La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°995)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°994) -
- Je n'avais pas d'idée précise, mais que diriez-Vous de lui posséder son cul de chienne, qui je suis sûr, ne demande que ça ? À moins que notre ami ne veuille pas de sa bouche...
Et sur la réponse de Monsieur de Santès qui confirma apprécier une bonne bouche, chaude et humide à baiser, les hommes se mirent en place. La jeune femelle fut allongée sur une table réglable en hauteur, et fut ainsi mise à la bonne hauteur pour que Monsieur de la Verdière puisse la besogner sans souci et de manière confortable, de même pour les deux autres Dominants. Sauf que Monsieur le Marquis, ayant choisi réellement un sexe en plastique dune taille hors norme, préféra sasseoir sur un tabouret bas, pour ne pas gêner son ami. Ce fut dailleurs Lui qui commença son intromission. La soumise reçut linterdiction de jouir, de crier ou même de gémir. Il fut cependant assez doux avec la chienne fautive. Même si tous les culs avaient été travaillés avant larrivée des Invités, cette queue de belle taille naurait pu senfoncer sans préparation. Il prit donc soin dy aller progressivement, dabord avec un, puis plusieurs doigts mais aussi en lubrifiant de gel le gode. En revanche, lorsquIl jugea le trou assez assoupli, Il enfonça doucement mais inexorablement le vit factice lubrifié, sans sarrêter jusquà ce quil fut enfoncé bien à fond dans ses entrailles. Alors seulement le Maître gagnant senfonça centimètre par centimètre dans la chatte déjà baveuse de la soumise, en même temps que le troisième homme senfonçait au plus profond de sa gorge. Dun signe de tête commun, ils se mirent tous à bouger en même temps, provoquant des vagues de plaisirs indescriptibles que la femelle avait bien du mal à contenir.
Alors quelle se faisait besogner, baiser, et enculer, quand les deux Dominas pensèrent quelle était proche de la jouissance, et dun commun accord, elles posèrent de petites pinces crocodile tout autour des tétons déjà pincés.
Comme sils étaient reliés télépathiquement, les trois hommes éjaculèrent quasi en même temps dans un tonnerre de longs râles jouissifs, au moment même où les Dominas réussissaient à faire sauter les deux dernières pinces. Mais la soumise avait subi sa sanction courageusement et sans faute. Cependant, les Dames ne voulurent pas rester les seules à ne pas avoir droit à la jouissance. Elles sassirent donc dans de larges fauteuils confortables, les cuisses très largement écartées, et elles claquèrent des doigts pour que soumise Laïs MDE et esclave Phryné MDE viennent à quatre pattes entre leurs jambes avec lobligation de les satisfaire. Elles décidèrent den faire un nouveau jeu. Celle des deux soumises-chiennes qui mettrait le plus de temps à les faire jouir serait sanctionnée.
Comme lesclave Phryné MDE précédemment, elle fut privée de tous ses sens. On lui passa des manchettes qui possédaient un anneau. On la conduisit à un endroit de la pièce doù pendaient des crochets au bout de chaînes accrochées au plafond. On les descendit pour les y attacher et on les écarta de manière à ce que ses bras fussent maintenus en extension, bien écartés. On lui fixa également une barre décartement aux chevilles, réglée de manière à ce que ses jambes écartées fussent douloureuses. Sans quelle sache de qui cela venait, elle reçut cinquante coups de martinet de face et dos, les lanières atteignant sans distinction toutes parties de son corps, y compris les plus sensibles. Lorsque cette première partie de la sanction fut terminée, les chaînes furent descendues et on lallongea à même le sol sur le dos. Tous, que ce soit le Maître des lieux ou ses Invités, la caressèrent de leurs deux mains, mais parfois, lune delle claquait à une ou plusieurs reprises la peau qui se trouvait sous elle. La soumise Laïs MDE était très excitée, elle était dans lincapacité de savoir combien de personnes la touchaient, combien de claques tomberaient à la fois, ni où, ni quand. Cela la rendait folle, lempêchant totalement de dire de manière affirmative si elle ressentait du plaisir, de la douleur, un mélange des deux ou ni lun ni lautre. Au bout dune demie heure de ce traitement, où elle avait contenu tout signe extérieur de ce que lui procurait tous ces attouchements, ces claques, tout cessa soudain, et on la laissa là sans la détacher, sans la libérer de ses nombreuses contraintes.
Les cinq amis, qui en avaient parlé rapidement au moment où Monsieur le Marquis les avait invités à ce week-end improvisé, firent alors cercle autour de soumise Nééra, qui, malgré sa tête et ses yeux baissés, les avait vu se rapprocher delle, tels des prédateurs autour dune proie. Et après tout ce quelle avait vu durant cette soirée, elle eut peur, malgré la confiance quelle avait placée dans le Châtelain. Elle se mit à trembler. Volontairement le Maître se plaça derrière elle et ne fit aucun geste pour la réconforter. Devant elle, Monsieur De Santès tenait un bandeau, sa femme un casque, Monsieur de la Verdière un bâillon anneau, et enfin son épouse des pinces. On lui mit en premier lieu le bandeau, puis tous les accessoires dans lordre cité précédemment. Elle se demandait où irait les pinces vu quelle en avait déjà posées sur les tétons. Et quand elle les sentit se refermer sur ses lèvres intimes, un son guttural de douleur sortit de sa bouche maintenu de force ouverte. Elle était complètement perdue, et avait limpression de ressentir la présence de centaines de personnes. Puis elle ressentit plusieurs mains sur elle. Elle nétait pas attachée alors, et elle ne pouvait sempêcher de se tortiller pour essayer de leur échapper. Des mains jouèrent avec ses quatre pinces, deux à deux. Des doigts la pénétrèrent dans la chatte et dans son cul. Elle avait été allongée au sol, elle gigotait tellement quon décida de lattacher fixant ses liens dans des anneaux au sol. Un sexe mâle la pénétra et la besogna sans ménagement à grands coups de reins puissants, alors que ses deux autres orifices étaient aussi pénétrés...
A son tour, elle devenait folle, mais limite paniquée. Nayant pas vu le Maître dans son champ de vision avant quon lui fit perdre la vue, elle simaginait quIl avait quitté la pièce et lavait laissé en pâture à ces centaines de personnes venues delle ne savait où. Bien que nouvellement arrivée, elle savait déjà quelle ne devait pas jouir sans autorisation.
Les Invités avaient regagné leur chambre accompagnés des deux soumises-chiennes MDE désignées pour les divertir, les soumis avaient tous été reconduits par Walter (aidé des domestiques) là où ils devaient passer la nuit, suivant sils faisaient partis du Chenil, de lEnclos ou des Cachots. Pour soumise Nééra, cette sensation dêtre très entourée navait été que le fruit de son imagination. La sensation dêtre pénétrée dans tous ses orifices en même temps avait été provoquée par le Maître qui, tandis quIl la besognait dans sa chatte avec Son noble sexe, se servait en même temps de deux queues factices pour ses deux autres trous. Après toutes ces émotions et ces révélations, la jeune Nééra éclata en sanglots. Ce moment avait été trop intense pour elle, il fallait quelle laisse évacuer ses ressentis comme elle le pouvait, en loccurrence par des larmes. Le Maître le comprit très bien et la prit dans Ses bras pour la réconforter, le temps quelle se calme. Puis Il sonna pour que le Majordome vienne la chercher pour la ramener à sa niche dans le Chenil.
Le reste du week-end fut tout aussi chaud. Quand arriva le dimanche après-midi, les Invités étaient très heureux et satisfaits. Ils avaient pu bien profiter de tous les avantages D/s que proposait Monsieur le Marquis dEvans dans Son noble Château de la Famille des Evans. Leur départ marquait également mon retour dans cette demeure ancestrale, et je me sentais heureuse de pouvoir revenir aux pieds du Maître, même en sachant quil allait falloir que jimplore Son pardon. Jespérais seulement quIl me permettrait de le faire rapidement
(A suivre
)
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