La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°994)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode N°990) -
Et les soumises Laïs MDE et Nééra n'étaient pas laissées de côté ! Walter se présenta aux côtés de son patron. Celui-ci le convia à parler.
- Monsieur le Marquis, si Vous le permettez, je Vous propose, à Vous, ainsi qu'à vos Invités, une course, organisée avec les chiens et les chiennes qui se trouvent dans les cages. D'abord une course entre mâles, puis entre femelles, et enfin entre les deux gagnants.
- Quelle bonne idée as-tu eu là ! Et as-tu décidé d'une sanction ou d'une récompense pour la ou le gagnant ou gagnante, et les perdants?
- Non, Monsieur. Je pensais Vous en laisser le choix.
- Bien, je te remercie, nous verrons le moment venu. Que Mes chiens se mettent en position.
Le Majordome alla ouvrir les cages de cinq soumis mâles. La salle était haute et grande, à elle seule, elle aurait fait une salle des fêtes ! Walter les mit derrière une ligne délimitée par le carrelage de la pièce. Ils devaient en faire tout le tour. Régulièrement il y avait des obstacles simples, tels des bassines d'eau, des billes, et même des punaises positionnées pointes vers le haut. Et des couloirs avaient été délimités par des cordes, ne leur permettant pas de s'écarter pour les éviter. Soit, ils arrivaient à les enjamber ou à sauter par-dessus, soit, ils marcheraient dessus. De plus, les Dominants avaient à leur disposition des paniers de légumes abîmés, voir pourris, pour perturber d'avantage les mâles. Parmi eux, il y avait les mâles de l'Enclos : chienchien, chien soumis et chien docile et un chien du Chenil : soumis Doulos. Et ce fut chien docile, arrivé dans l'Enclos depuis quelques mois, qui gagna la première course, il avait été le plus rapide, le plus souple, le plus téméraire à passer les obstacles. Il fut amené aux pieds du Maître aux côtés de soumise Nééra qui se demandait comment on pouvait à quatre pattes, éviter tous les obstacles sans trébucher une seule fois sur les légumes, en attendant que la course des femelles aient lieu.
Avec son entraînement parmi les pompiers, elle gagna haut la main la course avec une grâce qui épata et impressionna tout le monde. Eut lieu alors la course entre les deux gagnants. Celle-ci se déroula dans le Grand Hall, où, durant le repas, des domestiques avaient installé, suivant les ordres de Walter, un vrai parcours, avec des barres horizontales plus ou moins hautes à sauter, des cerceaux suspendus dans lesquels ils devaient passer, et un long bac rempli d'une substance brune, gluante et glissante. Au début du parcours, le mâle et la femelle étaient au coude à coude, ils sautaient aisément les obstacles. Mais au moment de patauger dans la gadoue, soumise Keira MDE pris une bonne avance. En sortant du bac, il restait encore quelques barrières à passer et la femelle, couverte de boue s'étala, se tordant légèrement la cheville, et laissant ainsi chien docile reprendre la tête et gagner la course. Alors que le mâle vint se prosterner aux pieds du Noble, Walter regroupa tous les perdants dans un coin de la pièce, et ils durent se mettre à genoux, droits, les mains sur la tête et dos à l'assistance.
- Bien, Mon chien, je suis très fier de toi ! sexclama le Noble. - Ta première récompense va être d'avoir droit à une douche chaude. Ensuite, tu reviendras près de Moi. soumise Keira MDE, tu as perdu la course, mais tu n'as pas démérité. Tu vas également aller prendre une douche, froide pour toi évidemment ! Et tu vas être amenée à l'infirmerie, il M'a semblé que tu souffrais, bien que tu t'efforces de le cacher. J'aurai pourtant pensé que tes débuts à Mes pieds t'auraient appris un peu plus d'humilité ! Tu sais pourtant à quel point je tiens à la bonne santé de celles et ceux qui m'appartiennent. Une fois soignée, tu retourneras chez toi. Pour toi, la soirée s'arrête ici ! Pour tous les autres, sachez que vous M'avez énormément déçu.
En attendant que le Maître finisse d'annoncer les sanctions, soumise Keira MDE se morfondait. Elle prenait pour une grave sanction le fait de devoir rentrer chez elle, rejoindre le commandant des pompiers, son conjoint. Comment lui annoncer qu'elle avait à nouveau déçu Monsieur le Marquis, le Maître d'abord en perdant la course mais en ayant voulu encore une fois Lui cacher son état, faire fi de sa santé, pour rester au plus auprès de Lui. Si elle n'avait pas essayé de cacher délibérément sa foulure, peut-être aurait-elle été autorisée à rester parmi ses frères et surs de soumission. Deux domestiques emmenèrent la soumise et chien docile pour exécuter les ordres du Noble et la soirée se poursuivit
Walter invita le Châtelain et Ses hôtes à s'approcher près dun haut mur où se trouvait toute une lignée de croix de St André. Madame De Santès était revenue avec esclave Phryné MDE, qui fut, avec soumise Laïs MDE et soumise Nééra, attachée à des anneaux dans le mur, devant se tenir en position de repos et d'attente, assises en tailleur, mains posées sur les genoux, paumes tournées vers le ciel, tout pendant la nouvelle activité que le Majordome souhaitait proposé aux Dominants. Ils étaient cinq et il y avait cinq croix avec cinq soumises qui devaient être sanctionnées pour diverses raisons. Elles étaient toutes attachées, chacune à une croix.
- Je vous propose un concours de fouet. Chacun de vous se mettant devant une croix, la première de l'une d'elles qui laissera couler une larme ou échapper le moindre gémissement ou cri, perdra et vous fera gagner car vous aurez réussi à la faire crier. Pour avoir perdue la soumise serait sanctionnée de la manière suivante, si cela vous convient: Tous ces orifices occupés par ces messieurs pendant que vous, Mesdames, vous pourriez vous occuper de ses seins, utiliser cravache ou badine, cire de bougie, ou tout autre chose qui vous paraitrait agréable. Mais bien sûr, ce n'est qu'une suggestion et le ou la gagnante pourra décider de ce qui se fera...
Le Noble se tourna vers ses Invités et leur demanda si cette animation les intéressait et sur leur vives réactions emplies denthousiasme, Il leur demanda de choisir une soumise à fouetter. Les quatre paires de mains tâtèrent les quatre paires de mamelles, les soupesèrent, leur mettant quelques claques au passage. Les Dominants pincèrent les tétons, les vrillant, les étirant. Des mains inquisitrices se glissèrent entre les cuisses, titillant les petits boutons de chair érigés, et vérifiant l'humidité des chattes exposées. Des doigts les explorèrent, se lubrifiant pour aller détendre leur petite rondelle secrète. Les chiennes, bien que sachant être là pour recevoir une sanction méritée, et ayant entendu ce qui les attendait si jamais elles étaient la première à ne pas pouvoir se contrôler de se taire, étaient très excitées et coulaient abondamment. Les deux couples savaient ce qu'ils faisaient. Si parmi elles, il y en avait au moins une qui avait des tendances masochistes, le fait de les exciter avant la fouettée les rendrait plus sensibles, et plus à même de laisser échapper involontairement toute chose susceptible de les faire perdre. Ils essayaient ainsi de repérer également en donnant différentes claques sur différentes parties du corps laquelle semblait la plus excitée par ces traitements. Toutes savaient qu'il y aurait de toute manière une sanction pour chacune, car si elles ne perdaient pas, elles feraient perdre le Dominant ou la Domina qui l'aurait choisie.
Lorsque le choix fut fait, ils se retrouvèrent placés ainsi. Monsieur le Marquis d'Evans était placé au milieu, les deux Maîtresses L'entouraient, encadrées par leurs moitiés, les De Santès se trouvant à Sa gauche et les De La Verdière étant à Sa droite. Ils armèrent de concert leur bras, chacun armé dun même fouet identique. Et les coups se mirent à pleuvoir. Les soumises étaient attachées face à la croix, et donc dos aux Dominants. Elles ne pouvaient en aucun cas se rattacher aux regards de Monsieur le Marquis, qui, de toute manière était concentré sur Sa tâche. Il mettait un point d'honneur à ne pas Se retenir, pour qu'on ne puisse pas croire qu'Il cherchait à privilégier Ses amis, et que le concours était équitable. Cependant, Il espérait bien que toutes Ses soumises-chiennes Lui feraient honneur en tenant le plus longtemps possible. Les visages des femelles étaient visibles depuis l'autre côté de la croix, et Walter, ainsi que Marie et deux domestiques, s'y tenaient pour vérifier si une larme aurait pu s'échapper, mettant ainsi fin à la compétition. Mais les soumises étaient déjà bien dressées et elles tenaient bon, et celles qui recevaient les coups du Maître se faisait un devoir de ne surtout pas succomber la première.
Ce fut celle qui se tenait devant Monsieur De La Verdière qui laissa échapper un gémissement lorsque le fouet attrapa une de ses lèvres intimes. C'était la plus jeune des cinq, en âge et en termes de temps de soumission aux pieds du Maître. Elle était mince mais pas maigre, souple, comme le pouvait l'être une ancienne gymnaste, de longs cheveux noirs en queue de cheval, comme toutes les femelles du Cheptel, car le Noble aimait tirer sur les cheveux de Sa soumise chienne par la queue de cheval lorsqu'Il la prenait en levrette. Toutes furent détachées. Le Maître vint se placer devant la perdante, Lui lançant un regard réprobateur.
- Petite pute de chienne ! Tu étais déjà sanctionnée, et tu n'es même pas fichue de supporter une séance de fouet !
A ces mots, elle ne put s'empêcher de laisser couler ses larmes. Elle trouvait la réflexion injuste. Elle sentait les marbrures que le fouet lui avait laissées, et elle ne pensait pas mériter de telles remontrances. Pourtant d'un rapide coup d'il à ses consurs, elle pensa qu'elle n'avait pas dû subir pire que les autres. Donc elle avait bien démérité !
- Tu vas donc subir ce que décidera mon ami qui t'a infligé le fouet. Et je compte sur toi pour ne pas me décevoir de nouveau ! (Et se tournant vers l'ami en question:) Charles, je vous laisse la parole.
- Eh bien je crois que je vais suivre l'idée de Votre Majordome, Cher Edouard, et si Vous me le permettez, je me réserve sa chatte ! Je rêve déjà de m'enfouir dedans !
- Mais bien évidemment, c'est vous le grand gagnant, vous décidez donc. Je vais juste y apporter une variante. Cette chienne était déjà une pénitente, et elle a à nouveau manqué ce soir. Je ne pense pas, dès lors qu'elle mérite de recevoir Ma noble queue en elle, ni de jouir bien évidemment. Je La remplacerai donc par un sexe factice de plus grosse taille que le Mien, si vous voulez bien m'indiquer le trou que vous vouliez m'octroyer.
- Je n'avais pas d'idée précise, mais que diriez-Vous de lui posséder son cul de chienne, qui je suis sûr, ne demande que ça ? À moins que notre ami ne veuille pas de sa bouche...
(A suivre
)
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