La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°997)

Alain au Château – (suite de l'épisode précédent N°996) - Une épilation intégrale -

Cet homme au charisme extraordinaire impressionne vraiment Alain… Monsieur le Marquis ouvre les yeux et ordonne à ses trois soumis d'approcher et de s'agenouiller. Une fois à bonne distance de cravache, le Châtelain commence à tapoter chacune des clochettes. Le Maître mémorise rapidement les différentes tonalités. Avec vingt-quatre clochettes à sa disposition, le Noble commence à créer un magnifique morceau de musique. Alain peut sentir la fougue comme plusieurs coups se font plus violents. Monsieur le Marquis semble principalement apprécier les clochettes sous les trois glands violets progressivement striés de marques. Le concert a attiré un public. En effet, trois hommes sont apparus silencieusement. Le Châtelain les a remarqués mais Il n'arrête pas sa musique. Dès que Le Maître décide d'arrêter, les trois hommes applaudissent et le félicitent. Alain et ses deux compagnons rivalisent en rougeoiements de honte, mais ils sont si soulagés de la fin du spectacle. Le Noble se lève et commence une aimable discussion avec Ses employés, les bûcherons de la forêt du Château. À un moment donné, au grand effroi d'Alain, Monsieur le Marquis propose même à ses gardes-forestiers de les utiliser. Alain ne sait pas précisément de quoi il est question, mais cela ne peut être rien de bon... Quoi que ? …

Les trois vaillants hommes d’apparence assez rustres se dirigent joyeusement vers les trois garçons agenouillés. Vue sa position agenouillée, tout devient évident pour Alain tandis que ses yeux se concentrent sur le bombement largement visible dans l'aine de l'homme musclé qui est devant lui. Tandis que les larges mains du bucheron libèrent progressivement l'avant du pantalon kaki, Alain ne sait pas s'il doit garder ses yeux ouverts ou les fermer. Alors il décide de les fermer, mais ils les rouvrent immédiatement lorsqu'il sent une épaisse tige de chair forcer son chemin entre ses lèvres et plonger rapidement dans sa bouche, directement jusqu'à la garde.

Alain n'est vraiment pas habitué à cela, une panique s'empare de lui et il commence à suffoquer. L'homme ne s'en tracasse pas et utilise sa bouche avec des pénétrations rapides, cadencées sans se préoccuper de la réaction d’Alain. Rapidement l’homme laisse échapper de longs râlements jouissifs ponctués de plusieurs et puissants jets saccadés de sperme qui inondent la gorge su soumis… Alain n'a pas d'autres solutions que d'avaler tandis qu’il sent en même temps sa propre hampe encore durcir de plus belle. L'homme se retire de suite, il essuie sa tige sur le visage d'Alain et dans ses cheveux. Les mâchoires en douleur, le cœur meurtri, Alain regarde celui qui lui a la bouche s'éloigner puis ses yeux atterrissent sur le visage du Maître qui debout est majestueux, Il a les bras croisés, le regard haut et Dominant. Une expression de fierté et de satisfaction est évidente sur son noble visage … Et c’est en voyant ce visage de ce Grand Dominateur qu’Alain se surprend de ressentir un incroyable bonheur intérieur d’avoir satisfait le Châtelain...

Le retour se passe sans problème si ce n'est que le rythme est plus intense. Alain reste fortement perturbé positivement par le regard Dominant et satisfait qu'il a vu sur le visage du Maître. Une fois arrivé à l'écurie, Alain fait tout pour continuer à satisfaire le Noble car il en ressent et découvre que ça devient un véritable bonheur mental, il n'a même pas d'yeux pour le bel Apollon. Il n’a plus que cette envie d’apporter entière satisfaction comme celle qu'il a vue si intense dans ces yeux hypnotisant … Monsieur le Marquis descend gracieusement de son destrier qui est, de suite, pris en charge par le jeune palefrenier qui le salut tête baissée. Le Châtelain rend les longes à Walter et lui glisse rapidement quelques mots à l'oreille. Le Majordome conduit immédiatement les trois garçons dans la grande salle où ils ont été si joliment parés. Le même rituel et Walter retire toutes les pinces sans grand ménagement et terminant, cette fois-ci, par Alain qui n’arrive pas à débander, tellement son excitation perdure encore et encore… À peine a-t-il terminé de ranger le matériel que Madame Marie la cuisinière apparaît.
Les trois jeunes serviteurs ont déjà appris que la présence de Madame Marie, hors de ses cuisines, était ‘‘mauvais signe’’ car elle ne se déplaçait jamais pour des babioles. Madame Marie emmène les trois nouvelles recrues de retour vers le Château qu'elle contourne pour entrer dans une annexe. Là-bas, trois jeunes esclaves femelles les attendent. La salle n'est pas accueillante, les murs sont recouverts de carrelage blanc froid, de même que le sol. Au centre, une solide table de bois équipée de nombreux anneaux scellés. Pierre et Marc sont emmenés vers le mur opposé et leurs colliers sont de suite verrouillés à une courte chaîne solidement ancrée dans le mur tandis que les jeunes filles retirent tous les fers d'Alain et le force à se coucher sur la table. Alain est content de pouvoir s'allonger sur le doux bois frais, alors que sa nouille est toujours aussi dressée…

Sur un ordre de Marie la cuisinière, les jeunes soumises attachent le corps d'Alain avec des sangles bien tendues. Alain ne résiste pas, il est conscient que quelque chose d'inhabituel va arriver. À peine est-il immobilisé que Madame Marie approche avec une redoutable paire de ciseaux. Sous les yeux ébahis des deux autres nouvelles recrues, elle commence à tailler les poils d'Alain, commençant par son pubis, remontant vers son torse et aisselles. Alain ne bouge pas d'un iota, il a peur d'être blessé et repense au regard Dominant de Monsieur le Marquis qui est toujours ancré dans sa mémoire. Alain risque un regard vers ses deux compagnons dont les yeux sont écarquillés, mais il ne cherche pas à comprendre les raisons, il reste dans sa propre conscience et se prépare à subir, il ne sait quoi d’ailleurs, à tout instant, mais rien ne vient. À sa grande surprise Alain est libéré de la coupe au ciseau. D'épaisses sangles rembourrées sont placées autour de ses chevilles. Avant qu'ils ne le réalisent, Alain sent son corps tiré vers le haut, si haut qu'il glisse hors de la table pour se retrouver pendu la tête en bas et ses mains ne pouvant même plus toucher le sol.
Nu et les jambes fortement écartées, il se sent comme un vulgaire morceau de viande dans un abattoir. Alain frissonne et, cette fois-ci, ce n'est pas d'excitation. Il a la peur au ventre… Ce qui pour la première fois le fait véritablement débander…

Deux jeunes esclaves soumises entourent alors le corps d'Alain, toutes les deux armées de tondeuses. L'horrible vrombissement créé une panique chez Alain, mais il arrive à la contrôler en concentrant ses pensées sur la seule chose qu'il peut voir, de magnifiques mollets élancés, de splendides pieds lisses féminins. Il sent son corps expertement déplacé tandis que les tondeuses commencent à couper les poils de ses jambes. Au fur et à mesure de la progression sous ses genoux, son corps est hissé pour offrir de nouvelles proies aux machines qui ne lui épargnent aucun poil disgracieux. Toute la scène semble bien organisée, bien rôdée et le synchronisme des trois esclaves femelles est parfait, sous les yeux vigilants Madame Marie. La qualité du travail ne fait aucun doute mais Alain ne peut résister à un léger mouvement de défense lorsque les tondeuses arrivent vers son bassin. Les jeunes filles bien entraînées n'en sont pas perturbées laissant apparaître qu’elles sont habituées à ce genre de réaction. Retenant avec savoir-faire Alain en place par tout ce qu'elle trouve sous leur main gauche, elles font rapidement glisser les impitoyables machines vibrantes sur tous les recoins, même les plus intimes, celles qui lui semblaient inaccessibles et tout y passe, depuis sa virilité maintenant endormie, en passant par son sac à couilles crispé… Et même sa rosace tandis que des mains expertes lui écartent ses fesses pour un accès plus facile quand il sent les lames de la tondeuses à quelques millimètres de son anus…

De nouveau hissé un peu plus, Alain sent les machines descendre le long de son tronc, devant et derrière et sur les côtés. Dès que ses bras sont à hauteur de coupe, les jeunes soumises les étirent et immobilisent expertement tandis que les tondeuses continuent leur irrémédiable travail.
Alain s'interroge dès lors comme il ne sait pas où le travail va se terminer, mais la réponse arrive rapidement et il ne peut rien y faire. Ses mains sont tout à coup encordées dans son dos et hissées. Une fois sa tête à bonne hauteur, une tondeuse fait le tour de sa tête amenant un abject sentiment d'avilissement. Il devient subitement et parfaitement chauve...

Alain se sent moins que rien, il ne ressent plus de fierté, il ne vaut même pas plus qu'un animal et il est au bord des larmes, une rage dans les boyaux. Son corps est maintenant défiguré, sans plus aucun poil, plus rien, nulle part un indice de son humanité, il n'a même plus de honte car il n'est plus rien. Comme si tout ceci ne suffit pas, Alain est traîné sur le côté, toujours pendu par les pieds, les jambes largement écartées et les bras étirés dans son dos. Et dans un mouvement renversant, il se retrouve dans la même situation, toujours attaché, mais cette fois-ci la tête en haut et les pieds en bas afin d’éviter trop longtemps que le sang envahisse son crâne et plus personne ne s'occupe de lui, comme son corps tourne et oscille légèrement. A ce moment-là où il prend vraiment conscience de ce qu’il est devenu, une fulgurante et improbable érection lui revient. Quel paradoxe ! Il se remet à bander, une bandaison hors norme qui lui tend au zénith sa nouille droite comme un I, dure comme un pieu. Cette rage dans les boyaux s’est subitement transformée en une puissante prise de conscience de son état avili, et un formidable sentiment de bonheur l’envahit… Alain se concentre pour ne pas faiblir, bien au contraire cette prise de conscience lui donne des ailes, mentalement et physiquement ! … Le brouhaha à côté de lui l'interpelle, ses deux compagnons subissent le même sort. Le corps de Pierre remis lui aussi dans le bon sens de la verticalité, la tête en haut, rejoint rapidement le sien, il peut le sentir plus que le voir et ce contact le rassure. Lorsque le corps rasé et redressé les pieds en bas de Marc vient les heurter, l'espoir vient d'être libéré, mais il n'en est rien, en a-t-il envie d’ailleurs d’être libéré ! Plusieurs bruits métalliques attirent le regard d'Alain. De grands seaux remplis d'une sorte de pâte brunâtre sont traînés sous leurs corps. Chacune des esclaves femelles commence rapidement à enduire les corps rasés. Chaque centimètre carré, depuis les orteils jusqu'au cou, tout est enduit d'une épaisse couche nauséabonde…

Ensuite vient la tête et puis, avec grande prudence, le visage où Alain est ordonné de garder ses yeux fermés. Cet effort est effroyable, ne plus rien voir est angoissant et c'est pire encore lorsque c'est un acte ordonné volontaire. Alain a une si grande envie d'ouvrir ses yeux, retrouver ses repères, découvrir un réconfort et, surtout lorsque le silence inconfortable arrive, épier le moindre mouvement. Alain n'a plus que ses oreilles pour détecter une éventuelle présence, mais rien, rien que le grincement des chaînes au-dessus de sa tête. Après une éternité de silence, Alain sursaute quand un puissant jet glacial pique son corps. Sans avoir reçu un ordre, Alain n'ose pas ouvrir ses yeux… Il peut sentir le jet suivre une trajectoire ordonnée, sans doute pour rincer toutes les parties de son corps de cette crème infâme. Alain ne peut réprimer un cri lorsque le jet atteint son entrejambe et il est prêt à s'en excuser, à implorer le pardon. Chaque partie nettoyée est un soulagement comme l'air frais vient revivifier sa chair. Lorsque tout son corps semble être terminé, Alain ressent une impression d’un bien-être très étrange de soumission qu'il ne comprend pas encore, la verge toujours aussi droite et bandée…

(A suivre …)

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