La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°991)

Olivier au Château – (Nouvelle saison, nouvelles aventures aux Château) - (suite l'épisode N°988) -

Monsieur le Marquis encula donc sauvagement encore une fois Olivier alors qu’il était de lécher son foutre en quadrupédie le museau à ras le sol. Olivier aimait être soumis de cette façon, et sa nouille qui venait d’être martyrisé ne lui appartenait plus. Le Maître des Lieux tenait à modifier le comportement et le physique de ses esclaves. Et donc pour la première punition d’Olivier, il trouvait qu’une sanction permettant l’extension des couilles du mâle-chien serait profitable. En effet le Seigneur aimait se saisir des couilles des chiens à pleines mains pour les malaxer à souhait, doucement ou violemment et leur faire comprendre que toutes leurs parties physiques appartenaient au Maître. Ainsi il décida qu’Olivier serait soumis à une extension des bourses, il voulait que les testicules soit bien visibles et non plus attachés à la verge. La punition consistait à accrocher aux testicules une sangle dont l’extrémité était pourvue d’un crochet. On pouvait faire ainsi deux choses, soit accrocher des poids qui permettait d’étirer les testicules vers le bas, ou plus pernicieux, on pouvait attacher le crochet au sol et dans ce cas-là on exigeait du soumis qu’il se lève ainsi les testicules étaient mis en traction. Pour Olivier, Monsieur le Marquis choisit d’accrocher des poids. Mais pour l’instant, il terminait de besogner son chien à grands coups de reins puissants jusqu’à qu’il se vida dans les entrailles du soumis par de longs flots saccadés de sa noble semence. Une fois cela fait, il appela son Majordome et demanda à Walter de déposer la planche de clous qui ceinturait le devant du bassin d’Olivier. Olivier put voir ainsi l’état de sa verge qui était écorchée à maints endroits par les clous, seul ses testicules avaient été épargnés mais cela n’allait pas durer. Le Maître dit alors :

- Cette petite pute a les testicules bien petits, qu’en penses-tu, Walter ?
- Vous avez raison Monsieur le Marquis je pense qu’il faudrait lui étirer les bourses afin que ses testicules pendent vers le bas, voulez-vous que j’aille chercher la sangle en cuir prévue à cet effet, un poids de 2 kilos pour commencer serait bien aussi ?
- Très bien Walter, bonne idée ! Vas donc les chercher, ordonna le Noble.

Ca sera sa première punition à ce clébard idiot !

Le soumis compris que son entrevue avec Monsieur le Marquis était loin d’être terminé. Comme un bon chien soumis, il resta à genoux en attente aux pieds du Maître. Walter revint avec la sangle et deux poids d’un kilo chacun, d’un coup de pied à Olivier, il lui exigea de se mettre debout mains sur la tête, puis prenant les testicules en mains, il passa prestement la sangle autour de celles-ci. Il ne restait plus qu’à accrocher les poids. Le Seigneur des Lieux indiqua à Olivier ce qui allait suivre :

- Dans un premier temps avec le premier poids, tu vas sentir tes testicules être tirer par le bas. La peau sera ainsi assouplie et déformée afin que naturellement elle s’avachisse comme les seins d’une femme âgée. Tu comprends ce que cela signifie, une fois fait, elles resteront à jamais dans cet état
- Oui, Maître
- Bien, continua le Noble, nous allons procéder, Walter accroche le premier poids

Walter prit alors le crochet et y mit le poids d’un kilo qui fit de suite décrocher les testicules de la verge. Olivier sentit cela, ces petites testicules prisent dans la sangle tiraient sur la peau. Il espérait que celle-ci tiendrait pour ne pas se retrouver émasculé.

- Ne craint rien, seule la peau va s’étirer et tes testicules resteront bien en place, mais au fil des séances et des poids tu seras surpris du résultat que l’on obtient. Mais je te rassure, il n’y a aucun danger quand on est expert à cette pratique. Donc à ne pas faire faire par des mains novices. Mais pour l’instant savoure ce moment, tu sens que le poids mental que j’exerce sur toi devient maintenant un poids physique …

Le soumis à ces mots eu un réflexe qui tira sa verge vers le haut car il voulait encore une fois bander pour le Seigneur, pour lui montrer que son corps était réceptif aux propos du Maître. C’était bien ce qu’il devait faire et il montra à Walter et au Noble son état de chien soumis. Le Majordome au bout d’un moment vint tirer sur la sangle, Olivier se laissa faire seul une grimace éclaira son visage. Walter dit alors :

- Ce chien a les testicules bien accrochés et il faudra plusieurs séances pour arriver à un résultat significative, on va voir ce qui se passe avec le deuxième poids …

Olivier banda de nouveau, le poids sur ces testicules était une nouvelle sensation, il s’imaginait avec des bourses bien pleines et visibles ce qui était loin d’être le cas aujourd’hui. Walter positionna le poids et Olivier sentit que deux kilos au bout de ces petites noisettes commençaient à faire. La peau était maintenant visiblement plus étirée. Monsieur le Marquis en profita pour s’assoir en face du soumis, il entreprit la lecture d’un livre, il voulait démontrer à Olivier qu’il avait tout son temps car cet exercice ou punition réclamait beaucoup de patience pour obtenir un résultat probant. Le soumis compris que seule une position digne face au Maître était nécessaire et qu’elle conditionnait un bon rendu. Il bomba alors le torse ce qui provoqua un étirement plus accentué sur ses testicules, le Châtelain apprécia ce mouvement, le chien soumis avait bien compris ce que l’on attendait de lui. Il ferait un beau chien soumis avec une belle paire de couilles bien flasques bonne à être cravachées. Cela bien entendu était le but ultime, et le chien soumis comprendrait bien plus tard comment on allait se servir de lui...

Olivier ressentait de la fierté d’être traité ainsi, mais aussi une grande excitation et son érection était vive, flagrante. Il ne pouvait la cacher ! Sa nouille tendait vers le haut alors que ses couilles vers le bas ! Une bien belle érection en effet malgré l’indifférence de Monsieur le Marquis qui lisait son livre. Cette ignorance du Maître à son égard rajoutait à ce sentiment de fierté d’appartenance, qu’il était soumis à Sa noble Volonté et cela seul comptait. C’est à la lecture du quatrième chapitre que Monsieur le Marquis demanda à Walter de faire cesser la punition, on enleva à Oliver son accoutrement et visiblement la paire de couilles pendait vers le bas. Le Noble tira dessus violement en disant :

- Petite pute soumise, tes couilles m’appartiennent maintenant, tu vois elles se détachent de ton corps nous allons pouvoir jouer avec elles, très bientôt ! … En fait, constatant ta bandaison excessive, je me demande si ce que tu viens de subir est bien une punition ! C’est le problème récurrent avec les maso soumis de ton espèce ! On veut les punir et ils en tirent du plaisir !

Alors il étira alors encore plus les testicules, contraignant à Olivier de se baisser

- Tu vois esclave ce que j’obtiens de toi, dit-il en relâchant la pression de la main. La prochaine séance on doublera le poids tu verras pour toi, on mettre beaucoup moins de temps pour obtenir un résultat. Maintenant hors de ma vue, j’ai à faire, espèce de petite salope à dresser qui bande quand on le punit ! !

Walter tira alors sur la laisse :

- A quatre pattes, chien direction le chenil et repose-toi bien car dès demain matin tu subiras la deuxième punition que tu dois encore subir pour ta deuxième faute …

Olivier docilement obéit, à quatre pattes en commençant à avancer à la suite de Walter, il sentit le mouvement de ses couilles contre ses cuisses, c’était pour lui de nouvelles sensations. Il était vraiment un chien soumis à Monsieur le Marquis d’Evans… La punition venait de prendre fin en attendant la deuxième punition méritée pour le lendemain…

(A suivre …)