La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°992)
Olivier au Château (Nouvelle saison, nouvelles aventures aux Château) - (suite l'épisode précédent N°991) -
Le lendemain Olivier était donc convoqué par Monsieur le Marquis, le Noble Seigneur prévoyait la mise en place de la deuxième punition quil voulait juste mais sévère. Pour rappel, lobjet du courroux du Maître venait quOlivier sétait permis déjaculer de sa propre initiative contrevenant ainsi aux ordres formels du Maître, ce qui était strictement interdit. Monsieur le Marquis fit agenouiller à Ses pieds le chien soumis, il avait réfléchi à la punition et rapidement avait pris la décision suivante :
- Chien soumis tu as osé jouir sans mon autorisation, ta faute est grande, tu dois être puni, un de mes amis ressent de lexcitation que dans certaine situation. Et donc il bande uniquement sil estime que le soumis se comporte bien et donc inévitablement il exige beaucoup de leur part pour quil puisse jouir. Je vais timposer lobligation de le faire éjaculer, tu verras mon ami est un Maître très exigeant. Tu seras amené à lui pour le satisfaire, cest un ordre et une punition que je te donne
tu comprendras pourquoi. La rencontre est prévue ce soir.
Le soumis ne cilla pas buvant les paroles du Maître, il attendrait donc maintenant. Lami de Monsieur le Marquis était un ancien militaire qui avait connu un glorieux passé, il avait expérimenté de ses passages dans les colonies françaises un certain nombre de techniques qui avait pour bût dobtenir des renseignements de la part de lennemi. Aujourdhui il les mettait à son profit pour obtenir des soumis et soumises une obéissance absolue. Le soir venu, il était en grande conversation avec le Noble quand Walter arriva avec Olivier à sa suite, nu à genoux et en laisse. Le militaire prit la parole :
- Cher Monsieur le Marquis, vous mavez parlé dun de Vos soumis qui doit être puni, est-ce bien ce petit bâtard de chien ?
- Oui, cher ami, je lai puni pour ce que vous savez, donc il est à votre entière disposition, je vais massoir pour profiter du spectacle ! Et nhésitez pas à le malmener ! Il est à vous !
Alors, lami du Châtelain sapprocha dOlivier et tout en se saisissant de la laisse et engueula le chien soumis
- Espèce de larve insignifiante, cloporte, tu as osé contrevenir aux ordres du Maître.
Olivier baissa la tête comprenant quil navait pas affaire à nimporte qui. Le soldat intervint encore :
- Tu vas gouter à mon fouet, puis tu seras mon jouet et tu vas implorer ma clémence
Olivier fut surpris par la violence des propos et la vision du fouet provoqua chez lui un mouvement involontaire de recul. Le militaire connaissait bien cette réaction et il tira dun coup sec sur la laisse :
- Hé, le chien pas bougé, tas compris ! Montre-moi comment tu es obéissant, viens me lécher les pieds !
Le soumis sapprocha alors et docilement se mit à lécher les chaussures du militaire, il avait rapidement intégré que plus il allait être docile et plus la punition se terminerai tôt, enfin il lespérait ! Mais lespérait-il vraiment ! Sa nouille se remettant à prendre un peu du volume mais sans être dure pour le moment, ce nétait pas si évident que ça ! Le léchage des chaussures prit un certain temps et seul le militaire avait le pouvoir dy mettre un terme ce quil fit au bout dun long moment dun coup de fouet porté sur les fesses du soumis. Le coup porta car Olivier saffaissa sur le côté, le deuxième coup, puis le troisième coup laissait sur la peau de lesclave des zébrures, la punition par le fouet était une spécialité du militaire. Ce nest quau dixième coup quil sarrêta :
- Bon, tu as gouté à mon fouet, maintenant je vais te montrer ma verge, sache que je ne bande que si je suis très fortement motivé, je veux éjaculer sur toi et dans ta bouche de petite pute, montre-moi donc tes talents, salope !
Le soumis regarda alors le militaire qui lui adressait la parole :
- Oui, Monsieur
Le soldat sortit alors sa bite qui pour linstant ne présentait pas de signe manifeste dépanouissement.
- Tu vois cette magnifique queue, je veux que tu me fasses bander avant de juter sur toi, montre-moi comment tu ty prends
Olivier sapprocha quand un coup de fouet le surpris encore, le soldat indiqua alors :
- Je ne bande quaprès avoir corrigé mes soumis au fouet donc tu vas subir autant de coups que ma verge restera de marbre
Olivier compris quil devrait donc attendre le bon vouloir du militaire. Monsieur le Marquis lavait prévenu que cétait bien une épreuve et quil devait se monter digne de tout cela. Lami du Maitre des lieux fit claquer le fouet.
- Debout le chien, face à moi
(Le soumis obéit et prit place)
Mains sur la tête, le chien, écarte bien tes jambes de lopette
jaime bien viser lintérieur des cuisses et si je ne suis pas trop maladroit, ta queue va rapidement sentir la lanière de mon fouet
Le fouet se mit à claquer dans la pièce et le sifflement ne se terminerait que quand la queue du militaire lordonnerait. Pour linstant, Olivier subissait les coups depuis un petit moment et il voyait que son corps se couvrait de lignes rouges là où le fouet lavait marqué. Le militaire avait lexpérience du maniement de cet objet car les coups étaient portés justes comme ils devaient lêtre. Lobjectif était de punir, pas de blesser. Olivier avait cessé de compter ceux-ci et il sentait que lami du Noble avait évité de viser pour linstant sa nouille. Le fait dy penser provoqua une érection involontaire, son sexe se mit à bander de nouveau. Le militaire nattendait que cela, il allait maintenant corriger ce chien qui se permettait de bander devant lui alors que lui-même restait de marbre. Il visa la verge, le coup porté sur la nouille fit reculer Olivier. Monsieur le Marquis qui assistait au spectacle sans rien dire sexprima alors :
- Petite pute garde ta position, tu bandes donc cest que tu aimes, nous allons donc faire cesser cela
Olivier subit alors une volée de coups qui maintenant devenait plus violente, ce qui eut pour effet de le faire très rapidement débander.
- Maître, dit Olivier je vous en supplie, ayez pitié de votre chien soumis ... Je ne recommencerai plus, je jure de ne plus me masturber sans votre autorisation, ni déjaculer sans votre accord
Mais je vous en supplie, ayez pitié
En entendant la supplique la verge du militaire se mit alors à bander cétait le moment quil préférait de voir un chien soumis aux pieds de son Maître en train de pleurnicher. Il lâcha alors le fouet et sapprocha du chien soumis :
- Viens ici petite pute, tu seras libérer quand jaurais joui sur toi, viens donc me sucer
Le chien à genoux ouvrit alors la bouche pour répondre à lattente du militaire, quand deux mains puissantes se saisirent de son visage, le militaire dun coup de reins brutal introduisit son chibre et commença le mouvement de vas et viens dans le but de lui baiser la bouche et de sy vider les couilles
Olivier suffoqua mais puissamment maintenu, il ne pouvait que subir. Il sappliqua alors à creuser sa gorge pour que le phallus puisse rentrer en entier, le militaire apprécia cela quand la jouissance enfin arriva les premiers jets fusèrent dans la bouche et comme prévu il termina déjaculer sur le visage dOlivier. La punition venait de prendre fin
(A suivre
)
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