La Veuve Joyeuse
- Chéri ? tu ne devineras jamais qui ma invitée à prendre un café cet après midi
- Qui donc ?
- Clémence
- Clémence ? la veuve joyeuse ?
- Oui, elle mattendait à la sortie de la boulangerie, elle veut me parler chez elle, pas en pleine rue
- Houlà, ça cache quoi
quel âge a-t-elle ?
- Quarante-cinq, dix de plus que moi
- Elle est encore bien conservée la garce ! jme la f rais bien
- Amuse-toi à ça et tu ne me vois plus !
- Nempêche que depuis le temps que son mari est décédé elle doit être en manque
- Ça la regarde
- Tu iras ?
- Bien sûr, pour linstant je vais préparer le déjeuner, jirais à quatorze heures
Je me demande ce que cache ce mystère, lorsquelle me parlait javais limpression quelle me déshabillait du regard, je nai jamais eu de pensées lesbiennes mais javoue que jétais troublée, je me suis bien gardée den faire part à Laurent, sil avait su que je métais passée un gant de toilette et une goutte de parfum sur la chatte avant de partir il aurait certainement pensé que javais rendez-vous avec un homme !
- Bonjour Clémence
- Bonjour Lydia, pardonnez ce mystère mais javais terriblement envie de vous parler en tête a tète
- Rien de grave jespère ?
- Non-non-non rassurez-vous ! en même temps cest très délicat de parler de ça avec une voisine que je ne côtoie pas beaucoup
- Vous savez que vous pouvez tout me confier, je suis très discrète
- Cest pour cela que je vous aie choisie, votre ménage va bien ? aucuns problèmes de couple ?
- Je mentends à merveille avec Laurent, nous somment amoureux comme au premier jour
- Cela implique sexuellement aussi bien sûr ?
- Totalement, mon mari me surprend toujours avec des jeux nouveaux, pourquoi cette question ?
- Tolèrerait-il que vous ayez une relation intime avec une femme ?
- Houlà
je ne sais pas
quattendez-vous de moi Clémence ?
- La solitude me pèse, je suis au bord de la dépression
- Trouvez-vous un homme ?
- Que non ! je veux rester fidèle à la mémoire de mon Michel
- Ça se discute.
- Le sperme !
- Ah, vu sous cet angle
- Et puis jai envie de tester les caresses entre femmes
- Bien
puis-je massoir à votre côté Clémence ?
- Oui mais Laurent ?
- Il nen saura rien, moi aussi je suis tentée par une expérience avec une femme
que portez-vous comme sous-vêtements ?
- Je
je suis confuse, je nen ai mis aucun
- Vous navez pas de culotte ? chouette ! laissez-moi vérifier, ouvrez vos genoux
encore plus, livrez-vous totalement Clémence
- Comme ça ? tirez sur votre robe, découvrez vos cuisses...
- Lydia... vous me troublez...je vais carrément retirer ma robe mais jai honte, je suis
je suis trempée
- Laissez-vous aller en arrière, allongez-vous
quelle belle poitrine que bien des hommes aimeraient téter
- Oooohhh Lydia
.vous êtes coquine, je crois que jai fait le bon choix
- Vous avez de belle cuisses... blonde naturelle
toison bien entretenue, taillée par vos soins ?
- Bien sûr, jy consacre énormément de temps, ça mexcite de moccuper de cet endroit intime
- Moi aussi jadore me toucher en cachette de mon mari ! cest mon jardin secret, et puis je suis à peu près sûre quil se branle aussi alors
- A bon ? jadorerais voir un homme se masturber
- Ajoutez un autre doigt Lydia... ooooouuuuuuiiiiiiiiiii, cest bon de sentir des doigts étrangers dans son con
que faites-vous ? vous me léchez ?
- Hummmhuuuummm
- Ooooouuuuuuiiiiiiiiiii, mords moi le clitoris... rrrhhhaaaaaaaaaaaaaaaaa que cest booooooooooooonnnnnnnnnnn ! tu vas me faire décharger dans ta bouche petite vicieuse
- Huuummmmmmhummmmmmmmmm
- ÇA VIIIIIIIIEEEEEEEENNNNNT !!!!! mon dieu je pisse dans ta bouche !
- Je vais fourrer ma main dans ton ventre espèce de salope !
- Fait-le ! fait-le !!
Sans prendre trop de précautions dans un gargouillis choquant jarrive à enfoncer ma main jusquau poignet, ensuite je tourne, avance, recule, Clémence braille comme une truie, des giclées fusent de cette chatte éclatée, puis subitement elle devient complètement inerte, un sourire béat aux lèvres, je juge nécessaire de retirer lentement ma main trempée de jus visqueux odorant
- Il y a des années que je navais pas jouis ainsi, veux-tu que jhonore aussi ta chatte ?
- Non merci ça ira pour aujourdhui, mais je reste persuadée quune bonne bite vous ferait du bien
- Tu es persuasive
parle-moi de ton mari
- Je veux bien mais pas touche ! il est inventif, endurant, a écoute de mon ascension vers la jouissance et le principal : il est bien monté !
- Bien monté comment ?
- Je ne fais pas le tour de son membre, ça donne à peu près ceci
- Ah quand même ? ça laisse rêveuse
jai toujours eu un gros fantasme
- Lequel Clémence ?
- Regarder un couple faire lamour
- Regarder, avec leur consentement ou épier en cachette ?
- Voir de près une verge écarteler un vagin, une bonne queue comme celle de ton mari par exemple
- Ça va jai compris.
- Il suffit de lui demander
- Vous savez quil vous kiffe ?
- Ah bon ?
- Lorsque je lui ai dit que je venais chez vous prendre un café il ma dit, en riant, quil vous baiserait bien
- En plaisantant seulement ...
- Oooh je suis certaine quil le ferait volontiers le salaud
- Ne me met pas de fausse joie en tête, noublie pas de lui demander sil veut bien faire ça devant moi, même seulement se masturber jen serais enchantée, en ta présence bien sûr
- Vous avez de la suite dans les idées chipie ! promis je lui demande en arrivant, je me sauve
En revenant à la maison à pied je rumine ce que la femme vient de me confier
elle naimerait pas quun homme décharge dans sa chatte ? mon il ! pour ma part me faire prendre par Laurent en présence de cette femme ne me déplairais pas, je serais fière quil exhibe sa bite avant de menfiler sous les yeux ahuris dune femme en manque
lui en parler nest pas chose facile
dois-je lui avouer que je lai léchée et fistée ?
- Elle cache bien son jeu cette Clémence...
- Ah, pourquoi ? de quoi avez-vous parlé ?
- De cul
- De cul ? mais encore ?
- Elle voulait avoir une relation sexuelle avec moi
- Tu as accepté jespère ?
- Ça ne te ferait rien que je lèche une autre femme ?
- Aucunement, du moment que tu me raconte
- Eh bien je te raconte
- NON !! tu las fait ?
- Oui, elle avait tout prévu, nue sous sa robe, elle ma fait des avances sans ambigüité, je me suis allongée entre ses cuisses
- Putain tu me fais bander
- Alors masturbe toi, rappelle moi de te demander autre chose à ce sujet
- Ok, mais continue
- Je lai doigtée et léchée, je peux affirmer quelle est étroite, mais je lui ai travaillé la moule jusqu'à pouvoir lui enfoncer ma main
- Tu las fait ?
- Jusquau poignet ! elle pissait partout !
- La vache ! dire que je nétais pas là pour voir ça !
- Tu pourrais si tu voulais
- Explique-toi ?
- Clémence aimerait voir un couple baiser ou un mec se branler
- Jpeux faire les deux !
- Je men doutais
cest ça que je voulais te demander
- Cest ok pour moi et toi ?
- Je ne dis pas non à condition que tu nessaie pas de la toucher
- Promis, on y va quand ?
- Quel vicieux ce mec, je vais lappeler dans un moment
- Je peux toucher ta chatte pour me finir ? regarde ma queue comme elle est raide, tu dois être en eau
- Vérifie
- Moouuuaaaah ! ôte-moi cette culotte inutile, je vais te la fourrer dans le con
- Sur le coin de la table, chéri jai trop envie !
- Je vais te ramoner comme jamais
- Elle texcite cette Clémence hein ?
- Oui je lavoue
écarte les cuisses salope ! tu as le mille-feuille trempé
- Ooooouuuuuuiiiiiiiiiii baise moi salaud, oui tu la baiseras elle aussi, je veux voir ta queue lui ouvrir la cramouille
- Prend ça salope de chaudasse, han-han-han- han-
- Oui-oui-oui-oui- OOOUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! je jouuuuuuuuiiiiiiiiiiiis
- Moi auuuuussssssssssiiiiiiiii !!!!! aaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhoooooouuuuuuiiiiiiii
Revigorée par ce coït sauvage, je suis bien décidée malgré les réticences de Clémence, fondées ou non, à la faire baiser par mon mari, je me garde bien de lui dire lorsque jai pris rendez-vous pour le lendemain
ce sera à quatorze heures à la maison histoire de la déstabiliser
Il est convenu que nous commencerons toutes les deux, elle me rendra le cuni sur notre lit conjugal, Laurent entrera en piste en se masturbant dès que jaurais jouis sous la langue de Clémence
La veuve est arrivée toute excitée mais aussi stressée, ne pas être chez elle la déstabilise
- Vous êtes nue sous votre robe ?
- OH NON ! je noserais jamais me présenter ainsi à ton mari
il est là ?
- Il viendra plus tard, par contre moi je suis à poil sous ma robe de chambre, si vous voulez jouer avec ma chatte je suis prête
- Alors allons-y, tu es certaine quil viendra ?
- Mais oui !
- Il fera ce que nous avons dit ?
- Se branler ? bien sûr
- Jai hâte de voir une telle bite bandée, mon Michel navait quun vermicelle entre les jambes, pour tout te dire lorsque tu mas enfilée ta main dans la chatte jai fantasmé sur la queue de ton mari
- Tu imaginais que cest lui qui te baisait ?
- Exactement, tu ne men veux pas ?
- Pas le moins du monde, venez plutôt me lécher la figue
- Tu mouille ma cochonne, je vais téclater la vulve
Je suis quasiment certaine que Laurent nous épie depuis le couloir, cest pour cela que je me suis positionnée dans la bonne direction, pour accélérer les choses jen rajoute afin quil se décide à nous rejoindre, je jouirais réellement plus tard, penchée sur moi Clémence ne voit pas la porte souvrir sur mon mec qui tient fermement sa queue dans une main, il est raide comme une trique , lentement il décalotte et re-calotte son gland où suinte déjà la goutte du plaisir ,il na dyeux que pour la croupe rebondie de la veuve , cest la lame de parquet qui grince qui alerte Clémence, elle relève la tête et reste subjuguée par cette bite qui semble lhypnotiser tel un cobra royal
- Lydia ?
- Oui ?
- Ton mari vient dentrer et
- Eh bien il se masturbe comme vous le souhaitiez
- Incroyable
mon Michel ne ma jamais fait cela avec autant daplomb
- Elle vous plait ma verge Clémence ? désirez-vous que japproche ?
- Lydia ? jaimerais la toucher
- Approche chéri, jaccepte que Clémence te touche la bite
- Et si vous me suciez à deux ?
- Avec joie !
Mon vicieux de mari nattendait que mon feu vert, face à face nous posons les mains sur la hampe, la femme écarquille les yeux devant ce membre qui sursaute dans sa main, tandis quil pose les siennes sur notre dos
même si Clémence est encore habillée je sais quil va se débrouiller pour descendre sur la croupe et relever la robe sur ses reins, la femme se redresse juste un instant pour quil puisse dégager le tissu coincé, elle frissonne lorsque les doigts écartent lélastique de la taille pour se faufiler dans la raie et se reconcentre mollement sur la sucette que nous avons entreprise, je nai plus envie quil lâche sa purée sur nos visages
- Laurent ? tu vas déshabiller Clémence et la baiser devant moi
- Chérie ? tu es sérieuse ?et vous Clémence, êtes-vous daccord ?
- Arrachez mes vêtements
violez moi, souillez moi de votre semence, je suis votre chienne
- Vas-y chéri fous là à poil ! défonce là, fait là hurler !
En quelques secondes la veuve est aussi nue quun ver, il la pousse sans ménagements sur le lit où elle sarrange pour tomber les cuisses ouvertes, appuyée sur les coudes comme pour assister à la pénétration, il est déjà au plus près de la fourche, le membre imposant posé sur le ventre féminin va au-delà du nombril
- Vous allez me rentrer tout ça ?
- Si je pouvais jentrerais mes couilles aussi, guide ma bite dans ton trou je vais pousser fort
.
- Oooooooohhhhhhhhhhhhh cest gros ! ma chatte va bailler après avoir été e ainsi
- Ta chatte et ton cul si tu oses laccepter
- Plus tard, pousse encore, jamais mon vagin na été fouillé aussi loin
- Autrement dit je te dépucelle vraiment
- Cest merveilleux, mon ventre est gonflé de ta chair, le moindre mouvement marrache des ondes électriques géniales
- Tu vas jouir à te faire péter la connasse
Malgré ma boule au ventre crée par la jalousie, je reconnais que de voir coulisser la verge de mon mec dans la toison mouillées de la veuve est une immense fierté pour moi, elle qui na jamais connu quune petite bite doit ressentir la même chose que moi, un labourage intense des muqueuses, le vagin étiré à son maximum, le clitoris par effet de proximité vachement sollicité, ses yeux révulsés le prouve, tout ceci se traduit par deux de mes doigts dans mon con liquéfié et deux autres pour rouler un téton érigé
Clémence se raidi, Laurent qui a deviné quelle allait exploser se déchaine dans la matrice, jentends les corps se heurter, soudain elle enlace mon mari qui pèse sur elle sans bouger, son ptit cul de mec se contracte à chaque giclées envoyées dans le ventre de la femelle en chaleur, elle y répond par des glapissements ridicules qui nen finissent pas
- Bon ! ça suffit vous deux ! décollez-vous à présent ! salope de clémence toi qui refusais le foutre dun mâle tu es après maculer mes draps
- Hein ? quoi ? ah excuse-moi Lydia mais cétait trop bon, jamais mon Michel ne ma faites autant pisser de la chatte
- Ça suffit la chaudasse, et toi gros vicieux vient satisfaire ma chatoune
- Toute de suite mon amour
à bientôt Clémence ?
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