Une Tranche De Vie 10
Réponse brutale
Mardi 29 juillet 1980 AL raconte
Le Mardi B sarrangea me rencontrer au supermarché, cétait facile. Il ny en avait quun seul et le mardi après-midi était le jour darrivée des produits frais, tout le monde sy retrouvé.
Il maborda un peu brutalement à mon goût avec :
« Où étais-tu ? On ne vous a pas vu samedi soir, je tattendais avec impatience »
Je nai pas aimé son ton et sa façon de faire et je lui répondis vertement :
« Mon mari est monté dans le nord le WE et je lai accompagné »
B : « Tu aurais pu me prévenir »
Moi : « Attends, que les choses soient bien précises. Première chose, jai un mari que je tiens au courant de ce que je fais si cest nécessaire, je ne veux pas dun deuxième mari. Deuxième chose, je maperçois que je tai cédé trop rapidement, jaurai du faire preuve de plus de réserves avant de me trouver au lit avec toi. On a couché ensemble, soit, tu as pris du plaisir, moi aussi mais cela ne fait pas de moi ta maîtresse attitrée et obligée. Ce nest quune histoire de sexe. Rien de plus et rien ne tempêche daller draguer ailleurs.
Si tu veux que lon reprenne nos relations il faudra que tu me dragues, que tu me dragues avec intensité, car jaime être draguée. Si tu fais quelques efforts on pourra se retrouver chez moi.
Dans la mesure où tu respectes cet accord, on pourra se revoir. Bonne journée.» et je lui tournais le dos.
Les deux semaines suivantes furent calmes, les uns et les autres, étions occupés ailleurs. Cependant, je navais pas oublié la réflexion de Jean et attendais le moment de remettre la question sur le tapis.
Un deal
Jeudi 7 aout 1980 AL raconte
Un jour de semaine, alors que nous étions en voiture, jai demandé à Jean : « Que voulais tu dire exactement : « Je regrette de navoir pas prévu de prendre des photos entre autres pendant que tu jouissais, tu étais très excitante. La prochaine fois, je méquiperais »
Moi : « Pour pouvoir prendre des photos tu aimerais que je me retrouve au lit avec B pour baiser ? »
Jean : « Ce nest pas tout à fait ça que jai dit »
Moi « Soyons sérieux, en pensant à ce que nous avions fait après la visite de B, je tavais demandé si cela tavait plu et cest ce que tu mas répondu »
Jean : « Bon cest vrai, je regrettais de ne pas avoir prévu de faire des photos, tu étais tellement excitante »
Moi : « Tu sais pourtant que je naime pas beaucoup être prise nue en photos.
Jean : « Ce nétait quune idée qui métait passée par la tête et qui expliquait mon regret ».
Moi « : « En résumé, tu serais daccord pour que je revois B et quon baise pour prendre des photos ? Tu prêterais ta femme pour une série de photos un peu porno ?»
Jean : « Je ne veux pas tobliger »
Moi : « Daccord, mais tu aimerais que je te fasses plaisir, ça te ferait bander ? »
Jean : « Je ne pense pas que ce serait, pour toi, un grand sacrifice, dans la mesure où je te rappelle que jétais présent lors de vos ébats et je tai entendu que tu as apprécié ta séance avec B »
Moi : « On verra ce que fera B, la prochaine fois quon le rencontrera et on en discutera »
Jean : « Laisse le venir, je suis sur quil ta apprécié et quil aura envi de recommencer, plus tu le fais attendre, espérer, plus il voudra.»
Le samedi 23 aout 1980 Jean raconte
Avec ma femme
Après avoir dîné chez un ménage ami, nous sommes partis, comme dhabitude, au club. AL avait mis une robe noire épousant ses formes et mettant en valeur sa poitrine. Le haut, le corsage, et le bas, la jupe, étaient reliés par un voile noir transparent et elle me dit :
« Ma robe te plait. Tu es content et comme tu aimes je suis nue sous ma robe ? Du moment que ça te fait plaisir je ne porte rien. Il faudra me dire ou te conduis ton imagination. »
Nous entrâmes dans le club et nous allâmes à notre table, enfin la table du groupe. Je linvitais à danser.
Collant sa bouche à mon oreille, elle dit « Tu bandes, quest ce quon fait ? Je continue ?»
Heureusement la série de danses finissait, mais le problème restait entier. Si jinvitais une autre femme elle serait surprise de mon état
Je restais à décompresser.
B et sa Femme arrivèrent avec dautres couples et sinstallèrent à la table voisine. Ils firent 3 danses et B invita AL. Je me demandais comment aller évoluer la situation et je me plaçais de façon à surveiller la piste. B ne serrait pas de trop prés AL. Les cavalières tournaient comme à lhabitude. Lors dune danse avec AL, je lui fis remarquer que B semblait se tenir tranquille ?
LA : « Il ne sest pas calmé, dès la première danse il ma joué du violon, on devait se revoir,
, je lui ai dit quil fallait quon se méfie car je craignais que tu ais des soupçons, et depuis il ne se tient pas trop près du haut, mais frotte du bas. Cest amusant et excitant. Quest ce que je fais ?»
Moi : « Cest toi, qui le veux ? Tu connais la condition, mais je pense que tu devrais le faire languir un peu »
LA : « Daccord, je vais voir lévolution »
Ma cavalière
Jétais un peu dépité de navoir rien vu. Du coup, je me suis dit, il drague ma femme, je vais draguer la sienne. Juste retour des choses. En fait, je connaissais peu Véro. Je ne lavais jamais spécialement observée. Cétait une jeune femme discrète, à la limite effacée. En groupe elle parlait peu, écoutait regardait, observait. Je lavais invité à danser plusieurs fois, elle dansait bien, un peu raide, mais bien. Au cours déchange, il mavait semblé quelle avait toujours était très agréable avec moi alors que pour certain elle était juste courtoise, sans plus. Mais ???
Cette soirée, elle portait une robe beige clair en issu qui paraissait souple. On aurait dit une blouse portefeuille, tenue fermée par un gros bouton à larrière.
Alors quelle dansait, jobservais, elle ne collait pas trop à son cavalier et suivait sans plus, elle ne semblait pas samuser follement.
Jattendis que son dernier cavalier la raccompagne pour linviter. À peine sur la piste, je la serrais de près, un peu surpris elle se colla à moi sans hésitations. Cétaient des tangos. Je glissais une jambe entre ses cuisses elle ne broncha pas. Surprise, elle était souple et suivait très bien.
La série de tangos terminée, je voulus la raccompagner. Elle ne bougea pas et me dit : « Jai apprécié ces tangos, jai bien droit à un 2ème tour de manège », et cétait parti pour une série de slow. On se rapprocha, non on se recolla. Elle mentoura de ses bras. Javais posé mes mains sur ses hanches et je me décidais à la serrer un plus fort, et elle me dit : « Tiens, depuis le temps, tu taperçois enfin que jexiste »
Moi : « Pardon »
Véro : « Chut, profitons de ces danses » et elle se colla encore plus à moi, mais, et surtout elle se mit à rouler doucement des hanches. Leffet ne tarda pas à se faire sentir. Jessayais de léloigner légèrement delle. Elle dit : « Ne bouge pas, toi aussi tu existes maintenant, je le sens »
Jétais sacrément gêné. La série terminée, je la raccompagnais à nos tables et nous avons blagasse. En fait, au bout dun moment elle me dit : « Javais prévu de mettre une jupe droite et au dernier moment jai mis cette robe portefeuille, cest quand même plus pratique pour danser le tango, nest-ce pas ? »
Une série de valses passa et une nouvelle série de slow. Un copain de la bande vint inviter Véro, je navais pas réagi assez vite. Elle lui dit : « Désolée javais promis cette série à Jean ». Direction la piste. Collée contre moi, elle se remit à rouler doucement des hanches. Quand je pense que je lavais trouvée peu souple. Le résultat ne se fit pas attendre, elle me murmura à loreille : « Jaime te sentir, Tu en as envie, moi aussi. Dis moi que tu as envie de moi».
Moi : « Si tu continues comme ça je vais te prendre sur la piste. »
Véro : « Enfin une phrase que jaime. Tu as vraiment envie de moi ? Dis le moi, je voudrais lentendre »
Moi : « Tu ne sens pas la bosse contre ton ventre »
Véro : « Si, mais je ne crois que ce que je vois ou quand je ne vois pas que je veux toucher »
Moi : « Essayes ! »
Sans hésiter, elle séloigna un peu de moi et glissa sa main droite entre nous deux et appuya sa paume sur ma tige et elle fit 2 ou 3 aller retour. Ce qui ne fit quaugmenter ma gène et le reste, et elle me murmura à loreille :
« Intéressant. Cela devrait pouvoir satisfaire une honnête femme. Dis moi ce que tu as envie de faire, de me faire. Prépares moi. Penses que je peux me conduire comme une salope ou que je suis peut-être une salope. »
Je ne mattendais pas à de telles réactions de cette jolie femme, toujours bien élevée, toujours réservée. Je me demandais si elle nétait pas en train de me faire monter, me faire rêver ou espérer et que ensuite, elle se foutrait de moi en disant quelle sétait bien amusée. Rapidement jai pesé le pour et le contre. Je pourrais toujours me défendre. Enfin jespérais, quest-ce que je risquais ? Je me jetais à leau
Moi : « Tu veux sortir ? »
Elle : « Sur le parking, comme les filles qui y sont et attendent le client ? »
Moi : » Oui bien sur, pourquoi pas »
Elle eut quelques secondes dhésitation et :
Elle du ton décidé : « On va sur le parking. Tu as envie de me prendre comme une de ces filles. Alors dis moi ce que tu me feras ».
Je mattendais à ce quelle menvoie dans les roses. Mais, non, ses réponses étaient glissées dans loreille et avec ce qui me semblait un souffle qui saccélérait.
Moi : « Dabord, je veux que tu viennes nue sous ta robe, juste ta robe »
Elle : « Oh oui, dis moi ? »
Comme elle était de plus en plus scotchée contre moi et quà chaque demande elle acquiesçait, je décidais daller de lavant dans mes suggestions,
Moi : « Tu écarteras les cuisses et je vais te bouffer la chatte »
Elle se sera un peu plus contre moi, le jeu des hanches samplifia et la pression montait dun gros cran.
Véro : « Oui, je mouvre à toi, continues, ça mexcite, je commence à mouiller »
Moi : « Et je vais te prendre avec ma langue puis enfoncer ta chatte avec mes doigts, pour te faire jouir »
Véro : « Cest un bon début, jaime tentendre, ça me rend toute chose, ça mexcite. Et quoi encore ? Fais moi rêver»
Jhésitais, javais bien envie de lui dire ce que javais envie de lui faire, mais,
avec son style et sa classe, je pensais déjà avoir passé, très nettement les bornes de la bien séance, mais la sentant collé à moi, je décidais de me lancer quitte à me faire renvoyer dans mes 22 mètres. Cétait quitte ou double,
Moi : « Dans le parking, tu relèves ta jupe bien haut et je te prends debout contre mon 4*4 »
Véro : « Oh oui, comme les filles. Je veux voir si les faits sont à la hauteur des paroles,
On se retrouve au fond du parking. On sera tranquille ta femme est en train de se faire draguer par mon mari. »
Jétais absolument estomaqué, entendre ces paroles sortir de la si jolie bouche de cette jolie femme. Honnêtement jétais inquiet mattendant à une blague, me voyant lattendant et ayant rameuter les autres, se payer ma bobine.
Malgré tout, je sortais et allais me balader, discrètement vers le fond du parking qui serait lendroit le plus sombre et tranquille et évitais de me faire remarquer par les demoiselles qui étaient en faction à essayer de récupérer le client.
Quelques dix minutes après, je commençais à sentir le lapin, mais je la voyais qui se dirigeait vers le fond du parking, je me signalais. Elle arriva.
« Désolée, il a fallu que et que je puisse méchapper discrètement et que je me prépare pour toi. Comme tu le voulais.»
Elle me tendit les bras, je la retenais à bout de bras et la regardais avec attention et je lui disais « Tu es vraiment très belle et élégante, cette robe te va à ravir, mais elle cache tes charmes »
« Elle est très pratique et il ne tient quà toi de les découvrir »
Elle se retourna et déboutonna un gros bouton à larrière, puis se retourna vers moi. Dans le mouvement quelle fit pour se retourner, la robe sentrouvrit.
Elle se jeta alors dans mes bras, se colla et me tendit ses lèvres, sensuivit un long baiser, et elle se mit à rouler des hanches. Elle séloigna un peu de moi et jen profitais pour glisser mes mains dans la robe, cela me permit de la caresser et de sentir quelle ne portait pas de SG. Je baissais le haut de sa robe ses seins étaient libérés, je les caressais, les léchais, les suçais.
Véro : « Oui, occupes toi de mes seins, jai les mamelons très sensibles et jaime que tu les prennes dans la bouche et que tu me têtes, ça me grise »
Elle haletait doucement au rythme de ses hanches. Le résultat ne se fit pas attendre, elle put se rendre compte que javais envie delle.
Véro : « Dis moi que tu me veux, que tu as envie de moi, que tu veux me faire lamour, non que tu veux me baiser comme la salope que je veux être pour toi. Noublies pas ce que tu as dit que tu toccuperais de ma chatte, jen ai très envie»
Moi : « Remontes ta jupe. Comme promis, je vais te bouffer la chatte»
Sans lombre dune hésitation elle ouvrit complètement sa robe, elle était entièrement nue. Je la pris par la taille et laidais à asseoir sur le capot de la voiture. Elle ouvrit largement les cuisses et me dit :
Véro : « Tu vois je me suis préparée pour toi. Oui, viens, ma chatte tattend, prends moi avec ta langue ».
Je plongeais entre ses cuisses. Ses grosses lèvres saillaient. Cétait une belle chatte déjà légèrement ouverte et bien humide et je commençais à sucer ses grosses lèvres à aspirer son jus, puis ma langue suivi le sillon mouillé de son minou, et brutalement je lenfonçais en elle. Elle se cambra avec « Oui » et je menfonçais un peu plus, ce qui ouvrit le passage à mes doigts et je commençais à lastiquer ce qui entraîna un « Continues, oui, continues ». Puis rapidement, elle resserra ses cuisses sur ma tête et me dit :
« Viens, prends moi vite, baise moi, je te veux dedans, te sentir en moi, si tu continues je vais jouir et je te veux en moi. Je veux que tu me baises. Baises moi fort, je veux être ta salope».
Elle se laissa glisser du capot parterre et soulevant une jambe, elle me guida en elle et soulevant lautre jambe, elle menserra dans le ciseau de ses cuisses. Elle sétait empalée sur moi, je la prie debout, appuyée contre le capot de la voiture. Elle était trempée et largement ouverte. Je menfonçais en elle facilement.
Pour sempaler sur ma queue, elle sétait collée à moi, et javais pu pénétrer son fourreau chaud et humide puis elle sétait laissée en arrière à bout de bras, ce qui mavait permit de menfoncer au plus profond delle et je linvestissais à grands coups de reins. Elle était déchaînée, elle encaissait mes coups de rein avec des grognements de plaisir et des « Oui, continues, encore, plus fort,
», puis quelques moments après elle me dit : « Ne tarrêtes pas, je sens que ça vient, continues, défonces moi fort,
je vais jouir,
Oui, cest bon, ... OHHHH,
.je jouis ».
Comme nous étions très excités, le jeu ne dura pas très longtemps, elle se mit à jouir. Elle me cramponna, ses jambes se serrèrent autour de ma taille, elle eut un très bel orgasme qui la secoua. Elle repartie en arrière, comme pour accueillir ma semence que je déversais brutalement en elle.
Ce fut rapide, mais intense. Je la reposais sur terre un peu essoufflés et reprenant nos esprits, nous nous sommes embrassés goulument, elle me dit : « Je savais que ce serait bon. Je veux te revoir, la prochaine fois ce sera mieux, mais filons, avant que certains saperçoivent de notre disparition ».
Chacun repartit par son propre chemin pour réintégrer le club. Je marrêtais au bar pour prendre de nouvelles boissons et surtout, pour voir le moment au Véro arriverait.
Elle était installée, quand japportais les boissons. AL étant à la table, je linvitais à danser et lui demandais comment évoluée la situation avec B.
AL : « Je maîtrise la situation »
Moi : « Je veux bien te croire, mais fais quand même attention. Moi, je fais de mon mieux pour contrôler Véro, mais alors que je nétais pas visible, un de nos chers amis, a fait la remarque à un autre, « B drague sérieux AL et Jean ny voit rien ». Donc fais attention, nous en reparlerons à la maison. Si tu es daccord, on fait encore quelques tours et nous rentrons »
Jinvitais donc Véro et sur la piste, elle me poussa, en dansant, assez loin de la bande, de façon à ne pas être trop surveillé.
Moi : « Quand peut on se revoir ? »
Elle se remit à rouler des hanches, elle faisait cela lentement et je ne pensais pas que cela puisse être visible à moins dy faire très attention.
Véro : « Tas encore envie de la poupée ? Dis moi que tas aimé me baiser, que tu veux recommencer, dis moi tout ce que tu veux me faire
Jaime entendre tes envies, tes désirs pour me préparer à te recevoir, à mouvrir à toi »
Moi : « Quas-tu ? Oui jai aimé et jaimerais recommencer et si tu continues tes mouvements de hanches cela va être grave, tu vas y passer maintenant. »
Véro : « Je vois que tu as encore de la réserve. Je te contacte cette semaine pour quon puisse se voir et réfléchis au programme, il faudra me dire ce que tu veux de moi, me faire ou que je te fasse. Savoir cest le début du plaisir et ça laugmente. Cest des tangos, mets ta jambe entre les miennes »
Moi : « Que fais-tu ? »
Véro : « Cest bien comme ça que tu as commencé, non ? Laisses moi faire, Tu mas excité et jai le ventre en feu, je vais me frotter contre toi, contre ta queue. Ça te choque ? Comme tu ne peux rien faire. Comme ça je vais jouir contre toi et avec toi. Ta main sur mes reins, sers moi fort »
Tout en dansant chaque fois son entrejambe venait se frotter sur ma jambe, son bas ventre contre le mien. Très rapidement je me mis à bander et je la sentis qui se contractait et se bloquait sur ma jambe. À un certain moment, elle ma dit « sers moi fort, je suis en train de partir, je vais jouir, sers moi fort ».
Elle a joui en silence je lai senti au changement de rythme de sa respiration et elle ma dit : « Je suis trempée et cétait bon, je sens que tu as de la réserve, jen connais qui vont pouvoir en profiter». Elle sest serrée contre moi cétait bon, et on a rejoint la bande pour se séparer. Si elle avait pris son pied, pour ma part, javais une sérieuse trique, il fallait trouver une solution.
Javais du mal à comprendre cette femme. Quand on la fréquentée, en public, une classe certain à tous points de vue, en privé, enfin comme cela avait été le cas elle était déchainée, prête à tout pour du sexe, et comme elle disait une salope. Surprenant.
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