Une Tranche De Vie : 5
1978
1978 diplôme et stage dinterprète pour AL, diplôme pour moi. Puis service militaire terminé juillet 1980. Début dans la vie professionnelle pour moi.
Nous avions continué à nous voir et quand cétait possible à coucher ensemble, tout cela pour nous amener un certain 13 septembre, à un mariage dans lintimité, pour plusieurs raisons. Un nous navions dit cela au dernier moment. Pour ma part mes parents étaient en Amérique du sud et pour AL, ses parents ayant divorcés, son père nous avait envoyé ses vux et navait pas pu ou pas voulu venir.
Une discussion inutile
Nous étions en France, prenant lapéritif avec plusieurs autres couples, lune des Femme, nous dit que, entre autres, dans le dernier film quils avaient vu, le « héros » joueur de poker invétéré offrait sa femme à son créancier pour quil efface ses dettes de jeu.
Et la discussion partie sur ce thème. Sans bien entendu arriver à une conclusion quelconque.
Au retour, en reparlant de cette soirée avec AL elle conclut : « Cest tous des faux-culs. On sait que Pierre couche avec Vanessa (F de Paul) que René senvoie sa secrétaire entre midi et 2.
et on ne sait pas tout. Ils feraient peut-être mieux darrêter de fermer les yeux et de sexpliquer. »
Moi : « Si tu te faisais draguer et que le type te plaise, que ferais-tu ? «
AL : « Je crois que je ten parlerais »
Moi : « OK, allons plus loin, il te propose de coucher ? »
AL : « Le jour où jaurais envie dun beau mec, je ten informerais pour en discuter, et le cas échéant avoir ton accord ou men passer. Je pense que cest plus sain. Enfin cest mon point de vue, évidemment si ce nest quune affaire de sexe.»
De lui répondre, « Tu auras mon accord si je peux assister » et elle « Voyeur », éclat de rire.
Avec le décalage je trouve surprenant quelle ne mait pas retourné la question. Si tu avais envie dune fille,
Vers le lycée Mars 1978
Sa voiture étant à lentretien ce matin là, jamenais AL au lycée.
AL eu un temps dhésitation et voulu rabattre sa jupe, je lui dis ; « Non, arrêtes »
AL : « Mais ils voient ce que tu fais, il va me prendre pour qui ? »
Moi : « Ça lui fera un souvenir inoubliable, écartes encore les cuisses quils voient ta chatte joliment épilée, je vais te caresser, tu vas aimer, ça va texciter »
AL eu un moment dhésitation et se laissa faire écartant les jambes et sa main droite remonta lentement la jupe, pendant que je lui caressais la chatte, elle avait les lèvres qui étaient devenues très humides. Elle aimait.
Le feu passa au vert, je filais sur la gauche alors que le camion continuait tout droit en nous donnant un grand coup de klaxon.
Moi : « Alors tu as aimé. Cest ta première exib »
AL : « Hum,
, oui , non, que vont-ils penser de moi ? »
Moi « Ils ne savent pas qui tu es et tu vas les faire rêver pendant un bout de temps »
AL : « Hum,
Tu es infernal avec tes caresses, je suis excitée comme une puce. Pas possible de sarrêter pour me calmer. Je vais me finir toute seule et tu nauras quà regarder »
Moi : « Non attends, il y a un grand parking pas loin, on va y aller et je vais moccuper de toi »
AL : « Tu veux me sauter dans un parking, il est fou, après mavoir laissé mexhiber, il veut me prendre dans un parking, il est complètement fou »
Moi : « Ne tinquiète pas il y a 5 étages et ça métonnerais quon ne trouve pas un endroit tranquille.
AL : « Je ne marche pas ça va être encore un de tes coups tordus, je vais me débrouiller seule »
AL avait mis sa veste sur ses jambes et sa main sactivait entre ses cuisses. Il fallait que je me dépêche. Le parking nétait pas loin, jy rentrais, le premier pratiquement plein, le second à moitié, le troisième pratiquement vide, le quatrième que quelques voitures. Enfin le cinquième qui était sur le toit, deux voitures vides et là depuis longtemps. Je marrêtais dans un angle et je réussis à persuader AL de passer à larrière, ce quelle fit en maugréant.
Installés à larrière, je lui enlevais son string qui était déjà trempé et remontais la jupe, elle menjamba, Elle sappuya sur les dossiers de devant. Pour lexciter un peu je commençais à lui caresser la chatte, mais :
AL : « Arrêtes, je suis suffisamment excitée, prends moi vite et fort, je vais exploser »
Je lui pris les hanches et lamenais sur ma tige, quelle pris et guida en elle. Je la pénétrais facilement tellement elle était trempée. Pendant quelle sempalait : « Oh oui, cest bon, laisse moi faire, je vais me faire jouir sur ta queue » et elle se soulevait se laissait tomber, elle utilisait ma queue comme un sextoy. Le jeu ne dura pas longtemps tellement elle était chaude, elle eu un orgasme qui la fit jouir et pousser un grand cri rauque, la cramponnant par les hanches je menfonçais elle et me vidais.
AL « Cétait bon, mais on va être en retard et mon slip est trempé. Heureusement que jen ai un de secours dans mon placard au lycée ».
Retour de mission
Vendredi 16 Juin 1978
En mai la société mavait envoyé en mission pour 1 mois outre-mer au Tobega pays de lAfrique de louest au bord de locéan. De retour, au lieu datterrir à Paris, je devais marrêter à Bordeaux pour un rendez-vous. Puis prendre le train pour rejoindre Paris. AL, venant de province devait mattendre à la gare Montparnasse. Je lavais averti que jétais en queue du train et quune roulette de ma valise était cassée.
Cétait le printemps, je lui demandais : « Tu es couverte comme un oignon, tu as tellement froid ? Est-tu enrhumée ?»
AL : « Non tout va bien. »
Moi : « Tu es bien la seule à porter un manteau dhiver »
AL : « Je craignais davoir froid »
Moi : (en plaisantant) « Avec un tel manteau tu nas besoin de rien en dessous»
AL avec un petit sourire en coin : « Cest vrai et cest cela»
Moi : « Quoi ?»
AL : « Rien, je nai rien en dessous. Surprise ?»
Moi : « Tu veux dire que tu es nue sous ton manteau »
AL : « Ce nest pas ce que tu voulais, je lai fait pour te faire plaisir »
Moi : « Je veux voir. Je ne crois que ce que je vois
»
AL : « Bien sur, voir : oui, mais pas touches ! »
Nous étions dos à un poteau, AL jeta un regard à droite puis à gauche, comme nous étions les derniers sur le quai, elle ouvrit grandement et rapidement son manteau. Laperçu fut rapide, mais effectivement elle ne portait quun porte jarretelles tenant ses bas, rien dautre.
Jen étais estomaqué, peut être que notre mois dabstinence lavait poussé à faire cela, pour être plus désirable ou simplement pour me faire plaisir et mexciter
?
Moi : « Mais tu es venue ainsi depuis lhôtel ? Ce nest pas croyable. »
AL : « En fait non, jai enlevé mes dessous et ma robe ici. Tout est dans mon sac »
Je lui dis quaprès un tel spectacle, javais besoin de toucher pour me convaincre de la réalité des faits. Elle rechigna juste pour le principe et je crois quelle attendait cette demande. De nouveau un coup dil à droite puis à gauche, toujours rien, elle ouvrit son manteau, mais my attendant je réussi à me glisser dans louverture pratiquée.
AL : « Arrêtes, stp, arrêtes, jai envie de toi, mais arrêtes, on va à lhôtel »
Mais avant de marrêter je glissais quand même une main entre ses jambes et caressais un peu son intimité. Ce qui ne fit quaugmenter son impatience.
On prit la file dattente, le taxi et lhôtel. AL sétant déjà inscrite, il ny avait que la clé à prendre. Ascenseur pour le 15ème étage, nous avions quelques secondes. Jentrebâille le bas du manteau, AL me laisse faire. Je glisse une main vers son intimité, elle écarte les jambes, ferme les yeux et me laisse la caresser. Nous sommes arrivés à notre niveau.
Arrivé dans la chambre, je laisse tomber mes encombrants bagages pour prendre AL dans mes bras et sen suit un long et tendre baiser. Je lui enlève son manteau et elle mapparaît très désirable dans sa tenue excitante. Je lembrasse dans le cou, ce qui la fait frissonner, elle prend ses seins et me les tend, je les embrasse, suce les mamelons durs et pointus, pendant que ma main gauche glisse vers son entrejambe et commence à caresser ses grosses lèvres gonflées et humides. AL sert les cuisses, bloque ma main et me dit : « Déshabilles toi, dépêches toi, jai envie de toi »
Elle se laisse tomber sur le lit, gardant ses bottes, porte jarretelles et bas, elle écarte les jambes : « Viens, je tattends ». Je me dépêche de me déshabiller, mais trouvant certainement que je ne vais pas assez vite AL met ses mains sur son ventre et lentement descend vers son minou et écartant encore plus les jambes elle prend les lèvres de sa chatte et les écarte en disant : « Regardes je suis ouverte, viens me remplir, vite
»
Je me positionnais entre ses cuisses et sans autre préparatif menfonçais en elle, ce qui était facile tant elle était ouverte et lubrifiée. Je menfonçais jusquau plus profond de son intimité. Elle maccueillit avec un AHHHHHH de satisfaction. Cétait peut-être un peu cavalier et un peu brutal, mais, au son, il était certain que AL avait appréciée cette pénétration rapide, elle était tellement ouverte et humide, que tout fut facile. Il ne fallu pas longtemps pour lentendre gémir de plaisir, se contracter, se tendre, menserrer des ses cuisses et avoir un puissant orgasme qui me fit me vider en elle en plusieurs coups de reins, un peu brutaux, mais libérateurs.
Lhôtel avait plusieurs restaurants, Al avait choisi le restaurant chinois. Pendant que je prenais une douche pour me délasser de ce voyage en train, AL shabillait dans la chambre.
Gardant porte jarretelles, bas et bottes elle avait mis un corsage, pas transparent, mais plutôt translucide, laissant transparaitre discrètement, quelque fois, les aréoles de ses seins qui pointaient à travers le tissu. Je crus quelle ne portait pas de SG. Elle avait mis une jupe noire serrée ou plus tôt collante et très courte, enfin qui lui arrivait à mi-cuisse. Elle était sexy au possible, on pourrait même dire à la limite de lexib.
AL : « Ma nouvelle tenue te plait ? Je lai achetée pour toi, pour nos retrouvailles. Maintenant je me demande si la jupe nest pas un peu trop courte ? »
Moi : « Il est vrai que si tu sortais dans la rue ainsi, tu risquerais de déclencher une émeute. Surtout si on imagine que tu ne portes aucun dessous. »
AL : « Dabord je ne suis pas nue sous mes affaires. Je suis venue te chercher nue sous mon manteau pour te faire plaisir, cétait loccasion. En fait je naime pas me sentir nue sous mes habits et honnêtement quand je suis sortie des toilettes à la gare après mêtre déshabillé, javais limpression que tout le monde me regardait. Drôle de sentiment. Je vais me changer. »
Moi : « Non, nous ne quittons pas lhôtel, tu vas faire sensation au restaurant. Viens, on y va. »
Comme nous quittions la chambre et quelle se dirigeait vers lascenseur, je lui dit : « Ta vraiment un joli cul »
AL : « On ne peut pas dire que tu as le compliment galant ! »
Moi : « Tu as un joli cul, je te le dis. »
AL « Tu aurais pu dire tu as une démarche élégante »
Moi ; « Bon, tu as une démarche élégante, ce qui te fait un joli cul »
Al : « On nen sortira jamais »
Moi : « Dis-moi que tu naimes pas de mettre en levrette pour me montrer ton joli cul ? »
AL : « Ce nest pas la même chose »
Nous arrivions à lascenseur, AL avant dappuyer sur le bouton dappel, se retourna et me dit : « Malgré tout, jaime quand tu me dis que jai un joli cul, jaime quand tu veux que je sois en levrette et jaime quand tu veux le prendre et,
»
Lascenseur arriva et nétant plus les seuls dans lascenseur la conversation sen arrêta là.
Diner terminé, la remontée en ascenseur fut trop courte pour tenter quoique ce soit. Retour dans la chambre, elle se laissa tomber sur le lit, bras et jambes écartés et me dit : « Viens, jaie envie de toi, viens »
Je me couchais à coté delle, et tenais à vérifier ses dires, étant persuadé quelle ne portait pas de SG, en fait elle portait un SG ½ seins. Elle avait raison mais je navais pas tort, car leffet était pratiquement identique au fait quelle nen porta pas. Donc, je lui enlevais son SG et je prenais entre pouce et index les pointes de ses seins qui commençaient à durcir et les tournais dans un sens et dans lautre en les serrant un peu, plus ses aréoles subissaient ce traitement plus ses seins se durcissaient et plus AL gémissait. Jusquau moment ou chassant mes doigts, AL se prenait en main, enfin prenait ses seins et soccupait de les caresser. Cétait le moment pour moi de moccuper de sa chatte. Je plongeais donc entre ses cuisses quelle écarta encore plus, ce qui fit remonter encore sa jupe et en laidant un peu apparu son string. Un petit triangle de tissu moulant ses grosses lèvres, tenu par une espèce de ficelle, enfin pratiquement rien.
« Tu vois que je nétais pas nue »
Elle avait raison elle nétait pas nue sous ses vêtements, mais ce quelle portait ou rien, mais enfin elle avait raison.
Elle resserra les cuisses, ce qui me permit de lui enlever. A peine fut-il enlevé quelle écarta de nouveau les cuisses, laissant un libre accès à son minou dont je mempressais de moccuper. À peine mes lèvres sur ses grosses lèvres, la respiration saccéléra légèrement. Je les suçais, les tétais et les aspirais. Je savais quelle appréciait ces jeux de bouches sur sa chatte, dont les lèvres gonflaient et commençaient à shumidifier sérieusement La pression montait et abandonnant AL, je mempressais de me déshabiller et reprenais les opérations ou je les avais laissées. Heureusement AL était toute chaude, ses mains caressant ses seins, jambes largement écartées, la jupe remontée sur le ventre, sa position ne donnait aucun doute sur le fait quelle était prête à soffrir, enfin quelle soffrait à moi. Je replongeais entre ses cuisses et je la pénétrais avec la langue après plusieurs intrusion entre ses lèvres gonflées ma langue fut suivie de mes doigts, pratique quelle aimait, ce qui sentendait car elle gémissait doucement au rythme des pénétrations de mes doigts qui de un étaient devenus deux puis trois, alors que le pouce senfonçait doucement dans son petit trou. Chaque pénétration de mes doigts étaient suivi dun « Oui, cest bon, continue, Oui, .. » des encouragements à prolonger ces jeux.
Au bout dun moment, elle se mit en levrette, son joli cul bien relevé, les cuisses bien écartées. Elle posa ses mains sur ses fesses et les écarta pour moffrir sa rosette.
Dans cette position, je lui léchais la chatte et remontais jusquau petit trou et de nouveau mes doigts entrèrent en action dans son minou mais aussi dans sa rosette, en allant un peu plus profondément dans cet endroit. La respiration saccélérait, quand AL me dit : « Arrêtes, prends moi vite je vais partir ».
Je me positionnais, elle avait la chatte bien ouverte et trempée, je pus menfoncer en elle sans difficultés. AL : « Oh, oui, cest bon,
Ohhh,
oui,
.»
Je commençais à lentreprendre doucement et au fur et à mesure que la respiration saccélérait et que la chatte shumidifiait jaugmentais la cadence. Pendant que je mactivais dans son minou, javais devant les yeux son joli cul.
Al : « Dans cette positon, il te plait toujours autant, tu en as en a envie,
prends le. Oui, encule moi, jespérais que tu le voudrais, jen ai tellement envie, mais rentres doucement, ça fait longtemps que tu ne mas pas prise par là »
Je me retirais de sa moule, la tenant aux hanches, je menfonçais doucement dans son fondement, pendant quAL mettait ses mains sur ses fesses et les écartait au maximum pour me faciliter laccès. Après deux ou trois essais je réussissais à linvestir doucement. Cette pénétration entraina : « OHHH,
. Oui
. OHHHHH,
. » alors que les gémissements commençaient signifiant quelle aimait ce qui se passait.
AL : « Viens, défonces moi, je veux te sentir me prendre, viens, prends mon cul»
Abandonnant ses fesses, elle glissa sa main entre ses cuisses et commença à se masturber. Cétait une espèce de double pénétration, qui je le savais allait lamener rapidement à lorgasme.
« OHHHH
.Oui
continues,
.» se suivant à bonne cadence, je la sentais qui commençait à jouir, quand tout à coup : « Oui,
., continues
baises moi fort
je vais partir OUIIIIII
. »
« Continues, baises moi fort, rentres, ne tarrêtes pas, je vais partir, cest bon, continues,
OHHHH, Oui,
»
Quelques instants plus tard, elle donnait de grands coups de reins, me pompant avec son cul, elle lâcha un : « OUIIIIIIIIII
. » quand à moi, me collant à son cul. Il était temps car javais de plus de plus de mal à me retenir, je lâchais tout dans un dernier coup de rein. Là elle explosa et eu un puissant orgasme, qui du sentendre dans tout lhôtel.
Nous tombâmes sur le lit, à bout de souffle, épuisés. Reprenant nos esprits Al me dit : « Cétait bon, très bon ces retrouvailles. Tu mas fait grimper aux rideaux, jai aimé et toi »
Moi : « Oui, cétait très bien, tas toujours un joli cul et tu sais ten servir »
AL : « Tes un mufle, mais tu baises bien et tu me fais jouir, je tadore, mais je vais dormir, je suis épuisée »
Moi : « Je vais prendre une douche » Ce que je fis.
Quand je revins, AL dormait, étalée sur le lit complètement nue.
Je me couchais et mendormais rapidement.
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