La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1000)
Lanniversaire du Marquis dEvans Saison 2 - (suite de l'épisode 848) - SPECIAL 1000 ème récit de la Saga ! -
Personne, hormis Monsieur le Marquis dEvans, ne savait ce qui était au programme mais la soirée anniversaire qui allait suivre commençait sous les meilleurs hospices
Le Noble en tenue dapparat de Marquis de lépoque prérévolutionnaire, claqua dans Ses mains. Sa prestance naturelle en imposait encore plus dans ce costume qui semblait être sorti dun autre siècle, sauf quil paraissait neuf et étincelant de broderies rehaussées de fil dor. En réalité le Noble à fait refaire sur mesure le même costume que portait un de ses ancêtres sur un magnifique portait dun tableau de 1788 (lire les Origines de la Saga des esclaves
) où le Marquis dEvans de lépoque avait posé de longues heures, face à lartiste peintre, debout dans son bureau au décor style Louis XVI.
- Je vois que tout le monde est là, eh bien nous pouvons y aller !..... Walter et Marie, descendez voir si Ma Limousine est déjà sortie devant le Perron, ainsi que la camionnette qui doit transporter Mes cabots sur laquelle devrait être attelée la remorque pour Mon quadrige de chevaux à deux pattes. Normalement, le reste de la meute MDE doit déjà être rendue sur place pour une petite et unique répétition avant le spectacle auquel nous nous rendons
Les deux compères habituels du Château se regardèrent un peu étonnés de voir que tout semblait avoir été orchestré par le Maître des Lieux, sans même quils naient eu conscience que quelque chose se tramait dans leur dos, eux qui étaient habitués à tout organiser et surveiller entre les Nobles murs du Légendaire Château du Marquis dEvans, tandis quils ne sétaient absentés dans leurs chambres personnelles que peu de temps pour se vêtir avec les costumes de cosaques que Monsieur le Marquis avait fait livrer à leurs intentions. Walter emboita le pas à Marie pour se diriger vers la sortie et il aperçut, au bas des marches, soumise Emeline MDE, lassistante professionnelle particulière du Châtelain, qui sactivait pour faire se placer les derniers véhicules qui devaient quitter la demeure.
- Quant à vous, Mes chiens et chiennes qui mappartenez et qui avez eu lhonneur dêtre choisis pour rester à Mes côtés, sachez que nous quittons le Château pour sortir dans le grand monde Lyonnais et quencore plus que dhabitude, je compte sur vous pour Me rendre fier et faire honneur à la stricte éducation D/s que Je daigne prendre le temps de vous inculquer depuis des semaines, des mois et pour certains même depuis des années.
Monsieur le Marquis dEvans descendit avec noblesse, suivi de Ses quatre femelles costumées quIL fit exceptionnellement sassoir dans la limousine à Ses côtés pour quelles ne froissent pas tout de suite leurs belles robes longues de soie et velours bleu royal. Sous la directive de soumise Emeline MDE, les quatre chiens MDE qui ne se déplaçaient quà quatre pattes grimpèrent à larrière de la camionnette, bien contents de sapercevoir que le plancher en avait été tapissé dune couche de mousse recouverte dune moquette ce qui allait ménager leurs genoux pendant toute la durée du voyage, au lieu de se retrouver la rotule à même la tôle de carrosserie. Quant aux quatre « pony-boys » costumés de la tête aux pieds ressemblant grosso-modo à des chevaux, au détail près quils étaient toujours bipèdes, grimpèrent dans le van à chevaux dont le sol était recouvert de paille fraiche. Ils furent autorisés à sassoir sur la paille pour le trajet qui devait malgré tout durer une bonne heure en partant du cur du Beaujolais.
Il ne restait plus au Château que quelques gardes ainsi que tous les esclaves du Cheptel qui avaient été punis pendant les dernières 48 heures puisque, de surcroît, ils navaient pas eu le droit de pouvoir participer à la soirée.
A larrivée, devant le grand cabaret « Entrez-Vous ! » de Lyon qui avait été privatisé pour la soirée, se trouvaient de nombreuses personnes toutes masquées et déguisées avec des costumes distingués et variés. Certains avaient déjà rejoint la salle à lintérieur, mais il restait encore pas mal de monde dehors qui avait prévu dattendre lhôte-organisateur de cette réception exceptionnelle, Celui dont le nom était sur toutes les lèvres de ceux qui avaient été triés sur le volet et conviés à cette soirée qui sannonçait comme particulièrement festive, orgiaque et savoureusement D/s. Larrivée de la superbe limousine noire ne passa donc pas inaperçue et chacun attendit que Monsieur le Marquis dEvans en soit sorti pour applaudir avec admiration ce Dominant que tous ici présents reconnaissait comme le plus grand parmi les grands de la communauté des Maîtres D/s.
Derrière lui se positionnèrent tout de suite, car elle venait den recevoir lordre, ses quatre femelles en robe dO. Leur cou était ceint dun collier en or ajusté, formé dun large cercle qui semblait navoir aucune ouverture comme sil avait été scellé, ad vitam aeternam, à même la peau de chaque soumise et esclave. Chaque collier était gravé des Nobles Initiales MDE du Maître propriétaire qui étaient faites dincrustations sculptées en lapis-lazuli serties dans le précieux métal. Sur le devant de ces parures dapparat qui ressemblaient bien peu aux plus vulgaires colliers de chien en cuir que les esclaves du Cheptel portaient habituellement pour faire les tâches et corvées quotidiennes qui leur incombaient au Château, pendait un gros anneau dor épais en forme de « O », dans lequel était accrochée une lourde chaine en or à maille de forçat. Les soumises et esclaves portaient sur les yeux un masque les faisant ressembler à une chouette, imitant celui que la célèbre « O », sous la plume de Pauline Réage, portait lors de son arrivée remarquée au bal masqué chez le gouverneur. Monsieur le Marquis se retourna pour remonter leurs robes longues à pans coupés quil fixa au niveau de la taille, en laissant à larrière totalement dégagé leur postérieur portant les trois Initiales incrustées du Maître au fer rouge. Entre les deux lobes fessiers, au creux de la fente intime, chacun pouvait entrcevoir le cabochon aux Armoiries de la Famille des Evans qui terminait le plug enfoncé dans leur rondelle étroite. La robe ainsi retroussée à la taille laissait également apparaître sur lavant un pubis parfaitement glabre qui surplombait deux lèvres intimes déjà scintillantes de lhumidité qui régnait dans les cavernes intimes de chaque dominée, si heureuse davoir été sélectionnée et particulièrement excitée de pouvoir accompagner le Maître Vénéré en personne. Elles allaient toutes les quatre pieds nus, portant aux poignets et aux chevilles de larges bracelets de cuir lisse noir doù pendaient de gros anneaux qui ne demandaient quà être utilisés.
Pendant ce temps-là, soumise Emeline MDE avait positionné le quadrige de chevaux-humains juste quelque mètres devant le Châtelain, après les avoir préparés en leur ajustant un mors entre les dents et en positionnant le harnachement traditionnel des « pony-boys » autour du visage doù partaient quatre longes de cuir quelle tenait fermement entre ses mains afin de pouvoir les diriger ensemble en tirant dessus (un coup pour avancer, deux coups brefs pour ralentir, deux coups longs pour sarrêter). Walter et Marie avaient quant à eux pris en mains les laisses des quatre chiens-mâles à raison de deux chacun, après les avoir prévenus quils avaient intérêt à suivre leurs bottes de très près sils ne voulaient pas tâter de la cravache plus tôt et plus fortement que prévu. Un peu comme un cortège princier, Monsieur le Marquis savança lentement au milieu de la foule enthousiaste dont les regards commençaient à ne plus savoir où donner de la tête, ne voulant rater aucun détail de la parade colorée qui avait su mêler, avec le bon goût et limmense savoir-faire du Noble, une connotation fortement D/s par derrière le côté costumé et masqué, qui était la consigne imposée à tous les Invités. Le seul qui ne portait pas de masque, à la fois pour se démarquer de la masse, mais aussi parce quIL était le seul qui était ment connu de tous ne pouvait être que le Noble Châtelain dont la réputation mondiale dans le monde de la Domination/soumission nétait plus à faire autant dans la région Lyonnaise quau-delà en tous points de lHexagone, et même à létranger. Les applaudissements ne faisaient quaugmenter au fur et à mesure que les Invités sentassaient pour découvrir Le Marquis dEvans avançant majestueusement, entouré de ceux qui formaient pour la soirée sa suite rapprochée...
Le Châtelain organisateur de la réception privée avait fait installer en fond de salle une estrade surélevée doù il pourrait présider la soirée avec en léger contrebas à sa droite son fidèle majordome, Walter, et à sa gauche, Marie, la toute autant fidèle cuisinière. Les deux domestiques étaient presque gênés dêtre ainsi mis à lhonneur aux côtés du Noble, mais loin doser sen plaindre, ils se contentèrent dapprécier la marque destime et de reconnaissance de leur patron, pour lesquels ils se sentaient prêts tant lun que lautre à donner leurs existences, sil lavait fallu. Des marches permettaient de monter jusquà la plateforme sur laquelle reposait un immense large fauteuil baroque qui servirait de trône pour la soirée à Celui que tous qualifiaient, au sein de la communauté BDSM, de Maître des Maîtres
Sur les bords extérieurs de chaque marche se trouvait un des esclaves mâles du Cheptel, totalement dénudé à lexception dun minuscule pagne carré de 20 cm de côté qui servait à cacher pour linstant la cage de chasteté qui comprimait sa queue réduite à létat de nouille tout en maintenant ses testicules en tension. Cette double colonne desclaves MDE faisait une haie dhonneur que le Roi Soleil lui-même navait pas pu soffrir dans ses grandes réceptions à Versailles, nayant à ses côtés lorsquil montait les marches que la Cour composée de courtisans aussi véreux les uns que les autres et de courtisanes qui nespéraient que de pouvoir finir dans la couche du Roi pour les faveurs quelles en retireraient par la suite. Les esclaves MDE étaient tous là de leur plein gré, ravis et particulièrement heureux davoir la chance de pouvoir servir de leur mieux le Châtelain, et espérant pouvoir rester longtemps à Ses Nobles pieds pour navoir en tête que la satisfaction pleine et entière du Dominant de renom qui avait accepté de les prendre sous Son Joug
Sous les regards plus quintéressés de tous les Invités qui applaudissaient encore et encore, le Noble sarrêta au pied des marches de lestrade dressée à son intention, juste à laplomb de ce qui était Sa place réservée surplombant toute la salle de spectacle, mais surtout toute lassemblée quil avait réuni pour venir fêter à Ses côtés Son anniversaire mais aussi par la même occasion, un autre anniversaire à fêter. Cest pour cet autre anniversaire que Monsieur le Marquis dEvans obtint le silence de la foule dun simple geste afin de prendre la parole sur un ton clair afin que tous entendent
Et cest donc debout quIl déclara :
- 1000 !
Oui mes amis, vous tous, qui pour certains sont venus de très loin, vous avez bien entendu 1000 ! Outre mon anniversaire fêté ce soir tous ensemble, cest aussi le 1000 ème récit qui vient dêtre publié de Ma fameuse Saga des esclaves ! Et ce soir je veux aussi fêter cet évènement ! Alors que la fête commence !
(A suivre
)
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