Notre Notaire Confisque Ma Petite Culotte (Episode 2)
Javais passé une bonne partie de la nuit à ressasser. Devais-je me rendre ou pas à ce rendez-vous le lendemain ? Une part de moi était résolument contre : quel macho pour simaginer un instant que je pouvais avoir envie de le revoir après ce quil sétait passé entre nous ! Ce type nétait quun vieux pervers qui ne me méritait pas. Et pourtant je navais pu mempêcher de repenser au plaisir quil mavait donné et que javais ressentie bien malgré moi au moment ou il mavait rempli la bouche.
Cétait moi la vicieuse et puis, il y avait aussi toutes ces pensées qui mavaient agitées une partie de la nuit. Ce soir là, mon cinéma intérieur, les histoires que je me racontais parfois avant de mendormir, tout en frictionnant lune contre lautre les lèvres de ma vulve étaient revenues en force.
Des histoires que javais conçues dune manière bien mystérieuse, bien longtemps avant davoir mon premier rapport sexuel. Pourquoi choisir précisément le scénario « Salle de Cinéma » pour mexciter en repensant à mon notaire, je lignore.
Sans doute le fait que lors de notre dernière rencontre Julien et moi avions envisagé daller voir un film pour notre prochaine sortie.
Ce scénario était en fait plutôt banal. Dans un premier temps, je me retrouvais seule à monter les marches du Centre Courier. Beaucoup de monde faisait la queue. Tout à coup, quelquun commençait à me presser le derrière. Là encore, tous mes voisins dans la queue suivaient lexemple, et, quand jarrivais devant le guichet, la caissière voyait quon mavait retroussé la jupe et je lui parlais pendant que quelquun se frottait sur mes fesses ; je navais pas de culotte. Léchauffement gagnait. Je me retrouvais à moitié dépoitraillée le temps de traverser le hall.
Pour la suite, javais imaginé plusieurs variantes, dans lune, une fois arrivée dans la salle, je retrouvais comme par hasard (!!!) Maître Berney accompagné de Maître Imbert que je ne connaissais pas encore.
Javais mis des bas ce soir là, des bas noirs avec un minuscule porte-jarretelles que javais dénichés planqués au fond du tiroir à sous-vêtements de ma mère. Cette tenue mise en valeur par ma jupe courte et moulante qui remontait et découvrait la lisière des bas au moindre mouvement avait eu beaucoup de succès lorsque nous faisions la queue.
Dans les toilettes on me mettait complètement nue, ne me laissant que les bas et on me pelotait. Maître Berney et maître Imbert avaient été les premiers à me rejoindre et à me foutre à poil. Puis devinant le manége dautres hommes nous avaient rejoint. Le groupe était dense et formait un cercle autour de moi, des messieurs très bien pouvaient quitter leur siège à côté de leur femme soupçonneuse pour traverser la salle dans le noir et venir eux aussi.
Toujours est il, quau matin, après une nuit plus quagitée par mes fantasmes, je navais pris aucune décision quant à la conduite à tenir. En tout cas, force métait dadmettre que je navais pas mi longtemps pour intégrer avec perversité Maître Berney au centre de mon imagerie de pucelle vicieuse. Javais même fait une place à son associé, limaginant lui aussi petit et bedonnant et bien sûr avec un très gros sexe. Jai toujours été attirée par les hommes enveloppés en pensant quil serait agréable de se sentir bien couverte et complètement entourée pendant la possession.
En tout cas, mes hésitations nétaient que façade. Jétais bel et bien en train de chercher comment mhabiller pour me rendre à létude lorsque javais reçu un SMS de maître Imberrt. Les deux notaires me prévenaient simplement quils ne pourraient pas être disponible de toute la journée et quils me contacteraient pour un autre rendez-vous.
Sans trop vouloir me lavouer jétais déçue et trouvais cela très vexant. Sans réfléchir, jappelais aussitôt mon petit ami pour quil vienne me rejoindre au centre commercial pour déjeuner. Je lui laissais le soin de choisir le film que nous irions voir ensuite. Comme dhabitude, Julien était daccord pour tout.
Toujours autant excitée, javais simplement remis la petite jupette écossaise blanche et noire que je portais la veille et jétais partie sans mettre de culotte. Bien sûr, mon petit ami ne sétait aperçu de rien. Il navait rien remarqué, même pas au moment de notre passage, juchés sur les hauts tabourets blancs du Mezzo di Pasta, pour une restauration rapide. Il faut dire quIl y avait du monde. Un groupe de jeunes collégiens fascinés par ma longue crinière rousse et mes jambes découvertes navait pas arrêté de me reluquer avec espoir.
Heureusement le complexe cinéma était toute proche. Aussitôt installés dans nos fauteuils je commençais à frotter ma main gauche sur la bosse rugueuse du jean.de Julien. Le gonflement entravé par le tissu raide et serré était à chaque fois pour moi un stimulant efficace. Insensiblement Je me mis à gigoter sur mon siège que je sentais râpeux à souhait. Jaugmentais progressivement la cadence de mes vas et viens. Quelques secondes encore et je sentis les premiers spasmes de Julien.
A peine une minute lui avait suffit. Ce nétait pas la première fois que je lui faisais tout faire dans son pantalon pendant une séance de cinéma mais cette fois-ci, il avait mis la dose, sept ou huit contractions, peut être plus. Tout en approchant ma bouche de ses lèvres, je passais un doigt dans sa braguette pour constater à quel point sa culotte était trempée par ses grosses giclées. Je lui dardais ma langue dans la bouche le plus profondément possible, et, aussitôt quil me répondit je saisis la sienne entre mes dents et la mordillais frénétiquement en pensant à ce que je venais juste de faire. Je venais de faire éjaculer mon petit ami dans sa culotte et il allait sortir du cinéma avec une grosse tâche sombre au niveau de la braguette alors que javais avalé toute la semence de notre vieux notaire.
Décidément, quelle salope je faisais. Une onde de plaisir mêlé de honte menvahit et je sentis que je mouillais mon siège. Je retirais mon index de la braguette trempée pour me lenfoncer aussitôt profondément dans la chatte. Je me soulevais légèrement sur mon siège sans cesser de lui rouler une pelle denfer. En un instant mon majeur avait suivi le même chemin alors que mon annulaire essayait de senfoncer dans mon cul.
Je recommençais plusieurs fois et à chaque coup mon petit copain léchait et suçait, lun après lautre, les trois doigts que je lui offrais. Cela était une habitude qui faisait parti de notre rituel « Masturbation Cinéma ».
Les jours suivant je me consacrais à mes révisions des épreuves dadmission dans lannée de maturité. Javais presque oublié mes incartades notariales lorsque je reçu un nouvel SMS de Maître Imbert.
Cette fois-ci, ils mattendaient pour le lendemain. Je devais me présenter entre 9 et 10 heures à létude. Une condition était impérative : au réveil, je ne devais pas passer aux toilettes. Son SMS était très clair : ma petite Camille, tu viens dans nos bureaux exactement comme si tu devais te rendre à un laboratoire danalyses pour faire un examen durine sur place.
Javais bien une petite idée de ce qui mattendait mais javais du mal à le croire et à imaginer jusqu'où tout cela pourrait aller.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!