L'Amour À La Campagne

La scène se passe un début septembre, juste après les vacances d'été, dans le bureau de comptabilité d'une entreprise. Profitant de l'absence provisoire de leur chef de service prénommée Corinne, Réjane, 37 ans, solide brune à lunettes, célibataire, et Martine, 55 ans, menue mais pulpeuse, cheveux déjà gris coupés très court, mariée depuis trente ans, délaissent momentanément leur ordinateur pour un papotage qu'elles affectionnent depuis qu'elles se connaissent, c'est à dire une dizaine d'années.
- Tu as vu, la Corinne s'est encore échappée à l'heure habituelle. Je te parie qu'elle est encore dans le bureau du patron, glisse Martine, mezzo voce.
- Probable. Elle doit être en train de le sucer pour le remercier encore de sa promotion. Quand je pense qu'elle n'était que sa secrétaire...
- Ce n'est pas la promotion canapé, c'est la promotion fauteuil ergonomique.
- Pas mal. Tu crois que son jules est au courant ?
- Christophe ? Il n'est pas fou, il sait bien que c'est dur de tenir en laisse une jolie femme comme elle, même à cinquante balais. Elle a toujours aimé le cul, la Corinne, depuis le temps que je la connais... On a débuté ensemble ici, je te le rappelle.
- Oui, c'est vrai. Mais toi, tu es fidèle, hein ?
- Et ça t'épate ?
- Je t'envie. Moi, je n'ai jamais pu rencontrer le mec que je voulais. J'espère encore mais bon, le temps passe. J'expérimente, je sélectionne, je trie...
- Si tu m'envies pour mon couple, moi je t'envie parfois pour ta liberté sexuelle. Tu as accumulé une expérience que je n'aurai jamais. Parfois, je te l'avoue, j'aimerais bien céder à mes pulsions. Mais bon, je respecte le contrat. Et Philippe, dans l'ensemble, assure.
- Dans l'ensemble ? Donc, tu n'es pas toujours satisfaite au lit ?
- Je crains que mon corps ne l'intéresse plus autant qu'autrefois. Pourtant, je fais des efforts. Je vais régulièrement à la gym, j'essaie de ne pas trop grossir, je me mets de la crème sur le visage.

On fait même du naturisme ensemble et tu me verrais à poil, je suis bronzée partout. Mais nos rapports s'espacent. Et pourtant, je t'assure que j'ai toujours envie. Je me fais du bien toute seule. Tu vois, je te dis tout.
- Tu es adorable et Philippe ne sait pas la chance qu'il a. Moi, en ce moment, j'ai Didier, un quinqua qui me fait vraiment jouir. Mais il ne veut pas quitter sa femme alors qu'ils sont séparés. Va comprendre les mecs. Tiens, justement, il m'invite ce week-end dans sa datcha au bord d'un lac.
- Veinarde. Moi, je me retrouve toute seule. Philippe part à un tournoi de pétanque avec son équipe. J'en ai marre de l'accompagner, je préfère rester chez moi.
- Et pourquoi tu ne viendrais pas avec moi ? Sa datcha est grande. Il y aurait une chambre pour toi. Et ça tombe bien que tu sois naturiste parce qu'on se baigne à poil vu qu'il n'y a personne autour.
- Je n'ai pas trop envie de tenir la chandelle car je suppose que vous allez faire pas mal de galipettes.
- Certes, mais ce n'est pas une raison pour ne pas venir. D'ailleurs, Didier amène son gamin, on sera quatre et pas trois. Allez, dis oui.
Et Martine finit par céder au moment où Corinne, la blonde et élégante chef de service, fit son entrée dans le bureau, une petite moue satisfaite sur les lèvres, que ses subordonnées interprétèrent illico comme une réussite sexuelle dans le bureau du patron.

*********

Les deux collègues et amies arrivèrent à destination en milieu de matinée du samedi. Un chemin privé conduisait à une sorte de grande cabane donnant directement sur une petite plage. Le lac s'offrait à la vue, sans obstacle. Elles furent accueillies par un grand barbu aux cheveux longs réunis par une queue de cheval, torse nu, en short et tongs :
- Je te présente Didier, dit Réjane à Martine.
L'homme embrassa sa maitresse sur la bouche et claqua une bise sur la joue de son amie, sans façon. C'est alors que déboula le fils de l'hôte.
Réjane avait parlé de "gamin". Martine s'attendait donc à une espèce d'adolescent boutonneux. Tu parles ! Elle découvrit Paul, un grand gaillard d'une vingtaine d'années, lui aussi torse nu, en bermuda, athlétique et musculeux, blond aux yeux bleus, une vraie gravure de mode. Il dut se pencher pour faire la bise à Martine qui en fut toute troublée et cela n'échappa pas à Réjane.
- Il te plait, le fiston ? lui souffla-t-elle ensuite à l'oreille.
- Idiote. Il pourrait être mon fils.

Une fois installées, les deux femmes participèrent à la préparation du barbecue qui devait consti le repas de midi. La conversation allait bon train mais Martine ne pouvait pas ignorer que Paul ne cessait de la regarder et, quand leurs regards se croisaient, de lui sourire. Avant de déjeuner, Réjane lança à la cantonade :
- Allez, on va se baigner, ça nous mettra en appétit.

Et de trottiner vers le lac en se débarrassant de ses vêtements pour apparaitre entièrement nue et se glisser dans l'onde sans transition. Les deux hommes la suivirent et quittèrent short et bermuda. Martine n 'avait plus qu'à faire de même. La nudité n'était pas un problème pour elle et son bronzage intégral lui donnait même une certaine assurance. Elle rejoignit le trio et participa à leurs jeux aquatiques en se comparant. Son corps, menu, au pubis bien taillé, ne ressemblait guère à celui de Réjane, qu'elle découvrait. Son amie exposait sans complexe ses rondeurs épanouies et son bas-ventre broussailleux de brune. Mais ce qui estomaqua Martine furent les parties génitales des deux hommes qui, pour le coup, n'étaient pas père et fils pour rien. C'était à la fois du lourd et du long. Leur queue ballottait au rythme de leurs ébats aquatiques. Martine avait du mal à détacher ses yeux de ces imposants costumes trois-pièces qui semblaient conçus pour la procréation... et peut-être un peu plus. Mais elle sentait aussi le regard de Paul planté sur ses fesses potelées et ses seins larges aux pointes raidies par l'eau froide.
Elle se demanda alors si Réjane ne lui avait pas tendu un piège. Elle eut une pensée pour son mari qui jouait en ce moment à la pétanque. A coup sûr, il lui ferait une scène s'il savait qu'elle se baignait nue avec une collègue délibérément libertine et deux hommes aussi sexués. Elle chassa vite cette pensée malsaine.

*****

Le déjeuner s'éternisa et l'après-midi fut consacré à une longue promenade en hors bord sur le lac avant de retourner au ponton de la datcha et de préparer à nouveau le dîner. Le vin aidant durant le repas, Martine baignait dans une douce euphorie, à laquelle l'attention soutenue du jeune homme à son égard n'était pas totalement étrangère. Elle se sentait rajeunie. Puis Didier et Réjane annoncèrent qu'ils allaient se coucher alors qu'il était à peine 22h. Ils n'avaient cessé de s'embrasser et de se peloter durant le dîner, faisant planer sur les agapes une atmosphère pré-érotique. Lorsqu'ils quittèrent la table, il était évident qu'ils allaient faire l'amour. Martine regagna la chambre qui lui était dévolue, sans déplaisir car la journée l'avait un peu fatiguée. Chaussant ses lunettes, vêtue d'un simple tee shirt et lisant un magazine en attendant le sommeil, elle perçut dans la chambre voisine, séparée par une mince cloison, des petits bruits qui ne pouvaient qu'évoquer des préludes à un accouplement. Elle se dépêcha d'éteindre sa lumière afin de trouver rapidement le sommeil. Mais comment dormir quand, à côté, un lit grince et des soupirs s'échappent ? Martine se tournait et se retournait quand soudain, elle sentit une présence qui s'insinuait dans son lit. Elle sursauta, voulut crier mais une main impérieuse la baillonna.
- Chuut ! Laisse-toi faire !

C'était Paul. Nu. Figée, tétanisée, Martine ne savait plus quelle contenance prendre. Le jeune homme lui caressait les seins sous son tee shirt avec douceur et habileté. Il lui prit une main et la déposa sur son pénis. Sa raideur et sa longueur suffoquèrent Martine.
Paul avait ôté sa main de sa bouche mais elle ne songea pas à protester.
- Ecoute, à côté, ils baisent et on va faire pareil, ça va très bien se passer, j'ai très envie de toi, lui glissa Paul à l'oreille.
De fait, dans la chambre voisine, l'accouplement avait pris une belle intensité. Le lit grinçait de toutes ses jointures et les commentaires salaces perçaient aisément la cloison. Réjane se montrait d'une crudité verbale qui, en d'autres temps et lieux, auraient choqué Martine mais, en l'occurrence, ne faisaient qu'accen son trouble et même désormais son excitation. La brune ne faisait que célébrer la "grosse bite" de Didier et quand elle lâcha "mets la moi dans le cul", Martine ressentit une onde de chaleur qui la prit des orteils jusqu'à la racine des cheveux. D'autant qu'au même moment, la bouche de Paul avait pris possession de sa chatte et semblait la déguster comme un plat de repas gastronomique. Entre temps, il avait rallumé la lumière et Martine, en redressant la tête, pouvait observer son travail buccal qui commençait à lui procurer un plaisir qu'elle avait totalement oublié au fil des ans, Philippe n'étant pas particulièrement versé dans le cunni. Tant et si bien qu'au bout d'un temps qui lui parut court mais ne l'était pas tant que ça, Martine éprouva un désir impérieux, physiologique : celui d'être visitée, fouillée, creusée par un organe mâle conçu pour une femelle en chaleur. Qu'elle était devenue.

Paul la prit en travers du lit, les pieds au sol tandis qu'elle levait les siens à hauteur de ses oreilles. Il commença à se prélasser en elle avec un rien de perversité alors qu'elle demandait à être forée et fouaillée afin de calmer ce besoin intense de bite que les ébats sonores du couple voisin, toujours en activité, et la langue diabolique de son jeune amant avaient stimulé en elle. Elle essaya de ruer à sa rencontre, osa même un "allez, vas-y, s'il te plait" mais l'autre semblait préparer son vagin au puissant organe sexuel que la nature lui avait donné. Il est vrai que Martine n'avait pas été entrainée par ses devoirs conjugaux, somme toute assez peu fréquents depuis quelques années. Le modeste appendice de son mari ne l'avait pas plus rodée à une intromission aussi envahissante. Mais son corps tout entier, aidé par son esprit et par l'atmosphère très particulière de la journée, était dans une telle réclame qu'elle était très loin de l'appréhender. Elle voulait être remplie, absolument remplie par ce beau mâle aux yeux bleus et au torse musclé. Elle était ébahie par sa chance d'être honorée par lui, à 55 balais bien frappés. Pas une seconde elle pensa alors à son mari : juste à cette bite qu'elle voulait absorber entièrement.

Enfin, Paul posa ses bras en appui sur le lit et elle le reçut totalement, toujours pliée en deux. Son brame se mêla alors à celui, voisin, de Réjane, qui devait avoir atteint un nouvel orgasme. Paul besognait dur, jouait avec les jambes de Martine qui recherchait des appuis sur son corps pour mieux lui renvoyer la balle, histoire de lui montrer que la passivité n'était pas son affaire au lit. Pour la première fois depuis des lustres, elle entendit un claquement de peaux dans son rapport sexuel et cela la subjugua. Paul y allait avec une telle vigueur qu'elle dut maintenir ses seins, peu habitués à être aussi chahutés. Allait-il jouir prématurément ? Il lui procurait tant de plaisir qu'elle crut bon de l'avertir :
- S'il te plait, continue, t'arrête pas.

Mais elle n'allait pas tarder à découvrir que son jeune amant était doté d'une virilité, d'une endurance et même d'un savoir faire jouir qui allaient littéralement révolutionner sa vie sexuelle de femme mûre. Il savait s'arrêter avant d'éjaculer, lui accorder des pauses lorsqu'elle cherchait son souffle, lui proposer diverses positions propres à la satisfaire. Entre deux accouplements, elle lui accorda des fellations qui lui remplissaient les joues tout en stimulant mutuellement leur désir de pénétration. Allons, elle n'avait pas trop perdu la main, si l'on ose dire. Lorsqu'il la prit en levrette, le regard de Martine tomba sur Réjane qui se tenait nue dans l'encadrement de la porte :
- Je vais pisser, expliqua la brune. Alors, ça va Martine ?

Celle-ci fit oui de la tête, trop occupée par ce qui se passait dans sa chatte pour faire des commentaires. A voir les mouvements de la bouche de sa collègue, tantôt ouverte, tantôt fermée la langue sur ses lèvres, et ses yeux écarquillés ou clos, à considérer les mouvements de sa croupe allant chercher la bite, Réjane comprit que Martine était en train de se lâcher complètement et qu'elle était très loin de l'épouse rangée et modèle qu'elle donnait l'impression d'être au boulot.
- Tu baises, hein ? lui jeta la brune.
Martine opina à nouveau et Réjane lança :
- Bon, je vous laisse, amusez-vous bien et ne vous inquiétez pas pour nous, on n'a pas fini.

Après une nouvelle pause durant laquelle Martine cajola le membre toujours rigide, légèrement incurvé, de son jeune amant, celui-ci l'interrogea :
- Tu veux quoi maintenant ? Tu veux qu'on jouisse ensemble ?
- Tu es fatigué ?
- Non, un coup en or comme toi, ça ne fatigue pas.
- Mais qu'est-ce que tu me trouves ? Tu pourrais avoir des filles bien plus jeunes et bien plus jolies que moi.
- J'ai un faible pour les femmes mûres aux cheveux courts. Et au corps totalement bronzé en prime.
- Et moi, un faible pour les beaux torses et les belles queues. Tu vas me la mettre encore, dis ? Jamais je n'ai joui comme ça.
- Et tu veux que je te la mettes comment ? Si je te la mettais dans le cul ? J'adore ton cul.
- Je n'ai pas l'habitude. Vas-y doucement alors.

Et pour la première fois de sa vie, Martine se fit sodomiser. Paul s'y prit adroitement, avec lenteur et précaution. Martine ressentit d'abord une vive douleur et cria. Puis une fois la barrière des sphincters franchie, ressentit un plaisir particulier qui se mua en vraie jouissance lorsque le bas-ventre de son jeune amant claqua sur ses fesses et que ses couilles effleurèrent sa chatte. Ses seins ballottaient en tous sens sous les assauts du jeune mâle et à ressentir le pénis de plus en plus tendu et pointu, elle comprit qu'il n'allait plus se retenir et elle l'accompagna en roulant les hanches, tête relevée, poussant une exclamation qui sembla libérer l'enculeur. Les mains crispées sur ses hanches, celui-ci se vida en gémissant tandis que Martine s'aplatissait, la bite toujours fichée dans son fondement. C'était fini.

Alors que les ébats semblaient reprendre dans la chambre d'à côté, Martine fila vers les toilettes et, au retour, jeta un oeil par la porte ouverte du couple hôte. Son regard tomba sur le cul poilu de Didier et ses grosses couilles, le tout encadré par les chevilles croisées de Réjane qui disparaissait sous la masse du corps masculin et ondulait sous lui en piaillant. Ces deux là étaient décidément infatigables. C'était la première fois qu'elle voyait un couple faire l'amour et elle ne put s'empêcher de regarder, de se comparer à son amie. Celle-ci était maintenant sur son amant après un changement de position et offrait la vision de son cul potelé, non exempt de cellulite, nota Martine, en train de s'agiter sur la pine raidie de Didier. Un léger sourire courut sur les lèvres de Martine au spectacle de sa collègue dans la plus profonde intimité. L'envie d'uriner la poussa malgré tout vers les toilettes mais elle ne put s'empêcher au retour de regarder à nouveau le couple forniquant. Réjane était maintenant face à elle, sans ses lunettes, seins pendants, durement besognée par Didier le regard fixé sur la vaste croupe. La position devait être particulièrement jouissive pour elle car Réjane exprima bruyamment et crument son plaisir, devinant la présence de Martine sans l'aide de ses lunettes :
- Tu vois ce que c'est que baiser, hein, espèce de voyeuse ! jeta-t-elle entre deux râles.

La voyeuse en question ne s'était même pas rendu compte qu'elle s'était caressée le bouton en regardant le couple et quand Réjane, cette fois sur ses pieds, s'infligea un pal vaginal sur la plantureuse bite qui fit trembler toutes ses chairs, un orgasme visuel totalement inédit, accentué par la masturbation, fouetta Martine debout dans l'encadrement de la porte.
Elle sentit tout d'un coup une puissante fatigue l'envahir. Elle regagna son lit où Paul dormait déjà, et elle éteignit la lumière. Le sommeil la prit instantanément, insensible aux bruits de l'amour de l'autre côté de la cloison.

******
Le lendemain, il était près de midi quand Martine émergea de son sommeil. Le temps d'enfiler une culotte et un tee shirt et elle se rendit à la cuisine où Réjane s'affairait, sommairement habillée d'un tablier sur son corps nu. Les deux hommes préparait déjà le barbecue du déjeuner, toujours torse nu. Martine accepta le café que Réjane lui proposait.
- Alors, c'était bien ? gloussa la brune.
- Super mais j'ai mal partout. C'est plus de mon âge, tout ça.
- Mais si mais si. Reconnais que ça t'a fait du bien. A ton âge, comme tu dis, il faut soigner ses hormones.
- Oui c'est vrai. Il y a longtemps que je ne m'étais pas sentie aussi femme. Paul est un magnifique amant. Mais bon, retour à la normale dès ce soir.
- Pourquoi ? Tu ne veux pas le revoir ?
- Il faut que je sois réaliste. Il a mieux à faire que baiser une quinqua, non ? Et puis, je ne vais pas fiche en l'air mon mariage pour un mec de 20 ans. Je ne me sens pas de mener une double vie non plus. Je me suis bien éclatée cette nuit, plus que je ne l'aurais jamais cru, et voilà.
- Ton mari, il va continuer à jouer à la pétanque, non ?
- La saison se termine mais il doit avoir encore deux ou trois tournois à jouer.
- Donc, tu peux encore venir ici et retrouver Paul. En toute discrétion...
- Mouais... S'il a toujours envie de moi.
- Tu verras bien, en tout cas je t'inviterai encore. Il faut que tu baises. Je t'ai vue cette nuit, tu étais méconnaissable. Tu avais rajeuni de dix ans. Et quelle crudité, dis donc. Si tu t'étais entendue...
- Ah bon ? Qu'est-ce que j'ai dit ?
- Des choses qu'on dit dans le feu de l'action, je me lâche aussi faut dire. Tu veux un dessin ? Bon, je crois que le barbecue est près.
Les deux femmes retrouvèrent leur chevalier servant. Cette fois, ce n'est pas une bise que Martine reçut de Paul mais une bonne grosse galoche et elle se sentit fondre à nouveau. Décidément, ce mec l'ensorcelait. Il lui apparut rapidement évident, en cours de déjeuner, qu'avant de quitter les lieux, les deux couples allaient se retrouver une nouvelle fois au lit. Et Martine ressentit dans sa petite culotte une humidité prometteuse...

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