La Balade De Catherine

La nuit se poursuivit dans la douceur et la sensualité, Catherine succombant encore et encore au plaisir sous les assauts répétés de ses deux amants. Ils finirent tous par s'effondrer, leurs corps repus et comblés.

Au réveil, Catherine découvrit que Romain n'était plus là. Philippe s'affairait auprès de la piscine pour préparer un copieux petit déjeuner à sa belle comme il aimait le faire. Elle se sentait vraiment bien, épanouie auprès de cet homme rassurant et aimant. Il dégustèrent tranquillement leur collation, le regard perdu dans le bleu de l'eau de la piscine en se remémorant les frasques de la nuit.

Philippe annonça à Catherine qu'il avait une surprise pour elle. Il avait en effet réservé une table dans un très chic restaurant de leur ville pour le déjeuner. La matinée passée à flâner, Catherine alla se préparer. Il faisait chaud et elle choisit une petite robe légère et fluide de couleur claire qui mettait en valeur son joli bronzage. Elle décida de se passer de soutien-gorge et de ne porter qu'un joli tanga blanc . Pour parfaire sa tenue elle opta pour une paire de sandales à fines brides et à hauts talons fins de couleur rouge vif assorti à son vernis à ongles.

Ils arrivèrent au restaurant et s'installèrent à leur table sur la terrasse protégée du soleil par un store banne. Catherine remarqua qu'il y avait trois couverts dressés et avant qu'elle n'ait le temps d'en faire la remarque à Philippe, elle eut la joie de voir arriver son magnifique amant.

Vêtu d'une chemise blanche ouverte sur sa poitrine velue et d'un pantalon en lin, Romain s'avança vers eux, rayonnant de charme et de virilité et Catherine se sentit fondre. Il embrassa la belle et s'assit à sa droite entre Philippe et elle. Ils commencèrent à déguster un champagne bien frais en discutant paisiblement. L'entrée fut servie et les trois convives commencèrent à déguster le repas.

La serviette de Romain glissa au sol et il se pencha pour la ramasser.

Son regard fut attiré par un mouvement et il jeta un œil sous la nappe. Il vit que Catherine s'était déchaussée et que son pied était glissé entre les cuisses de son mari. Il se redressa et échangea un sourire complice avec la belle qui le lui rendit. Presqu'aussitôt il sentit une main se poser sur son sexe.

Catherine continuait à manger mais en utilisant sa main gauche pour tenir sa fourchette. Elle lui glissa un regard en coin et il sentit la pression de la main augmenter sur sa queue qui commençait à grandir. Il ouvrit discrètement sa braguette pour libérer l'objet du désir de la belle qui le saisit immédiatement entre ses doigts.

"Hum, c'est délicieux !" lança t-elle à son mari qui rétorqua avec un clin d'œil :
"Oui c'est vrai les terrines de saumon sont fabuleuses dans ce restaurant".
Sa main était glissée sous la table et jouait avec la chaînette de cheville de Catherine tout en lui caressant le pied.
La belle masturbait maintenant le sexe tendu de Romain qui commençait à se demander s'il n'allait pas passer pour un goujat en ne finissant pas son entrée. Elle dut sentir son malaise et elle décida de lui octroyer un petit répit.

Elle rajusta sa sandale et se leva pour aller aux toilettes. Les deux hommes continuèrent à manger en discutant. Catherine revint après quelques minutes et se rassit. Sa main glissa sur la table en direction de Romain et lui glissa dans la main un petit morceau d'étoffe. Il comprit immédiatement et le glissa dans sa poche avec un grand sourire aux lèvres. La main de Romain glissa sous la table et se posa sur le genou de Catherine. Ses doigts glissèrent le long de la cuisse et passèrent sous la robe, continuant leur lente progression pendant que la belle avait recommencé à manger. Les doigts de Romain atteignirent bientôt le pubis et s'attardèrent dans la petite toison, lui confirmant la nature de l'étoffe récupérée auparavant.

Son index glissa le long de la fente chaude et humide et Catherine laissa échapper un petit soupir. Lentement il caressa le sexe, son index alternant entre la grotte humide et le bouton gonflé.
Catherine se mordillait la lèvre et cette situation amusait beaucoup Philippe qui frottait son membre sur le pied de son épouse à nouveau déchaussé.

Le repas s'écoula ainsi, entre les caresses et les mets fins. Ils sortirent du restaurant et décidèrent d'aller marcher le long de la Loire. Catherine portait un chapeau rouge à larges bords et Romain, un peu en retrait, regardait ses hanches onduler, la belle marchant devant les deux hommes perchée sur ses hauts talons. Elle virevoltait en riant de temps en temps faisant voler sa robe et dévoilant largement ses cuisses.

Catherine irradiait la joie de vivre. Elle s'assit sur un banc et remonta haut sa robe sur ses cuisses. Elle croisa ses jambes puis les décroisa, accentuant l'amplitude à chaque mouvement telle Sharon Stone dans une scène de film célèbre. Les deux hommes étaient restés debout devant elle et de l'index elle les invita à approcher.

Ses mains se plaquèrent sur les braguettes et commencèrent à les caresser. Elle libéra leurs queues qui bandaient déjà un peu et les saisit à pleine main pour les branler.

Catherine arborait un sourire radieux au fur et à mesure que les sexes réagissaient à ses caresses et grandissaient. Sa bouche remplaça ses mains et elle commença à avaler chacune des queues alternativement. Philippe et Romain savouraient la douceur de la caresse tout en surveillant autour d'eux l'arrivée d'éventuels promeneurs. Catherine avait une furieuse envie de sentir dans son ventre le membre chaud de Romain. Elle se mit à genoux sur le banc et releva sa robe sur son dos. Elle glissa sa main entre ses cuisses et introduisit deux doigts dans son vagin dans une attitude provocante. Elle attrapa dans son sac à main un étui contenant le précieux sésame indispensable et le tendit au bel hidalgo.

Philippe recula jusqu'au fleuve pour immortaliser la scène avec son appareil photos mais également pour assurer la sécurité. Il ne souhaitait pas porter atteinte aux bonnes mœurs d'autant que sa femme et lui étaient connus dans la région de par leurs fonctions professionnelles.

Romain saisit les hanches de Catherine et la pénétra fougueusement, sa queue délicieusement aspirée par la chatte brûlante de la belle. Ses coups de reins arrachaient des feulements de plaisir à la jolie femme qui adorait se faire prendre comme une chienne sous les yeux gourmands de son mari. Philippe ayant vérifié que l'allée était déserte s'approcha de l'autre côté du banc et présenta sa queue redevenue molle à la bouche de sa femme qui l'engloutit avec avidité. Agitée par le rythme imposé par Romain, Catherine ne tarda pas à le rendre dure et elle était maintenant embrochée par les deux extrémités ce qui la combla d'aise.

Elle gémissait de plus en plus fort, perdant toute inhibition, toute à son plaisir et à celui qu'elle dispensait à ces deux mâles. Elle se redressa et embrassa son mari et lui souffla qu'elle voulait qu'il la prenne.

Romain quitta le vagin de Catherine et Philippe s'assit sur le banc. Aussitôt la belle le chevaucha et s'empala sur sa queue. Des deux mains elle écarta ses fesses offrant son petit œillet à Romain. Il présenta son gland luisant de la mouille de la belle et força un peu l'entrée étroite qui s'ouvrit et engloutit le membre impérieux de son amant. Les deux hommes synchronisèrent leurs mouvements pour pénétrer Catherine qui haletait de plus en plus fort au fur et à mesure que le rythme s'accélérait. Elle adorait se sentir ainsi remplie et prise avec vigueur.

Philippe se retira et reprit son poste d'observation au bord du fleuve pendant que Romain prenait sa place sur le banc. Catherine s'accroupit dos à son amant et guida son membre pour reprendre la sodomie cuisses grandes ouvertes face à son mari qui se branlait en les regardant. Romain ne prit aucun gant pour la prendre vigoureusement, s'aidant de ses mains pour la soulever sous les fesses et la faire retomber sur son bas ventre en lui arrachant des cris de plaisir.

Catherine n'était plus qu'une chienne livrée aux ardeurs de cet homme qui prenait du plaisir à la pénétrer sauvagement. Elle sentait son orgasme monter et, tout en frottant avec vigueur son clitoris, elle fit signe à son mari d'approcher. Philippe continua à se branler tout prêt d'elle et Romain s'extirpa de son cul brûlant et le rejoignit, arrachant sa capote. Lorsque les jets de sperme brûlants inondèrent sa poitrine Catherine explosa sous l'action de ses doigts dans un sublime orgasme, sa chatte ruisselant littéralement de son plaisir.

Ses doigts jouèrent à étaler les semences mélangées sur ses seins tel un onguent de beauté. La belle se remit sur ses pieds et les trois amants ayant rajusté leur tenue ils reprirent leur balade, bras dessus bras dessous, Catherine entre ses deux amants. Une surprise préparée par Philippe attendait la belle a la maison...