Coup De Coeur Entre Artistes 7

Lui

J’ai l’impression qu’elle se décompose. Moi de repenser à tout ça je commence à être excité de nouveau. Je me couche sur le ventre pour cacher mon début d’érection.

- Le candaulisme c’est quoi en fait ?e demande-t-elle.
- C’est quand tu prends du plaisir à voir ton partenaire faire l’amour avec quelqu’un d’autre. Ça je l’ai pratiqué avec une fille que j’ai fréquentée un temps. Elle cherchais la même chose que moi, du sexe et rien de plus. On se faisait des soirées avec Chris et sa femme.
- Chris ? Le véto ?
- Oui, sous ses airs d’intello, c’est un chaud lapin, et sa femme aussi.
- L’endroit le plus particulier où tu t’es envoyé en l’air…
- Une cellule dans une gendarmerie : pendant une permission je me suis battu avec le mec de la fille que je venais sauter dans les toilettes d’un bar. Le gérant a appelé les gendarmes et ils m’ont embarqué. La gendarmette de garde cette nuit n’a pas résisté à mes avances. A toi maintenant : les pratiques et endroits un peu exotiques…

Elle rougit.

- Joker…
- On va arranger ça alors. D’ailleurs, pour en revenir à la sodomie, tu as déjà …
- Eric a essayé une fois où il était défoncé. Mais comme il me faisait mal, précisons qu’il me prenait de force, j’ai coupé court…
- Ce mec est vraiment un connard… sur mais si ça te tente d’essayer à nouveau, sache que je ferai doucement, qu’on préparera ton corps, on prendra notre temps. Et qu’à tout moment tu peux dire stop.
- Tu voudrais me préparer comment ? Me demande-t-elle plein d’érotisme dans la voix.

Sans ménagement je la couche sur le ventre.

- Mets toi à 4 pattes et écarte un peu les jambes. Et caresse toi la chatte avec une main pendant que m’occupe de ton postérieur.

Elle se positionne mais hésite un moment à se toucher.

- Masturbe toi sinon je ne te ferai plus jouir…

Elle pose doucement sa main entre ses jambes, mais elle hésite encore.

Je pose ma main sur la sienne et la caresse pour l’inciter. De mon autre main, j’écarte ses fesses et passe ma langue sur sa raie, insistant un peu sur son trou. Vu comme elle tend son cul en gémissant, elle doit aimer ça. Elle se caresse maintenant seule, je glisse donc 2 doigts en elle. Je fais aller et venir ma langue de sa chatte à son cul. Quand je la sens un peu détendue, je glisse mon index doucement dans son petit trou si serré. Qu’est-ce que j’aimerai que ce soit ma bite… je bande à nouveau comme un fou. Je joue encore un peu avec son trou puis je me place derrière elle et m’enfonce avec force dans sa chatte. Elle pousse un petit cri de surprise. Je la baise brutalement et nous jouissons ensemble.

Je me laisse tomber de côté et suis surpris quand elle vient sucer ce qu’il reste de mon érection.

- J’avais envie de te goûter.

Elle.

Après nos ébats, Thomas est rentré chez lui s’occuper de Max qu’il n’avait pas prévu de laisser seul cette nuit.

Je vais faire faire un petit tour à Ice avant de prendre une douche. Sous le jet d’eau, je repense à la soirée de la vieille : le romantisme du repas, la violence d’Éric, la tendresse de Thomas et sa bienveillance. Tous ces paramètres ont fait céder les dernières barrières qui me retenaient de m’offrir à lui.

C’est toute guillerette que je sors de la douche. Au même instant mon téléphone sonne.

- Allô ?
- Si tu réponds aussi vite, c’est qu’il est pas avec toi. Alors viens m’ouvrir ! M’ordonne Sophie.

Je m’enroule dans une serviette et lui ouvre la porte.

- Franchement, le pauvre, tu le fais encore languir…
- Bonjour. Moi aussi je suis contente de te voir.
- Bonjour, excuse moi.

Je retourne à la salle de bains pour me sécher et m’habiller.

- Bon raconte moi tout alors, me dit-elle en me suivant.

Sophie et moi avons passé toute notre enfance ensemble. On s’est toujours tout dit, jamais rien caché. Il n’y a aucune pudeur entre nous, aucun sujet tabou. Elle connaît le nombre de partenaires que j’ai eu, ce que j’ai fait avec eux, comment je l’ai fait, où, combien de fois. Et la réciproque est vraie. Aujourd’hui encore nous prenons nos douches ensemble comme lorsque nous étions petites filles.

Je lui raconte dans le détail la soirée chez Thomas.

- Quoi, tu lui as demandé de te ramener ? Alors que tu étais à cheval sur lui ? Tu es une sadique toi.
- Je sais… j’avais envie de me laisser aller, et puis j’ai flippé…alors j’ai préféré ne pas tenter le diable plutôt que de me barrer en courant en plein milieu de l’action.
- Ouais le pauvre quand même… ça fait des semaines qu’il languit…

Je reprends mon récit au moment où il me dépose devant l’immeuble. Quand je lui relate l’agression de Éric, elle blêmit.

- Pourquoi tu m’as pas appelée ?
- Tu étais au boulot, puis Thomas était avec moi. Puis les flics sont venus à la maison… j’étais épuisée… et je savais que tu passerais aujourd’hui pour avoir mon rapport.
- Thomas était avec toi ? Ça veut dire qu’il a passé la nuit ici ?
- Oui, il voulait pas que je reste seule. Il a voulu rester dormir sur le canapé… j’ai accepté. Mais prise de remords je lui ai dit de venir dormir avec moi… mais on n’a rien fait….

Je laisse ma phrase en suspens et je l’observe écarquiller les yeux, sachant qu’elle va à nouveau sortir un « le pauvre » avant de terminer :

- Cette nuit. Par contre ce matin…
- Ah quand même ! Raconte, je veux tous les détails !

Je lui explique que j’ai eu le loisir de me rincer l’œil devant son physique. Et qu’après notre discussion je me suis blottie contre lui et que les choses se sont faites naturellement.

A ce moment je reçois un sms de Thomas.

‘’ coucou ma belle. Juste pour te dire que j’ai passé une excellente matinée avec toi.. c’était génial. J’ai hâte de pouvoir te prendre à nouveau dans mes bras… tu fais quoi de beau ? ‘’

‘’ hello. Je bois un café avec Sophie. Et toi ? ‘’

‘’ j’ai plus de secrets pour elle, c’est ça ? ^^ mais lui raconte pas tout ce que je t’ai fait, elle va vouloir essayer… moi, je viens de finir ma séance de sport à la salle, je vais aller me doucher…’’

‘’ trop tard, elle sait déjà tout, sauf ce que tu m’as confié sur ta vie privée. La prochaine douche on la prend ensemble, j’ai envie de frotter ton corps muscl酒’

‘’ alors faudrait que tu viennes me frotter quand je viens de faire une séance de muscu, avec la congestion, je parais encore plus musclé… tiens cadeau.’’

Il joint à son message un selfie de lui torse nu tirant la langue devant les douches de la salle de sport.

‘’ hum… j’avoue ça donne encore plus envie… et cette langue…’’

‘’ bébé, stop, stp, je vais de nouveau avoir envie de te sauter dessus… pas que ça me dérangerait, mais j’ai du boulot… par contre ce soir…’’

‘’alors je vais te laisser aller bosser… et à ce soir… xXx ‘’

‘’ à ce soir. Je t’embrasse partout…’’

Rien qu’à l’idée de retrouver son corps, j’ai chaud.

Quand je montre la photo à Sophie, je distingue une pointe d’envie dans son regard.

- Oh la vache, le corps…
- Et t’as pas vu son cul et sa queue… un corps parfait… et sa réputation n’est pas infondée. Elle est même incomplète… il est chaud oui, mais c’est surtout un dieu du sexe. J’ai jamais pris mon pied à ce point.

Elle me raconte à son tour sa soirée qu’elle a fini seule, une fois n’est pas coutume.

A 18h30, Thomas m’envoie un sms :

‘’ je passe te prendre à 22h15. Je t’emmène au cinéma à la deuxième séance. Aies mangé. Bisous.’’

‘’ à vos ordres… bisous où tu veux…’’

Je suis sur le pas de la porte quand il arrive.

Lui.

Elle m’attend quand j’arrive devant chez elle. Elle porte une jupe blanche avec un top rouge et sandales de la même couleur.

Je sors lui ouvrir la portière non sans avoir pris le temps de la serrer dans mes bras et de l’embrasser.

Arrivés sur le parking, je lui ouvre la porte pour la laisser sortir. Alors qu’elle avance un peu, je la plaque contre la portière arrière de ma golf.

- Tu vas pas avoir besoin de ça je pense, lui dis-je en lui retirant son string noir. Très belle dentelle bébé…

Je le glisse dans ma poche. Elle me regarde avec de grands yeux et est toute rouge.

- Je t’ai dit qu’on allait élargir le champ de tes expériences. Sortir en public sans sous-vêtements, c’est pas grand-chose. Et tu verras c’est grisant de se dire que tout le monde pourrait voir ton intimité alors que personne ne le sait… puis ça nous fait gagner du temps pour après le film…

Elle marche à côté de moi en tenant sa jupe.

- Détends toi… y a pas de vent. Et franchement avec un cul comme le tien, tu n’aurais pas à rougir de le dévoiler.

Je paie les places et on va s’installer. Je l’entraîne au tout dernier rang. La salle est à 3 quarts pleine, mais personne devant ou à côté de nous. Parfait.

Le film commence. Je glisse ma main le long de sa cuisse. Lorsque j’arrive à sa chatte, elle tourne la tête vers moi, surprise. D’un doigt sur la bouche, je lui intime le silence. Elle écarte un peu plus les jambes, me laissant plus de place pour la doigter. Elle se trémousse sur son siège et gémit.

- Chut bébé, on va se faire griller…
- J’ai envie de jouir… c’est trop bon…
- En silence ma puce… laisse toi aller, mais pas un bruit

Elle se mord la lèvre pour ne pas crier son plaisir. Je disparais alors entre les sièges pour glisser ma tête entre ses jambes. Je tire doucement sur ses fesses pour l’approcher de moi.

- C’est super excitant comme situation…

Sa chatte confirme ses dires, ruisselante de plaisir. Je suce son clito. Elle tire sur mes cheveux. J’adore son goût. Je la lèche jusqu’à la faire jouir à nouveau. Je me rassois sur mon siège, ouvre mon jeans, le baisse un peu ainsi que mon boxer pour libérer ma queue. Alors que je voulais l’attirer à moi pour qu’elle s’assied sur moi, Julie se met à genoux devant moi et me suce. Après quelques minutes, je la relève et la fait s’asseoir sur ma bite.

Pour ne pas nous faire remarquer, je fais de petits mouvements. D’une main, je joue avec son sein, de l’autre, je pince son clitoris. Elle jouit rapidement, mais silencieusement. Je la rejoins vite dans l’extase.

En sortant du cinéma, nous n’avons presque rien vu du film, mais on a pris notre pied.

- C’était top ! Merci, chuchote-t-elle.
- Ne me remercie pas, c’était aussi bon pour toi que pour moi… premier lieu inhabituel check.

Elle.

Il me ramène chez moi, mais nous décidons de ne pas passer la nuit ensemble.

- On se voit demain soir quand je sors de cours ?
- Ça marche. Passe une bonne nuit.
- Toi aussi.

Je m’endors rapidement.

Le lendemain, je suis en plein cours d’histoire quand il m’envoie un sms.

‘’ la salle où je t’ai prise en photo, maintenant…’’

‘’ je peux pas, je suis en cours’’

Pour toute réponse, il m’envoie une photo. On y voit le bas de ses abdos mais surtout la bosse que forme sa queue dans son jeans ouvert.

Je fourre mes affaires dans mon sac et sors précipitamment de la salle sous les cris réprobateurs de mon professeur, mais aussi les rires de Sophie qui a aperçu la photo sur mon téléphone.

Quand j’ouvre la porte de la pièce, il se jette sur moi. Il me plaque contre la porte, me retire mon jeans et mon tanga. Il me soulève et je passe mes jambes autour de sa taille. Il me pénètre en m’appuyant contre le mur. Je soupire de plaisir. Lorsqu’on entend du bruit dans le couloir, il plaque sa main sur ma bouche mais continue de me donner des coups de reins.

Puis il me pose et m’entraîne vers un bureau.

- Penche toi en avant.

J’obéis.

- Je peux être brutal bébé ?
- Oui… dis-je dans un souffle dans savoir à quoi m’attendre.
- N’oublie pas qu’il te suffit de dire stop pour que j’arrête…

Je n’ai pas le temps de répondre qu’il me baise brutalement. Je sens le bord du bureau taper contre mon clitoris, provocant de petites décharges de plaisir.

Puis il me fait me tourner et me mettre à genoux devant lui.

- Tu voulais me goûter… fais toi plaisir…

Je lui souris, gourmande. Je prends sa queue en bouche, la lèche, la caresse. Il place une main sur ma tête, se passe l’autre dans les cheveux et fait un va et vient dans ma bouche, d’abord doucement puis plus fortement. Je sens sa queue gonfler un peu, signe annonciateur qu’il va bientôt jouir.

- T’arrête pas bébé, par pitié t’arrête pas…c’est trop bon.

Je le suce plus fort jusqu’à ce qu’il me gicle dans la bouche. J’avale jusqu’à la dernière goutte. Il se laisse tomber à genoux face à moi et m’embrasse.

J’ai enfin le temps de l’observer : il est hyper canon. Il est torse nu, un jeans délavé taille basse laissant apparaître son boxer pour tout vêtement.

Il s’allonge par terre et m’attire à lui pour je pose ma tête sur son torse.

- Deuxième lieu inhabituel check.

Je reste muette.

- Toi ça va pas…
- Les flics m’ont appelée. Ils ont arrêté Eric cette nuit. Il faut que j’aille là-bas demain matin pour l’identification.
- C’est une bonne chose qu’ils l’aient chopé. Valait mieux pour lui que ce ne soit pas moi, pas après ce qu’il t’a fait. Je pense que c’est pour moi que les flics auraient du venir.

Je n’ose pas lui dire que je ne veux pas aller l’identifier. Je sais que ça ne servira à rien, il n’ira pas en taule. Et je n’ai pas envie de le revoir.

- Faut que je retourne en cours…
- Ça marche. Tu veux que je vienne avec toi demain matin ? Je ferme le studio pour la matinée.
- Non non c’est bon t’inquiète.

Je l’embrasse et retourne en cours.