Une Tranche De Vie 7
A partir de cet épisode, la rédaction des textes sera faite à deux. Tout séclairera à la fin du récit. Bonne lecture
La prise de rendez-vous
Samedi 27 juin 1981
AL Ce samedi soir, nous étions en train de nous préparer, invités à un barbecue poissons. AL avait passé une robe, courte mi-cuisse, bleue chamarrée, (que je ne connaissais pas) cousue sur elle et qui semblait lui coller à la peau avec un décolleté assez profond pour en cacher moins quil nen laissait deviner. Chaussée de sandale à talons hauts. En général toutes les femmes shabillaient sexy, elles étaient jeunes et jolies, et faisaient assaut délégance. Les décolletés étaient profonds, les jupes courtes et quelque fois très courtes Il est vrai que les couturières locales étaient très habiles. Vous ameniez un tissu et une photo dune robe, elles étaient capables de faire la robe, et cela à un prix très correct.
Je lui en fis compliment en lui disant avec une telle robe les copains vont faire un infarctus et les femmes vont tarracher les yeux.
Après le barbecue, direction la boite de nuit. Pendant le trajet jen profitais pour lui demander si elle portait des dessous enfin un string, car il était évident quelle ne portait pas de SG, ça se serait vu.
AL : « Bien sur, pourquoi cette question ? »
Moi : « Parce que ta robe étant une 2ème peau, ça se voit. Tu devrais lenlever »
AL : « Jai du mal à remonter ma robe assez haut pour lenlever. Enfin elle passe difficilement au niveau des hanches. Dis moi, plutôt, que tas envie de me savoir nue sous ma robe Ça te fait de leffet que je sois nue sous ma robe ? En fait, je me demande si cest vrai, que ça se voit tant que ça, mais pour te faire plaisir je vais lenlever. Tu pourras laisser filer ton imagination. »
En nous dirigeant vers lentrée, AL me demanda de nouveau : « Toujours daccord »
Moi : « On dirait que tu veux que je tarrête ? Jai commencé à avaler la pilule,
, je veux voir la suite.
À peine arrivée et ayant salué tout le mondée, AL sesquiva quelques minutes, en revenant, je linvitais à danser et elle me dit : « Cest mieux comme ça, imagines, je suis nue sous ma robe ! Ça te donne des idées » et elle se frotta à moi. « Alors les idées te viennent ?»
À peine la danse terminée, B était là pour linviter. Je marrangeais pour suivre lévolution et effectivement ça draguait sérieusement. B la serait de très très prés et Al se laissait faire, même je dirais quelle lencourageait.
À chaque danse que nous faisions je demandais à AL ou elle en était avec son militaire.
Aux environs de minuit, après quelle ait dansé langoureusement avec B, je lui demandais si elle lavait bien chauffé et elle me dit : « Il a trouvé une grosse ficelle, sachant que je suis prof dallemand il voudrait parfaire ses connaissances dans cette langue pour pouvoir postuler pour la brigade Franco-Allemande. On pourrait se voir pour me permettre de me faire une idée de ses capacités et que je lui indique la meilleure méthode à suivre. Il continua en me disant : « Je pense que la terrasse du Grand Hôtel serait parfaite, pour cette première approche ».
AL : « Là je lui ai dit que ce nétait pas possible. Il devait savoir quil y avait la possibilité de louer des chambres à lheure et même en ne quittant pas la terrasse je serais perdue de réputation. Je continuais en lui disant que javais la possibilité davoir une salle au lycée ou lautre solution serait quil passe à la maison, on serait plus tranquille pour travailler. Il nhésita pas, il choisit de venir à la maison. Comme convenu, Je lui proposais le vendredi après-midi, je navais pas cours et tu étais bloqué, jusque vers 16,30 h, 17,00 h sur le chantier pour les réunions hebdomadaires » Cela était parfait pour lui. Donc RV pris pour Vendredi prochain 14,00 h. »
Moi : « Cest parfait, il a du bien te chauffer ? »
AL : « Invites moi à danser, tu verras et sachant que je nai rien sous ma robe, ça te donnera peut-être des idées pour toccuper de moi.
Nous partîmes danser. Elle mit ses bras autour de mon cou et se scotcha à moi. Je la sentais contre moi et elle commença à onduler gentiment, je la tenais par les hanches et lui caressais les fesses et le dos nu, elle se frottait à moi. Sapprochant de mon oreille elle me dit :
AL : « Jaimes me frotter à toi, et je sais que tu aimes. Je suis nue à ta demande. Je commence à apprécier de navoir quune robe. Est-ce que ça texcite ? Dis moi que tu as envie de moi. Dis moi que tu veux me faire lamour, non que tu veux me baiser fort. Je veux sentir ta queue dans ma chatte, je te sens déjà me pénétrer »
A partir du moment ou AL usait dun vocabulaire grossier, cest quelle était chaude et prête à senvoyer en lair.
Moi : « Oui, jen ai envie, je vais te baiser comme tu aimes.
AL : « Moi je sens contre mon ventre un truc dur, une bosse. Elle a envie de quoi cette épée ? »
Moi : « Un fourreau bien chaud et humide. « »
AL : « Tu veux que je me fasse belle de façon à mettre en valeur mon fourreau et le reste ? »
Moi : « Oui, tu vas te faire belle, mais je veux que tu me suces »
AL : « Tout ce que tu voudras, du moment que tu me prends fort. On sen va vite, rien que dy penser, je me sens toute chose. Viens »
(Cette phrase : « se faire belle » était une espèce de code entre AL et moi, voulant simplement dire que AL mettrait une tenue sexy, une nuisette transparente ou toute autre lingerie quelle avait pu ou que nous avions pu trouver dans les magasins spécialisés ou sur les ventes en ligne de ces sortes de lingerie)
On quitta les amis, pour le parking et prendre le 4x4. Le 4x4 étant une voiture relativement haute et étant donné que sa robe lui collait à la peau, pour grimper dans le 4x4 il lui fallait soit remonter au maximum la jupe de la robe où elle avait besoin de mon aide. La voiture était dans un endroit relativement sombre. Jaidais AL à grimper dans 4x4 et jen profitais pour lui caresser lentrejambe.
AL : « Tu ne loupes aucune occasion. Dépêches toi, on rentre. Tu gares la voiture. Tu prends un verre et tu me donnes 10 minutes pour me préparer à te donner encore plus envie de moi »
Cest ce qui se passa. Je garais la voiture, mettais un CD langoureux, pour lambiance et minstallais prendre un verre, alors que AL disparaissait se préparer. Environ 10 minutes après elle annonçait : « Jarrive, jespère que tu es prêt »
Elle arriva, elle sétait recoiffée et remaquillée, mais oh désagréable surprise, était habillée dune sortie de bain. Mais linstant daprès je remarquais quelle avait des bas et était chaussée descarpins.
AL remarqua et me dit : « tu fais une tête ? » et éclata de rire. Et sur le rythme de la musique elle laissa tomber sa sortie de bains. Elle avait une tenue à me faire exploser. Elle était vêtue, enfin cest plutôt une expression, dun bustier noir en dentelle qui ne cachait presque rien de son anatomie. Le bustier était composé, pour le haut, de 2 fines bretelles soutenant un SG quart de bonnet et faisait que ses seins dardaient comme 2 obus, les mamelons pointaient durs. Pour le bas des jarretelles encadraient son minou et le triangle de sa toison, tout en tendant des bas fumés.
Elle vint vers moi en marchant comme un mannequin me montrant son coté face et arrivée à quelques pas de moi, elle fit demi-tour, javais ainsi, vue sur le coté pile et le bustier, arrivant au ras de ses fesses, mettait en valeur son joli cul. Je me levais et la prenais dans mes bras et nous nous embrassâmes. Elle se colla à moi et me dit :
AL : « Viens, avant, je veux te gouter»
Le pantalon, et le reste furent expédiés dans un coin de la salle de séjour. AL saccroupit et me prit le sexe en bouche. Sa langue tourna autour de mon gland avec énergie et ses lèvres se fermèrent dessus pour le sucer comme une grosse glace, pendant que ses doigts parcouraient ma verge. Elle me pompa encore quelque instants, le résultat ne se fit pas attendre, je bandais dur.
Elle sy assit, elle se laissa aller sur le dos et repliant les jambes, elle écarta les cuisses, ce qui me donna une vue parfaite sur les lèvres, déjà humides et légèrement gonflées, de son abricot
AL : « Viens vite»
Moi : « Je veux te gouter » et je me penchais vers sa chatte et commençais à lentreprendre, en aspirant ses petites lèvres qui pointaient effrontément. Ma langue suivi le sillon de ses grosses lèvres, pour enfin la pénétrer. Ma langue commença à la travailler, puis un doigt la pénétra, ce qui entraîna une série de petits gémissements de plaisir, un deuxième doigt rejoignit le premier alors que mon pouce allait à la rencontre son illet pour le dilater. Les gémissements me permirent daccen la pression et daccélérer les va et vient. Elle coulait comme une fontaine et souvrait de plus en plus.
AL : « Prends moi, je te veux, jaime tes doigts et ta langue mais je veux ta queue remplis moi »
Je me redressais, elle sur la table et moi debout au bord, jétait à hauteur pour menfoncer en elle. À peine entré, elle se cabra pour maccueillir au plus profond delle.
Al : « Oui, remplis moi, baises moi fort, je veux te sentir me prendre »
Je soulevais ses jambes quelle mit sur mes épaules et se cramponnant aux bords de la table je la pénétrer fortement, ce quaux sons quelle émettait lui convenait parfaitement.
AL : « OUIiiiiiiii, continues, ralentis un peu, je vais partir »
Encore quelques aller et retour et la pression étant tellement grande et ne pouvant plus tenir elle sentit que jallais tout lâcher, elle se cambra de nouveau et sentant que je me vidais, elle souvrit encore plus largement pour maccueillir entièrement en lâchant un gémissement de contentement.
AL : « Cétait bon, mais tu aurais du tenir plus longtemps, jétais bien partie, mais cétait bon. Je dirais peut mieux faire »
Nous allâmes dans notre chambre et après avoir tiré les draps AL enleva ses escarpins et se laissa tomber sur le lit telle quelle était vêtue. Je me couchais et nous fermâmes la lumière. Aussitôt, elle vint se coller contre moi. Je sentais ses seins contre mon dos son ventre contre mes fesses elle incéra une jambe entre les miennes et une main sempara de mon sexe nettement mou. Elle commença à me caresser, non plutôt à meffleurer la tige, doucement avec le bout des doigts. Elle remontait vers le gland. De façon à rendre cette caresse plus agréable, plus excitante elle lécha ses doigts et revint mamuser le gland. Ces caresses ne mirent pas longtemps à faire que la tige recommença à faire honneur à son propriétaire. Elle me glissa dans loreille : « Jai envie de toi, viens baises moi, je suis excitée, je te veux »
Alors que je commençais à bander dur, je me retournais et lui dit :
« Cest pas possible tu es une véritable chienne»
Elle éclata de rire et se retournant elle dit :
AL : « Oui, prends ta chienne de femme, prends moi comme tu veux, comme une chienne si tu veux »
Moi : « Mets toi en levrette, je vais te monter »
AL se mit à genoux et écarta largement les cuisses.
AL : « Cest ça que tu veux, viens, fais moi jouir. »
Ainsi installée son beau cul encadré par les jarretelles qui tendaient ses bas elle était bandante au possible. Avec ma queue je parcourais lentement la raie de ses fasses.
AL : « Dépêches toi, ne me fais pas attendre, tu es un monstre »
Je me décidais à mapprocher de sa chatte et caressait le sillon chaud et humide et je me décidais à la prendre, dun coup de rein je la pénétrais dun seul coup, facilement tellement elle était ouverte et bien mouillée, bien lubrifiée. Cette pénétration fut gratifiée dun : Oh,
Oui » Ce qui laissait entendre quelle avait apprécié cette pénétration un peu brutale mais efficace et qui se prolongeait par des va et vient rapide et profonds et qui chaque fois étaient ponctués par : « Oh
oui » puis des « Oh
Oui continues » cela signifiait quen aucun cas il fallait ralentir le rythme, car AL sapprochait de lorgasme et quil ne fallait pas la décevoir. Il me fallu encore quelques coups de reins de ma part et elle saccrocha aux barreaux de la tête de lit et se cabra en poussant un long cri de gorge prouvant quelle était en train de jouir de bonne façon, un flot de cyprine minonda la tige. Pour ma part métant vidé quelque temps avant, javais une trique très respectable. Après avoir légèrement ralenti mes va et vient pendant son orgasme, je me remettais à louvrage, la tenant par les hanches je continuais de la pénétrer, dailleurs avec de plus en plus de facilités tant elle était détrempée et ouverte.
AL lâcha la tête de lit et se prit la tête dans les mains pour récupérer son souffle et revenant sur terre et me sentant de nouveau en elle me dit : « Arrêtes tu mas épuisée »
Moi, tout en continuant mes allers et retours : « Non, je suis sur que tu as, encore, envie que je te prenne, tu es ouverte, tu attends que je te remplisse la chatte » et je la forçais encore un peu elle eut quelques petits gémissements qui signalaient une résurgence de son plaisir, alors que pour moi la pression commençait à monter et que je voulais aller jusquau bout de son plaisir et du mien sachant par expérience quelle était capable davoir deux et même trois orgasmes daffilés. Je persévérais et le résultat ne se fit pas attendre. AL se redressa, remonta son joli cul et souvrit encore plus en gémissant des « OH,
Oui,
Oui, ne tarrêtes pas »
Marrêter devenait impossible, il fallait que je lâche la pression, ne pouvant plus y tenir cest ce qui arriva et je me vidais, alors que AL se cabrait et accueillait ma semence avec un « Ooooohhhhh » de satisfaction. Elle sécroula à plat ventre sur le lit, quant à moi je mécroulais sur le dos. Au bout dun certain temps AL ayant repris ses esprits et se tournant vers moi me dit : « Je suis épuisée, tu es un monstre, tu es content de toi, demain je vais avoir une tête, enfin heureusement cest dimanche, dors bien »
Moi : « Il me semblait pourtant que tu avais apprécié, tu nas pas aimé »
AL : « Si, jai aimé et tu le sais, je tadore, mais tes quand même un monstre de profiter dune pauvre femme. Bon maintenant je dors »
Mois : « Merci, je nen attendais pas plus. Tu ne te changes pas »
AL : « Tout à lheure, je suis trop fatiguée » et elle se retourna.
Je me collais à elle, elle dormait déjà et quelques instants après jen faisais autant.
La semaine se passa tranquillement
La préparation
Vendredi 25 juillet 1980
AL Le vendredi mon chauffeur me ramena à la maison vers 15,00 h et je le renvoyais sur site en lui demandant de revenir me prendre vers 17,30 h, cela de façon à laisser la route libre à B, qui devait arriver vers15,30 h. Je voulais voir où en étaient les préparatifs AL était habillée dune robe saharienne beige claire, le corsage ajusté et la jupe au-dessus des genoux, le tout fermée par une série de boutons, pratiquement du haut en bas et chaussée de ballerines. Elle avait mis des bouquins dallemand sur la table du salon et soccupait à préparer du café. La regardant se déplacer, je lui demandais : « Quas-tu mis en dessous ? »
AL : « Que veux-tu que je mette, un SG et une petite culotte évidemment »
Moi : « Si tu penses quil vient pour te voir jouer à linstitutrice, tu as bien choisie tes vêtements. Mais je pense que tu seras daccord avec moi que cest plus tôt la femme mariée habillée samedi dernier avec une robe lui collant à la peau et soulignant ses formes, quil vient voir. Enlèves tout cela, mets toi nue sous ta robe, peut-être un porte-jarretelle et des bas fumés, et chausse tes escarpins. Augmentes ton décolleté jusqu'à la naissance de tes seins et déboutonnes le bas de ta robe jusquà au moins mi-cuisse. Tu dois laffoler. À moins que tu nen es plus envie.»
Ce quelle fit en disant : « Tu ne penses pas que cest un peu trop, que ça fait mauvais genre, enfin tu vois ce que je veux dire.»
Moi : « Non tu linvites chez toi alors que ton mari est absent ça veut dire quoi, daprès toi ? Il est en droit despérer que cette femme sera compréhensive et pas farouche. Tu pourras lexciter en croisant les jambes, pour quil voit sous ta robe, te pencher pour lui servir le café afin quil voit tes seins. Tu veux le chauffer. Enfin tu connais ce manège. Non ? »
Elle sétait assise sur le canapé et je lui demandais de jouer des jambes,
la jupe souvrit sur ses jambes jusquau haut des bas. Elle savait faire.
Le bruit dune voiture nous parvint. Alors que je me levais AL me dit : « Embrasse moi » Ce que je fis et sa robe ayant dégagé ses jambes, je glissais une main jusquà son intimité pour savoir ou elle en était de ses envies. Cétait bien humide.
Je minstallais dans la salle de bains que javais organisée pour assister au spectacle confortablement. Je ne pouvais savoir ce qui se passait dans la salle de séjour. Dommage.
Il se passa une grosse demi heure avant quils narrivent dans la chambre, mais le travail avait commencé, lui avait son pantalon défait et elle la robe entièrement déboutonnée.
Fin de séance
Vendredi 20 Septembre 2008
B était parti, AL boucla la salle de séjour et il se passa une dizaine de minutes avant que AL vint frapper à la porte du bureau. Jouvris elle avait conservé sa robe déboutonnée en haut et en bas et sétait refaite une beauté et se colla contre moi, les bras autour du cou.
AL : « Ça ta plu ? »
Moi : « Hum, hum, oui, et au son je suis certain que tu as apprécié ton partenaire, et de te voir ainsi, jai une trique formidable. Je vais te baiser. Appuies toi sur le bahut, relèves ta jupe,
, plus haut »
Javais devant les yeux son beau cul bronzé à part la marque blanche du slip de bain.
Elle me paraissait très conciliante, « Écartes les jambes », je glissais ma main entre ses cuisses et prenais ses lèvres encore bien gonflées à pleine main. Elle se mit à soupirer sous le traitement et écarta encore les cuisses, elle soffrait. Mes doigts suivaient le sillon humide de son abricot et remontaient jusquà son petit trou et redescendaient. Après quelques aller retour de ce petit jeu : « Arrêtes de me faire attendre, rentre, je tattends »
Mes doigts senfonçaient en elle, elle émis un long soupir et emprisonna ma main entre ses cuisses. Elle mit sa main sur la mienne et força mes doigts à la pénétrer.
AL : « Viens prends moi
baises moi fort, fort très fort, je veux te sentir me remplir
»
Je continuais à la caresser, je savais quil fallait la faire attendre, car plus je pourrais la faire attendre plus elle serait ouverte, plus elle serait excitée.
Elle écarta de nouveau les cuisses et plia les jambes pour sempaler un peu plus sur mes doigts. Elle commençait à être sous pression, jattendais le moment ou elle sénerverait, ce serait le moment ou devenant un peu grossière elle serait prête à tout.
« Viens, prends moi, mets moi ta queue à sa place dans mon fourreau, sinon je vais me finir toute seule,
baises moi fort, fort très fort, je veux te sentir me remplir
entres. »
Cétait le moment, je lui cramponnais les hanches, je me guidais en elle, elle était ouverte, chaude, bien trempée,
elle soupira de plaisir en me sentant la pénétrer. Je commençais de la pomper lentement et profondément, elle acceptait ce lent va et vient
« Oui continue, jaime te sentir quand tu tenfonces, oui encore,
enfonces moi bien, défonces moi la chatte»
Alors que je sentais que le plaisir commençait à venir, je marrêtais net.
AL : « Non continues, ne tarrêtes pas ne soit pas salaud, continues »
Moi: « Tu as vraiment un beau cul, jai envi de tenculer »
AL: « Tu en as vraiment envie, ça fait longtemps que tu ne ma pas prise par là. Oui viens »
Moi : « Tu en as envie »
AL : « Oui, viens, tu veux que je te le demandes. Hein,
oui encule moi, oui vite »
Moi : « Oui, je vais tenculer, écartes tes fesses, ouvres ton petit trou»
Elle posa ses mains sur ses fesses et les écartait de façon à mouvrir le passage. Jaimais lui prendre le cul et je savais quelle même appréciait, dautant que javais été le premier à être passé par là. Elle mavait même dit que ce passage métait réservé. Je savais quelle était prête, mais il me fallu un peu forcer le passage. Lentrée passée je menfonçais gentiment en elle de façon à ce quelle sadapte. Enfin rentré, je commençais à la ramoner lentement afin quelle me sente bien et surtout quelle adapte à ma présence.
Puis jaccélérais la cadence, au rythme de sa respiration et à la cambrure de ses reins je savais quelle commençait à séchauffer sérieusement. Je lui dis : « Caresses toi » Je savais, car elle me lavait dit que prise par son fondement et se masturbant la chatte, elle nétait plus que « recherche de plaisir »
Sa main gauche la maintenait en appui sur le bahut alors que la droite passait de ses seins à sa chatte qui devait dégouliner de cyprine et je voyais quelle sy enfonçait pour se masturber. Elle rentrait et sortait en suivant à la cadence de ma queue. Cramponné à ses hanches, je la limais sérieusement. Le souffle court, elle gémissait et criait de plaisir pendant que le plaisir montait, en attendant lorgasme qui la ferait se cambrer et maccueillir au fond delle.
Elle eut un orgasme qui lui fit pousser un OH de surprise tout en me disant :
« Ne tarrêtes, continues, défonces moi, je jouis,
, encore, encore, Oui,
»
Également je me mis à jouir, en menfonçant encore plus en elle et me collant à ses fesses je me vidais en trois ou quatre jets et un grognement de plaisir.
Il nous fallu un petit moment pour reprendre notre souffle et nos esprits et enfin se séparer. Elle semblait avoir les jambes en coton. Je la soulevais et la posais sur le bahut
Je me mis entre mes jambes et défis les 3 derniers boutons de sa robe et laidais à lenlever, Elle était nue avec son porte jarretelle et ses bas.
Je lattirais pour un baiser sur la bouche, long, tendre. Elle me dit : « Ça ta plu ? »
Repensant subitement à sa prestation avec B, il me vint à lesprit la réponse suivante :
« Oui, ça ma donné une trique pas possible. Je regrette de navoir pas prévu de prendre des photos entre autres pendant que tu jouissais, tu étais très excitante. La prochaine fois, je méquiperais »
AL : «Je ne parle pas de ça, je voulais juste savoir si tu avais aimé me prendre comme tu as fait »
Je venais de me rendre compte de la bourde et je décidais de moccuper de ses seins en les malaxant et les suçant et entre deux suçons.
Moi: « Oui jai adoré, cétait très bon, tas un cul magnifique et tu es vraiment une sacrée baiseuse, jaime te prendre par le cul. Dailleurs partout»
Pendant cet échange mes mains descendirent vers son entrejambe et sattardèrent sur sa chatte, prenant à pleines mains ses grosses lèvres et les roulant entre les doigts. Ce jeu semblait lexister et elle recommençait à mouiller. Je pris ses jambes les soulevais, elle était sur le dos et je plongeais sur sa chatte que je se mis à sucer, à lécher, à aspirer et à pénétrer avec ma langue.
Elle souffla et se laissant glisser du bahut, vint se coller contre moi.
Puis elle se laissa glisser au sol, prit mon sexe dans ses mains, me caressa et le mis en bouche, me suçant le gland, et me léchant la hampe. « Jaime te sucer et sentir nos odeurs emmêlées. On va en rester là, si tu veux, on reprendra notre conversation là ou elle en était plus tard. Jespère que tu as de la réserve ? »
Moi : « Tu es sur de ne pas vouloir terminer »
AL : « Oui, reprends des forces, je pense que tu vas en avoir besoin ! »
Nous avons quitté le bureau et nous sommes allés au salon, ou comme convenu elle me raconta ce que je navais pas vu.
Avant de commencer son récit, je lui proposais de préparer lapéritif, pendant que jallais mettre la voiture au garage, prouvant que jétais à la maison.
De retour au salon, avant de commencer son récit, en se penchant pour servir lapéritif, j'eu une vue imprenable sur ses seins libres dans le corsage de la robe. Puis elle sassit et prenant son verre après deux croisements de jambes, sa robe sétait ouverte de chaque coté de ses jambes, ce qui laissait voir ses bas. De plus, fine mouche, après avoir croisé les jambes, elle les écartai assez pour laisser deviner, en fait, voir quelle ne portait rien dautre que ses bas. On pouvait apercevoir subrepticement les lèvres de sa chatte
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