Julia, La Fille À &Quot;Bidasse&Quot;
Je trainais ma jeunesse dans les bars de cette ville de garnison sans trop savoir quoi faire. Quelques furtives aventures masculines navaient pas vraiment étanchées mon énergie.
Je trainais donc dans ce bar sombre, sans gaité ni inspiration lorsque la porte dentrée laissa le passage à une jeune femme, voir même une jeune fille. Son âge devait être comparable au mien, vingt ans environ. Demblée, je la sentais mal assurée, pas vraiment timide mais pas franchement à laise non plus.
Instinctivement je percevais la jeunette en mal de sexe et plus précisément en recherche de sexe dun mal ! Après tout, un bar « à bidasses », comme cela se disait à lépoque, était fait pour cela !
Je nétais pas le seul à avoir relevé le nez de mon verre. Demblée je décidais de ne pas laisser le champ libre à la concurrence et, sourire enjôleur au coin des lèvres, je lui souhaitais la bienvenue tout en lui proposant une boisson.
Nous avons immédiatement sympathisé. Mon approche était rodée et le premier de mes objectifs était de savoir si jallais perdre mon temps en préliminaire dapproche sans fin ou avoir la possibilité de concrétiser rapidement.
De son coté, elle amenait habilement la conversation sur les risques dune relation sexuelle mal contrôlée. Les années 70 nétaient aps un modèle du genre en termes de prévention des risques de MST et de grosses non désirées. Cétait cependant le temps heureux où le VIH ne sévissait pas encore.
Finalement, nous nous sommes rapidement entendue pour nous faire du bien. Elle était novice dans la démarche mais avait entendu parlé du cinéma Le Rex, dont la réputation sulfureuse laissait courir le bruit que cétait le lieu de débauche par excellence pour les « entre-hommes » et « filles faciles ». Bonjour le glamour des années 70
ce temps béni où on ne pensait quà « baiser » mais sans jamais lavouer !
Bref, après avoir royalement offert la place de cinéma à Julia, ma nouvelle conquête, nous nous installons dans le fond de la salle.
Très traditionnel dans la pratique, nous avons commencé par nous manger mutuellement la bouche. Avec fougue et, pour effet, des sensations supplémentaires qui me donnaient une érection à en péter la braguette. Ce faisant, ma main glissait rapidement sous sa jupe et entrait très vite au contact de sa motte pubienne. La Julia sétait bien gardée de mettre une culotte, mes doigts semparèrent des lieux avec aisance. Sa mouille rendait sa chatte glissante et je ne tardais pas à lui passer vigoureusement le majeur dans la chatte. Bientôt je lui susurrais à loreille que ma queue ne demandait qua la prendre. Face à son refus déterminé, lidée me vient de humer sa chatte. Rapidement je rapproche le nez de sa touffe. Son odeur mexcita encore plus. Jécartais ses cuisses et je me glissais entre ses jambes pour en profiter pleinement. Toujours plus excité par son odeur et cette chatte je décidais de lui lécher la chatte. Je navais encore jamais pratiqué cela. Au-delà des fanfaronnades entre potes, cela mexistait et me dégoutait en même temps. Cependant, dans linstant présent, lexcitation avait visiblement fait tombé toute les barrières. Presque goulument, je plongeais ma bouche entre ses lèvres. Sion gout me surpris, chaud, doux, un peu salé. Petit à petit, les mains de Julia guidaient mon action, mimmobilisant la tête là où ma langue lui procurait du plaisir. A un moment où je relevais la tête vers son visage pour y lire son plaisir, je saisis dans la pénombre mouvante créée de la projection du film, ses traits tendus et sa bouche crispée pour maitriser sa jouissance et retenir tout cri de plaisir.
Continuant laction de ma langue que je glissais au plus profond possible de son con et les succions sur les lèvres ainsi que le clitoris, je finis par lui faire lâcher prise.
Nous nous rassîmes côte à côte, épuisés mais radieux. Nous sommes restés ainsi jusquà la fin du film. La peau de mon visage me semblait durcir au fur et à mesure que séchait la jouissance de Julia. Lorsque nous quittâmes les lieux, javais limpression de sentir la chatte à 100 m ! mais jattendis le lendemain matin pour me laver.
Durant la nuit, rentré à la caserne, je me crassais la verge longuement, en me repassant le film de la soirée
au prit matin, en plus de sentir la chatte, je sentais aussi le foutre. Ce qui me valut le regard interrogateur du caporal de semaine lorsquil passa sonner le réveil dans la chambrée.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!