Je M'Appellais Myosotis , Épisode 3
Je m'appellais Mysosotis , épisode 3
Je menais malgrès moi une double vie, j'étais mariée à Philippe et j'étais également la maitresse du Comte XXXXX.
Bien que plusieurs personnes soupçonnaient notre relation adultérine, on continuaient a se voir quand même, et malgrés tout cela, il ne cessait de m'inviter régulièrement dans son chateau comme si toutes ces histoires affolantes ne l'impressionnaient pas plus que ça...
La Comtesse nous a pris deux fois en flagrant délit , voici comment cela s'est passé:
Le Comte m'avait offert une nouvelle robe car il ne supportait plus mes "haillons" comme il le disait. Je savais deja a quoi elle allait ressemblé : elle etait noire faite d'un tissus d'une qualité vraiment exeptionelle mais elle n'avait aucune fantasie telle que des rubans ou autre franfreluche décorative
A cette époque, la mode était d'une sobriété franchement austaire... rien à voir avec le look Marie Antoinette arrivé 100ans plus tard qui etait vraiment beaucoup plus décoré, coloré et excentrique.
Il y avait aussi en complément, une longue cape a capuche puisqu' il etait de rigeur a cette époque pour les femmes que de se couvrir les cheveux .
J'ai donc troqué mon look qui ressemblait a celui de la "laitiére" ...contre quelquechose de plus classe.
(Desolée mes chérs lecteurs de faire reference a cette marque de yahourt célébre...je n'ai pas d'actions chez Danone hein ! soyez tranquilles, mais je ne trouve pas mieux pour vous décrire avec plus de precision possible le look que j'avais avant de recevoir son cadeau... )
Grace au Comte j'avais pu mieux m'habiller, avec des vetement de meilleure qualité et surtout plus beaux , je suis passée du look de "la jeune fille a la perle" a celui de "Milady de Winter"...
J'arrive devant le chateau , car il était convenu que j'y aille ce jour la imperativement puisque ma nouvelle robe sur mesure était arrivée.
Des qu"il me voit, il m'entraine sous un grand saule pleureur pour être cachés sans que nous soyons ni vus ni dérangés grace aux branches couvertes de feuilles qui tombaient jusqu'au sol.
"C'est dangereux ici, n'importe qui pourrait nous surprendre... et vu les rumeurs qui circule contre nous deux en ce moment c'est pas... heu..."
Il me réponds "Non, ne t'inquiétes pas, j'ai tout récemment fait passer une loi qui empeche quiquoncque de venir sous cet arbre."
Ensuite il me dit ; "viens me rejoindre au chateau a l'endroit habituel , j'ai prevenu le garde, tu n'aura même pas a t'expliquer... pour l'instant, compte jusqu'a ce que tu peux et rejoins moi" (Ce fameux arbre est a quelques métres du chateau dans le parc de derriére, la mission était que l'on entre chez lui chacun son tour a quelques minutes d'intervalle , mais surtout pas ensemble)
Aprés avoir compté jusqu'a 100 et en me trompant dans les derniéres dizaines, j'entre facilement dans le chateau , je monte a l'étage et sur mon parcourt, je croise la Comtesse qui était aussi en haut de l'escalier. Je l'ai salué "Madame" en lui faisant une révérence. Naturellement, elle ne me répond pas et avait une expression faciale assez méprisante a mon égard...ça m'a quand meme un peu véxé, mais je ne faisait pas attention a elle plus que cela, c'etait pas ma pote.
Je me suis retrouvée avec le Comte dans une piéce, nous etions assis l'un en face de l'autre sur un fauteuil a plusieurs places.
Il m'avait retiré le haut de ma robe pour s'occuper de mes seins ,c'etait de toutes façons la partie de mon corps qu'il preferait.
Il prenait bien un sein dans chacune de ces mains et me pétrissait la poitrine tout doucement. Il s'amusait par la suite avec le bout de ses doigts pour bien me faire pointé les tétons. Il me disait qu'il voulait gouter a "ses petites framboises" .
Soudain, on entend la porte qui s'ouvre... c'etait la Comtesse qui venait de nous surprendre. Elle dit d'une façon a la fois calme et agressive
"Tiens, une grosse vache a lait " a mon sujet.
Comment j'etais véxée.
Le Comte intervient de suite sans se faire attendre :
"Ne te couvre pas, tu n'as pas a cacher une aussi belle poitrine, ne fait pas attention, elle est jalouse"
Elle réponds a son mari
"Tu es ridicule ! on dirait un gros bébé qui téte sa nourrice"
Il rétorque du tac au tac
"Arrête ça tout de suite, ça fait trés lontemps que l'on ne fait plus rien...je ne peux même plus te toucher"
Elle est repartie en marchant trés vite la tête baissée, si vite qu'elle a faillit trébucher en ce dirigeant vers la porte de sortie.
Peu aprés dans cette même journée, Je suis retournée sur la place du village avec ma jolie nouvelle robe noire, trés fiére de moi. Tout les gens me félicitaient sur mon nouveau look , tous sauf un : vous avez deviné?... Philippe mon mari , bien sur !
Il me dit de rentrer avec lui immediatement a la maison, car il avait quelquechose de trés important a ma dire... il savait bien que le Comte nous regardait de loin et preferait eviter un scandale publique.
Une fois arrivés a la maison , il me dit :
"Cette nouvelle robe est vraiment moche... elle ne te va pas du tout, je preferais l'ancienne..."
" Tu plaisantes ?... tu as vu la qualité du tissus? avec ça, je ne risque pas d'avoir froid en hiver...attends, l'autre avait le tissus tout usé , ça faisait des années que je l'avait et je souffrait en saison froide quand l'air trop frais passait par les trous du vieux tissus qui me poignardait la peau...!"
D'un naturel compatissant , Philippe a tout de même admis que cette nouvelle robe allait me simplifier la vie , mais ce qui le dérangeait le plus, n'etait pas la fringue en elle même, mais surtout le fait que cela venait du Comte...j'avais d'ailleurs exactement la même que celle de sa femme.
Quelques jours plus tard, j'etais encore invité au Chateau mais Philippe a tenu a venir avec moi meme si le Comte ne l'avais pas convié.
Sans grande surprise, le Comte la chassé en lui disant d'aller par exemple travailler au champs et il lui a dit qu'il devait chercher de quoi s'occuper car il ne m'allait pas me liberer avant la tombée de la nuit, voire même encore plus tard.
En entrant au chateau le comte m'a fait une scéne hystérique comme Philippe est venu avec moi... je tremblais et je pleurais de peur, je craignais surtout de me reprendre encore des coups de cravache sans pouvoir me défendre ou même encore m'enfuir... il s'est quand même calmer en me voyant dans un tel état, aussi effrayée.
Il m'a dit que de toute façon je lui appartenait tout comme le moindre brin d'herbe ou comme une fleur ou même un arbre comme je vivais sur ses terres. Il m'avait également fait comprendre qu'il avait plus de pouvoir sur moi que mon propre mari puisqu'il n'etait qu'un simple paysan.
En ce milieu de matinée , le Comte voulait absolument passer du temps en toute intimité avec moi et comme ça grouillait de monde dans son chateau , il a eu l'idée de faire un tour en fiacre incognitot jusqu'a "XXXXXXXX " les stores fermés.
Personne de dehors ne m'a vue entrer dans son carosse avec lui puisque nous sommes monté dedans discrétement avant même que nous soyons sortis des murs du chateau par une énorme porte.
Nous avons un peu discuter et le Comte exigeait que je lui fasse une gaterie.
Arrivés a destination, le comte me laisse qques minutes dans le vehicule avec interdiction de montrer ma tete aux personnes de l'exterieur et on repart aussitot...
Sur le chemin du retour ,il me declare son amour tout bas, d'une façon trés timide...c'était franchement trés mignon, je sentais sa sincérité mais venant de lui, ce Comte trés sûr de lui qui faisait flipper tout le monde, avait a ce moment precis, une expression d' intimidé.
Et le pompom, il m'avoue qu'il aurait préféré se marier avec moi et pour me prouver que ce ne sont pas que des paroles en l'air , il m'invitera sur son lit conjugal des notre retour.
Peu a peu, j'appreciait vraiment de coucher avec mon Comte car je culpabilisais de moins en moins et je devenais de plus en plus a l'aise avec lui. Il faut dire qu'il faisait ça vraiment bien car il cherchait sa jouissance, bien entendu, mais sans oublier la mienne aussi et c'est ça qui rendait l'acte encore plus grandiose.
Je ressentais bien que je n'etais pas qu'un vulgaire "vide couille" a la merci de Comte pour son propre plaisir purement égoiste...au contraire !
Il me déshabille et m'allonge sur leur lit. Il me fait beaucoup de compliments sur mon physique. Le premier coup de rein me fait deja frémir de plaisir, les suivants me rendent encore plus folle , je ne pensais plus a rien et je me laissais completement aller...je prenais mon pied et je jouissait comme une vraie salope qui ne culpabilise même plus de tromper son mari et je lui en redemandait encore et encore... il me demandait
"Quel est le nom de celui qui te fait le plus jouir ?
"XXXXX" lui ai je répondu.
Alertée par mes cris de bonheur , vraissemblablement , la comtesse nous surprends dans leur chambre, et j'atterissais violemment dans le monde réel... Elle rage comme une hysterique, car cette fois ci ce n'est pas juste une pelotage de seins qu'elle surprend mais carrement l'acte en lui même et qui se passe de surcroit dans le lit sur lequel elle dort...
Le comte lui somme de se calmer sous peine de la fesser sur le champs.
Il lui demande de ne plus parler de lui et de ce qu'il me fait au curé autrement ,il la ferait passé pour folle.
Il lui repproche de ne pas avoir assez de formes et de ne rien manger... elle retorque "qu'elle ne veut pas devenir aussi grosse que moi, hors de question pour elle de ressembler a une grosse vache a lait."
Il lui propose un plan a 3 avec moi et lui demande de me toucher les seins pour qu'elle comprenne que c'est mieux d'etre comme ça au lit, a ma surprise elle avance sa main vers ma poitrine... pour mieux frapper mes seins avant de partir avec dedain.
Le Comte me dit "Oh la méchante, elle t'a frappé les seins... ne t'inquiéte pas, je vais bien m'en occupé pour apaiser ta douleur"
Le Comte n'etait pas idiot et sentait bien qu'il ne pouvait pas continuer comme cela plus longtemps. Alors que j'attendais un autre de Philippe , il a eu l'idée de mettre aussi sa femme enceinte afin que j'entre dans leur chateau comme la nourrice de leur futur bébé...surtout dans le but de couper court a toutes ses rumeurs d'adultère.
"Je ne suis pas sa maitresse , mais la nourrice du bébé , alors , les mauvaises langues, ça va bien avec votre imagination débordante" , genre de dire...
C'était au milieu du printemps de cette année la... l'arbre était couvert de grandes fleurs blanches.
Le Comte m'a demandé en me carressant les seins d'être la nourrice de leur futur et franchement, je n'etais vraiment pas emballée par cette idée. Je le connaissais assez suffisament pour comprendre que ce n'etait qu'un énième coup fourré pour que je m'eloigne encore plus de Philippe que j'aimais toujours trés fort malgrés ma double vie.
Il me dit :
" On ne désobéit pas a son seigneur ma petite Myosotis... il ajoute :
"Tu ne dois jamais me dire non , autrement je me verrai dans l'obligation de te mutiler les seins. Je n'aime pas te menacer mais tu m'y oblige. Je ne me génerai pas pour dire a tout le village que tu as essayé de me seduire alors que tu es deja mariée. N'oublies pas que j'obtiens toujours tout ce que je veux"
Je ne savais plus quoi faire... malgrés cet immonde chantage , j'ai décidé de céder car sa parole valait pour les autres beaucoup plus que la mienne... et toutes ces rumeurs qui circulaient...hors de question que j'allais etre la seule a tout ramasser.
J'ai pensé aussi a Philippe qui allait etre ridiculisé publiquement , sans parler de la réaction violente qui aurait eu a mon égard ... et je n'ai pas oublié l' que j'attendais qui allait avoir besoin de ma poitrine pour se nourrir... pas le choix donc, j'ai répondu "oui" .
Le comte appreciait de plus en plus ma docilité... il m'a avoué qu'il a mis sa femme enceinte pour que je devienne la nourrice de leur futur bébé afin aussi de couper court a toutes ces rumeurs d'adultére.
Aprés cela... comment Philippe allait réagir au vue de mon futur métier de nourrice ?
Comment ça se passait au chateau quand j'y vivais plusieurs mois a "cause" du bébé qui ne faisait pas ses nuits ?
La suite , au prochain épisode...
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