L'Infirmier !

L’été tire à sa fin et après plusieurs semaines d’un intense travail estival, je m’accorde un peu de repos à Cannes. Sea, sex and sun. Durant l’été, rencontrer des filles était simple —pour ne pas dire facile. Mais pour l’heure, c’est mon besoin de “croquer du mâle” qu’il me faut satisfaire. Je n’ai pris aucun risque à draguer des mecs dans la petite cité balnéaire où je me trouvais.
Cannes m’a toujours offert de multiples possibilités pour la drague masculine. Du petit parking à l’entrée du Port Canto à celui du Palm Beach, en passant par la plage en face du square Mistral, dans les massifs du square Carnot ou encore à l’excellente Croix des Gardes, il est très rare de ne pas trouver quelqu’un qui convienne. Tout est relatif, car la complicité ne dure en général que le temps d’une pipe. Mais il m’est souvent arrivé de commencer par une pipe dans les bois et de finir à l’hôtel où ailleurs avec la même personne ! Ce n’est qu’un mélange de chance et de hasard.
En pieds à terre, je prends une chambre dans un hôtel sympa. Ce n’est pas le Carlton ni le Martinez, mais la chambre est très cosi et offre surtout tout le confort dont j’aurai besoin pour me détendre. Mon sac déposé, j’envoie la musique et me fais couler un bon bain. Enfin, je m’octroie un peu de temps pour être fin prêt, ne négligeant aucun détail en prévision d’une soirée que j’espère au moins fructueuse.
Je mange un bout en ville et vers 22h30, je me lance dans les allées de squares Carnot qui semblent bien calmes. Je commence par la grande boucle durant lequel je rencontre surtout des séniors prétextant faire pisser leur chien pour chercher quelques plaisirs rapides. Vers les bancs situés au centre de l’esplanade, un gars m’accoste. La première chose que je perçois de lui est une puissante odeur de tabac froid, la suivante, celle de l’alcool. Rédhibitoire. En arrivant près d’un autre, ce dernier se retire afin de se cacher dans un recoin sombre. J’ai certes de gros besoins, mais je fonctionne au feeling depuis toujours.

Là, je ne me sens pas serein, et continue mon circuit.
À l’autre bout du parc se trouve une bande de jeunes riants et parlant fort, comme nous l’avons tous fait à cet âge. Plus bas, mon œil est attiré par un gars vêtu d’un T-shirt blanc remontant le boulevard. Voici le genre de personne qui me plaît. Belle carrure, démarche fluide et régulière, port de tête... À l’instant où je me demande s’il ne fait que passer son chemin, il s’engage dans le square. Ce qui rend ce jeune homme de plus en plus attrayant. Je me rapproche de lui en quelques pas puisqu’il s’est immobilisé un peu plus bas dans le chemin.
Il se tient face à moi. Son jean est ouvert à la taille et sa main effectue un lent branle sur sa verge, ne laissant planer aucun doute sur sa présence ici ce soir. Je saisis délicatement ses bourses bien lourdes en le saluant tandis que de lui-même, il rend les armes, abandonnant son sexe à ma merci. En plus d’être très bien monté, aucune odeur ne vient parasiter mes sens. Voilà ce dont je rêvais depuis des semaines : un mec qui m’excite et me présente quelque chose de bien consistant. Fier de ma trouvaille, je m’accroupis pour bien l’admirer et faire gentiment connaissance. N’y tenant plus, je fais glisser entre mes lèvres son vît prometteur.
Son beau gland doux se dilate en quelques va-et-vient pour devenir vraiment imposant. Je tâche de l’envoyer loin dans ma bouche pour remonter au maximum sa hampe du bord des lèvres, mais il est long autant qu’épais. Pas de mauvaises odeurs, pas de goûts forts, cette queue est un délice. Je gobe ses bourses à la saveur étrangement salée puis reprends ma succion de plus belle. Je ne suis pas pressé, mais mon besoin de sucer est ce soir à son paroxysme, je pourrais aisément en sucer 4 ou 5 à la suite.
Ses doigts étreignent mes cheveux pendant qu’il m’encourage à continuer cette excellente pipe. J’agrippe ses fesses à pleines mains et l’attire à moi pour mieux le sentir pénétrer ma bouche. Il m’accompagne dans ma recherche, n’hésitant plus à propulser son bassin en avant.
Je reprends ses bourses d’une main en plaçant mon majeur sur son anus et le viole d’autorité, ce qui le fait instantanément durcir un peu plus entre mes lèvres.
Cette pipe n’est pas violente, mais tout de même très intense. Je pense que nous avons autant besoin l’un et l’autre d’accéder à la jouissance. D’ailleurs, il ne tarde pas à se déverser dans ma bouche. Il jouit en silence, se contentant de trembler de plaisir à chaque giclée, les couilles hautes, l’anus refermé compulsivement autour de mon doigt.
Enfin je renoue avec la semence d’un homme, cette douce récompense dont il est impossible de se passer dès lors que l’on y a goûté. J’en déguste les dernières gouttes en coulissant tout doucement sur sa hampe, évitant de trop insister sur son gland rendu hypersensible par sa jouissance. Mais sa queue, je ne la lui rends pas. Il m’est impossible de l’imaginer quitter ma bouche pour l’instant.
Il débande en caressant mes cheveux, appréciant de toute évidence mon comportement à son égard.
— Tu aimes ça, j’ai l’impression. finit-il par chuchoter. Quelle fougue ! Elle n’était pas trop salée ? Je sors de la plage.
— J’adore, et j’en ai trop besoin ! répondis-je. Tu décharges toujours autant ?
— Désolé, mais quand on s’occupe bien d’elle...
— Elle est à adopter ? Je veux bien prendre son éducation en charge.
— Pas facile à gérer, elle prend beaucoup de place au quotidien. ironise-t-il en refermant méthodiquement son pantalon, visiblement peu pressé de s’enfuir. À moins d’être insatiable.
— Chiche ? Il ne faut pas trop m’en promettre ce soir, tu sais.
Nous sortons ensemble de notre zone d’ombre et marchons pour remonter l’allée. Au loin, les jeunes rient encore, il doit être 23h30, la fraîcheur de la nuit est si agréable. Nous marchons en discutant tranquillement. Il connaît les raisons de mon abstinence au bout de quelques minutes et toutes les raisons de ma présence à Cannes pour quelques jours. David est homo et vit seul par choix délibérer.
Son métier d’infirmier lui donne autant de plaisir que d’opportunités, il n’a aucune envie de se fixer pour l’instant. Rajoutant même que la simple idée de vivre les galères de la plupart des couples homos qu’il connaît lui donne des boutons.
J’apprécie ce mec très sympathique autant que j’ai apprécié son excellent membre. Passer un peu de temps à le connaître davantage ne me déplairait pas. Quand je lui parle de mon manque d’homme et de mon besoin de m’amuser avec une belle queue, il se porte candidat. Mais pas n’importe comment et encore moins n’importe où. L’idée de me suivre jusqu’à mon hôtel n’est pas pour lui déplaire, d’autant qu’il ne travaille pas le lendemain.
Nous redescendons ensemble dans ma voiture jusqu’à la sienne avant de nous suivre. La porte passée, le veilleur de nuit arbore un large sourire en nous souhaitant une bonne fin de soirée lorsque nous montons dans l’ascenseur. Il n’est pas dupe et nous ne devons pas être les premiers.
Le minibar nous permet de boire un verre avant de me proposer de prendre une douche avec lui. Nos corps se révèlent en pleine lumière, le sien est particulièrement appétissant, très musculeux et pratiquement imberbe. Serré contre lui sous l’eau tiède, j’apprécie la douceur de sa peau lisse en nous savonnant. Aucune parcelle de notre anatomie respective n’est épargnée, même s’il aime insister sur ma chute de reins.
Devant son d’insistance, je lui présente mon dos. Cambré et en appui contre le carrelage de la douche, je sens sa belle queue prendre de l’importance entre mes fesses. L’eau coupée, il verse du gel douche en bas de mon dos qui naturellement glisse le long de ma raie. Sa verge glisse délicieusement entre mes globes que je ne peux m’empêcher de remuer, plus chaud que jamais après tant de frustration.
J’att ses bourses entre mes jambes en lui disant que si j’ai aimé le sucer, j’ai hâte qu’il me prenne, que je vais devenir dingue si ça dure trop longtemps. Devant mes suppliques, il parcourt de son gland plusieurs fois mon sillon, se présente à maintes reprises contre mon anus palpitant de désir avant de s’en éloigner de nouveau.

— Tu vas bientôt m’avoir en toi. Ne m’as-tu pas fait venir pour ça ? Je vais te prendre tout en douceur. J’adore que ça dure longtemps, tout doucement.
— J’en ai tellement besoin, à un point que tu ne peux imaginer. soupirais-je en le sentant revenir vers ma porte dérobée.
Alors qu’il s’immobilise pour titiller une nouvelle fois mon anus de son nœud plein de savon, hors de raison, j’envoie un léger coup de reins et le sens juste s’engager de quelques millimètres. Mais la raison me rappelle à l’ordre au moment où il me dit :
— Hyper tentant, mais pas raisonnable, non ?
— Non, dommage d’ailleurs.
Il rouvre l’eau pour nous ôter toutes traces de savon. Face à lui, je glisse au sol et glisse cette verge tant espérée entre mes lèvres, déjà sous le charme de mon nouvel amant. Je sais maintenant que je viens de rencontrer un mec bien.
À peine séchés, nous nous retrouvons sur le lit. Lumières douces, un fond de musique et je retrouve David sur le lit dans un exquis 69. Il me suce avec douceur, n’oubliant pas de me gober les testicules ni de perdre sa langue entre mes fesses lorsque ses doigts s’en retirent. Je lui demande seulement de ne pas me faire jouir maintenant, car je compte plutôt partir sous ses assauts. Nous avons tellement de temps pour nous faire plaisir que nous pouvons vraiment en profiter.
C’est en cuillère qu’il me prend, recouvert d’un préservatif —les siens— et non sans avoir mis la dose de gel lubrifiant. Pour la deuxième fois, je le sens glisser entre mes reins. C’est vrai que son sexe est gros, mais mon envie de lui est si grande qu’il ne me blesse aucunement. Il est même si prévenant que je dois faire des efforts pour ne pas l’aspirer d’une seule traite. Plein d’attention, il me demande comment je le sens, si j’aime sa grosse quéquette, car il a l’intention de m’enfiler longtemps, très longtemps.
C’est lui qui mène la danse. Il me chuchote qu’il peut tenir le temps qu’il veut, que je l’ai bien sucé tout à l’heure, qu’il a beaucoup apprécié que j’avale son foutre. Sa queue gagne sans cesse du terrain, elle est longue, épaisse et me fait un bien fou ! Il entre en moi aussi aisément que si nous en étions à notre deuxième ou troisième sodomie !
— J’en ai tant besoin. Prends-moi, près je te sucerai pour te faire jouir.
— Je te réserve tout mon sperme alors, puisque tu as l’air de l’aimer.
— Oui, s’il te plaît. J’adore le sperme. Oh oui, baise-moi comme ça. Tu es si grand dans mon ventre !
— Elle est assez grosse pour toi ?
— Elle n’est pas grosse, elle est énorme. Je n’en espérais pas tant. Mais ne t’arrête pas de me la faire sentir, j’adore.
Il m’envoie son gland de plus en plus loin dans mon ventre, je sens maintenant ses bourses venir s’échouer sur mes fesses. Ma queue dans sa main, il me dit que je suis bien monté également et qu’il adore mes grosses couilles.
Il va me prendre dans toutes les positions, ne cherchant qu’à me donner le plus de plaisir possible. Il a vite compris que j’appréciais qu’il aille au plus profond de mon ventre et ne s’en prive pas. Je ne saurais dire combien de temps nous avons copulé lors de cette première étreinte, mais il a fini par m’arracher des râles de jouissance.
— Oui, David... Oui, tu me fais jouir !
Sa queue semble soudain devenir encore plus grosse tant la jouissance me fait se contracter autour de lui. Il m’assaille de quelques profonds coups parfaitement maîtrisés qui me fond presque hurler de plaisir en expulsant spontanément le contenu de mes vésicules séminales dans un orgasme anal extraordinaire.
— Jouis, vas-y, lâche-toi. dit-il en me prenant toujours fermement. C’est bon, hein, de bien se faire enculer. Oui, vide-toi bien. C’est trop bon de te voir prendre ton pied.
Le temps est purement abstrait et n’a plus d’emprise sur moi dans de telles circonstances. Il sait exactement adapter son rythme pour me donner les meilleures sensations, pour enfin cesser tout déplacement et rester parfaitement immobile. Seules ses mains sur moi restent activent. Lorsqu’enfin je finis par recouvrer mes esprits, je me rappelle qu’il s’est réservé pour satisfaire mes papilles. Le temps d’attr une serviette pour essuyer mon sperme, je reviens me blottir contre lui.
— De quelle planète viens-tu ? dis-je en saisissant la base de sa verge dont il a déjà ôté la capote.
— De la même que la tienne, me semble-t-il. En tout cas, on parle le même langage !
— On a l’air de bien se comprendre, en effet. Tu m’as fait jouir, un truc de dingue.
— C’était bon on dirait.
— Wouahhhh... il ne me manque plus qu’à te boire pour être comblé. Hummm... cette queue !
Avec beaucoup de tendresse, je mets tout mon art à sa disposition. Plus ma bouche va et vient sur son membre, plus son nœud s’épaissit. L’orgasme le terrasse rapidement. Il décharge puissamment, comme si sa semence était intarissable. J’en avale chaque giclée avec délectation, la tête pleine d’étoiles et le ventre encore en émoi. Mon Dieu que cet homme est bon, et qu’il est bon de pêcher avec lui. Je le suce jusqu’à ce qu’il soit entièrement vidé et partiellement détendu.
Ma tête sur son ventre, j’étreins tendrement ses bourses, fasciné par la beauté de son sexe. Lorsque je me sens bien avec un mec, je sais être très tactile, et son contact me fait le plus grand bien.
— Tu préfères les filles ou les mecs ? demande-t-il en caressant mes épaules, remis de ses émotions.
— Difficile d’être catégorique. Les deux je pense, mais je ne suis que passif avec les hommes. Il s’agit donc de deux types de rapport totalement opposés, pour moi. J’ai souvent l’impression d’être un trait d’union entre de mots. Pour exister, il me faut les deux. Et toi ?
— Uniquement les hommes. Les filles ne m’attirent absolument pas.
— Tu as déjà essayé ?
— Oui, deux fois vers les 18 ans. C’était plus pour me conforter dans mes convictions que par envie. Mais ça n’a rien révélé en moi, si ce n’est que je me suis définitivement senti homo. Sans aucun regret ni remords, d’ailleurs. Tu as commencé jeune avec les hommes?
— J’avais 19 ans quand j’ai voulu passer du fantasme à l’acte. Je venais de rompre avec une copine, et de plus en plus souvent, de belles queues dansaient devant mes yeux... Un mec m’a abordé sur un parking de drague homo. En discutant, il a vite compris que c’était une première pour moi et m’a proposé de le suivre chez lui prendre un verre, en tout bien tout honneur.
— Tu n’a pas eu peur de le suivre ?
— Euh... j’avais un putain de trac, mais tellement envie de mettre un goût sur mes rêves de mecs, que j’ai accepté.
— Couillu comme démarche. Tu ne fais rien à moitié, toi. Et alors ?
— Impulsif parfois, c’est vrai. Arrivé chez lui, il m’a servi un grand whisky — j’en avais besoin— puis m’a demandé ce que j’étais venu chercher sur ce parking. Rouge de timidité, je lui avouais que je désirais depuis longtemps sucer un homme et savoir quel goût avait le sperme. Je te jure, je me branlais souvent en imaginant que des mecs déchargeaient et que j’avalais leur foutre. De plus en plus souvent ! J’avais goûté le mien, mais c’est difficile de savoir ce que l’on ressent au moment précis où un mec jouit sans l’avoir vécu !
— C’est clair. Si tu es là ce soir, c’est que l’essai a été concluant, donc ? Comment ça c’est passé ?
— Il m’a demandé si j’étais disposé à essayer avec lui, s’il me convenait. Il avait la quarantaine, plutôt bel homme, grand et costaud. Écarlate, j’ai bredouillé un “oui”. Il s’est alors déshabillé devant moi. Lorsqu’il a enlevé son pantalon, j’ai cru rêver en voyant sa grosse queue. Je croyais que les grosses queues n’existaient que dans les livres pornos, mais non. Après m’avoir demandé si j’allais bien, il m’a pris la main et m’a invité à venir dans sa chambre. Là, il m’a déshabillé, puis j’ai pu goûter cette queue de rêve et faire ma première pipe. C’était génial. Lui était génial aussi.
— Il a joui dans ta bouche ?
— Oui, j’ai tout avalé. Il ne déchargeait pas autant que toi, mais j’ai aimé. J’avais bien imaginé le goût.
— Et ta première sodomie, tu l’as connu beaucoup plus tard ? Parce que t’aimes ça, aussi, mon salaud.
— Environ une heure plus tard. Je te jure, il m’a ouvert à tous les vices. Il savait très bien s’y prendre. On s’est revu plusieurs fois, c’était toujours meilleur. Depuis, je n’ai jamais cessé d’aller d’un bord à l’autre, prenant le meilleur des deux côtés.
— Faut dire que tu as de sacrés atouts ! T’es un bon coup, tu sais ? T’as un cul hyper sexy qui n’a pas de mal à prendre lourd. Tu n’as ps eu mal les premières fois ?
— Non, pas vraiment. Il m’a bien ouvert, d’abord avec sa langue, puis avec ses doigts pendant que je le suçais. J’étais tellement fasciné par cette grosse queue ! Elle était à moi, je m’éclatais ! Il est rentré tout doucement, centimètre par centimètre... c’était comme dans un film, mais avec mon cul.
— Hummm... tu m’excites, je vais encore devoir te sauter dessus. Et tu avales à chaque fois ?
— Non, en général, il faut que je sente un peu la personne. Avec toi par exemple, je ne peux concevoir de te laisser jouir dans une capote. Je me sens très à l’aise avec toi et en plus, j’adore ton sperme. Vraiment.
Que sa présence est agréable, je ne regrette pas mes vacances. De raconter mes souvenirs m’émoustille, j’ouvre une demi-bouteille de champagne. D’abord pour le plaisir, mais aussi pour enlever le goût de son sperme devenu âcre en parlant.
Puis sa verge s’offre à ma bouche comme une évidence, impossible de ne pas en r. Sucer au champagne est sympathique, mais je le veux dans mon ventre. J’ai besoin de sentir mes fesses séparées par son beau sexe. Lorsqu’il bande entièrement, je lui enfile un préservatif et viens rendre honneur à Andromaque en le chevauchant. Il me prendra encore longuement et tendrement avant de me réserver sa délicieuse semence au final.
Sous la douche, il m’avoue ne pas avoir très envie de rentrer. Je le rassure en lui disant que j’ai bien l’intention lui faire payer sa part. Une moitié en nature, l’autre en liquide.
Après quelques heures de sommeil, je profite agréablement du réveil triomphant de David. Je le suce presque amoureusement jusqu’à ce qu’il déverse dans ma bouche de quoi largement tenir jusqu’à l’arrivée du petit déjeuner. Le contrôle éjaculatoire de certains hommes m’a toujours laissé perplexe. Sa capacité à jouir “à la demande” est un vrai plaisir, j’en ai rencontré quelques-uns comme cela.
Le reste de la matinée s’est passé dans cette chambre à parler et baiser, même si ce n’est pas le terme le plus adapter à la qualité de nos rapports. Nous n’en sommes sortis que pour aller manger. Je passais l’après-midi seul en ville à faire divers achats. Nous avions convenus qu’il me retrouve le soir à l’hôtel.
Il m’offrit encore une belle nuit mouvementée. Nous avions la jeunesse pour nous et nous récupérions plutôt vite. Il partit le lendemain après le petit déjeuner, après s’être acquitté une dernière fois de sa dette, tant en nature qu’en liquide. La seule différence, c’est que pour la dernière fois, d’un commun accord, il m’a pris sans préservatif. J’ai pu saisir toute la grandeur et la profondeur de son orgasme au fond de mes entrailles. D’ailleurs, je ne l’ai jamais oublié.

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