Toi, Moi, Un Soir

Toi et moi, un soir...
Je suis au bureau. Il est tard. Je vais à la photocopieuse. Le couloir est noir et tous les bureaux sont fermés.
Pourquoi je reste bosser moi...
Je retourne travailler. Pas très motivé mais bon, il faut bien que le boulot se fasse.
Au fond du couloir, un bruit de talon. Furtif, léger, comme retenu pour qu'on ne l'entende pas, puis se rapprochant. Une visiteuse du soir ? La lumière reste éteinte.
Le bruit se rapproche et soudain, c'est toi qui apparaît sur le seuil de la porte. Petits talons, des bas et une jupe ne couvrant pas les genoux. Un joli chemisier entre-ouvert. Hum... que tu es belle. Tu ne dis rien. Tu avances légèrement. Je me lève et m'approche de toi.
Visiblement, on ne parlera pas. Juste tes yeux dans les miens. Je ne sais pas quoi faire. Je suis totalement envoûté. Tu souris en me regardant.
Tant pis, je me lance. Ma main vient effleurer ta joue. Tu accompagnes ma caresse. Tes yeux se ferment. J'ai peur de trembler. Que veux-tu ? Suis-je sensé dire quelque chose ?
Je pose mon autre main sur ta hanche et tes mains remontent sur mes bras.
Que c'est bon. Tes mains parcourent mon dos. Je sens tes ongles qui glissent sur ma chemise. Que de frissons !!!
Toujours sans rien dire, sans nous quitter des yeux, nos lèvres se rapprochent doucement, tout doucement. Enfin elles s'effleurent, et se touchent.
Puis enfin, un baiser, mes lèvres sur les tiennes, tendrement. Elles se séparent et se rejoignent aussitôt.
Tes mains arrivent au bas de mon dos, tu retires ma chemise de mon pantalon et tes mains sont maintenant sur ma peau. Ma main remonte sous ton chemisier. Tu n'as pas de soutien-gorge. Enfin je peux toucher ton sein. Tout doucement, la paume de ma main passe sur le bout de ton sein qui réagit immédiatement et se durcit. Je joue avec lui. Mes doigts l'entourent. Mon autre main descend sur tes fesses. Hummmm que c'est bon.
Ta langue se mêle à la mienne.

Ta jambe remonte le long de mon corps. Nous avons des frissons tous les deux. Tes mains sont passées devant maintenant. Toi aussi tu caresses ma poitrine, tirent sur mes poils.
Nos lèvres se séparent. J'embrasse ton cou. Une de tes mains descend le long de mon ventre et caresse mon entre-jambe. Je bande et tu caresses ma queue à travers mon pantalon.
Puis un nouveau baiser pendant que mes deux main passent sous ta jupe. Je caresse tes fesses. Ta peau est douce. Je passe une main devant. Tu écartes les jambes. Ta chatte s'offre à moi.
Je glisse une main à travers ton string. Tu es déjà mouillée. Mon doigt glisse le long de ta chatte pendant que toi tu défais ma ceinture et fais tomber mon pantalon. Tout s'accélère. Tu peux maintenant prendre ma queue dans ta main. Je bande comme jamais et c'est bon. Et toujours sans un mot. Nos lèvres se mêlent.
Ta langue cherche la mienne pendant que nous nous caressons mutuellement.
Tu te sépares de mes lèvres pour couvrir mon corps de baiser. Tu descends tout doucement. Je ne peux plus te caresser alors mes mains reviennent sur tes seins, sur tes cheveux.
Je n'en peux plus alors je pousse sur ta tête pour que tu te mettes à genoux devant mon sexe. Tu le prends dans tes mains et commences à le caresser. Ta langue s'approche doucement, juste sur le bout de mon sexe, Tu lèches mon gland par petits coups. Je frémis à chaque passage de ta langue. Tu me regardes. Tu ris de me voir réagir ainsi. Puis enfin, après un dernier regard, tu le prends dans ta bouche et tu commences à me sucer comme on ne me l'a jamais fait. C'est bon.
Je dois me retenir. Je n'ose pas regarder ta bouche qui avale ma bite et ta langue qui glisse de mes couilles jusqu'à mon gland qui grossit à chaque passage. Je dois faire des efforts pour ne pas cracher tout mon foutre. Tu lèches les petites gouttes qui sortent de mon gland.
Je n'en peux plus. Je te relève et te pousse sur le bureau. Tu te laisses faire. J'écarte tes jambes et à mon tour je me penche sur ton entre-jambe. Je tente quelques petits coups de langues sur ta chatte. Elle est trempée. Son odeur, son goût me rendent fou. Que c'est bon ! Alors je m'applique pour tenter de te donner tout le plaisir que tu mérites.
Enfin, au milieu de ce silence, tu lâches un premier petit gémissement. Tes mains ont pris ma tête pour la guider pendant que je suce maintenant ta chatte. Je te mange. Ma langue entre en toi. Je suce ton clitoris qui grossit sous les assauts de ma langue.
Mes yeux se lèvent de temps à autre et je vois tes mains qui caressent tes seins. Tu joues avec le bout de tes petits seins qui sont durs maintenant. Humm que j'aimerai aller les sucer mais ta chatte est si bonne que je ne peux la quitter. Je glisse un doigt puis deux dans ta chatte. Ils rentrent sans problème tant tu es mouillée. Tu gémis encore. Alors je continue les va-et-vient de mes doigts et de ma langue sur ta chatte. Ta main est dans mes cheveux. Tu me pousses au fond de toi. Ton corps ondule pour permettre à mes doigts d'aller au fond de toi. Pendant que mes doigts fouillent ton ventre, je me baisse vers ton petit cul. Tu as tellement mouillé qu'il est trempé.
Je lèche avec ma langue tout autour de ce petit trou et ma langue lèche, lèche, lèche encore. Je décide d'inverser. Mes doigts se retirent ce qui te fait gémir encore une fois et ma langue, ma bouche vient prendre ta chatte. Avec un de mes doigts, je caresse ton petit cul. Tu sens ce que je veux faire et tu m'aides en redressant ton bassin. Je rentre alors un doigt dans ton petit trou, doucement, tout doucement. Tes deux mains prennent maintenant fermement ma tête pour que je puisse manger totalement ta chatte pendant que mon doigt te pénètre. Tu bouges ton bassin pour aider mon doigt à rentrer et à aller et venir dans ce petit trou qui s'élargit.
Je bande comme jamais. Je n'en peux plus. J'ai envie de te baiser comme une brute. De me jeter sur toi et te prendre, d'un coup, sans retenue. Je te veux toute à moi. Là, nue sur mon bureau. Ma bite me fait mal. Si ça continue, je vais cracher mon foutre sans aucune aide.
Le sens tu ? Je ne sais mais tu décides de me relever et tu me tires vers toi et enfin, après tout ce silence, tu parles enfin. "Encule moi salaud. Défonce moi le cul. Viens. S'il te plait !!"
Je me redresse. J'approche mon gland de ton cul. Tes mains écartes tes fesses. "Doucement s'il te plait. Je n'ai pas l'habitude de me faire enculer."
Je pousse mon gland tout doucement vers ton petit orifice. Tu retiens ta respiration. Je pousse tout doucement et ma bite rentre dans ton cul. Tu pousses un petit cri. Est-ce de la douleur ? J'ai peur de te faire mal mais tu le sens et tu me dis de continuer alors je rentre ma bite de plus en plus loin au fond de ton cul.
Ca y est, je te sodomise. Je t'encule. Je suis au fond de ton cul !! Que c'est bon. Putain, c'est un rêve. C'est serré et ma bite est compressée. Elle n'est pourtant pas grosse mais ton cul est bien serré. Je commence à aller et venir en toi. Je me retire jusque ce qu'il faut, mon gland est encore en toi et je me penche sur tes seins pour enfin les prendre dans ma bouche.
Qu'ils sont bons tes petits seins. Ils grossissent dans ma bouche. Tu en veux plus alors tu t'approches de mon visage et tu te laches "Vas y ! Encule moi à fond. Casse moi le cul. Ramone moi avec ta grosse bite". Je rentre alors ma bite d'un coup au fond de ton cul. Tu cries de plaisir ou de douleur, je ne sais plus.
Je commence mes va-et-vient de plus en plus vite. Tes doigts sont plantés dans mon dos, tu me fais mal mais la jouissance est proche. Je n'en peux plus. Nos lèvres se mêlent encore de plus en plus fortement. Je suce ta langue et tu suces la mienne pendant que ma bite continue ses aller-retour dans ton petit cul.
Je n'en peux plus, je vais jouir. Je te dis que je vais jouir alors tu prends mes fesses pour que je rentres encore tout au fond de ton cul. Je ne plus rien faire. C'est comme une décharge électrique qui envahit tout mon corps. Je jouis au fond de ton cul, encore et encore. Ton cul se resserrent autour de ma bite. Tu lances ton corps vers moi. Tu te mords les lèvres pour ne pas hurler. J'ai la tête qui tourne. Je n'ai jamais jouis comme cela. Je me redresse pour enfoncer ma bite bien au fond. Tes mains sur mes hanches accompagnent ma jouissance. Nos yeux se rencontrent et nous partageons notre jouissance sans bruit.
C'est fini. Je me retire tout en t'embrassant.
Mais tu en veux encore. Je ne peux plus rien faire, mon sexe est redevenu minuscule, ridicule...
Mais tu en veux encore alors tu sors un clinex de ton sac. Tu nettoies le foutre qui sors de ton cul. Puis tu viens vers moi. Tu te mets à quatre pattes devant moi et tu nettoies mon sexe. Je te relèves. Nous échangeons un baiser plus tendre. Je caresse ton corps pendant que ta main caresse ma queue tendrement, doucement.
Mais tu en veux encore. Je me laisse tomber sur mon fauteuil. Je suis vidé et penot. Je suis désolé car je sens que je ne peux pas faire plus.
Mais tu en veux encore. Alors tu te mets à genoux devant moi et tu prends ma petite bite dans ta bouche. C'est merveilleux. Et tu me fais une pite incroyable. Pour me faire rebander, tu sais y faire.
Tu mets un doigt dans ta bouche, très salope, tu le mouilles et tu commences à le frotter contre mon petit trou.
Je ne dis rien alors tu continues. Tu le rentres doucement dans mon cul. Salope, c'est toi qui m'encules maintenant. Tu fais des va-et-vient dans mon cul tout en suçant ma bite qui doucement reprend de la vigueur. Tu m'encules de plus en plus vite et de plus en plus fort. Ca fait mal mais putain que c'est bon.
Je me laisse faire et ma bite regrossit sous l'effet de la sodomie et de ta bouche. Je n'y crois pas. En quelques minutes tu as réussi à faire regrossir ma bite. Je bande de nouveau. Alors tu te relèves. Tu te retournes en relevant ta jupe. Tu écartes ton string et tu viens d'empaler sur moi.
Je rentre dans ta chatte. Je n'ai rien à faire, c'est toi qui dirige tout. Tu me sautes ! Tu me baises. Je caresse te seins et tire sur ces bouts qui sont si durs.
Tu accélères. Tu me chevauches pour te donner tout le plaisir que tu mérites. Je n'en peux plus. Ma bite me fait mal tellement tu la maltraites.
Notre jeu continue, continue et tu sembles ne pas vouloir t'arrêter. Mais tout à coup tu t'assoies complètement sur ma bite pour quelle rentre bien au fond et tu remues ton cul. Je sens tes fesses compresser ma bite. Tu te laisses tomber en arrière sur moi.
Tu jouis en silence. C'est incroyable ! Que tu es belle quand tu jouis.
Ca y est tu arrêtes et te retires. Mais ma bite est encore dure alors tu te remets à quatre pattes et tu la reprends entre tes mains tout en me regardant.
"Donne moi ton foutre. Je veux le goûter, connaître son goût, son odeur...". C'est merveilleux. Ta bouche avale toute ma bite, d'abord doucement puis de plus en plus vite. Ta main me branle. Je me cambre pour te la donner entièrement. Je sens que la jouissance va encore arriver.
Jouir deux fois. Je n'y étais jamais arrivé. C'est merveilleux. Je te laisse faire. Je sens le foutre qui veut sortir. Je ne contrôle plus rien. Ta main me branle de plus en plus vite "Vas y ! Jouis!!". Je me laisse aller.
"Oh ouiiiii je jouis". Je vois à peine ta bouche qui se jette sur ma queue pendant que les jets de foutre finissent enfin par sortir. C'est fabuleux !! Tu refermes ta bouche sur mon sexe. Je ne le vois plus. Je jouis dans ta bouche.
Oh bien sûr ce n'est pas grand chose qui finit par sortir car on est pas non plus dans un film porno et tu dois te contenter de quelques jets de foutre. Mais tu ne laisses rien sortir. Tu as tout avalé !!
Jamais une femme ne m'a fait jouir comme cela. Jamais une femme n'a avalé mon foutre comme tu viens de le faire. Tu me souris.
Cette fois-ci c'est vraiment fini. Tu te relèves. Je te prend dans mes bras pour profiter encore un instant de ton corps, pouvoir te caresser encore et encore. Nous ne disons rien. Juste ton corps contre le mien, ta peau contre la mienne. Ta peau est si douce que je pourrai rester des heures à la caresser.
Un petit peu de toilette et nous nous séparons sur un long baiser.
J'ai déjà hâte que tu reviennes me voir, que nous puissions passer une nuit ensemble, que je puisses juste caresser ton corps et m'endormir près de toi. Me réveiller près de toi.
Et encore et encore faire l'amour.