Souvenirs Souvenirs
Nous étions maries depuis cinq ans et pour marquer le coup nous avions organisé une soirée un samedi soir , nous avions réuni quelques amis et amies
La soirée sétait bien passée, nous avions parler de chose comme dans ce genre de réunion
Les discussions allaient bon train et inévitablement tournaient autour des femmes et de sexe comme souvent et nous avions bu un peu plus que de coutumes
La majorité était marié , nous avions tous moins de trente ans
Toute chose ayant une fin lheure des adieux etait venue
A lépoque nous habitions un petit appartement que nous avions acheté en région parisienne
Il y avait une grande pièce et une chambre attenante
Chacun vint reprendre ses vêtements, la chambre ayant servie de vestiaire
Nous étions en train ne faire un peu de rangement avant daller nous coucher. Soudain la sonnette de la porte dentrée se fit entendre
Cétait Juliette la meilleure amie denfance de ma femme
Elle avait lair affolée
« Je ne peux par partir , ma voiture ne veut pas démarrer
Peux tu me raccompagner ? »
Je nétais pas chaud, il me fallait pas loin dune heure aller et retour aussi je décidais daller voir la voiture
« Je vais voir si je peux la mettre en marche »
En arrivant auprès de la voiture je compris de suite que cétait la batterie qui etait déchargée : les feux éclairaient encore très faiblement , Juliette avait dû oublier de les éteindre , la batterie était à plat
Je remontais a lappartement
« Nous verrons cela demain, voilà ce que sest doublier ses phares ! ! ! ! »
Elle insista pour que je la ramène chez elle ; devant mon peu dempressement, ma femme lui proposa de coucher à la maison
Cétait effectivement une bonne solution
Nous navions quun seul lit
« Il faudra se serrer un peu, pour une nuit ce nest un drame «
Je rajoutais :
« Demain nous aurons le temps de trouver un garagiste pour recharger la batterie »
Apres tout cela nétait pas plus mal : à trois , le rangement fut plus rapide
Il était près de 2 heures du matin lorsque nous décidâmes daller nous coucher.
Ma femme prêta une chemise de nuit à Juliette, comme elle etait ultra courte ,ma femme me demanda de sortir,pendant ce temps elles pourraient se mettre au lit.
Je les entendais discuter
« Tu peux venir , nous sommes au lit
.. »
Ayant mis mon pyjama dans la cuisine , à mon tour, je me mis au lit
Ma femme etait au milieu, cela évitait les contacts volontaires ou non dans le courant de la nuit.
Jéteignis la lumière , la soirée mavait un peu énervé et javais du mal à mendormir
Ma femme et son amie , discutaient à voies basses.
Je métais mis sur le ventre et avais passé un bras sur la poitrine de ma femme
Cest ainsi chaque soir cela permet de savoir si nous avons envie de faire un câlin
La, il nen était pas question
Je narrivais pas a trouver le sommeil les conversations sur le sexe revenaient à mon esprit.
Dans le courant de la nuit, ny tenant plus je déplaçais mon bras vers le bas ventre de mon épouse
.. et là surprise il y avait du monde : jy trouvais la main de ma femme et celle de Juliette.
Faisant semblant de dormir, j attendais de voir ce qui allait se passer
Je ronflais volontairement pour faire croire que je dormais
Ma femme bougeait tout doucement , sa nuisette éait retroussée et sa main était au niveau de son sexe
Je sentie la main de Juliette qui rejoignait la main de ma femme
Pas de doute ,ma femme se masturbait et Juliette laidait
Je ne bougeais pas et ronflais de plus belle
Les mains sagitèrent un peu plus, jentendis quelques ricanements et gloussements
Tout cela était discret
Mon épouse se tourna légèrement sur le coté pour faire face à Juliette, si bien que ma main se trouva sur les hanche de ma femme
Jallongeas mon bras un peu plus et ma main vint en contact avec le ventre de Juliette juste à la hauteur de sa touffe
Elle se caressait elle aussi et ma femme lui prêtait main forte si je peux dire
A mon tour , japportais de laide à Juliette en touchant son clitoris qui etait tout gonflé
Je sentais sa toison sous mes doigts
Elle se laissa faire, elle navait pas conscience que sétait ma main
Elle devait y prendre du plaisir car sa fente etait tout humide,
Mes doigts pouvaient facilement glisser dans son sexe
Cela dura un petit moment , javais une érection , étant sur le ventre il ne métait pas possible de me branler
Je pouvais juste accroître ma pression sur les draps, je me retournais à mon tour et mon sexe se trouva en contact avec les fesses de ma moitié
Cela dura ainsi quelque temps
Ce fut ma femme, qui la première trouva quil y avait des mains en trop pour soccuper du sexe de Juliette
« Que fais tu ? Tu ne dors pas ! ! ! Tu ne manque pas de culot de caresser Juliette enlèves tes mains
Elle se remit sur le dos et plaqua ma main baladeuse sur son sexe, elle aussi mouillait abondamment
« Occupes toi de moi » ma main allait de lune à lautre , mais à chaque fois, elle me la ramenait sur son sexe
Manifestement elle ne voulait pas que je caresse Juliette
Son amie lui passait les mains sur les seins et sur la chatte ou elle sattardait un peu plus longtemps, nos mains se mèlaient et procuraient le plus grand bien à ma chérie si je men tiens aux gémissements de cette dernière
Je me mis sur le dos , le braquemard en lair
De sa main droite, elle me branlait assez rapidement et de sa main gauche elle branlait Juliette
Ma main gauche croisait celle de Juliette et lui permettait à deux nous la faisions jouir elle mouillait comme jamais
Devant une telle situation , ne voulant rien perdre du spectacle , mon tempérament voyeur aidant, jallumais la lampe de chevet
« Non , non éteins ça ! ! ! ! «
Devant mon étonnement et mon peu dempressement, elle me chevaucha et éteignit la lumière
Mon sexe se trouvait en contact avec le sien et y penêtra facilement ce qui lui arracha quelques gémissements.
« Pas tout de suite
. »
Elle se dégagea et se remit sur le dos
A partir de ce moment , elle navait plus rien a cacher et elle repris sa masturbation et soccupa de Juliette cette fois dune façon sonore
Elles gémissaient et gloussaient toutes les deux
Juliette se branlait avec la main de ma femme
Je navais pas le droit de toucher Juliette seule mon épouse setait octroyée ce privilège
Nous étions excités , ce nétait pas dans les habitudes de ma femme de prendre des initiatives et là elle avais pris les choses en main si je peux dire
.
Une main sur ma bite et les doigts de lautre dans la chatte de Juliette
Je bandais de plus en plus fort , les deux filles gémissaient de plus belle
Toutes les mains sagitaient, les corps se tordaient de plaisir
Ma femme se retourna et se mit en position de faire un 69 tout au moins je le crois car je ne voyais rien
Je me masturbais en me frottant contre le corps de Juliette
Le lit faisait des soubresauts et dun coup les corps de ma femme de son amie se tendirent , les gémissements saccentuèrent, les respirations se firent de plus en plus sonores
Elles jouissaient toute les deux en même temps , elles semblaient y être habituées
Moi le queue à la main, jattendais de laide
Après avoir repris leurs esprits, elles se rendirent compte de ma présence
Ma femme et Juliette saffairèrent à quatre main sur ma bite et à mon tour je pu me laisser aller
Ma femme ayant sentie que jallais jouir avait approché sa bouche de mon gland
Elle reçue mon sperme dans la bouche et sempressa daller embrasser Juliette
.fellation par personne interposée
Elle avalèrent toutes les deux mon foutre
Jen éprouvais une profonde satisfaction
Lheure assez avancée et les tensions appaisées firent que nous avions envie de dormir
Je pris un sein de ma femme dans la main, son téton redressait la tête mais le sommeil fut le plus fort
Le lendemain matin au réveil le deux filles se firent des petits bécots et sétirèrent comme deux chattes
Elles étaient ravissantes dans leur petites nuisettes qui ne cachaient pas grand chose
Elles avaient la même taille , leurs poitrines se ressemblaient , leurs tétons tendaient le tissu
Les seins de ma femme étaient légèrement plus gros que ceux de Juliette
Toutes deux étaient brunes, leurs touffes apparaissaient sous le léger voile qui les recouvrait
Le spectacle était charmant .
Soudain, Juliette retroussa la nuisette de mon épouse et commença à la caresser dune main , sexe , seins ventre entre jambe rien netait oublié et de lautre elle se fourrageait la chatte en gémissant doucement
Mon cote voyeur prenait le dessus et était satisfait du spectacle
je sentais mon sexe se durcir et je commençais a fantasmer sur le spectacle à venir
Soudain, contre toute attente, ma femme rabattit sa chemise et se leva rapidement
« Cochon ! ! ! !» me dit elle en rigolant
Juliette cessa de se masturber, elle était déçue, sa moue en disait long sur sa déception et insista pour continuer
« Viens , jai envie de te caresser
laisses toi faire ! ! Pourquoi tu ne veux pas continuer ? » lui demanda Juliette avec une voix doucereuse mais rien ny fit
Leuphorie dhier soir provoqué par les nombreux verres dalcool absorbés par ma femme avait disparue
« Non je nai plus envie, dailleurs , je ne sais pas se qui ma pris hier soir, vos conversations grivoises et la boisson m avaient mise dans un état second , je se savais ce que je faisais
Oublions cela ! ! »
« Une question, chérie qui me vient à lesprit est ce la première fois que tu fais çà avec Juliette »
Elle eut lair embarrassée et sa réponse se fit attendre
« Euh !
Oui je navais jamais touché une femme , passons à autre chose si tu veux bien»
Elle et Juliette avaient un léger sourire et les yeux pétillants mais cette histoire sarrêta la comme ca et la conversation tourna autour de la voiture de Juliette
Juliette partie je revins plusieurs fois sur le sujet de lamour entre femme, mais à chaque fois mon épouse éludait la question
Impossible de savoir si effectivement sétait
. un accident ou une habitude
Nous revîmes Juliette pendant les quelques semaines qui nous restaient avant notre départ en province.
Mais rien ne se produisit
Un soir, après une soirée chez des amis bien arrosée alors que nous étions au lit ma femme vint se blottir contre loi et revint sur ce qui sétait passé avec Juliette et mavoua quelle avait gardé un excellent souvenir de cette soirée et queffectivement ce netait pas la première fois quelle faisait lamour avec Juliette.
« Après ce qui sest passé entre nous Il faut que je te raconte » et commença son récit
« Jétais au collège et les mercredi une voisine me gardait laprès midi
Elle avait 35 ans environs et était mariée son mari ne rentrait que pour la fin de semaine
Elle avait pris lhabitude de me faire un bécot sur la bouche, je ne voyai rien de mal à cela
Après le bécot elle me demanda de lui faire un câlin ce que je fis volontiers , elle était gentille et cela paraissait normal.
Après le rituel , du bécot et du câlin elle me pris sur ses genoux et tout en membrassant elle fit glisser sa langue dans ma bouche
étrange ! !
Les choses auraient pu sarrêter là .
A chaque séjour que je faisais chez elle , avec le recul , les choses se précisaient mais nayant aucune expérience je ne voyais pas ou cela pouvait me conduire
Un jour après le rituel du bécot et du câlin et du baiser appuyé, Mireille me caressa la poitrine et me retroussa ma robe et avec une main me caressa le sexe ,ses doigte écartèrent ma culotte et leur contact avec mon intimité fit monter en moi une sorte de bien être
Elle me demanda de lui toucher les seins.
Elle avait une poitrine magnifique et je reconnais que je fus troublée et très impressionnée. Mon émoi sarrêta là.
Au fil des jours, les choses se précisaient et mes sensations se modifiaient
Elle se mettait nue et me demandait de faire de même .Mireille me disait que sétait plus pratique car elle me demandait souvent de lui malaxer les seins et de lui sucer les tétons
Ensuite ce fut son sexe quelle me demanda dembrasser je me souviens que Mireille gémissait fort ce qui au début minquiéta
Mireille me faisait la même chose ,sa langue déclenchait en moi des spasmes ce quelle appréciait elle continuait de me caresser ma poitrine naissante et surtout elle insistait particulièrement sur un point précis que Mireille nommait « bouton damour « .
Cest ainsi que jour après jour je fis la découverte de mon sexe et le moyen de se faire du bien et de donner du plaisir à ma compagne.
Elle mapprit à me masturber dabord en me tripotant le bouton damour et mes lèvres et en introduisant mes doigts dans mon sexe
Je me souviens, elle me plaçait devant une glace et mécartait les cuisses , elle me guidait dans ma masturbation en commençant par mon pubis ma vulve et enfin mon bouton damour . Je nen perdais pas une miette et je dois dire que jen ressentais des sensations très plaisantes .
Lâge aidant , les sensations se faisaient de plus en précises et agréables et cest avec impatience que jattendais les réunions du mercredi. Je ne pensais plus qua ça
Cest ainsi que je fis la découverte de lamour physique .
Un jour , Juliette vint passer laprès midi avec nous
Cela faisait déjà plusieurs semaines quavec Mireille nous avions envisager cette situation
Mireille entreprit linitiation de Juliette qui fut nettement plus rapide que pour moi étant plus âgée elle avait déjà fait la découverte de son sexe
Elle nhésitait à nous montrer son sexe et à se masturber devant nous
Souvent , à la demande de Mireille elles se léchaient mutuellement le sexe pendant quelle regardait et se masturbait en râlant, elle demandait aussi de lui sucer le clitoris , elle écartait ses lèvres afin de pouvoir entrer ses doigts au plus profond de son sexe ou nous y joignons les nôtres avec délice, elle en éprouvait un plaisir certain elle se tordait dans tous les sens et criait des obscènités
Elle leur demandait de la lécher, cela durait plusieurs minutes , nous étions toutes les trois en osmose et jouissions comme des folles . Les sentiments de crainte du départ avaient complètement disparus .Je pouvais me laisser aller sans réserve , la présence de Juliette y était pour beaucoup
Elle aimait bien nous sucer à tour de rôle et sa la langue faisait des merveilles en pénétrant profondément nos entrailles , pendant ce temps elle nous demandait de lui caresser sa poitrine et les notre qui maintenant était jolies a regarder
Cette période sest malheureusement achevée à nos grands regrets car Mireille devait partir son mari ayant été muté et Juliette rentrait en pension .
Le charme était rompu et les occasions ne se sont pas reproduites.
Cest a partir de ce moment ou je me suis retrouvée seule que jai pris lhabitude de me masturber et que je commencer à culpabiliser .»
Voilà comment ma femme me relata les faits
Elle avait les larmes aux yeux et la chair de poule, elle semblait comme libérée
Elle mavoua ne pas avoir osée me le dire avant
..elle avait honte , elle avait eu peur dêtre lesbienne et de ne jamais trouver un mari. Surtout quelle me disait avoir aimer le corps de ces femmes et avoir ressentie beaucoup de plaisir à ces ébats
Je lui demandais si elle souhaitait de nouveau revoir Juliette pour reprendre ce genre de pratique
..jétais des plus partant il va sen dire
Elle déclina me disant rester sur le vécu de ces bons moments, elle avait peur dêtre déçue
Elle mavoua se masturber et éprouver de la jouissance en repensant à ses souvenirs de jeunesse
Nous fîmes lamour comme jamais avec une jouissance extrême ou se mélait avec nos corps ceux de Mireille et Juliette
.
Nous revîmes Juliette mais le déclic na pas eu lieu
Cela fait une quarantaine dannées que les choses se sont déroulées et jen garde un souvenir ému et
.bandant
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