"C'est avec moi que tu es mariée, pas avec lui. " et il insultait le Comte sur tout le trajet jusqu'à la maison, je lui ai demandé de crier moins fort, on pourrait l'entendre...c'est pas que je le defendait , mais je ne voulait pas que Philippe paie trés cher le fond de sa pensée profonde.
Arrivés chez nous, je lui montre mes griffes ensanglantées qui me faisaient horriblement mal...il est triste de voir ça et culpabilise, mais je lui dit que ce n'est pas de sa faute, qu'il ne pouvait pas savoir.
Je lui demande de ne plus venir car j'ai peur qu'il fasse bien pire une prochaine fois. Il accepte , non pas par crainte extrême du Comte , mais plutot pour que je ne subisse pas un chatiment corporel une nouvelle fois.
Philippe était agacé de voir le laquais du Comte toquer chez nous plusieurs fois par semaine pour nous dire que seule moi était invitée au château pour tel ou tel jour suivant.
Attendez... je vais remonter le Temps encore plus loin et bien tout recommencer à zéro , depuis le début.
Le Comte était âgé d'une dizaine d'années de plus que moi et il a commencé a s'interesser qu'a moi que lorsque j'approchait la vingtaine alors que j'avais deja accumulé derriére moi cinq années de mariage avec deux magnifiques s. Inutile de dire qu'il est devenu suite a cela la "troisiéme personne du couple" et il a tout fait pour le faire voler en éclat de toutes façons.
A t'il user et r du "droit de cuissage" comme on dit ?... la réponse va en surprendre plus d'un : et bien non, absolument pas car il a été beaucoup plus subtil que ça...et il ne m'a même pas violée pour m'avoir dés la première fois.
Voila comment ça s'est vraiment passé:
Nous sommes en 1658, j'ai la 18ans, c'est enfin le printemps et tout va bien, je revenais du moulin avec la pate pour la mettre dans le four a pain public et en me dirigeant vers la place, j'etais sure que j'allait rencontrer la bas un ami du village pour pouvoir bien discuter et rigoler .
Je me dirige vers le château qui est sur mon itinéraire incontournable.
J'entends de la droite un carrosse arrivé, les roues et le bruit des sabots des chevaux font beaucoup de bruit. Je m'arrête pour ne pas les géner sur leur chemin.
Bien que j'avais largement le temps de traverser sans déranger, j'ai reculé d'un pas en attendant qu'il passe parceque c'était comme ça qu'il fallait faire.
C'était en fait le Comte qui sortait de son chateau avec son cochet dans son carosse richement décoré.
A mon avis, il était en route pour les champs afin de surveiller en direct de travail des paysans , voire pour réprimender sévérement les tirs au flanc comme il avait pour habitude de le faire.
Le vehicule passe devant moi alors que je restait immobile.
Il descent et vient vers moi. Il m'invite a me rendre dans son chateau d'ici quelques jours et me donne environ une demie dizaine de piéces d'argent d'une trés grande valeur.J'avais halluciné de voir autant d'argent dans mes mains, et c'etait bien la première fois...Etonnée, je le remercie de ce don et je lui promets que je viendrai sans faute en réponse de son invitation.
Je me suis dit "C'est bien la première fois qu'il vient me voir comme ça...bah, en fait il est sympa"... je me suis faite delirée toute seule car je ne voyais vraiment rien venir.
Pendant les 3 années qui ont suivies ma première invitation, il ne s'est rien passé au niveau purement sexuel à proprement parler ,cependant il me faisait comprendre explicitement ce qu'il voulait mais sans me forcer.
Au lieu d'employer la maniére forte , il a plutôt jouer sur d'autres cartes ,celle de la patience et du romantisme. C'était les promenades dans le grand parc de son chateau et il me lisait souvent des poésies aussi.
Contrairement a lui, je ne savais ni lire ni écrire alors j'étais complètement facinée quand il me lisait des histoires avec les chevaliers "sur le cheval blanc" , d'ailleurs quand il me recevait dans son chateau , il avait souvent ce livre de couleur rouge foncé et bordaux qu'il portait a la main.
Comme son chateau était entouré d'eau , on faisait aussi des promenades en barque...et a chacune de mes visites, je ne repartais jamais les mains vides (cadeaux, argent, avantage en tout genre...) , je n'avais pas a me plaindre de tout ça, c'est vrai , mais dans un autre sens , j'étais deja mariée et je n'avais vraiment aucun probleme de couple , d'ou ma reticence a céder a ses avances.
Comme tout le monde , je savais sans le dire que le Comte était un collectionneur, et de toutes façons , il avait deja couché avec toutes celles qui travaillent dans son château , au moins une fois.
D'une façon purement stratégique , j'ai finalement accepté de coucher avec lui, pensant qu'il allait vite se lasser de moi et jetter son dévolu sur une autre assez rapidement...ma prevision était heu... franchement merdique ! puisqu'il a voulu faire de moi sa maitresse réguliére suite a cela...
Peu aprés avoir céder aux avances du Comte , les invitations au chateau pleuvaient d'avantage...
Un jour, j'étais seule a la maison avec Philippe, chose quand même qui fut assez rare ,on a donc voulu profiter de ce moment d'intimité qui a vite tourné court puisqu'il commençait a peine a me carresser la poitrine que le Valet du Comte toquait deja a la porte pour annoncer que je devait être au chateau dans l'heure qui allait suivre .
Mon mari Philippe étant tout sauf idiot et commençaient a avoir des doutes... comme il me l'a dit
"Il t'apprecie un peu trop ! il n'y a que toi du village a être autant invitée , c'est bizarre! et je ne suis pas le seul a le dire...on va pas se moquer de moi encore plus longtemps.. je regarderai dans tes jupons pour verifier l'état de ton intimité des que tu rentreras."
Dès que l'on se retrouve ensemble, je prévient tout de suite le Comte sur les soupçons réels que Philippe nous porte et des rumeurs fondées qui persistent au village vue la fréquence de mes invitations...j'en ai même profité pour lui suggerer de tout arreter avant que ça nous explose a la figure...
Avec un grand calme et visiblement pas affolé pour un sou , il me répond avec une grande décontraction : " tu te rinceras, je te ferai apporter de l'eau " et pour lui le probleme a vite été réglé.
Avant que je m'en aille, il me demande de m'allonger sur le ventre, en me soulevant la jupe il me dit
"Je vais te punir , car tu as manqué de respect a un noble"
J'ai tourné ma tête vers lui avec les sourcils froncés façon de dire "vous avez vu ou ça ou vous ? je comprends rien la ...!"
Il me réponds d'une façon presque amusée " c'est ce que tu diras a Philippe"
Le Comte alternait carresses ,fessées et bisous.
Il faisait ça autant pour marquer mon corps de "preuves" ,mais surtout pour montrer a Philippe que ma punition était effective puisque j'etais convoquée au chateau pour "recevoir une correction"
Je suis sortie du chateau les fesses toute rouges. Au debut j'ai aimé , mais vers la fin beaucoup moins , l'accumulation de fessées de plus en plus forte m'etaient par la suite devenues des plus insuportables... quand je criait de douleur il me carressait un autre endroit de la fesses ou la peau était restée plus blanche.
Il m'a dit avec compassion qu'il etait obligé d'y aller trés fort pour que la punition soit publiquement crédible et m'a conseillée d'exagérer la douleur quand je prendrais la position assise devant quelqu'un pour mieux couper court aux rumeurs.
Evidemment, cette riposte n'a pas été suffisante... même la Comtesse , la femme du Comte donc, nous avaient pris par la suite deja deux fois en flagrant delit au chateau... mais il a trouvé une parade imparable pour que je vive de longs mois dans son palais sans que qui que soit ne trouve a redire ... mais pour cela mes chers amis lecteurs, ce sera la suite du prochain épisode.
A bientôt...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!