Une Tranche De Vie 9
UNE TRANCHE DE VIE 9
Une visite de chantier
Samedi 26 juillet 1980 AL raconte
Jean me réveille à 5,00 h du matin, car nous partons, au Nord pour aller voir des travaux. Il devait y aller en semaine, et faire laller et retour dans la journée. Il a préféré partir ce matin, nous coucherons au chantier et reviendrons demain dimanche. Me réveiller le Samedi à 5,00 h cest un supplice, car cest le seul jour de la semaine ou je peux faire la grasse matinée.
Nous avons pris la route à 6,00 h. Jai décidé de prolonger ma nuit dans la voiture. Ça fait un moment que nous roulons quand jentrouvre un il. Je vais prolonger ce moment de tranquillité. Il faut que je fasse le point. Hier, jai fait lamour, non jai baisé avec mon amant, soyons réaliste, cest comme ça quil faut lappeler, jai été bousculée, cétait bien avec quand même cette impression de nêtre quune femelle montée par un male en rut, un peu rude quand même. Pius jai fait lamour avec mon mari, très différent, jétais sa femme, très bien. Le diner a été agréable et laprès diner formidable, je lai sucé, léché, pompé jusquà ce quil explose dans ma bouche et jai pris plaisir à boire son jus, pendant quil me léchait, me pénétrait de sa langue et des ses doigts jusquà ce que je sois secoué par un violent orgasme et que je linonde de mon jus de plaisir et de jouissance.
Je crois avoir bien compris ce que disait Jean :
« Oui, ça ma donné une trique pas possible. Je regrette de navoir pas prévu de prendre des photos entre autres pendant que tu jouissais, tu étais très excitante. La prochaine fois, je méquiperais »
Il envisage sereinement que je baise une autre fois avec B, parcequil veut prendre des photos il a bien dit « La prochaine fois je méquiperais »
Je suis partagée, pourquoi pas une nouvelle expérience B, en fonction de ce quil a dit, Jean serait daccord, condition requise : des prises de photos. Moi qui napprécie pas trop quil me prenne en photo quand je suis nue, alors en train de baiser ?
Certes de mavoir laissé coucher avec B la excité et jen ai eu la preuve physique après.
Je remettrais la question sur le tapis ultérieurement et je ferais en sorte que ce soit lui qui me demande de revoir B.
Ayant couché le siège, je suis pratiquement allongée et jai le sentiment quen dormant ma jupe est remontée sur mes cuisses, car je sens une main qui se veut douce se poser dessus. Mon mari tout en conduisant, habituellement aime me caresser la cuisse. Je me tourne et me retourne, tout en coinçant ma jupe afin quelle remonte, elle est à mi cuisse. La main suit. Maintenant la main passe sous la jupe et sapproche de ma chatte, jaime quand il me caresse lintérieur des cuisses. Sil remonte plus haut, je ferme les jambes. Il continue sa progression vers ma chatte. Je lui ai coincé la main entre mes cuisses et je lui dis :
« Pour aller plus haut, il faudra sarrêter »
Lui : « Dans une dizaine de km. Il y a un maquis, (petit restaurant local) ou on pourra manger un morceau, puis au delà il y a un bois de teck et nous pourrons alors nous arrêter, nous serons tranquilles. Daccord. »
AL : « OK »
Lui: « En attendant tu pourrais enlever, ce qui cache ton joli minou. »
AL : « Ça texcite de savoir que je suis nue sous ma robe ? Je pense que je vais supprimer ces articles de ma lingerie et ne plus en mettre. Cest ce que tu veux ? Je commence à mhabi et ce nest pas désagréable. »
Lui : « Bonne idée ».
Nous étions arrivé au maquis et nous avons casse-crouté copieusement, ce qui était une nécessité, car nous étions partis tôt. Puis direction la forêt de teck.
La voiture est un gros 4x4 Land cruiser V8 qui peut transporter 7 personnes, ce qui fait 3 rangées de sièges, et qui habituellement permet à une équipe de faire des reconnaissances ditinéraire. Jean a pris ce véhicule, car son 4x4 est à la révision.
La rangée de siège du milieu a été rabattue contre les sièges avant, ce qui laisse une grande place entre la rangée avant et arrière.
Nous sommes donc passés à larrière. Ces 4x4 sont des véhicules relativement hauts sur roues. Il a fallu donc « grimper » dedans. En prenant les poignets permettant de se hisser, je levais la jambe pour prendre appui. « Par courtoise » Jean voulu maider en glissant une main dans mon entre jambe et entrepris de caresser cette partie sensible de ma personne, je le laissais faire car je trouve cette position agréable pour être caressée, la chatte dégagée et à moitié ouverte. Après quelques caresses, je me décidais à grimper. Jean me suivit.
Jean me prit sur ses genoux. Il déboutonna mon corsage, dégrafa mon SG, sa bouche soccupait avec intensité de mes seins dont les pointes devenaient dures. Pendant que sa main droite soccupait activement de ma chatte en la caressant. Pour plus de confort, je mis ma jambe gauche sur les dossiers des fauteuils rabattus, avec la jupe relevée jusquà la ceinture, la chatte complètement à lair jétais à la disposition de mon mari. Il me caressait à pleine main, puis un doigt sinsinua légèrement entre mes grosses lèvres, et puis se promena jusquà mon petit trou.
Ce doigt curieux fit plusieurs fois ce va et vient tout en senfonçant un peu plus à chaque passage. Je commençais à méchauffer et à mhumidifier sérieusement. Il écarta mes grosses lèvres me pénétra profondément dun doigt, puis de deux pour enfin me masturber. Il sortait de ma chatte et descendait jusquà mon petit trou quil caressait, enfonçait doucement.
Bien ouverte par ce traitement et commençant à être trempée, il glissa un troisième doigt et continua son va et vient en senfonçant de plus en plus dans ma chatte tout en caressant mes petites lèvres, je mouvrais et moffrais à ce traitement. Pendant ce temps, je ne restais pas inactive, car je lavais défait entièrement et ayant léché mes doigts je lui caressais le gland par petite touche du bout des doigts. Pas une grosse masturbation de sa queue, non un effleurement constant du gland et de la hampe avec les bout des doigts et des ongles.
« Tournes toi, jai envie de toi, ouvres ta chatte »
Je me tournais, je me trouvais donc assise sur ses genoux, une jambe de chaque coté de ses jambes. Un peu la position de la cuillère. Je pris appui sur les dossiers, je me soulevais, il fit me plier en deux sur les dossiers, il avait mes fesses et ma chatte à la hauteur de sa bouche.
« Tas vraiment un beau cul, ta chatte est toute humide, tas envie ? »
Limbécile avec le traitement quil mavait fait subir, il aurait été dramatique que je ne sois humide, sinon détrempée. Bien sur que jen avais envie, et, plus il me faisait attendre plus jen avais envie. Il mécarta les jambes et entrepris de me lécher la chatte, me prenant avec sa langue et ses doigts, quittant ma chatte pour mon petit trou et recommençant. Il me faisait attendre plus jattendais plus javais envie quil me prenne, il attendait que je lui demande. Cest ce que je fis.
« Viens, prends moi, je te veux en moi, je suis trempée, viens vite »
Il me fit masseoir sur lui. Je prie sa verge et la guidais vers et dans ma chatte qui nattendait que ça. Jétais en appui sur les sièges avant et en position comme je létais je pouvais mener la cadence. Cétait extraordinaire, je lavais enfin en moi, il me remplissait et pendant que je mempalais sur sa queue, il me caressait les seins, le ventre, descendait jusquà ma chatte et remontait. Plus la pression montait plus ses caresses sur mes seins devenaient rudes. Je continuais mon va et vient en mempalant au maximum, et en modifiant le rythme en fonction de la montée du plaisir que je sentais venir. Je sentis quil partait, jaccélérais le rythme, il se tendit, se cambra, je mempalais au maximum et lavalais complètement. Je sentis quil se vidait, Je fus assailli par un orgasme brutal qui me fit me cramponner aux sièges. Un peu sonnés, nous sommes restés lui dans moi, pendant un certain temps, tel que je le sentis se retirer doucement de ma chatte.
Après nous être réajustés, nous avons repris la route pour le chantier. Le responsable du chantier et sa femme nous accueillirent. Comme dhabitude :
« Mathilde reste là avec vous AL et pendant que nous allons voir les travaux, vous pouvez disposer de la salle de réunions pour corriger vos copies ». Copies que javais amenées avec moi, comme à lhabitude.
Jolie Mathilde
Mon mari parti voir les travaux. Alors que je me dirigeais vers la salle un petit coup de vent me fit souvenir que je ne portais rien sous ma jupe. Je dus retourner au 4x4 pour récupérer ce que javais enlevé dans la matinée et qui me faisait défaut actuellement, surtout si un coup de vent coquin soulevait ma jupe devant le personnel du site bien que cela fut difficile avec une jupe droite, mais quand même et je navais pas encore lhabitude de ne pas en porter.
En arrivant, Mathilde, vêtue dun t-shirt et dune jupe courte, était là et mattendait, un café préparé. Nous nous connaissions assez bien dans la mesure ou cest nous qui avions accueilli le jeune ménage à leur arrivée et avions préparé leur transfert en brousse, de plus mon mari faisait un voyage environ tous les pois et il marrivait daller avec lui de temps en temps. Lui a environ 25 ans, conducteur de travaux débutant, mais très sérieux. Physiquement, environ 1,75 m, brun aux yeux marrons, bien bâti, beau garçon comme on peut lêtre à cet âge, très apprécié de mon mari qui lui voit un avenir sérieux si il continue dans cette voie. Elle, un joli brin de fille dans les 24 ans, pratiquement de ma taille brune, cheveux courts bruns, yeux verts lumineux qui éclairent son visage, avec, comme dirait mon mari ce quil faut là ou il faut. Infirmière de formation elle avait suivi son mari, sans savoir ce qui lattendait.
Pour prendre le café je métais assise, mais Mathilde était restée debout appuyée à la gazinière.
Alors que nous lavions connue pleine de vie dallant ce jour je la trouvée triste. Je lui demandais donc ce qui se passait. Elle mexpliqua quelle sennuyait, certes elle lisait beaucoup, soccupait de la petite infirmerie du chantier et des familles des ouvriers, mais il était un fait que perdue en pleine brousse, les journées devait paraître longue pour une jeune femme habituée à travailler dans une clinique ou un hôpital. Elle me parut à la limite des larmes. Je me levais, la prenant par les épaules je lui dis : »Daccord tu es seules une partie de la journée, quand Jean a débuté, il arrivait que je ne le vois que le samedi soir pur repartir le lundi matin aux aurores. » « Oui, mais tu avais ton travail, moi, ici, je tourne un peu en rond » « Pourquoi tu ne reprends pas tes études dinfirmière ou je ne sais quoi, qui pourrait tintéresser » La sentant prête à craquer je la serrais dans mes bras, en lui disant de se calmer
enfin en essayant de trouver les mots qui devraient lui remonter le moral, cétait un coup de déprime on en avait toutes eu en début de séjour, puis on sadaptait.
Là, quest-ce qui cest passé ? Je nai jamais su, ni jamais compris, toujours est-il, que tout à coup nous nous sommes trouvées lèvres contre lèvres. Il y eu quelques secondes ou le temps sest arrêté, puis, nos lèvres se sont entrouvertes et nos langues sont parties à la recherche de lautre, se sont rencontrées, caressées,
Nous avions un peu passé les bornes et au lieu de nous reprendre, de me reprendre, je glissais mes mains sous son t-shirt et les remontaient en caressant son dos jusquà son SG que je dégrafais. Elle eu un long frisson. Soudain javis une fole envie de la caresser, quelle me caresse, javais envie de caresser son intimité, de la sentir, de sentir son odeur,
Elle ne disait rien, par contre elle était collée à moi, en fait nous étions collée lune à lautre. Sa respiration sétait accélérée et quand soulevant son t-shirt je dégageais ses seins fermes et gonflés et dont les aréoles pointaient fièrement, elle poussa un « Ohhhhh,
oui,
« . Ce gémissement me fit savoir quelle appréciait le traitement subi par ma jeune et jolie partenaire. Elle était appuyée à la gazinière me laissant un libre et parfait accès à sa jolie poitrine que je caressais puis suçais goulument, je me mis à rouler ses tétons dans mes doigts, ce qui amena la jeune femme a augmenter ses gémissements. Les soupirs saccélérèrent depuis le début que je moccupais de ses seins, elle avait apprécié ce traitement les yeux fermés, les lèvres légèrement ouvertes laissaient échapper de longs gémissements. Jétais excitée comme une débutante à son premier rendez-vous. Je ne pouvais pas marrêter, je navais quune envie, cétait de la faire gémir de plaisir, de la faire jouir, ma bouche soccupait de ses seins, ma main descendit et passa sous sa jupe que je soulevais, pour atteindre son intimité. Il ny eu aucune résistance, uns simple accélération de la respiration. Je remontais le long de ses cuisses qui s ouvrirent au fur et à mesure de lascension de ma main et jatteignis enfin son slip qui était le dernier barrage couvrant sa chatte. Je le repoussais, nosant pas encore le lui enlever Là je fus agréablement surprise sa petite culotte était très humide pour ne pas dire trempée. Je couvrais son sexe de ma main. Je sentais ses grosses lèvres dans le creux de ma main et je commençais à la caresser, tout en laissant trainer un doigt entre ses lèvres chaudes et humides. Elle avait encore écarté les jambes et avancé son bassin. Puis, je saisis ses grosses lèvres et les triturais un peu, sa respiration avait accélérée et son souffle arrivait de plus en plus du fond de sa gorge. Je continuais à parcourir la fente de ses grosses lèvres, sans pour autant y pénétrer. Jen mourrais denvie, mais il devait me rester un tout petit brin de lucidité qui fit que si je voulais pénétrer sa chatte, jespérais quelle le demanda. A regret je retirais très doucement ma main et surtout mon doigt du sillon de ses lèvres de son intimité. Elle réagit en avançant son bassin à la poursuite de mon doigt et surtout en disant « Restes, sil te plait, restes ». Pendant que ma bouche soccupait avec de plus en plus davidité de ses seins qui devenaient durs et pointus, je reprenais à pleine main sa chatte dégoulinante. Ça y était elle était consentante, je décidais de me lancer « Ecartes les cuisses que je puisse menfoncer en toi, je veux te faire jouir ». Elle écarta largement les cuisses et mon majeur la pénétra « Ooooohhhhh, oui,
cest bon,
continues,
». Je commençais à la pénétrer avec un doigt puis au fur et à mesure de mes va et vient un deuxième doigt rejoint le premier et Mathilde gémissait de plus en plus fort manifestant ainsi son plaisir Tout à coup elle poussa un véritable cri, écarta brutalement les cuisses puis les referma sur ma main qui fut inondée de son plaisir, elle mattrapa la tête et la colla contre sa poitrine. « AL,
oh, AL cétat bon,
embrasses moi,
» Sen suivit un long baiser.
Je luis dis : « Je pense que tu as aimé que je te donne du plaisir, je tai bien fait jouir »
Mathilde : « Oh ... oui »
Moi : « A toi de men donner, tu mas excitée je veux que tu me donnes du plaisir, que tu me fasses jouir comme je lai fait pour toi »
Mathilde : « Euh oui, mais je ne sais pas faire,
je nai jamais fait ça avec une fille »
Je remontais ma jupe, écartais les cuisses et lui disais : « Laisses toi guider par tes envies, ce que tu aimerais que je te fasse, je taiderais et tu verras bien quand tu me donneras du plaisir » et je lui appuyais sur les épaules, docilement elle se mit à genoux et glissa un doigt pour écarter mon petit slip « Zut, je lai mis juste en arrivant, attends je vais lenlever » Cest ce que je fis et docilement elle reprit sa place devant et surtout dans ma chatte, à pleine bouche avec une langue fouineuse, agile et curieuse. Elle disait ne lavoir jamais fait, alors elle était douée et je pense quelle devait être sensuelle et aimer le sexe. Lavenir prouvera que javais vu juste. Je commençais à être sérieusement excitée, dautant quelle avait pris mon petit bouton entre ses lèvres et laspirait goulument alors que je lui disais quelle pouvait aussi utiliser ses doigts. Sans hésiter elle me pénétra profondément avec 2 doigts dune seule pression, ce qui me fit me cabrer et émettre un : »OOOOhhhhhh,
» de surprise, mais elle était à son affaire et si au début il y avait eu quelques hésitations, maintenant elle est en passe de me faire jouir dune belle façon. Je sentais, en moi, la pression monter quant à ma partenaire plus le temps passé dans ma chatte plus elle semblait y prendre plaisir. Alors que jétais su le point de menvoler, Mathilde sarrêta pour me demander : « Tu aimes, je fais bien ? » « OOOOHhhh ne tarrêtes surtout pas, continues, je sens que ça vient,
OUI continues » et elle se remit à louvrage sa langue et ses doigts étaient partout le plaisir éclat soudain, je poussais un cri de jouissance et resserrais la tête de Mathilde entre mes jambes pour la fin du plaisir. Elle se releva, elle avait les yeux brillants et un joli et coquin sourire de la fille qui pense avoir réussi, mais attends confirmation de sa partenaire. « Tu as été merveilleuse, tu es très douée et tu dis que cest la première fois que tu embrasses comme ça une fille » Elle « Oui, tu peux me croire,
je tai donné du plaisir » « Oui beaucoup, viens embrasses moi » Sans hésitation elle se colla à moi, sen suivi un long et chaud baiser, nos langues reprenant connaissance. Tout à coup nous avons réalisé que le temps avait tourné très rapidement et je lui dis « Allons prendre une douche, car si nos maris ont le nez fin, ils risquent de se poser des questions sur les odeurs que nous avons sur les lèvres, et je pense que ce nest pas nécessaire, et faisons nous une beauté pour eux. » Mathilde me regarda quelques secondes et éclata de rire en disant « Je ny avais pas pensé,
si un jour je trompe mon mari il faudra que jy pense ». Puis elle me dit « Je voudrais te poser une question », « Oui, vas-y » « Pourquoi tout à lheure tu as dit en parlant de ton slip : je lai mis juste en arrivant, attends je vais lenlever. Habituellement tu ne portes rien sous ta jupe ? » Moi : « Quand je vais au lycée, évidemment jai un slip, mais, souvent quand je sors avec Jean, je nen porte pas »
Mathilde « Et ton mari est au courant »
Moi : » Bien sur ça lexcite, de toutes les façons si un homme sait que tu es nue sous ta robe, cela lui donne des idées. Tu devrais essayer »
Mathilde : « Je ne sais si Paul apprécierait » et nous avons changé de sujet.
Le hommes sont rentrés nous avons pris lapéritif, diné et couché au campement comme dhabitude.
Une petite précision lagencement de ce campement était simple, Un bungalow chambre avec salle deau pour Mathilde et son mari. Perpendiculairement le même bungalow comme case de passage enfin encore perpendiculairement un bungalow cuisine salle à manger,
Entre les banches du U une certaine surface appelée salle de séjour recouverte dun toit en treillis végétal. Un peu éloigné, un autre U pour dautres personnels de lencadrement et enfin les ateliers, magasins,
Le soir avant daller se coucher les hommes ont décidé de partir à 7,00h. Quant à moi, je me suis levé aux environ de 8,00 h et jétais en train de préparer le petit déjeuner quand Mathilde est arrivée. Javais, comme robe de chambre, une robe en pagne, une espèce de sac avec une grande ouverture pour la tête et le décolleté et deux autres pour passer les bras et fendu haut sur les cotés. Ce nétait pas très seyant mais cétait pratique et pas chaud, par contre Mathilde avait un kimono blanc lui arrivant à mi cuisse qui la mettait en valeur. « Bonjour AL avez-vous bien dormi ? Vous navez pas été gêné par le bruit ? » « Non, avec les climatiseurs, on nentend peu de chose ». Pourquoi cette réflexion, je regardais plus attentivement Mathilde et je maperçus quelle avait de grands cernes autour des yeux. Et je lui dis « Non ne tinquiète pas, on ne peut rien entendre (et en riant) jai limpression que vous avez passez une nuit très chaude, non ? ». Elle piqua un phare. « Viens membrasser », elle sapprocha et me fit une bise sur la joue. Je la rattrapais par son kimono et lattirais vers moi et là, elle mit ses bras autour de mon cou, se colla à moi et posa ses lèvres entrouvertes sur les miennes. Sen suivit un baiser passionné et nos corps se frottaient lun contre lautre. Enfin elle se recula, je dénoué la ceinture de son kimono « Quest-ce que tu fais », « Enlèves ton kimono, je veux te voir nue » Après quelques instants dhésitation elle fit tomber son kimono, elle était entièrement nue. Cétait vraiment une jolie fille, peut-être un tout petit peu enveloppée, mais agréable à regarder, elle devait être adorable en blouse dinfirmière. Je la faisait se tourner et lattirais vers moi. Jétais collé contre son dos. Mes mains se glissant sous ses bras prenaient ses seins et les caressais. Ses mais se posèrent sur les miennes et accompagnèrent mes caresses. « Prends tes seins que je caresse tes mamelons. Ils nattendent que ça » Je pris ses mamelons les serrant et les faisant tourner entre pouce et index ce qui entraîna chez Mathilde de petits gémissements et une accélération de sa respiration. Enfin prenant ses mains je les faisais descendre sur son ventre, puis vers et sur sa chate en lui disant : »Caresses toi, je veux te gouter, je veux te lécher ton minou » Elle commença à se caresser, puis sarrêtant elle me dit : « Non, cest à toi de me caresser de me prendre avec tes doigts comme hier, cest bien meilleur et tu las si bien fait, ça ma fait jouir, jai aimé, recommences », « Tu veux vraiment », « Oui, sil te plait, cétait tellement bon », « OK, vas tasseoir sur la table, ouvres toi, ouvres ton minou que je vienne te prendre avec ma langue ». Cest ce quelle fit, les jambes bien écartées, elle était grande ouverte. Je me mis à lui caresser les cuisses en mapprochant de sa chatte, puis en méloignant, à ce petit jeu, je savais que plus ça allait, plus elle se tendait, je lentendais à sa respiration, chaque fois que mes mains sapprochaient de sa chatte, elle espérait que jy rentrerais et je méloignais. Elle commençait à sérieusement shumidifier. Après quelques minutes de ce petit jeu un doigt parcourt le sillon rosé tendre et mouillé de sa chatte. Et mon doigt shumidifiant je me risquais à aller jusquà son petit trou, simplement en le mouillant. Sa respiration devenait de plus en plus rauque et elle me dit « Dépêches toi de me prendre, rentres, je sens que je vais jouir » Je rentrais deux doigts dans son minou et multipliais les allers et retours et en même temps je léchais je haut de son minou, elle se cabra, poussa un cri de jouissance et minonda de son jus que je léchais et buvais. Elle reprit ses esprits « Cétait bon, même meilleur que hier » et elle posa ses lèvres sur les miennes : »Je sens mon odeur, tu aimes ? » Etant revenu sur terre nous avions à préparer le retour des hommes du chantier et surtout le départ vers 13,00 h en direction de la capitale. Ce que nous avons réussi à faire.
Pour en finir avec jolie Mathilde, je montais régulièrement au campement avec Jean ce qui nous permettait à toutes deux de nous laisser entraîner par nos tendances, momentanées, saphiques, lorsque nos maris étaient au loin sur le chantier. Le chantier terminé ils partirent sur un autre chantier et les hasards des mutation firent que jamais nous nous sommes revus. Cétait une fille sensuelle, curieuse des choses du sexe qui laimait et lappréciait. Mais cétait peut-être mieux ainsi.
La deuxième ou troisième fois que je montais au chantier avec Jean, à peine arrivée alors que nous étions dans la cuisine en train de préparer le café habituel elle me dit « Comme toi, je nai rien sous ma jupe, ça te fait plaisir », « félicitations tu te dévergondes ? Non
et Paul est au courant », « Oui, enfin non pour aujourdhui, il apprécie quand nous sommes seuls, pas comme aujourdhui ou il y des invités et surtout son chef »
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