La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°988)
Olivier au Château (Nouvelle saison, nouvelles aventures aux Château) - (suite l'épisode précédent N°987) -
- Ouvre ton cul avec tes mains que je te nettoie en profondeur, la pute !
Olivier obéit et il sentit alors leau sengouffrer dans son anus encore dilaté. Marie sapprocha encore plus, elle voulait que le jet deau force le passage que le chien soumis soit bien propre. Au bout dun moment estimant que suffisamment deau était entrée dans le cul de la lopette-mâle, elle stoppa le jet.
- Petite pute, tu vas maintenant garder cette eau en toi, il faut que tu sois bien propre pour tout à lheure.
Olivier sentait que son colon devait être rempli dune certaine quantité deau, la pression devint alors trop forte, ses sphincters malgré ses efforts étaient en train de le trahir et un jet deau sortis alors de son cul provoquant les moqueries de Marie.
- Voilà une bonne chose la salope qui pisse du cul ! Tu seras bien propre pour tout à lheure ? vient, prend cette brosse et montre-moi comment tu fais pour te nettoyer
Olivier se saisit de la brosse, il commença à frotter son corps ; les crins durs au contact de sa peau lui faisait mal, mais en grimaçant il continua, le regard de Marie ne lui laissait de toute façon aucun échappatoire. Il devait obéir et la brosse laissa sur sa peau des grosses marques rouges mais il savait que ce traitement aurait une récompense avec le rendez-vous avec le Maître des Lieux. Au bout de dix minutes, Marie estima quOlivier était maintenant présentable sa peau rougit par la brosse témoignait de cela. Elle mit un terme au traitement. Olivier était maintenant prêt à rencontrer le Châtelain mais il restait encore une chose à faire. Le Noble voulait quOlivier soit équipé dun appareil de son invention, il sagissait dune planche qui était pourvu dune rangée de clous, elle était fixé juste au-dessus de sa nouille, les clous dirigés vers son pénis, une sangle en cuir maintenait le tout.
- Jai été enculé ce matin par Le noble Seigneur, Le Maître et je porte en moi les traces de Sa jouissance.
- Bien, tu es une bonne salope-lopette obéissante, dit le Maître des Lieux, je tai fait venir pour que lon puisse discuter ensemble. Mais pour linstant, garde le silence et écoute-moi avec attention.
Olivier écouta avec avidité les mots de Monsieur le Marquis dEvans, le ton de la voix, le rythme, mais surtout la prestance du Seigneur, le fait de savoir quil allait passer un moment avec lui faisait monter un sentiment de plénitude. Sa nouille manifesta alors sa satisfaction dêtre nue en compagnie du Maître et découter cette divine parole. Le début dérection fit tendre le sexe, lafflux de sang dans la verge fit décalotter le gland et les quelques centimètres dérection quOlivier ne pouvait contrôler lui provoqua soudainement un cri. Il venait de comprendre à quoi servait linvention de Monsieur le Marquis quand son gland rentra en contact avec un des clous de lappareil et cette sensation était extrêmement douloureuse, cétait le bût cherché par Monsieur le Marquis, discuter avec son soumis et provoquer chez lui ce sentiment dinsatisfaction de souffrir en bandant pour le Maître.
- Tu as été un bon chien hier, mes amis ont appréciés de te voir ainsi soumis, ce matin ton cul bien serré fut un délice à forcer, tu seras je pense un bon élément de Mon Cheptel.
Olivier sentait sa queue de chien prendre de lampleur, il bandait pour Monsieur le Marquis et sa verge frottait maintenant les clous de la planche, cette invention était diabolique car Olivier ne pouvait réprimer son érection, et sentait de fortes piqures provoquée par les pointes des clous sur son gland violacé. Monsieur le Marquis savait cela, il avait déjà expérimenté son invention sur dautres soumis et savait donc que généralement des érections très puissantes étaient provoquées par Sa simple présence. Les queues des autres soumis, à chaque phrase quIl prononçait, se tendaient en avant prouvant bien le degré dexcitation dêtre traitées comme des lopettes. Et soumis Olivier était comme tous les autres ! Un chien soumis et les saccades de sa nouille tendue vers la planche cloutée étaient le signe de son avilissement, de sa dévotion, de son état même de soumis heureux. Il était meurtri dans sa chair piquée par les clous et pourtant il bandait comme un cerf. Et plus le Noble parlait, plus Olivier bandait, malgré les douleurs sur le gland piqué qui lui procuraient paradoxalement du plaisir masochiste fort. Douleurs fortes et envies déjaculer se mélangeaient. Monsieur le Marquis continua :
- Je sais par Walter que tu as joui ce matin, sache que cela nest pas tolérable, cest inacceptable et strictement interdit déjaculer sans Mon ordre. Tu seras donc sévèrement puni pour cette impardonnable faute, comme te la déjà dit Walter. Mais comme tu me sembles un soumis convenable, et en attendant ladite punition, je veux que tu te masturbes devant moi, si tu sais bien ty prendre, tu jouiras rapidement car tu y es autorisé juste pour maintenant et tu sauras diriger ta nouille vers le bas il ne faudrait pas que tu heurtes brutalement ces clous si tu ne veux pas écorcher ton gland
Tu sais que cest moi qui ai inventé cet appareil ?
Olivier bandait de plus belle, et à lordre de Monsieur le Marquis, il commença les mouvements de la main, maladroitement il chercha sa verge quil ne pouvait pas voir à cause de linvention du Noble Seigneur.
- Tu ne peux plus jouir petite lopette, pourtant je tai donné un ordre, tu dois arrêter de diriger ta nouille vers le bas car je sais par expérience que la seule méthode pour éjaculer et que tu acceptes que ta nouille de chien entre en contact avec les clous, soit digne de Moi, cest un mauvais moment à passer
Olivier se montra courageux pour satisfaire le Maître son gland heurtait maintenant les clous, mais en faisant ainsi il donnait satisfaction au Noble Seigneur et à cette évocation il éjacula en grognant au risque décorcher le gland, la douleur était pourtant forte tout en ayant un plaisir jouissif. Douleur qui stoppa dès que la nouille débanda.... Seul le plaisir de satisfaire Monsieur le Marquis était là, il était en ce moment un chien soumis dont le bût était dêtre aux pieds du Maître
Et sur ordre de Celui-ci, Olivier se mit en levrette, lappareil entre les jambes, afin de lécher son propre sperme tombé sur le luxueux tapis dOrient
Alors quil était en train de faire le chien renifleur, tout en léchant le tapis à ramasser son foutre au bout de sa langue, il sentit quon le maintenait fermement par les hanches.
(A suivre
)
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