Myosotis À La Merci Du Comte ( Ou Je M'Appellais Myosotis Épisode 4 )
Le Comte m'attendait dans le couloir , juste devant la porte de son bureau.
Il me regardait m'avancer vers lui... j'étais dans un stress pas possible ,comme nous étions arrivés a cette date du grand jour de l'examen...
Avant d'ouvrir la porte, il me conseille de "ne rien dire et de me laisser faire" .
Quatre personnes soit deux hommes et deux femmes étaient assis chacun sur une chaise face à nous.
Le bureau nous séparait de ces examinateurs , le Comte s'asseoi dans son fauteuil à une place, et moi je reste debout, a coté de lui...
A peine être tous installés (enfin, pas tous puisque je n'etais pas assise moi...)
un homme a demandé a ce que je sois complétement dévétie pour qu'il puisse voir "l'état de mon corps" ... j'ai cru rêvé , ou cauchamarder plutôt !!!
Sans attendre une seule seconde, le Comte se lève et se met derrière moi pour me défaire la robe. Il enlève toutes les attaches, mon vetement glisse le long de mon corps pour s'écraser au sol.
Je me retrouve à être la seule déshabillée, completement nue , devant les 4 examinateurs et le Comte, qui eux , avaient gardé leurs vêtements tout en restant assis , bien confortablement...
Petite parenthése , même si le ciel était généreusement ensoleillé , il ne faisait vraiment pas chaud, ça se voyait aux frissons qui recouvrait mon corps ainsi que me tétons qui durciçaient a cause du froid... mais personne ne m'avait proposé de me recouvrir...même pas en rêve.
Comment je voulais m'enfuir de ce lieu a toute jambes ! courrir au moins jusqu'au village pour me retrouvée avec des personnes plus saines , plus normales... et Philippe, qui devait en ce moment même prier pour que la requête du Comte ne soit pas accordée, oh purée , j'étais au plus mal...
Comment j'en voulait au Comte de m'exhiber de façon aussi humiliante ! Il ne m'avait jamais prevenu de ce "petit" detail , que j'allais être traitée comme une bête de foire et en plus devant des gens que je ne connaissais pas.
Il était trés fiér de m'exhiber, mais moi j'etais choquée.
J'ai vite deviné que ces personnes étaient ses amis, ou tout du moins, qu'ils se connaissaient bien car il leur avait insinué lourdement que j'allais être sa maitresse sans qu'il n'y ait d'histoires ou de scandales.
Le Comte semblait vraiment a l'aise devant ces personnes , et c'etait bien la première fois ou il ne cachait pas ses réelles motivations et intentions a mon égard devant des témoins...
(D'habitude on se cache , et si vraiment on est grillé soit il tue ou menace les personnes intrusives a nos ébats sexuels et amoureux, mais la , il était d'une franchise completement déconcertante....)
Ce fut un veritable calvaire qui a duré deux bonnes heures.
Entre les commentaires des examinateurs a mon propos tels que par exemple:
"Elle a une poitrine vraiment appetissante"
"La douceur se lit sur son visage"
et les pelotages provenant d'eux...franchement, j'étais bien servie!..
Bien entendu, le Comte a également jouer sa part et il a été encore plus loin que les autres.
Il a pressé mes seins pour que le lait coule dans un petit bol afin de le faire analyser par les medecins.
Pendant la partie gynécologique , il m'a carrément fait écarter les cuisses pour me mettre des doigts devant toute l'assistance.
Il a fait exprés de me doigter d'une façon sensuelle comme si nous étions en plein préliminaires... il voulait m'entendre jouir , je sentais bien qu'il insistait pour que je finisse par craquer en gémissant.
Au debut je tenais tant bien que mal , car ça m'aurait trop gené de me lacher comme ça devant des temoins, mais comme le Comte savait comment s'y prendre avec moi ,je commençait a ressentir un plaisir sexuel , de plus en plus fort que j'ai fini par pousser des sons qui s'etaient échappés de ma bouche.
Je me sentais humiliée mais en même temps trés belle aussi d'être dans une pareille situation.
Le bureau était couvert de documents que tous signaient et s'echangeaient.
Je ne comprenais pas ce que le contenu de ses papiers signifiaient car je ne savaient ni lire ni écrire , même pas mon propre prénom... et le Comte jouait bien de cela des qu'il le pouvait.
Aprés deliberation, ils ont tous décidé que... j'etais apte a s'occuper de son bébé.
La joie et le triomphe se lisait sur le visage du Comte, il avait réussi son coup sur toute la ligne et ne pouvait d'empecher de sourire a pleines dents.
Il écoutait attentivement les instructions des medecins pour que j'accomplisse parfaitement mon travail de nourrice suivant les recommandations de l'époque :
"Elle doit être bien enrobée, c'est LA premiére qualité physique d'une nourrice"
"Le bébé aura les mêmes emotions que sa nourrice, donc ne jamais la contrariée"
"On est ce que l'on mange donc par exemple , lui donner souvent de l'agneau ex: doux comme un agneau"
.....
Et le Comte ecoutait avec beaucoup de serieux les recommandations des medecins.
Lorsqu'ils sont tous partis , le Comte me dit
"Bon, c'est chose faite. Nous avons deja perdu beaucoup de temps alors tu vas rentrer chez toi pour annoncer a Philippe que tu vivras au chateau les prochains mois a venir comme m'a requete est accordée."
Ma premiére nuit au chateau:
Nous étions tout les deux dans la même piéce, seule la cheminée nous éclairait Cela me faisiat trés bizarre de ne pas dormir chez moi , même si j'etais dans un beau chateau luxueux , ça me faisait drôle comme impression de devoir dormir seule dans un lit qui n'etait pas le mien, ça m'angoissait et j'en avait presque le cafard d'être séparée comme ça de mon mari et de mes autres s ...
Je sentais bien que je n'etais pas libre , je me sentais obligée de dormir dans un endroit qui n'etait pas le mien. Ce n'etait pas la premiére fois que j'etais dans son chateau , mais le maximum que j'etais retenue ne se limitait qu'au debut de la soirée aprés le diner.
Cette fois ci, nous étions en plein milieu de la nuit et j'etais toujours pas rentrée chez moi ... j'etais franchement pas a l'aise...
Je ne voulais qu'une chose, repartir dans ma petite maisonette paysanne en terre cuite, ou il y avait mon mari et mes s. Mais je ne pouvais pas...
J'etais avec lui dans un salon de l'étage, il me disait qu'avant de s'endormir il avait besoin de me toucher les seins et les avoir sur son visage pour les téter. Il me disait qu'il aurait voulu dormir avec moi, dans le meme lit, mais il ne le pouvait malheureusement pas...fin de citation.
Avant d'aller vraiment me coucher , le comte voulais que je mange une assiete bien copieuse... mais j'avais avalé vraiment beaucoup d'assiettes dans la journée et j'en pouvais plus.
Il n'a pas été content, m'a dit que je n'en fais qu'a ma tête et ceci et cela.
Il avait appellé ma dame de compagnie pour qu'elle m'emméne dans mes appartements pour dormir... elle me reprochait aussi mon comportement et m'avait sermonnée tout le long des couloirs...
" Tu le sais que notre maître aime beaucoup les femmes opulantes, il adore les femmes bien grasses , et toi tu ne veux même pas lui faire ce plaisir, n'oublie pas ce qu'on recommandé les medecins... "
Je ne me fatiguait meme pas a leur répondre , ces accusations n'etaient pour moi que fantaisiste , mon estomac me faisait trop mal...
Le lendemain matin , a peine reveillée, j'ai beaucoup vomi, le comte a pris peur et a tout de suite fait venir le medecin...
Ce dernier m'a trés vite diagnostiqué une indigestion, il a vite compris que je ne pouvais pas plus , que mon estomac n'arrivait pas a suivre le rythme éffréné voulu par le Comte.
Voici ses recommandations :
J'ai du ne boire que des bouillons au moins 24heures , il aurait été mieux selon le docteur que je sois a la diéte idéalement jusqu'a 48h !! et petit a petit réaugmenter les quantité car j'avais aussi un bébé a allaiter.
Je devais reposer mes intestins ; mon systéme digestif , mais faire attention a ne pas maigrir pour des besoins proffesionel (et sexuels pour le comte)
Le Comte avait enfin compris qu'il était allé trop loin , il est venu me voir a mon chevet.
Je lui faisait la tete, je tournait mon visage quand il s'approchait de moi pour ne pas le voir... je lui en voulait de me gaver comme ça sans se soucier de rien , seule la visite du medecin l'avait enfin calmer...
Pour en revenir a Philippe , je le voyais encore mais trés peu car le Comte a choisi de nous autoriser la visite la plus courte possible...en effet , je le voyais qu'une seule heure par jour , juste devant les fenetres du chateau .
J'etais heureuse de revoir Philippe, mais cela passait trop vite...
Un jour , Je disais a la comtesse que j'aimais mon mari quand je l'avais croisée vers l'entrée du chateau en revenant de notre rendez vous -visite... elle m'a dit que le comte ne ressentais rien pour moi, il aimait juste mes gros seins... je lui en ai parlé et depuis il nous avait intredit a toute les deux de nous parler.
La perversité du Comte...
Je ne voyais plus mon mari depuis des semaines hormis cette seule heure par jour en exterieur devant le chateau.
J'avais des envies sexuelles , ça me manquait et le Comte ne faisait que s'occuper de mes seins tout les soirs avant de regagner sa chambre pour y passer la nuit , voila ce en quoi ma "sexualité" se resumait :
Il me mettait torse nu , caressait mes seins, mettait sa tete dessus , et jouait avec mon lait en pressant mes tetons, et pour finir , il m'enlevait le liquide maternel qui avait degouliné le long de mes seins avec sa langue... et c'est tout !!
C'était pas désagréable , certes, mais ce n'etait pas de ça dont j'avais besoin... il me fallait une bonne pénétration virile dans ma chatte pour calmer mes pulsions sexuelles...
Un soir il m'a beaucoup chauffée avec ses doigts , et c'est quand il a bien senti que je mouillais beaucoup qu'il il avait tout arreté pour me souhaiter une bonne nuit .
J'etais trop excitée pour que ça s'arrete comme ça aussi net, alors je lui ai dit que je voulais continuer... il a pris cela pour une grande victoire et me disait
"ça te plait de coucher avec moi, tu en as eu trés envie, tu m'as rappellé alors que je m'appretais a partir"
Il me dit aussi en ajoutant :
"J'adore ta grosse poitrine Myosotis , elle a pour moi des vertues trés calmentes , des que je la vois je me sens apaisé, même les fois ou tu me met en colére je me calme en te regardant poitrine découverte"
Je lui faisait comprendre que j'avais trés envie de lui, ma respiration avait changée comme celle d'une chienne en chaleur.
Je lui caresse le torse pour ensuite me coller la lui...je lui fait bien comprendre que je veux sa grosse bite dans ma chatte et que j'ai trés faim !...
Il bandait dur pour moi, je la sentais en le carressant...sans plus tarder je m'allonge sur le lit en le tirant vers moi.
Le Comte est aux anges et me chauvauche comme jamais ...
A suivre......
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