Martine Veut Savoir

Martine Veut Savoir…

Après mon premier doigt mit dans les fesses de Brandon, je savais que j'allais prendre gout à pratiquer cette caresse avec d'autres hommes, avant de partir de chez lui, Brandon m'avait demandé si j'avais fais ça à son pote lors de la fellation trompeuse qui nous avait amenée à la rupture, j'ai répondu que "certainement pas à ce connard" et je lui avais retourné la question en lui demandant si c'était la première fois qu'il se faisait doigter par une fille, il m'a répondu que oui mais qu'il n'était pas homo ou bi pour autant, pour le charrier, je lui ai laissé entendre que des hommes y prenaient gout et allaient plus loin.

Cela l'avais laissé perplexe et j'étais rentrée chez moi satisfaite du trouble semé en son esprit, dans la semaine, je faisais la connaissance de Philippe, un quadra marié qui effectuait une mission d'un mois dans mon entreprise, le gars était en "Célibataire Géographique" et de suite, j'ai sentis que je lui plaisais, du moins, qu'il avait surtout envie de me sauter, son épouse était loin, il ne connaissait personne en ville, il ne savait pas où aller pour sortir le soir, le pauvre mignon, je l'ai vus arriver comme un gros camion et j'allais l'envoyer paitre quand une interrogation m'est venue, aimait-il se faire doigter l'anus…

Je me suis dite, courage ma fille, passe au niveau supérieur, teste la chose sur un gars que tu ne connais pas, un quadra en plus, ça risquait d'être différent d'avec Brendan surtout qu'un mec marié ça ne te colle pas, y a bobonne qui l'attend et il repartira à la fin de sa mission, de plus, en regardant discrètement le devant de son pantalon, il m'a semblé y déceler la présence d'un bel outil ce qui amenait un plus à mon affaire, je n'avais pas de copain depuis plus d'un mois et je me lassais un peu des câlins avec Thérèse, une bonne bite de temps en temps, je ne crache pas dessus, sauf quand il y a besoin de la lubrifier…

Le Philippe me tournait autour, un bonjour par-ci, un café par là, venant à ma table à la cantine, cela énervait un peu les vieilles biques du boulot, un type aux tempes grisonnantes qui drague une jeunette de 21 ans, ça le faisait pas, il n'était super beau mec mais avait son charme et peu de brioche, ancien sportif, 1m80, beaucoup d'entre-elles n'avaient pas ça à la maison et moi qui jouais la niaise en leur présence, sans montrer que j'avais des envies bien précises, je laissais Philippe être aux petits soins avec moi pour les faire bisquer, je savais qu'il logeait à l'hôtel et s'il ce passait un truc entre nous, ce serai chez moi…

J'attendais quand même qu'il fasse le premier pas, j'allais pas lui sauter au paf malgré l'envie qui me démangeait de plus en plus, une fin d'après midi, veille de férié et de W.

E à rallonge où presque tous le monde était déjà partit, je suis aux archives et il descend pour m'inviter à prendre un verre à la sortie du boulot, je suis en plein rangement de vieux dossiers dans des cartons, je l'écoute tout en me penchant à droite-à gauche, comme il ne se décide pas un faire un geste déplacé, je lui tend mes fesses à lui toucher le devant du pantalon et cela le met de suite en émoi, collé à moi, je sens sa braguette enfler et durcir, il me saisit aux hanches, me plaque à lui puis me caresse les seins et le derrière…

La suite coule de source comme de l'eau de roche parmi les edelweiss, il bredouille, - Martine…chère Martine et me trousse la jupe, me baisse la culotte en me tripotant les fesses, et me sensibilise la vulve de ses doigts, je dégouline déjà et ne proteste pas en entendant le zip de son pantalon vient le déchirement de l'emballage d'un préservatif et son gland empaqueté qui vient se frotter à ma vulve, je m'ouvre à lui et il me pénètre en deux coups de rein, il me sabre la chatte, cela confirme la taille évaluée de son engin, l'effet d'élargissement qu'elle me fait ressentir, sa queue m'arrache un râle violent de surprise et de contentement, je suis envahis, écartelée, remplie, il me viole, avec mon consentement, il me besogne…

L'effet d'ambiance de l'interdit au travail ou d'un manque de coït depuis son arrivée fait qu'il n'est pas long à venir, il bredouille plusieurs fois qu'il vient et se lâche dans la capote sans que j'ai réellement le temps d'apprécier la saillie, à peine a-t-il passé des doigts en ma raie pour me tripoter le petit trou, mais bon, le tringlage à la "sauvage" au boulot ce passe souvent comme ça, j'ai déjà donné, seules les pipes et les cunnis s'éternisent parfois et avec la sodomie, c'est bouclé en deux coups de reins, ce n'est pas que je sois une nympho, mais j'ai cédé quelques fois aux avances d'un responsable pour avoir des petits avantages et à la chef de la compta, une quinqua bi honteuse qui sent le pipi mais qui m'a à la bonne, ça peut servir…

Le soir, nous nous retrouvons pour un verre et Philippe m'invite à dîner, je suis passée chez moi avant pour prendre une douche et me changer, j'en ai profité pour me faire un petit lavement rapide, histoire d'être sure de moi en cas de passage par derrière, le gars est agréable en conversation, humour et gouts en commun, la soirée se passe très bien et se finie chez moi pour un dernier verre, vu qu'à son hôtel, on ne préfère pas, je met un peu de musique et nous nous affalons sur le canapé, il me remercie pour le bon moment passé aux archives et me fait comprendre qu'il remettrai bien le couvert en glissant une main sous ma jupe, je lui dis que j'ai aimé aussi mais que je n'ai même pas eu le temps de voir son belle oiseau…

Il m'invite à le faire sortir de sa cage de tissu qui présente déjà une forte excroissance, je sais que je vais encore devoir donner de ma personne mais c'est l'occasion d'aller voir si le monsieur est réceptif aux caresses sur sa petite ouverture, je lui masse le paquet puis lui ouvre le pantalon et le débraguette, je glisse une main sous son boxer pour saisir la bête chaude et turgescente qui ne demande qu'à relever la tête, je lui donne quelques caresses affectueuses qui la font se durcir encore plus, de la paume, j'effleure ses boules velues qui semble bien pleines, Philippe a fermé les yeux pour savourer mes câlins, je lui masse le gland sans le décalotter, tout en jouant avec son prépuce dont l'ouverture est déjà mouillée…

Tout en lui disant que je veux voir son bel engin, je saisis les bords de sa culotte et lui baisse le tout des deux mains, le morceau de viande se redresse d'un coup tel un serpent prêt à l'attaque, la chose doit bien mesurer dans les vingt centimètres, sans parler de son diamètre, un quatre et demi je pense, de suite l'envie de me la prendre dans le cul me titille l'esprit, et l'anus, mais ce sera pour un autre jour, je dois rester sur mon objectif, ma quête du savoir, le Saint Graal du trou de balle chez l'homme hétéro, alors je passe à la fellation pure, le buccale démoniaque, la pipe de l'enfer, de celle qui réveillerai un mort, comme m'a apprit à la faire mon prof de math pendant les récrés au lycée, je m'agenouille et lui suce la queue…

Je lui décalotte le gland de mes lèvres en anneau, Philippe a un petit gémissement feutré et ouvre un instant les yeux pour me regarder faire, puis il les referme pour en savourer les effets, j'avale toute la longueur de son dard essayant d'atteindre son pubis mais le chibre m'envahit la gorge et m'étouffe, je remonte ma bouche pour aller lui lécher les testicules, je lui ouvre un peu les cuisses mais son pantalon roulé sur ses chevilles gêne l'écartement, c'est lui-même qui finit d'enlever le vêtement, alors je descend à la cave pour lui happer les boules, je les gobe une à une puis les deux en même temps, j'ai la bouche pleine de couilles, je les enrobe de la langue et les mâchouille légèrement en le masturbant d'une main, il gémit…

Mon autre main descend vers la voie sacrée, ce chemin sensible qui sépare les bourses de la vallée anale, là surprise, de lui-même l'homme écarte encore les cuisses, cela me rassure sur ses envies et m'encourage à aller plus loin, je le reprend en bouche en humidifiant mes doigts de salive puis je les fais glisser en sa raie, ses jambes tremblent, quand j'effleure son anus, celui-ci se contracte, je demande à Philippe s'il n'aime pas être touché là, il me répond par un petit grognement dont je ne sais s'il veut dire oui ou non, alors je continus l'attouchement anal en douceur, massage circulaire de la pulpe d'un doigt sur les plis de son trou, l'endroit est assez propre et j'y passe la langue puis saisis son œillet entre mes lèvres gourmandes…

L'orifice se détend, du bout d'une phalange je le sens s'assouplir, l'homme avance ses fesses à la rencontre du doigt, pour moi c'est le signal qu'il veut le recevoir, alors tout doucement, en lui suçant la bite, je lui rentre le bout de l'index dans sa rondelle offerte, je lui demande si ça vat, il répond par un "Mmmmm" qui pour moi veut dire oui, alors j'enfonce mon doigt au fond de son rectum et le bouge dedans, le vrillant sur lui-même, j'alterne mon enculade digitale d'un pompage de sa verge, un coup sur sa quéquette et un autre dans son cul, il relève ses jambes comme ferai une femme pour être mieux fouillée, j'ajoute des vas et viens à mon doigt sodomite, le sortant plusieurs fois pour le lui mettre encore, il aime ce que je lui fais…

Pour moi, c'est évident, Philippe n'en est pas à sa première fois dans les fesses, peut-être son épouse lui fait-elle ce plaisir, son sphincter accueillant me trouble et m'interroge, a-t-il goutté plus gros, voir à quelques objets ou bien à une vraie verge, pour avoir une réponse à mes supputations, j'ajoute mon majeur sur l'index qui le fouille et lui enfonce le tout lubrifié de salive, Philippe pousse un râle forte mais se laisse enculer, je lui défonce le cul de mes doigts réunis, cela représente le diamètre d'une verge moyenne, une fois en lui, je les écarte pour les ressortir et lui les replante dans le conduit, maintenant il me dit "Arrrrhhh…ouiii…comme çaaa…", sa bite se contracte et son anus s'ouvre, je sais qu'il vat juter…

J'écarte ma bouche et le branle pour le regarder jouir, dans un spasme tendu, avec dans la voix un crie comme un sanglot, il lâche sa semence, un jet fort et fourni, puis un autre aussi dru, jamais je n'avais vu une telle éjaculation, Thérèse avait raison, la stimulation anale et prostatique provoque des chose hors du commun, je lui retire doucement mes doigts des fesses, son anus est ouvert, il pourrai servir à une bite en manque, j'imagine un instant le prendre avec un gode, ce sera pour la prochaine fois, Philippe vit sa "petite mort" puis s'enfonce dans la léthargie post-coïtale, ma chatte réclame des câlins et mon anus aussi, j'att mon Plug dans la table de chevet et me remplis le trou en me masturbant à côté de lui.
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FIN…

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