Tranche De Vie 6
Samedi 17 Juin 1978
Le lendemain matin, fatigué du voyage avion de la réunion avec ma direction, du voyage en train et des galipettes faites la veille, jétais en train de me réveiller, jétaie entre rêve et réalité et surtout le rêve était particulièrement érotique, javais une splendide nana qui me pompait vigoureusement la tige. Javais du mal a quitter ce beau rêve érotique, mais tout dun coup la réalité arriva et je vis AL positionnée à cheval sur mes jambes et qui me pompait la tige avec vigueur. Ma AL remarqua mon réveil, elle sarrêta pour me dire : « Bonjour chéri, ne bouges pas, je te finis. » Et elle repris de me sucer, me pomper,
Je sentais la pression montait et je savais que sous peu jallais tout lâcher, je lui dis : « Attention ». Elle me répondis : « Je veux boire ton jus, jattends » et elle se remit au travail. Il ne fallu pas beaucoup de temps pour que je lui lâche tout. Sans broncher elle avala le tout et disant : « Je ne veux pas en perdre une goutte », elle donna quelques petits coups de langue sur et autour du gland. Puis elle se laissa tomber sur moi « Jespère que tu as apprécié ce réveil »
« OH, oui, il faudra recommencer, jai adoré »
AL : « Ça dépend de toi »
Moi : « Bon daccord, mais encore »
AL : « En me levant ce matin, tu dormais si bien que je nai pas voulu te réveiller, par contre jai vu cette chose gonflée, dure, qui se dressait. Vu son état, je me suis dit quen temps que femme dévouée à mon mari, je ne pouvais pas laisser cette chose éclater. Je me suis dit alors quil fallait que je la vide, et voilà, jusquou ma poussé mon devoir dépouse » et elle éclata de rire en membrassant.
Puis se levant elle me dit : « Je prends une douche et ensuite tu moffres un plantureux petit dej, je meurs de faim,
et surtout pas de plaisanterie graveleuses »
Nous partîmes petit déjeuner, charger la voiture et en route pour le long ruban de route.
Cela faisait une heure et demi environ que nous roulions et AL avait pris sa position favorite pour se reposer.
« Il manifeste son plaisir davoir vu tes jolies cuisses »
AL : « Mais de quoi se mêle-t-il ? ce connard»
Moi : »Laisses tomber, cest la jalousie,
»
Le bitume défilait sous nos roues. Nous arrêtâmes sur une aire de parking pour prendre un café, un sandwich,
et on repris la route et AL repris sa position, le dossier moins incliné cependant. Elle était bien reposée. Environ une demi heure plus tard, japerçu de loin le semi et le dis à AL.
« Tu es certain » me demanda-t-ellle. « Complètement. » dis-je.
AL : « Ne le double pas maintenant, je vais lui faire payer de mavoir réveillée en sursaut tout à lheure »
Moi : « Que vas-tu faire ? »
« Toccupes, conduits, je te dirais ce quil faudra faire. »
AL redescendit le dossier pratiquement à lhorizontal, remonta sa jupe, enleva son string et remis ses pieds sur le tableau de bord, les jambes bien écartées.
AL : « Maintenant, tu vas le doubler et rester le plus longtemps possible à sa hauteur. Je vais lui apprendre à me réveiller pendant que je dors et lui faire faire de mauvais rêves»
« Mais que vas-tu faire »
AL : « Doubles le »
Je craignais ce quelle allait faire, mais cela risquait dêtre intéressant.
La voiture devant moi mis son clignotant et entrepris de doubler le semi, je suivis.
Je mempressais de méloigner.
AL : « Ce con ma excité, enfin je me suis excitée. »
Moi : « Cest lexhib qui ta chauffé. Tu ne penses pas que tas été une belle salope ? »
AL : « Daccord. On sort de lautoroute. Il faut quon trouve un coin tranquille »
Moi : « Pourquoi ? »
AL : « Tu veux un dessin. »
Al remonta le dos du siège, mais avait conservé sa main entre ses cuisses et je la soupçonnais de continuer à se caresser le minou et comme elle disait « à se finir » Si je voulais profiter de loccasion javais à me dépêcher.
Donc, péage, sortie de lautoroute, première à droite et sur la nationale nous passons un petit village au loin une petite forêt, on la vise, une route secondaire, un chemin et le petit bois, ou lon sarrête à la demande de AL. On descend, le coin et tranquille.
AL vient vers moi, se colle à moi et me dit : « Jai envie de baiser, viens prends moi »
Elle se retourne, sappuie sur le capot, relève sa mini écarte les jambes et me dit : « Viens, baises moi, baises la salope.»
Je commençais à lui caresser la chatte, qui était bien humide, son exhib pour le routier lavait chauffée sérieusement et pourtant cela navait pas duré longtemps, enfin profitons en. Elle mis ses mains sur ses fesses et les écarta et de nouveau me dit « Viens, pas de préalable, prends moi baises moi comme une salope que je suis.
La mutation
Lundi 3 Septembre 1979
En septembre jétais muté au Tobega, là ou javais déjà fait une mission, en remplacement du responsable qui devait rentre en France pour raison de santé.
Le travail était dur, mais nous nous étions intégré dans une bande de couples et de célibataires femmes et hommes qui aimaient samuser. Lâge moyen tournait autour de la trentaine.
En général Samedi soir cétait barbecue ou paella chez lun ou chez lautre et après vers 22,00 h tout le monde se retrouvait au club. En fait ce club était un genre de club style anglais. Cétait un petit complexe comprenant une piscine, un restaurant, des bungalows et une boîte de nuit, le tout sécurisé et dans une forêt de palmiers. Il fallait, bien sur être coopté pour pouvoir y être accepté comme membre. En principe tous les expat réussissaient à devenir membre. Après le club du samedi soir, le lendemain cétait la plage pour récupérer.
Un nouveau couple
Samedi 24 janvier 1981
Aux environs de début Janvier, un nouveau couple sintégra à la bande, lui B militaire, sportif, beau mec daprès ces dames. Sa femme Véro jolie, cheveux blonds longs, yeux bleus azur, 1,68 m à peu prés, des seins épanouis, classe C, (confortable), on aurait dit une poupée. Rapidement elle avait récupéré ce surnom.
Un dragueur
Samedi 20 juin1981
Ayant été invités par des Allemands, ce samedi soir nous étions arrivés en club vers 22,30 h. Le tour de la bande pour saluer et nous nous sommes mis à danser. Quelque temps plus tard, jai eu limpression que B serrait dun peu près AL. Pas dimportance elle est capable de se défendre.
Après quelques danses avec B, jinvite AL et lui demande si elle drague le beau militaire. Elle me répond, en riant, quelle est draguée que cela fait 3 samedis et que, somme toute, cest bien agréable.
Vers 2,00 du matin nous rentrons tranquillement et avant de se coucher nous buvons le dernier verre. Sur le ton de la plaisanterie, je lui demande si B sest enfin déclaré ?
AL : « B continu de me draguer, mais il avance à petits pas. Je pense quil essaye de savoir jusquoù il peut aller. En lencourageant un peu jaurai certainement eu un rancard ce soir. Il espère que lon sera là samedi prochain. »
Moi « Tu crois vraiment quil va te filer un rancard ? et disons deuxième question as-tu envie quil te donne rancard?»
AL : « Ça mamuse de me faire draguer, je pense quun homme peut encore avoir envie de me filer un rancard. Non, »
Moi : « Certainement, il ny a aucun doute la dessus. Il te file un rancard, tu fais quoi ? Tu vas aller te promener sur la plage en lui tenant la main.
Soit réaliste, à nos âges, si un homme drague une femme mariée cest pour lamener, plus ou moins rapidement, au lit. Donc question suivante as-tu envie de baiser avec ce mec ?»
AL : « Je naime pas beaucoup ce terme,
Mais quest-ce que tu dirais si jacceptais son rendez-vous ce qui daprès toi entrainerait la suite. »
Moi : « Tu veux changer de partenaire ? Je peux aller le voir et lui dire mon cher B, je te prête ma femme pour cette nuit. Je peux même ajouter je te garantie que cest une sacrée affaire au lit, cest un bon coup. Cest la mode, un mari prête sa femme à un ami ou à une amie, ou linverse. »
AL : « Tu es un grossier personnage. Je vais me coucher. »
Nous sommes allés nous coucher bien sagement.
La concession
Dimanche 21 juin 1981
Le lendemain plage et farniente.
Pendant la journée je métais demandé si elle plaisantait, si elle voulait me faire marcher. Javais fini par penser que la discussion de samedi était une simple conversation daprès boire.
Lundi 22 juin 1981
Le lundi soir AL au cours du diner remis la question sur le tapis. « As-tu réfléchi ? Où samedi prochain, quand il recommence à me serrer, je lui dis quon en reste là et cest terminé. Où, je le laisse avancer en lencourageant un peu, et jaurais mon rancard avant la fin de la soirée, disons avant minuit et je pense que tu as raison pour la suite, le rancard pourra se terminer comme tu las dit, au lit. Alors, ta position ?»
Moi : « Tu as envie de te taper ce type. Quest-ce quil a de spécial »
AL : « Cest un beau mec, et comme tu las dit je serais tentée, pour une fois, de changer de partenaire, si tu es daccord. »
Moi : « Je pense que tu en as très envie. SI je ne suis pas daccord et vu ton état desprit actuellement tu nen feras quà ta tête et accord ou pas accord si tu as décidé de te faire sauter par lui, tu le feras. Le dilemme est le suivant, en fait, daccord je sais avec qui tu baises, pas daccord je ne sais pas. Gros dilemme. Je suis daccord, mais à une condition. Je veux assister ».
AL : « Quoi, tu veux être dans la chambre et nous regarder
»
Moi « Vous nallez pas vous retrouver à lhôtel, cela ferait jaser. Tu le fais venir ici, vous utilisez la chambre, et je pourrais regarder discrètement par le naco de la salle de bains qui donne sur la chambre. On avait trouvé cette petite fenêtre idiote, ben elle va servir. Quen penses-tu ?»
AL : « Tes un voyeur »
Un peu plus tard dans la soirée, jétais dans mon bureau quand AL entra. « Vraiment, tu me laisses aller avec lui et tu veux regarder. Pourquoi ? »
Moi : « Disons que je suis curieux, certains hommes offrent leur femme à des amis et assistent aux ébats dans la chambre, la mienne a très envie de changer de partenaire, jaccepte, mais je veux voir, discrètement. »
AL : « Si tu veux je peux encore tout stopper»
Moi : « Allons ma chérie, tu nas pas envie de tout stopper. Au début je pensais que cétait une discussion daprès boire, mais tu insistes tellement, donc tu en as très envie, ça te fait plaisir, je suis certain que tu en rêves. En contrepartie je demande à regarder discrètement. Tu admettras que ce nest une grande exigence et peut-être que ça texcitera de savoir que je te regarde »
AL me répliqua alors avec son sourire en coin
AL : « Oui, et toi tu fais partie des hommes que ça excite de voir leur femme se faire sauter, ça te fait bander »
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