Piégé Dans Un Cinéma, J'En Suis Devenu L'&Quot;Etoile&Quot;

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

J'étais en train de sucer un vieux dans un cinéma, quand celui-ci m'attrapa par les cheveux et releva ma tête. Je n'eus pas le temps de voir autre chose, on venait de m'enfiler une cagoule opaque sur le visage. Quelqu'un enfonça mon slip dans ma bouche pour m'empêcher de crier. On me plaqua un morceau de coton sur le nez, et je m'endormis.
Quand je me suis réveillé, je pendais, à poil, au bout de mes bras. On m'avait enlevé la cagoule. La pièce était violemment éclairée. Je vacillais sur mes jambes. Pour me réveiller complètement, un coup de fouet cingla mes fesses. La bouche libre, je lâchai un cri. Quelqu'un me prit par les cheveux et releva ma tête. Un géant hyper musclé, me tendait sa bite. J'ouvris la bouche, et la grosse tige pénêtra entre mes dents. Mes lèvres étaient écartelées.
- Suces ! gronda le géant.
De toute façon, je n'avais pas le choix. La grosse bite glissait entre mes lèvres dilatées.
- Mouilles plus ! t'auras moins mal quand tu la prendras dans le cul ! Il faut que tu montres aux clients tes capacités de réception ! Saches que les recalés sont destinés aux animaux, chiens, chevaux....Les prochaînes fois, c'est à deux, puis à trois, et enfin à quatre. Je vais te libérer et tu vas faire ce que je te dirai. OK ?
Je fis oui de la tête.
Sa bite ressorti de ma bouche, et, il me libéra, comme promis. Il claqua des doigts, et un autre balèze s'amena. Il tenait une chaise en bois. Il la déposa devant moi, puis ôta son slip. Sa bite était aussi grosse que celle de son copain. La chaise était posée, le dossier au sol. Le gars me prit par la main et m'accompagna vers la chaise. Il s'agenouilla et me montra le trou entre le siège et le dossier.
- Tournes-toi vers le siège et agenouilles-toi ici !
Je pris position.

Il me pris les mains et les tira vers lui. Mon torse était collé contre le siège. Il me fit empoigner les pieds. Il me prit par les cheveux et me tendit sa bite. Une fois la bouche ouverte, sa queue écartela mes lèvres. Ses reins imprimèrent un rythme glissant sur ma langue. Son copain était passé derrière moi, entre les pieds de la chaise. Il écarta mes fesses de ses grosses mains. A la vue de tous, il lâcha un filet de bave sur ma raie. Il y posa sa grosse bite, et, d'un violent coup de reins, me l'enfonça dans le cul. Sans un mot, ils se sont concertés, et, quand une bite sortait de ma bouche, l'autre s'enfonçait dans mon cul, et vice-versa. Quand ils eurent joui dans mes deux trous, ils invitèrent un troisième larron. Celui qui avait joui dans ma bouche, s'assit au sol. Le second me prit par la main et me guida vers lui. Il me fit lui tourner le dos. Il prit mes mains et les posa sur mes fesses. J'ai compris, que je devais les écarter, les montrer au public, avant de m'empaler sur le gros membre. Une fois la queue au fond de mon cul, mon enculeur passa ses bras autour de mon torse, et me renversa sur lui. Le gars qui m'enculait précédemment, s'assit, sur mes épaules, tendant sa bite à ma bouche. Le troisième, releva mes jambes et s'agenouilla entre celles de son pote. Le cul de son pote, entre ses cuisses et le cou de celui que je suçais, sa bite rejoignit celle qui était déjà dans mon cul.
Le quatrième tableau fut tel que je le pensais. J'avais deux bites dans le cul, et deux dans la bouche. Quand j'eus fini de boire leurs spermes, les spectateurs sont venus terminer le tableau. Détaché et allongé au milieu de la pièce. plus d'une centaine de mecs se branlaient et se soulageaient sur moi. Au bout d'une heure, je trempais dans une mare de foutre. Ceux qui s'étais déjà soulagés, me tournaient et retournaient, comme un rôti qu'on retourne dans l'huile de cuisson. Tout mon corps était poisseux. Certains refaisaient un passage, pour éjaculer sur mon visage. D'autres s'écriaient :
- Lèches ! N'en perds pas une goutte !
L'un d'eux se trempa dans le sperme, et vint m'enculer.

- Tu sens bon la salope ! Rugit un autre.
C'est alors que les tourmenteurs distribuèrent des fouets au public. Bientôt, le sang se mêla au sperme. A la fin de la séance, on me porta sur une civière, et un médecin prit soin de moi.
Le maître du spectacle s'approcha de moi, et chuchotta à mon oreille :
- Ce soir, tu as gagné 200 000 euros !
Il a jeté les billets dans la mare de sperme rougeâtre, et se retira. Quand j'eus tout ramassé, tout le monde était parti. Un garde me demanda :
- Y a plus personne ?
- Je crois que non !
Quand j'ai lavé les billets, j'ai trouvé un papier avec un numéro de téléphone. Serait-ce pour recommencer ?
Je n'ai jamais appelé. Je ne suis jamais retourné non plus dans ce cinéma.
Le lendemain, au réveil, je me suis demandé si ça n'avait pas été un fantasme. Les traces de fouet et l'odeur du sperme m'indiquèrent que non. Les petits sourires en coin de mes collègues de travail, le lendemain, me firent penser, que peut-être certains étaient au courant, y avaient participé, ou même l'avaient organisé.



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