Leur Vie

Bonjour
Je m'appelle Hervé et pour faire plaisir à beaucoup ici je vais vous raconter ma vie. Puceau à 22ans j'ai été marié à une jeune héritère dont les intérêts coincidaient entre les deux familles. Ceci bien évidement ssans que j'ai mon mot à dire étant depuisma naissance le seul descendant mâle de la famille. Hélas pour tout le monde j'étais homo dans mes gênes et je n'ai jamais pu en parler. Dès que j'amenais le sujet sur ce mode de vie on changeait de sujet rapidement. La vie d'homme marié m'était pesante et une fois ma femme déflorée pour leur satisfaction je l'ai délaissée. Je ne prenais mon pieds qu'avec de petits tapins de ma vie de citadin nocturne.
Il va sans dire que le lit matrimonial que je n'occupais que très peu, fut vite occupé à le satisfaction de ma femme par un bellâtre qu'elle a trouvé a son goût. Je faisais la plupart du temps chambre à part ce qui lui convenait. Moi , moins , perdu dans des souvenirs d'écoliers boutonneux ou d'image fictive de jeune gens de mon âge me procurant toutes satisfactions.
Hélas ceci n'était que fiction et si je sortais humide de mon lit ce n'était que de mes rêves.
On ne divorce pas dns nos familles et quand enfin (par quel miracle) le ventre de ma femme s'arrondit je fus félicité comme elle. Hélas ce fut une fille, qui plus est blonde alors que toute la famille n'avait que des bruns. Ils ont parlé de gênes anciens qui pouvaient revenir. Trois années plus tard rebelote ma femme grossissait de nouveau. Elle avait cette fois soigneusement choisi l'étalon et ce fut le ravissement. Un garçon et brun. Je reçus une part en propre de l'héritage de mon aieul due à la naissance du premier mâle.
j'ai profité du peu pour prendre quelque repos de mon coté sur la côte, mon épouse allant à Biarritz mais accompagnée discrétement. J'ai pu quelques nuits être avec un homme qui m'a surtout soulagé de quelques billets avant de partir en souriant. Enfin j'avais perdu mes deux pucelages.


De retour dans la capitale je n'ai plus eu accès à la chambre de ma femme, décidant unilatéralement que ce n'était pas ma place. Je ne pouvais pas recevoir qui je voulais le personnel se serait posé des questions etj'ai décidé de rester discret. Les années ont passées . Les s grandissaient et à la mort des parents de ma femme l'argent leur est revenu. Elle fut déconvenue mais j'ai clos le compte joint pour un personnel , ne lui versant que le peu nécessaire à de petits besoins. Mes parents avaient compris( enfin) mais trop tard mon malheur et le nôtre. Le leur aussi puisque je ne les voyait que de plus en plus rarement. Etant le seul et premier héritier à leur décès j'ai pu enfin mener ma vie. Hélas j'avais vieilli. Ma femme devenue une mégère acariâtre ses s la délaissaient aussi. Elle est partie sans regrets, hélas trop tard pour ma vie. Le fils qu'elle avait eu s'étant révélé mauvais gestionnaire a tout vendu. Je suis resté dans ma propriété de Vernon, pas tout à fait seul. J'ai eu UN ami. Un seul vrai ami qui a tout compris et m'a rendu l'amour que je n'avais jamais reçu d'hommes autres que lui.
(Certains me critiquent ouvertement ici pour mes écrits un peu trop dominateur ou soumis . Qu'ils imaginent la vie de leurs grands parents qui ont du vivre comme je viens de l'écrire.)
Manuel.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!