Angie Ma Jeune Coiffeuse (Suite Et Fin)

Dimanche matin,
Au réveil, je repense, à la soirée de la veille. A cette superbe jeune femme que j’avais dans mes bras, je me dis tu as rêvé.
J’ouvre les yeux, et là miracle, le rêve continue.
Elle est là, elle dort allongée sur le ventre, jeux admirer sa chevelure, son dos, ses fesses rebondies, et ses jambes.
Je pose délicatement, ma main sur ses épaules, et lentement je descends le long de la colonne vertébrale, toujours en
effleurant, je passe sur les fesses, pour descendre les jambes jusqu’aux pieds, puis je refais le chemin inverse. Mes aller-retour
commencent à faire effets. Elle ouvre les yeux, me sourit, mais ne bouge pas, elle savoure mes caresses. A chaque passage sur
sa chute de reins, j’accentue la pression, pour progressivement, passer sur le fond de sa raie, et touché son petit trou, et les lèvres de son sexe.
Elle ronronne comme une chatte en chaleur. Ma main ne lui caresse plus que le sexe et l’anus. Elle écarte les cuisses, pour me laisser
le passage. Je lui mets deux doigts et je la lime doucement.
Angie : attends je préfère être sur le dos, pour pouvoir t’embrasser pendant que tu me donnes du plaisir
Elle se met sur le dos, écarte les cuisses, me prend la tête entre ses mains et m’embrasse goulûment.
Mes doigts reprennent leur place, et leur mouvement de va et vient. Très vite je la sent mouiller, et gémir. Elle avance le bassin
  à la rencontre de ma main, de plus en plus vite, elle gémit, elle écarte légèrement son visage du mien, nos lèvres ne se touchent
plus, juste sa langue reste sortie, elle me lèche les lèvres, ma salive lui coule dans la bouche.  J’ai maintenant 4 doigts dans sa chatte
brûlante, je  la défonce, elle gesticule dans tous les sens. Nous sommes en sueur, elle crie son plaisir
Angie :  ouiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, c’est trop bon trop fort, vas y vas y fais moi du bien ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii (elle hurle).

Elle retombe en serrant les jambes, pour emprisonner ma main, dans son ventre.
Elle respire fort, ouvre les yeux, me libère, prends mon bras pour attirer ma main vers sa bouche. Elle lèche sa cyprine, me nettoie à fond.
Nous nous caressons encore quelques instants. Elle voudrait me donner du plaisir, mais je refuse j’ai un autre programme pour la journée.
Et puis je n’ai plus 20 ans, je dois garder un peu de forces pour le reste du WE.    
Après m'être absenté, je reviens la chercher vers 18h, elle m'ouvre la porte sublime,, Queue de cheval, chemisier blanc et jupe plissée bleue,
baskets blanches, une étudiante, En l'embrassant mes mains, passent partout,
Moi : (l'air mécontent) tu es très belle, mais il y a 2 choses qui ne vont pas,
Angie : ah bon quoi ?
Moi : tes sous vêtements , enlèves moi ça, tu n'e n'auras pas besoin ce soir,
Angie : (interloquée), mais on va voir mes seins, es si je me baisse on va voir mes fesses
moi : comme tu veux, je t'attends 2 minutes dans la voiture, si tu viens comme ça je pars, si tu viens en retard je pars
a peine une minute après moi elle vient me rejoindre, Je lui caresse les seins plus de soutien-gorge, avant que je passe sous sa jupe, elle écarte
les cuisses et commence à ce caresser
Angie : (la main sur le sexe) roules je vais me faire plaisir,
elle se caresse devant moi, sans écarter les cuisses, le plus discrètement possible, elle ouvre son chemisier et se malaxe les seins,
nous sommes presque arrivé au restaurant, quand elle se met à soupirer plus fort , elle reste quelques instants les yeux fermés à reprendre ses esprits, elle me regarde avec un grand sourire nous sommes arrivés,
après la guinguette, nous repartons pour le cinéma comme promis, la voiture garée, je l’entraîne, dans une petite rue, ou il y a quelques sex-shop,
Angie : mais ou m'emmènes ou ?
Moi : au cinéma
Angie : mais il n'ya pas de cinéma ici, ce sont des sexe-shop, et je ne suis jamais rentré la-dedans
moi ; tu ne pourras plus le dire
Et je la pousse à l'intérieur d'une boutique, il y a 3 hommes, qui dès notre apparition déshabillent mon amie du regard, nous regardons les vitrines , Angie est surprise, par tout ce qui est présenté, arrivé au fond du magasin, je llui prends la main ouvre une porte et la pousse à l'intérieur d'une pièce sombre, elle se colle à moi, je la sens effrayée,
moi : n'ai pas peur,
nos yeux s'habituant à la pénombre
moi : tu vois c'est un cinéma, viens on va s'asseoir,
et je me dirige vers le fond, c'est une pièce d'environ 30 sièges, à cette heure seule 5 sont occupés, un jeune, deux vieux, et un couple d'une cinquantaine d'année entrain de baiser, elle est assise sur lui, et ses cris, font comprendre qu'elle aime cette position,
sur l'écran 2 femmes font l'amour,
je regarde en coin Angie, qui regarde partout, pas très rassurée
moi : ça va ?
Angi : non j'ai envie de partir, c'est moche ici
moi : tu n'aimes pas le film ?
Angie : bof aller viens,,,,,,,,,,,,,,,
avant qu'elle ne se leve, je la serre dans mes bras et l'embrasse, rapidement elle me rend mon baiser, j'en profite pour déboutonner son chemiser, l'ouvir, et lui caresser les seins, elle essaie de se rhabiller, mais n'y arrivant pas elle capitule et se laisse faire,
moi : (après quelques minutes de pelotage) je veux que tu me suces
Angie : ici devant tout le monde
moi : oui, je vais me mettre debout dans l'allée derrière et tu vas te mettre à genou sur le fauteuil, tu seras juste à la bonne hauteur
Angie : ok mais les autres, ils vont faire quoi ?
Moi (en me levant) les autres on s'en fout, de toute façon il ne reste que le petit jeune,
Je suis debout dans l’allée, le pantalon baissé, inquiète par la présence du jeune, elle se positionne quand même sur le fauteuil,   et se penche pour me gober.
Sa bouche est chaude, sa langue tourne autour de mon gland. Avec sa main à la base de ma tige elle me branle.
Je lui caresse les seins par en dessous, je lui demande de retrousser sa jupe, et de se frotter la chatte.
Elle me regarde, d’un air suppliant
Moi : remonte ta jupe, montre ton cul au petit jeune
Angie (se retirant les larmes aux yeux), mais je ne peux pas faire ça, si je lui montre mes fesses, il va prendre ça pour une invitation il va me prendre pour une pute.
Moi (lui prenant la tête pour qu’elle me suce)  ne fais pas d’histoire, tu vas adorer, et je suis certain que tu mouilles déjà.
Et je tire sur sa jupe pour la remonter sur ses reins. Le petit jeune c’est rapproché. Il tient dans la main, son sexe qui est de belle taille.
Angie s’applique. Sa langue glisse du gland sur la verge, pour finir sur mes bourses, qu’elle gobe avant de remonter, sa main me branle doucement.
J’aime le rythme de cette pipe, je savoure, et en même temps, je surveille notre petit jeune, qui est maintenant tout près de nous.
Il me fait signe qu’il souhaite caresser cette croupe. De la tête je donne mon accord.
Angie sursaute quand il pose ses mains, sur chaque fesse et les caresse doucement. Mon sexe dans la bouche, elle me regarde pleine d’anxiété au bord des larmes.
J’essaie de la rassurer d’un sourire.
Le jeune homme caressant ferme les yeux et apprécie la douceur de la peau douce et soyeuse. Je vois son sexe tendu, vraiment très impressionnant.  
Il me montre un préservatif, par ce geste il demande mon accord pour la pénétrer et lui faire l’amour. Je fais oui de la tête.
Je suis de plus en plus excité, je prends la tête de ma maîtresse entre mes mains, car je sais que dès qu’elle va sentir qu’on viole son intimité, elle va chercher à s’échapper.
Le sexe couvert, il se met à genou, et commence à faire un cuni à la jeune femme, elle se raidi, arrête de me sucer
Moi : (la tenant fermement) : il te lèche, tu aimes ça qu’on te donne du plaisir comme ça
Elle me fait oui en clignant des yeux. Elle ne bouge plus mais me garde en bouche. Je me serre de sa cavité comme d’un sexe, je fais de petits va et vient, en lui tenant la tête.
La langue de notre jeune étudiant doit être efficace car elle se met à gémir et respirer plus fort. Puis sans prévenir, notre jeune étalon se redresse, prend son membre en main,
et sans hésitation, le plante dans le vagin avec force.
Surprise elle se cabre, en criant
Angie : NON pas ça, je ne veux pas Non, Alain ne le laisse pas faire ça
Il là tient fermement par les hanches, et la lime déjà très fort
Moi sans rien dire, je lui remets ma bite dans la bouche, et la pilonne en la tenant par les cheveux. Très vite la vue de ce gourdin qui rentre et qui sort de sa chatte meurtrie, me rend fou et dans un sursaut, je m’enfonce au plus profond de sa gorge pour éjaculer à grands jets chauds sur ses amygdales.
Je la vois hoqueter, et me repousser très fort. Je me retire après un dernier soubresaut.  Elle recrache de la salive et du sperme. Des larmes coulent sur ses joues, ainsi que son maquillage.
Mais dans le même temps elle hurle son plaisir, le pieux n’en finit pas de la faire jouir. Son amant se retire il la retourne comme une poupée, la fait asseoir  lui remonte les jambes en les écartant un maximum et s’enfonce de nouveaux en elle. Il la viole très fort, je vois ses seins bouger, elle est sonnée, mais c’est elle qui maintenant tient ses jambes pour ne pas qu’elles retombent pendant qu’il lui prend la tête pour l’embrasser sauvagement.
Lui : je vais jouir tu es trop belle trop bonne
Angie : oui vas y jouit prend ton plaisir dans ma chatte exploses
Et dans un dernier sursaut elle à un orgasme formidable elle retombe comme une baudruche et semble évanouie.
Lui : ouiiiiiiiiiiiiiiiiii je vais t’en mettre partout je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii 
il se retire, enlève précipitamment la capote et éjacule à grands jets
lui (en écartant la jupe et le chemisier pour que le sperme lui coule su le corps) tiens salope prends ça.
Après un dernier sursaut, il se lève se rajuste me dit Merci et sort rapidement.
C’est à ce moment là que je m’aperçoit que quelques voyeurs étaient revenus
Je m’approche d’Angie que reprend ses esprits, l’aide à se rhabiller,
Angie : j’en ai partout
Moi viens rentrons
lundi matin
Après ma douche, je retrouve ma coiffeuse allongée sur le lit, son peignoir légèrement ouvert laissant apparaître ses seins et le haut de ses cuisses.
Elle me sourit d’un air coquin,
Angie : dis-moi, hier soir j’ai pas rêvé, il s’est bien passé tous ce que j’ai vécu.
Moi : oui tu te rappelles de quoi ?
Angie : d’abord tu m’as fait mettre nue sous mes habits, puis le restau super, ou je mouillais rien que de me sentir nu devant tous ces gens.
En sortant j’avais un peu bu. Puis le sex-shop, je n’y avait jamais mis les pieds, c’est surprenant.
Et le petit cinéma au fond, avec tous ces types, qui me mataient comme de fous.
Moi : oui parce que tu es attirante.
Angie : après je t’ai sucé à fond, tu as joui dans ma bouche, je ne l’avais jamais fait, puis je me suis fait baiser dans tous les sens et devant
tout le monde, par un jeune qui avait une bite énorme. J’avais jamais joui comme ça, et il m’en  a mis partout. Et près tu m’as ramené lavé et couché.
Ce matin après un bon bain je suis en pleine forme, sauf que j’ai un peu mal à la mâchoire et j’ai la chatte toute irritée, mais qui est déjà toute humide.
On peut dire qu’en 2 jours tu m’as tout fait et j’ai adoré.
Elle se penche vers moi pour m’embrasser
Moi : presque tout
Angie : comment ça presque tout il manque quoi
Moi : la sodomie ma jolie
Angie : (en criant) la sodomie, mais tu es fou, alors ça jamais
Et elle se lève, et part en colère.
je lui laisse le temps de se calmer, et je vais la rejoindre. Je la trouve, boudeuse, sur le canapé, devant la Tv.
Je m’assois à côté d’elle, en la regardant en coin et en souriant.
Elle sourit me regarde, et se blottit contre
Angie : pourquoi tu veux me faire du mal ?
Moi : loin de mois cette idée, de tout le WE je ne t’ai voulu que du bien. J’ai fait mon maximum pour te faire plaisir et que tu aies du plaisir.
Angie :  oui mais là, je sais que ça fait vraiment mal. Tu l’as déjà fait ?
Moi : oui avec un god, c’est ma femme qui de temps en temps à envie de me sodomiser
Angie : et tu te laisses faire, tu n’as pas mal
Moi : si un peu au début, mais après je ressens une sensation agréable, et ma femme aime bien elle aussi de temps en temps se faire enculer comme elle dit.
Angie : (ouvrant son peignoir) : tu n’as pas assez de tout ça il te faut aussi mon petit  cul
Moi : oui je le veux, je veux enfoncer ma bite entre tes deux fesses, te sentir très étroite, prendre ta virginité anale.
Angie : mais je vais avoir mal
Moi : laisses toi aller, on essaie, tu as du gel ? si tu as mal on arrête OK
Angie : (en m’embrassant tendrement) ok, oui ma mère à du gel de massage,
elle va chercher le flacon
je fais glisser, le peignoir, nous nous embrassons tendrement, mes mains s'égarent sur ses reins, ses fesses, si douces, puis un doigt
longe et s'insinue entre les deux grosses pommes,
moi : tu aimes ?
Angie : oui c'est agréable
le doigt, s'arrête sur le petit trou, le masse. Je retire ma mon majeur, pour le mettre dans la bouche de ma jeune maîtresse. Elle le suce et le mouille comme un sexe. Je le remets sur sa rosette et force doucement l'entrée. Elle se raidi
moi : laisses toi aller-
je l'embrasse dans le coup , elle se détend et mon doigt passe,elle a une petite grimace de douleur
moi : ça va ?
Angie : oui ne bouge pas
je reste sans bouger quelques instants, puis je commence à faire des petit cercle avec le doigt, tout en le sortant et rentrant, ne la voyant pas réagir :
moi : on va changer de position,nous je la fais mettre sur des coussins sur le ventre, pour que sa croupe soit bien offerte, je lui mets de nouveau un doigt, elle ne dit rien, puis je la lèche et la mouille abondamment avec ma salive, ma langue s'égare aussi sur sa chatte (elle frémit),
je me masturbe avec le gel, lui enduit la raie et son petit trou, elle ne dit toujours rien. Jz m'approche, l abite dans la main, je me positionne, juste à l'entrée, je force doucement,je vois mon gland rentrer, s 'enfoncer
sans difficulté
Angie (grimaçant) aie arêtes
moi : c'est fini, le gland est passé, c'était le plus difficile
et je rentre complètement en lui tenant la taille, nous restons quelques instants collés, sans bouger, puis je commence très lentement des va et vient, elle est tellement lubrifiée, que je glisse dans son cul comme un glace dans une bouche,
moi (accélérant le mouvement) ça va tu aimes ?
Angie : ou plus mal et pas trop désagréable
moi : si tu veux tu peux te caresser le clito en même temps
et je la vois passer une main sous son ventre, mon plaisir monte, les mouvements dans cette cavité toute neuve et très serrée, m’excitent, je vais de plus en plus vite, je l'entends soupirer sous ses doigts
Angie : je mouille mon chéri, j'aime sentir tes couilles taper mon fesses
moi je vais jouir
Angie : (criant presque) vas y jouis mon chéri défonce moi le cul, il est à toiiiii
je suis en sueur on entend le bruit sourd de nos corps qui se rencontrent à chaque fois que je suis au plus profond de son intimité, et j'éjacule en grands jets chauds,
Angie : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je sens tes giclées c’est trop bon ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
je me retire rapidement, et l’entraîne sous la douche ou nous passons un grand moment à nous frotter et caresser mutuellement,
le WE est fin, nous nous promettons de nous revoir comme si rien ne c'était passé au salon de coiffure,