Florence Bourge Débauchée
Je vais, sous forme de récit, te raconter afin de tinciter (comme si tu en avais besoin !) ce quil pourrait se passer ce jeudi.
Florence est une adorable bourgeoise, mariée, la quarantaine mais jamais satisfaite. Elle aime les aventures, le sexe, les sexes, les endroits insolites, les vieux vicelards et les jeunes bien montés. Elle aime jouer les salopes malgré ses dehors respectables. Blonde, des formes qui font se retourner les hommes lorsquelle déambule dans les rues, tortillant ses hanches, son cul quelle aime offrir (pas seulement aux regards).
Jeudi elle doit, contrainte par une histoire que je passe sous silence, se livrer à un routier qui a envie de se soulager dans sa chatte. Faire la « vide-couilles », comme elle dit, ne lui déplait pas, elle fait ça de temps à autres toujours avec le sentiment denfreindre un interdit et dy trouver de folles satisfactions. Elle a à la fois un peu peur et en même temps elle mouille comme une folle en pensant à ce type.
Il faut ajouter au tableau le fait que son mari (heureusement absent ce jeudi) ne doit rien soupçonner. Elle va être très gentille avec lui toute la journée afin quil ne se doute de rien. Et puis, aussi, il ne faut pas oublier quil y a un « vieux vicelard », un réel ami, qui a dit vouloir assister en tant que voyeur à la scène. Elle aime bien ce type qui sait lorienter, la conseiller, linciter à la débauche, la pousser au vice, lexciter. Il est très voyeur. Elle na pas envie de le décevoir. Au contraire, elle serait heureuse de savoir quil bande et quil se branle en la voyant faire la pute. Cela la fait mouiller rien quà y penser.
Ce jeudi, Florence est donc dhumeur très salope. Elle a baisé avec son mari comme elle ne lavait pas fait depuis longtemps. Elle a tous ses trous et fentes prêts pour son aventure nocturne. Elle se sent très pouffe, quasi libérée, joyeuse de faire des puteries, de faire plaisir aussi à son vieux cochon de voyeur.
Elle souffle un peu, écrit un email à son « vieux salopard » tout en buvant un verre. Elle sent quentre ses cuisses, ça coule, elle se tripote comme une folle, à la limite de la jouissance. Elle a folle envie de jouir. Elle dit ça à son ami qui la pousse à se toucher, qui lui dit quil a la queue dressée en pensant à elle, quil se branle, quil attend de la voir se faire défoncer.
Il est temps de partir. Elle va dans sa voiture au lieu du rendez-vous. Son camionneur est là. Sur le parking. A première vue il ne lui plait pas (assez corpulent, vulgaire dapparence, prolo, en somme,alors quelle est féminine, fine, belle, bourgeoise. Rapports de classes !) Quimporte, elle est là pour être sa putasse, pour subir ses assauts et puis
elle a tout de même envie dune belle bite, bien grosse, bien juteuse et des couilles gorgées de jus ce quelle pressent. Il la colle contre lui, lembrasse avec fougue. Elle répond à ses baisers, se laisse faire. Elle est sa chose. Il est bon dêtre simple chose dont on profite. Et puis son vieux cochon de voyeur la mate. Elle sera obéissante, comme promis. Enfin, elle est là non pour se poser des questions mais pour vider les couilles de ce type. Elle passe la main sur son jean. Elle soupèse, évalue. Il semble bien équipé. Il bande dur déjà. Sa bite doit être bien épaisse, bien charnue. Ses balloches bien rebondies. Elle aime les couilles, les toucher, les soupeser, jouer avec elles, les lécher. Il la trousse, passe sa patte velue sous sa jupe. Elle est tellement mouillée quil croit que cest lui qui la met dans cet état ! Ils vont derrière son camion. Elle se retourne, relève sa jupe.
Ces excès lui ont mis leau à la bouche - la mouille à la chatte, le feu au réchaud. Elle a envie de continuer. Il a compris, instinct de mâle en rut ! Il lui demande de lattendre dans sa voiture, il va revenir dans quelques dizaines de minutes. Elle écrit un petit message à son vieux, lui demande conseil. Il lui répond de faire selon ses envies, de se vautrer sans remords dans le vice, cest comme cela quelle lui convient. Seule dans sa voiture, elle attend la suite. Elle se touche, excite son clito qui jute. Elle redoute un peu mais elle laisse parler son bas ventre qui crie famine
Il revient avec
deux types. Deux balaises qui ont envie de se faire une bourgeoise bien chaudasse et bien foutue. Bien à foutre. Ils vont derrière le camion. Pas de temps à perdre. Le premier baisse son pantalon, sort son engin, lui offre à sa bouche. Elle suce, sapplique comme une bonne élève soumise. Pendant quelle opère avec conscience elle sent quune main vient la doigter. Elle redouble ses succions, tripote les bourses du type. Elle se fait enculer. Elle pense à son vieux mateur qui doit être au comble de la jouissance. Elle se lâche. Crie de plaisir. Elle aurait envie de pisser de joie, de soulager tous ses organes. Il jouit dans sa bouche, elle avale le foutre chaud et abondant. Lautre ne tarde pas à jouir dans son petit trou bien dilaté (visiblement elle doit avoir lhabitude de faire ça). Ils la remercient et partent. Ils sont polis avec les bourges. Elle remonte dans sa voiture. Son vieux lui envoie un message de félicitation : « tu as été une vraie salope.
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