La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°996)
Alain au Château (suite de l'épisode N°993) - La découverte d'un nouveau monde...
Libre de choisir dêtre asservi et heureux de lêtre aux pieds de Monsieur le Marquis ...
- Bien ! Maintenant, il est temps de prendre un peu lair dans Mon Domaine
sur Mes Terres beaujolaises et donc je me sens en forme pour une balade ! Prépare-les pour une promenade sonnante !
Le Maître a parlé. Monsieur le Marquis se lève sous les yeux ébahis et intrigués de trois nouveaux serviteurs. De suite, Walter attache les mains des trois garçons derrière leurs dos, puis il fixe une courte chaîne entre les deux premiers et une autre entre les deux autres. Pour terminer, Walter sert une corde autour du gland turgescent d'Alain et dirige les trois garçons hors du bureau. Directement, Alain est confronté à la nudité en public et saperçoit ainsi que le mot intimité devient obsolète... Non seulement il était complètement nu excepté par un large et lourd collier de métal aux Armoiries de son nouveau Propriétaire, mais il est tiré par son gland gonflé et violacé. Cette situation le fait bander encore plus comme jamais il navait autant été en érection. Alain n'ose plus lever les yeux quand tous croisent différentes personnes dans le dédale de luxueux corridors, personnes plus ou moins habillées, il se sent honteux mais étrangement sa bandaison reste à son paroxysme. Ce mélange de ressentis entre honte et excitations est nouveau pour lui et ainsi il ressent un véritable bien-être en lui qui lui donne des frissons sur toute son échine. Il a limpression dêtre enfin ce quil est profondément au fond de lui-même, un soumis ! Le Majordome les conduit au fond dun dernier et long couloir capitonné jusqu'à une haute porte dérobée, vernie et presque entièrement sculptée. Nul doute que cette porte est très ancienne quand il peut y lire, au passage, une inscription très visible et gravée au couteau sur le battant du haut, inscription apparemment datant davant la Révolution Française : 1785 : A mon Ami, le Marquis dEvans MDAFDS Il se demande bien qui est ce MDAFDS ? Walter sétant arrêté devant cette porte pour louvrir constate le regard interrogatif dAlain et il prend visiblement plaisir à donner quelques explications ! :
- Je vois que tu te demandes bien qui a pu écrire cette inscription devenue désormais historique ! Eh bien ce MDAFDS est tout simplement le célèbre Marquis Donatien Alphonse François de Sade qui a séjourné ici au Château de 1784 à fin 1785.
Alain est très impressionné et prend alors pleinement conscience que ce lieu ancestral est chargé dHistoire
Lorsque Le Majordome ouvre cette fameuse porte, Alain peut sentir un courant d'air frais. Aussitôt il lève la tête et aperçoit une grande cour extérieure. Il résiste légèrement à la traction mais la douleur générée est trop intense. Les trois jeunes soumis se retrouvent dans une grande cour en pierre où s'activent plusieurs femmes complètement nues hormis par un collier de cuir autour du cou et une abominable ceinture de chasteté métallique inoxydable.
La vue de ces corps nus est extraordinaire, mais tout aussi angoissante et excitante à la fois pour son avenir. Il peut sentir tous les yeux fixés sur son corps nu et spécialement sur sa hampe étirée vers le haut et incroyablement gonflée. Il se sent le clou d'un spectacle qu'il ne désire pas être, mais le mélange d'excitation, de fierté et de honte amène une incroyable démangeaison dans son bas-ventre de plus en plus intense proche dune éjaculation qui pourrait intervenir sans même se toucher la verge. À chaque arrêt, chaque ralentissement, Alain peut sentir la pointe du sexe tout aussi dressé de Pierre contre ses fesses et parfois entre ses fesses, le mettant dans un désir encore plus bandant et aussi dans un malaise profond. Alain n'est pas au bout de ses surprises comme le but de leur marche est clairement des écuries. Il peut voir un magnifique étalon blanc qu'un jeune lad prépare sans doute pour son maître. Le jeune garçon est aussi beau que l'étalon qu'il harnache. Le fin collier de cuir ciselé contraste fortement sur la peau blanche de son corps. Il est nu, lui aussi, et autour de ses hanches, il porte le même genre de ceinture que les jeunes filles dans la cour, mais plus exactement cest une cage de chasteté en inox qui enserre ses couilles munie dun cylindre du même métal incurvé vers le bas qui lui emprisonne sa nouille condamnée à être confinée ainsi.
Le groupe contourne les écuries et Walter fait entrer les trois garçons enchaînés par une petite porte à l'arrière. Alain découvre alors une immense salle incroyable. Au centre se trouvent une dizaine de supports de scelles, toutes plus belles les unes que les autres et toutes portants distinctement les Armoiries de la Famille des Evans. Les murs sont garnis de divers objets et accessoires répartis suivants leurs utilités. D'une part, se trouvent tous les cuirs, harnais, brides et longes mais aussi un impressionnant nombre de cravaches de multiples tailles. Ensuite, viennent différents modèles d'étriers et de mors en métal. Le dernier mur est rempli de petits objets variés tant par les couleurs que les matériaux et inattendus dans un tel lieu. Ils ressemblent tous aux accessoires utilisés dans les cirques pour décorer stupidement les animaux. Et c'est vers ce mur-là que le Majordome conduit ces trois prisonniers. L'inquiétude d'Alain est grandissante et, son imagination aidant, son excitation aussi. Walter détache les chaînes des colliers des trois garçons. La corde pend maintenant librement au gland d'Alain et cela le perturbe encore plus. Les pensées d'Alain sont maintenant remplies d'horribles images de cirque. Il ne bronche pas lorsque le Majordome détache ses mains avant de les menotter devant son corps.
Alain revient à la réalité alors que Walter s'approche de lui avec deux petits objets luisants dans ses mains. Alain les découvre comme les mâchoires des pinces équipées de clochettes et qui sont violemment refermées sur le bout de ses tétons. La douleur est si forte qu'elle arrache un cri aigu réprimandé par une sévère paire de claques qui fusent sur son visage. Alain, soumis, les joues rougies, baisse instinctivement la tête. Il apprend vite car lorsque trois autres pinces du même genre viennent se refermer dans la tendre peau sous sa hampe gonflée et sur la peau flétrie au bas de chaque testicule, il retient un puissant cri d'agonie. Son corps entier se tord et, lorsqu'Alain entend le tintement de clochettes, lorsqu'il réalise que ce sont les siennes, il se fige comme pour ne pas attirer l'attention d'un public qui n'existe pas. Les mots du Maître resurgissent alors : une promenade sonnante ! Ensuite, viennent les garnitures les plus animalisant, une pince sous le nez et une pour chacun des lobes d'oreille. C'est la déchéance pour Alain, c'est visiblement la gloire et la satisfaction pour Walter. Mais cette déchéance ne peut cacher son extrême excitation décuplée par la forte douleur des pinces
Alain est désespéré, angoissé, excitée. Il ne peut même pas crier son désespoir. Il ne peut même pas laisser son corps exprimer sa douleur. Tandis que le Majordome équipe le deuxième garçon, son corps est bousculé et la douleur des pinces se ravive dans un avilissant qui le fait plus que bander. Le dernier garçon est décoré. Alain tente d'anticiper chaque mouvement en s'écartant légèrement, mais les mouvements sont trop violents. Alain est préparé pour la douleur et c'est ainsi qu'il peut distinguer les différentes tonalités des clochettes.
Le Majordome libère les mains des garçons, admirant son travail et les rattache aussitôt à leurs colliers. Il pousse fièrement ces trois uvres vivantes vers la petite porte et décroche trois longes de cuir en passant pour les fixer aussi aux colliers. Le groupe se retrouve dans les écuries ou plusieurs stalles sont occupées par de magnifiques montures, de véritables pur-sang digne dun milliardaire. Mais Alain comprends vite quil est, justement, chez lun deux ! Que Monsieur le Marquis dEvans fait partie dune des plus richissimes familles de France. Les trois garçons n'ont pas le temps dadmirer ces magnifiques chevaux de courses puisqu'ils sont tirés dehors vers les grandes portes ouvertes. Alain aperçoit de suite le magnifique jeune lad à la peau blanche et une incroyable chaleur traverse son corps, tant par la honte d'être exhibé ainsi devant ce jeune Apollon à la nouille encagée que par l'excitation d'offrir ce spectacle à celui, quil vient dapercevoir aussi, Monsieur le Marquis noblement assis sur son destrier, somptueusement vêtu d'un magnifique costume équestre. De suite, le Noble fait claquer sa longue cravache contre sa botte de cuir, affirmant son autorité, attirant le regard de tous. Effectivement, Alain oublie complètement ce jeune garçon de rêve, il est hypnotisé par son Propriétaire qui les domine sur son splendide étalon racé. Une secousse sur son cou signale le départ. Alain est précipité vers l'avant, il titube quelques mètres et récupère son équilibre. Le Châtelain est déjà passé au trot, amenant un brouhaha de clochettes qui semblent le satisfaire. Le début de la promenade soulage l'engourdissement des muscles des trois soumis mais sa longueur augmente progressivement le calvaire amené par les mouvements brusques des pinces dans les endroits sensibles. Dans sa clémence, Monsieur le Marquis alterne différents rythmes. À l'entrée du bois, le Maître descend même de son étalon. Il se dirige vers un haut et magnifique marronnier certainement centenaire qui produit un appréciable ombrage. Le Noble attache les trois longes à une branche et s'assied majestueusement au pied de l'arbre au diamètre du tronc impressionnant, appuyant son dos contre celui-ci. Il se repose quelques minutes, les yeux fermés. Alain est fasciné par cet homme, tout en lui est noble, ses traits, ses actions, ses mouvements, ses paroles et même lorsqu'il ne fait rien. Alain peut tout-à-coup distinguer un léger sourire sur ce visage empli dautorité, dintelligence. Cet homme au charisme extraordinaire impressionne vraiment Alain
(A suivre
)
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