Il En Avait Une Belle 2/2
Sa femme le pensait quelques jours au calme dans leur maison de campagne. Cela lui donnait une liberté relative et il escomptait mettre son temps libre à profit. Le message était ainsi bien clair ; nous renfilâmes nos vêtements puis Guy me déposa à ma voiture avant de me suivre. Après une petite visite des lieux, il partit à la douche le premier, jen profitais pour fumer une cigarette et nous préparer de quoi manger un peu. Quand à mon tour je sortis de la douche, je le retrouvais sur le canapé, vêtu seulement dune serviette nouée autour du ventre.
Grignoter ne combla que nos estomacs et nous savions tous les deux que seule la suite nous importait. Je repensais à linvraisemblable dose de sperme dont il mavait gratifiée, à lévidente puissance de son sexe, mais je tentais tout de même de garder la tête froide. Je lui proposai autre chose pour terminer ce pseudo-repas, mais il me fit son plus beau sourire en dénouant sa serviette. Sa queue à demi-bandée ne laissait planer aucun doute sur la suite du programme.
Jemportais Guy jusquà la chambre, laissant simplement une lampe allumée dans le salon. Les fenêtres grandes ouvertes laissaient la fraîcheur de la nuit entrer ; les voisins les plus proches étaient à un bon kilomètre de là, nos ébats ne gêneraient personne.
En un rien de temps, nos verges plongeaient dans nos bouches respectives. Je devais reconnaître sa réelle motivation à me sucer, il sy prenait vraiment très bien. De mon côté, je savais quil ne jouirait pas en quelques minutes, mais quil attendait de ma part plus dentreprises. Alors que je gobais ses bourses, un doigt inquisiteur parcourait son entre-fesse. Cette initiative ne lui déplut pas, bien au contraire, puisquil replia sa jambe pour moffrir plus douverture. Jentrepris donc de remplacer mon doigt par ma langue.
Pour être tout à fait honnête, ça na jamais été ma tasse de thé, avec un homme. Mais Guy était franc, honnête et il me semblait légitime de donner, cest encore ainsi que lon reçoit davantage.
Délaissant momentanément sa verge, jécartais ses globes et décidais de me focaliser sur cette seule partir de son anatomie. Pendant de longues minutes, je suçais son petit trou, le pointais du bout de la langue, en faisais le tour pour mieux y revenir. Guy lâchait ma queue pour me dire quil appréciait et quil en rêvait depuis longtemps. Mes doigts le sondèrent et je le sentais souvrir avec... appétit. Rapidement, ma langue parvenait à le pénétrer et je me rendais bien compte quil était prêt.
Sans un mot, jattrapais un préservatif dans la table de chevet et le lui tendais. Il le plaça sur ma verge et à ma demande, le suça en mettant le plus de salive possible. Pendant ce temps, je salivais en léchant son cul, soucieux de lui donner du plaisir. Sans que jaie à pronnoncer le moindre désir, il vint de lui-même se placer contre moi, son dos contre ma poitrine, en cuillère, guidant lui-même ma verge vers son anus.
Comme il prenait de linitiative. Je saisissais sa verge dure comme de lacier et le branlais lentement en sentant mon gland repousser sa chair. Il sempalait seul et soudain, mon nud eut raison de sa virginité. Je sentis un spasme parcourir son membre et lui dit de prendre tout son temps, que seul son plaisir mimportait. Après une bonne trentaine de secondes, il me dit quil se sentait prêt. À petits coups de reins, je gagnais du terrain. Son sphincter serrait agréablement ma hampe et la chaleur de son ventre me donnait envie daller de plus en plus loin.
Il saisit mes couilles en me disant quil aimait bien me sentir en lui. Je nai sodomisé que quelques hommes dans ma vie, mais Guy reste à ce jour mon meilleur souvenir.
Tu te sens bien ? Je ne te fais pas mal ? minquiétais-je à son oreille.
Oh non, mais elle est grosse, ta queue.
Hummmm... moins que la tienne. Cest ça qui est bon. Cest de se sentir rempli, distendu... De sentir cette masse aller et venir dans son ventre.
Jai limpression que tu vas ressortir par la bouche tant tu me sembles immense.
Si tu ne peux plus, je marrête ! insistais-je.
Non, je veux te sentir jouir en moi. Jen ai vraiment envie.
Et toi, tu jouiras dans ma bouche ? Jai très envie de goûter ton sperme aussi.
Ouiiii ! Mais viens dabord en moi, s'il te plaît.
Ses désirs devinrent des ordres. Je pris le temps quil fallait pour lui enfiler ma bite jusquaux couilles, mais par expérience, un préservatif sans pose lubrifiant... Il serrait les fesses, les envoyait contre mon pubis, mexcitait avec des mots choisis en me cajolant les bourses. Ne cherchant pas à méterniser, je jouissais longuement entre ses fesses, lentendant me répéter que cétait trop bon, que je lavais royalement dépucelé et quil menculera tant que je le désirerais.
Le courant dair glissait sur nos corps échauffés. Immobile et plongé en lui, je caressais son torse venu à souhait. Ne voulant pas être inconfortable pour lui, je laissais glisser ma verge hors de lui. Il retira lui-même mon préservatif et caressa ma queue en me remerciant de ma douceur. Il me nettoya entre ses lèvres, ravissant les quelques gouttes restantes en me disant que ça navait pas lair mauvais.
Sa queue me narguait toujours et même si je venais de jouir, le spectre de son éjaculation navait toujours pas quitté mon esprit.
Tu veux tout mon jus ?
Hummmm...
Tu sais que jen ai beaucoup !
Hummmm...
Oh oui, continue. Tu suces bien. Tu la trouves belle, ma queue ?
Hummmm...
Ooooh... je vais venir !
Hummmm... hummmm...
Ouiiii ! Attention, je viennnns !
Accompagné dun puissant râle, son foutre jaillit comme le jet dun pistolet à eau, remplissant ma bouche copieusement à chaque rasade. Je mempressais de déglutir pour en avaler un maximum, mais il en renvoyait autant à chaque spasme, si bien quil en coula un peu le long de sa longue queue et que je terminais en léchant sa hampe, les yeux brillants. Javais eu de gros juteurs à maintes reprises entre mes reins et mes lèvres. Mais avec Guy, tous avaient été battus, et cétait sa deuxième éjaculation !
Là, tu mas comblé. dis-je en étreignant sa longue queue amollissante comme un trophée. Doù en sors-tu autant ?
Tout ce que je sais, cest que tu es le premier à y voir une qualité. Ma femme, ça la fait fuir ! Cétait bon ?
Jadore ! Ce que tu mas mis dans le ventre tout à lheure, je laurais bien volontiers dégusté !
Il me répondit quon aura dautres occasions. Jeus envie dune cigarette et lui demandai sil voulait venir dehors avec moi. Ramassant mes clopes au passage, je lemmenais jusquà la piscine
Je nallumais que les spots, et nous plongeâmes pour retrouver un peu de fraîcheur. Cétait une belle nuit dété et je navais pas encore pu profiter dun homme aussi pleinement depuis longtemps. Javais ma copine et si nous baisions presque tous les jours, jaimais varier les plaisirs. Une femme na ni queue ni sperme, et ces deux choses viennent régulièrement se rappeler à moi.
Assis sur la margelle, jen faisais part à Guy. Il me dit quen effet, être avec quelquun qui partage les mêmes points de vue a lair très agréable. Je fumais ma cigarette, les pieds dans leau, la tête dans les étoiles, le cul en attente.... Un peu plus tard, confortablement calé dans le salon de jardin, il ma très longuement enculé, répandant une dernière fois dans mon ventre son abondante semence.
Il dormait à poings fermés et le soleil était déjà haut lorsque jouvris les yeux. Je pris une longue douche et préparais mes intestins pour pouvoir moffrir dintenses pénétrations. Ceci fait, jallai sur la terrasse boire mon café. Lendroit était vraiment calme et le simple fait de sasseoir un instant permettait de se ressourcer. Lorsque Guy émergea, je préparai le petit déjeuner et cest ainsi que débuta notre journée. Beaucoup de dialogue. Il nhésitait pas à me poser des questions ni à dire ce quil pensait. Sa présence était des plus agréable et nous ne souffrions daucune ambiguïté.
Quelques longueurs de piscine furent les bienvenues avant de dorer au soleil sur fond musical. Guy comprenait maintenant labsence de marques de maillot. Les propriétaires ne restaient jamais longtemps ici, trop occupés par leur business et leur goût du voyage. Javais la belle vie et jen profitais bien, dailleurs. Entretenir le jardin, la piscine et veiller à ce quil ny ait pas dintrusion ni de vol étaient mes seules contraintes. En contrepartie, jétais logé et pouvais profiter des lieux.
Perdu dans ma rêverie, guy vint sasseoir à côté de moi. Je savais que nous baiserions et navais surtout pas cherché à lentreprendre. Sa main parcourait mon dos, mes fesses, mes cuisses offertes au soleil. Je me contentais de remuer mon croupion en signe dacquiescement tout en grognant de plaisir. Ses caresses se firent plus appuyées, partant de mes pieds pour remonter à lintérieur de mes cuisses, mobligeant à soulever mes fesses tant la sensualité de son geste réveillait mes bas instincts.
Quel cul superbe !
Il se languissait de toi. Tu vas toccuper de lui ?
Demandé si gentiment... je peux ?
Il est tout à toi, fais-en bon usage !
Il ne lui en fallait pas davantage pour devenir plus entreprenant. Profitant que je me tends vers lui, il glissa un coussin sous mon ventre et vint caresser ma verge puis mes bourses pendantes
Puis il déposa de doux baisers sur mes fesses, la naissance de mes cuisses. Son souffle chaud glissait le long de ma raie quand de ses mains, il sépara mes globes, révélant mon anus lisse de tous poils soudain ivre de désir. Ses baisers se firent plus stratégiques, se rapprochant lentement de son centre dintérêt. Une pointe de langue vint titiller les premiers plis et cela réveillait la bête qui sommeille en moi.
Il me massait tendrement les couilles en lapant dune langue large du scrotum jusquà lanus. Je sentais ma corole souvrir comme les pétales dune fleur dès quil pointait le bout de son organe, heureux de recevoir tant dattention. Sa langue agile se faisait tantôt guêpe, tantôt bourdon pour mieux butiner ma fleur et lintérêt dune telle motivation me laissait présager dun proche dénouement. Pendant de longue minute, il sembla prendre autant de plaisir que moi à rendre mon fondement humide et... disponible.
Sans chercher à bouger, je réclamai sa queue. Il se plaça devant moi, dur, gros, immense. Je remarquai son méat grand ouvert et du diamètre dune grosse paille ; était-ce une des raisons du volume de ses éjaculations ? Jobservais au grand jour cette imposante quille qui me fixait de son gros il unique doù perlait un peu de liquide séminal. Lourlet renflé ceinturant la base de son gland, les deux belles veines sinueuses qui se disputaient la longueur de la hampe jusqu'aux plis que formant le prépuce, à cet instant fripé et ramassé par cette érection magistrale. Jallais sucer cette merveille anatomique, puis il allait menculer. Cette seule idée affolait mon sphincter et me mettait leau à la bouche.
Sans plus attendre, jenfournai son bout cramoisi avec gourmandise, le léchant, le mordillant pendant quil pétrissait mes fesses tendues vers le soleil, et bientôt vers lui. Mes doigts astiquaient son mât de cocagne fin prêt à faire la fête, à ouvrir le bal. La chaleur, lambiance, le calme... tout concordait.
Encule-moi, s'il te plaît. implorais-je entre deux coups de langue.
Tes ordres sont des désirs !
Je sentis couler entre mes fesses un filet de salive, puis il quitta ma bouche pour enjamber le matelas. Linstant suivant, son gros bout saplatissait sur ma fleur, je tendis les fesses vers lui, acceptant mon sort sans aucune résistance autre que physiologique. Il fléchit les jambes, faisant de mon anneau une dépression, puis je forçai et lourlet céda. Aidé de sa salive, son dard foulait ma chair en marrachant un long cri, mélange de douleur, dabandon et de satisfaction.
Ses pouces mécartelaient et je savais son regard planté sur ce si beau spectacle. Après un court temps daccoutumance, son vît plongeait en une lente poussée linéaire jusquà ce que ses cuisses embrassent lextérieur de mes fesses. Le souffle coupé malgré ma bouche grande ouverte, les doigts tétanisés dans le tissu de ma couche, je sentis ses lourdes couilles terminer leur course en dessous de mon anus. Fin de la première manche.
Immobile en mon sein, je me cambrai et oscillai pour donner vie à notre coït. Son gland semblait encore plus gros que la veille et il fallait my habi, jen fis un défi. Guy apprenait très vite et son leitmotiv était den profiter un maximum. Tout comme moi, dailleurs. Il vint lentement me recouvrir de son buste et entreprit de me distiller de petits coups de bite en profondeur, ne reculant que de quelques centimètres. Dans cette position, je sentais ses couilles velues glisser et sécraser à chaque fois que son membre me perforait. Il semblait rebondir sur mes fesses en prenant à chaque trajet un angle différent. Je lui contais le bien quil me faisait, lui interdisant seulement de jouir en moi. Son foutre, je voulais le boire.
Mon ventre se contractait pour comprimer ce membre arrogant qui glissait de plus en plus amplement, au point de sentir le bourrelet de son gland frotter. Nos sueurs se mêlaient le bas de mon dos collait bruyamment à son ventre. Il nhésitait pas à jouer les sprinters quelques secondes pour revenir à un rythme plus langoureux. Je mordillais ses doigts, les suçais parfois, les yeux piquants de transpiration.
En nage, je relevai les genoux pour lui présenter ma croupe en levrette. Mes fesses devinrent des pare-chocs et il me tringlait bon train, propulsant son boulier contre le mien jusquà ce que je les lui agrippe. La nuit nous avait redonné des ressources, nous les exploitions. Il me sauta ainsi encore un long moment, manipulant mes jambes pour me changer de position et me pénétrer toujours plus intensément. Jadorais offrir mes fesses à ce bel étalon, mais il me fallait calmer le jeu. Nos corps étaient en feu, ma vessie se transformait en bain à remous et une douche simposait.
Je méclipsai quelques minutes vider ma vessie et menvoyer une bonne dose de vaseline afin de graisser la mécanique. Je le retrouvai sous la douche de la piscine et vins me coller à lui sous le jet bienfaiteur.
Tu veux encore de ma queue ? demandait-il en prenant ma fesse à pleine main, à la façon dun mâle sûr de son effet.
Oh que oui ! fis-je en sentant ses doigts glisser dans la vaseline.
Hummmm... Tu as préparé ton terrain de jeu ?
Là, tu vas pouvoir texprimer.
Il proposa dessayer dans leau et je trouvai lidée sympa. Je lavais fait plusieurs fois, mais quavec des femmes. Aucun homme ne mavait pris dans leau et jétais curieux de découvrir cela avec lui. Allongé sur les marches, son périscope pointé vers les cieux, je le chevauchai en lui faisant face avant de nous laisser glisser dans leau fraîche. Baiser dans leau est sans comparaison, les mouvements sont si amples. Il sagissait plus dun délire quautre chose, où le seul réel plaisir était de nager tout en étant empalé. Je calai finalement mes bras sur la margelle pour quil puisse tendrement maimer. Il se montra si efficace que je finis par maccrocher à son cou pour le sentir au mieux. Mes fesses dans ses mains, il me lamina si bien la prostate que je finis par être foudroyé par un puissant orgasme au milieu des vagues que produisaient nos ébats. Je criais mon plaisir, mordant son épaule en lâchant mon sperme contre son ventre musclé en serrant sa queue de mes multiples spasmes.
Il me tint encore longtemps contre lui, me chuchotant quil adorait baiser avec moi. Il mallongea lentement dans leau et je restais ainsi, faisant la planche, encore habité par son sexe. Mon calme revenu, je me libérai de son emprise et le remercier en caressant sa verge et ses bourses. Leau, elle, mobligeait à serrer les fesses, nétant plus étanche, mais je men fichais éperdument. Fin de la seconde manche.
Je craignais quil soit frustré et lui proposai de venir dans ma bouche, mais il massura ne pas être pressé de jouir et quune sieste crapuleuse nous ferait le plus grand bien. Je lui assurai mon entière coopération et nous sortions de leau. Mon Dieu quelle était belle, grosse, luisante de vaseline, bandée au 3/4...
Une bouteille de rosé bien fraîche, une salade et des grillades furent notre repas, dans la plus grande décontraction. Il ne revenait encore de la chance que nous avions et jen convenais aisément. Je lui racontai quavec mes partenaires réguliers, jétais véritablement mouillé à lidée de me faire prendre et quavant de partir draguer, je faisais le ménage afin dêtre toujours propre. La discussion entretenait notre excitation, le café réveilla notre envie de sieste et ma cigarette terminée, jattendais mon pousse-café.
Même entièrement au repos, ses organes me liquéfiaient et je ne pouvais laisser mes mains tranquilles. Allongé sur le lit, Guy mintima de me laisser faire. Il prodigua sa première fellation, avalant mon sperme jusquà la dernière goutte. Comblé, je savourai ma chance, goûtant abondamment au plaisir depuis la veille. Allongé à mes côtés, il me livrait ses sensations après mavoir si bien sucé. Je lorgnais sa belle queue reposant sur sa cuisse et descendis moccuper delle. Il banda en quelques minutes et désira revenir en moi. Il me prit tendrement en cuillère, ma jambe dans sa main. Il me traversait le ventre en me faisant parfois presque crier de plaisir. Commençant à me connaître, il me la mettait exactement comme il le fallait et prenait plaisir à memmener vers la jouissance. Toutes les positions y passèrent et je ne saurais dire combien de temps il me fit lamour, parce quil me fit réellement lamour, mais pendant au moins une heure, mon cul lépousait, laspirait, le broyait parfois, mais surtout le réclamait.
Je vins masseoir sur lui en lui tournant le dos puisquil adorait voir mes fesses se jouer de son sexe. Je le sentais si loin en moi, ses couilles roulaient entre mes doigts alors quil caressait ma croupe bronzée. Jaimais son sexe et je crois que nous aurions pu continuer ainsi pendant des jours. Puis il me dit quil allait me donner son foutre. Jamplifiai alors mon déhanché sur sa boule de billard jusquà ce quil me donne le point de départ.
Je désarçonnai et vint poser mon anus grand ouvert sur son visage. Sa langue remplaça sa verge alors que religieusement, je suçai sa queue de stentor, rigide et veinée. Ses couilles fermement malaxées montèrent à plusieurs reprises comme je le branlais en vrillant sa hampe. Il se mit à souffler et je compris quil avait atteint le point de non-retour, que sa formidable pompe à foutre était amorcée. Ma bouche collée autour de son gland, jétais également prêt.
Le bassin soulevé, le ventre creusé, son premier jet claqua le fond de mon palais comme sil avait prévu de lenvoyer à lautre bout de la pièce. Chaque giclée représentait déjà à elle seule ce que la plupart des mecs déchargent, emplissant ma bouche de ses subtiles saveurs salées et soufrées. Cette liqueur crémeuse coulait dans ma gorge presque en continu et il en revenait encore et encore, comme si trois amants déchargeaient en même temps. Je venais de recevoir un délicieux pousse-café.
Puis sa queue perdit soudain de sa rigidité, même si quelques spasmes la traversaient encore. Avec une infinie tendresse, je la cajolai en essorant les dernières gouttes que la longue hampe navait pu expulser. Ses bourses retrouvaient leur position basse, lorage était terminé, et javais reçu une incroyable averse. Fin de la troisième manche.
Nous avons fini la journée à parler et à baiser. Avant que nous ne trouvions le sommeil, Guy ma copieusement rempli le ventre de sperme, et javoue que de ressentir une aussi puissante éjaculation valait vraiment le détour. Le lendemain, je commençai ma journée en lui taillant une pipe à men dévisser la mâchoire avant quil ne prenne la route. Je voulais une dernière fois recevoir sa puissante éjaculation entre mes lèvres. Il osa revenir passer quelques heures chez moi avant que nos femmes ne rentrent ; évidemment, nous avons baisé comme des lapins, tantôt avec tendresse, mais surtout avec énergie. Puis je ne lai jamais revu. Oh, nayez crainte, il y en a eu dautres ! Mais côté foutre, jamais je nai retrouvé un tel débit.
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