La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1001)
Lanniversaire du Marquis dEvans Saison 2 - (suite de l'épisode précédent N°1000) -
''Alors que la fête commence !''
Le Châtelain dun geste ferme et directif lâcha alors les chaînes de Ses quatre femelles tout en leur intimant lordre de se jeter à terre et de monter en rampant jusquaux pieds de Son trône. Réglées comme un métronome, le quatuor de femelles sallongea sans bruit à même le sol, attendant lautorisation de pouvoir commencer leur reptation marche après marche, ordre qui leur fut donné dun simple claquement de doigts au moment où le Noble commença Son ascension vers Sa place quasi Royale. Les deux soumises Laïs MDE et Vanessa MDE furent intimées de se placer de chaque côté extérieur juste à côté des sièges de Walter et Marie, auxquels elles furent respectivement affectées avec pour mission de les satisfaire en tous points pendant toute la soirée et de pourvoir à leurs besoins, quils furent matériels ou plus sexuels. Les deux surs de slavitude Aphrodite MDE et Phryné MDE quant à elles, furent enjointes de se positionner à genoux de part et dautre du fauteuil réservé à Monsieur le Marquis dEvans. Il sagissait dun immense fauteuil dépoque au dosseret surélevé sur lequel était incrustée en son sommet une représentation en relief dune couronne de Marquis en or massif, façonnée suivant les préceptes héraldiques et surmontée dun coussinet dazur (bleu royal) qui était réservé aux anciens pairs du Royaume. Les pieds et la structure portante du siège étaient en bois sculpté recouvert à la feuille dor. Tous les rembourrages matelassés, de lassise, du dossier et des deux larges accoudoirs, étaient recouverts de tapisseries de velours brodées à la main rehaussées de fil de soie teinté et de fil dor dont le décor représentait les Nobles armoiries de la famille des Evans. La passementerie qui bordait les tapisseries était tout en fil dor et elle achevait de donner à ce siège une prestance digne des célèbres cours de lEurope du Grand Siècle.
La soumise Emeline MDE conduisit jusquau pied de la scène le quadrige de « pony-boys » leur indiquant quils devaient monter sans tarder car ils faisaient partie tous les quatre du premier tableau du spectacle. Les esclaves, un peu gauches et désemparés de ne pas avoir reçu plus de consignes, ne savaient que faire plantés devant le rideau de scène encore baissé sur lequel étaient projetés par alternance des images du Château du Marquis dEvans, des Armoiries de la famille des Evans, et de diverses toiles originales D/s conservées précieusement dans le Musée du Château, après avoir été acquises au cours des siècles par les différents Marquis qui sétaient succédés de père en fils. Lassistance avait fini par prendre place lorsque les trois coups retentirent annonçant le début du spectacle tandis que le rideau peu à peu se levait, pour un premier décor équestre. Le plateau avait été transformé en véritable hippodrome de concours grâce à des jeux de lumières et autres projections décrans en 3D. Les quatre faux chevaux furent rapidement pris en charge par deux vrais cavaliers en tenue dapparat de la Haute Ecole des Cadres Noirs de Saumur, ainsi que par deux Dominas écuyères très élégantes, dont les jodhpurs rentraient dans des bottes de cuir souple leur moulant les jambes jusquaux dessus du genou.
Une première salve dapplaudissement résonna dans toute la salle dès louverture du rideau de scène, comme pour encourager les quatre « bêtes de somme » dont le dos fut couvert sans tarder dune simili lourde selle en cuir adaptée à un dos humain, qui bien évidemment ne devait pas être utilisée en tant que telle pour monter dessus, mais qui par sa lourdeur allait compliquer largement les déplacements des chevaux bipèdes. Les deux cadres noirs dans leur tenue militaire des grands jours, portant le bicorne, avaient chacun en mains une très longue et fine cravache quils savaient manier avec dextérité en milieu vanille sur les flancs de leurs chevaux respectifs tant ils étaient détenteurs dun réel savoir-faire équestre académique.
Pendant ce temps, les quatre femelles soumise Laïs MDE, soumise Vanessa MDE, esclave Aphrodite MDE, esclave Phryné MDE, furent contraintes daller faire le tour de chaque table pour distribuer à chaque Invité un ticket portant un numéro qui leur donnerait droit, lorsquil serait tiré au sort pendant toute la durée de la soirée à différents petits extra imaginés par le Châtelain comme autant de plaisirs de toutes sortes quil allait offrir à Ses convives en sus du spectacle et de la soirée orgiaque qui sen suivrait. La soumise Emeline MDE qui avait tout organisé accrocha deux pinces mordantes sur les tétons de chaque femelle qui étaient déjà munies de bijoux en strass enserrant le mamelon et recouvrant lauréole plus foncée. Ces deux pinces étaient reliées à une petite coupelle creuse et bombée qui leur tombait sur le ventre juste sous le nombril et qui contenait un certain nombre de petits papiers bleus pliés en quatre.
Sur une autre partie de la scène, les deux écuyères faisaient une démonstration beaucoup plus en souplesse que leurs deux homologues masculins, mais qui nen était pas rendue plus facile pour les deux autres bipèdes qui devaient imiter la marche gracieuse de lanimal en remontant lune après lautre leurs jambes, genou plié jusquà la taille à chaque pas. Munies de petites cravaches courtes et raides, très efficacement, elles rectifiaient la position dune patte, pas assez remontée ou redescendue trop tôt, guidant « à la baguette », comme on pourrait le dire dun chef dorchestre, les pas cadencés des esclaves équins. Ce que les quatre « pony-humains » trop occupés à essayer de sappliquer pour faire honneur au Maître auquel ils appartenaient navaient pas remarqué, cest quau fond de la scène, un soumis était chargé de comptabiliser les erreurs commises par chaque spécimen de foire, incrémentant à la main les scores négatifs des esclaves qui navaient pas tardé à peiner avec la fatigue due à un effort physique constant en permanente concentration.
Le gong retentit et une voix annonça que les deux chevaux portant les numéros 2 et 3 étaient les perdants de lépreuve. Comme, ils navaient pas été jugés assez bons dans leur prestation, ils ne pouvaient décemment pas conserver lapparence de « pony-boys », une caractéristique dont ils navaient pas su se rendre dignes. Ils furent conduits sur le devant de la scène et déshabillés aussi sec sans aucun ménagement, avant dêtre jetés à terre tels des lopes déchues de tout droit autre que de celui de servir de vide-couilles pour le reste de la nuit, si tant est que celui ou celle entre les mains de qui ils allaient être remis voudrait bien profiter de leurs misérables trous à remplir. Les deux esclaves honteux davoir échoué, prostrés sur le sol gardaient la tête baissée et les yeux semi-clos en attendant que quelquun vienne les récupérer, tout en sachant que le pire à venir serait la punition que Monsieur le Marquis dEvans leur imposerait dès le retour au Château avant dêtre autorisés à rentrer en grâce. Les deux autres, vainqueurs de la démonstration, furent autorisés à quitter la scène et à aller shydrater et se reposer en attendant que de nouveaux ordres leur soient transmis ultérieurement.
La suite fut un numéro de danse érotique sous fond de jeux de lumière, projection 3D et musique sensuelle qui faisait partie du spectacle traditionnel que le cabaret offrait régulièrement à ses clients tous les Vendredis et Samedis soirs. Cela permit de servir dintermède pendant lequel le service de table fut assuré par ceux du personnel attitré de létablissement qui avait accepté de venir officier pour cette soirée privée hors-norme, où la rémunération serait généreusement quadruplée par Monsieur le Marquis dEvans, tant pour le personnel de salle que pour les intervenants du spectacle dont les numéros avaient été maintenus dans la programmation de la nuitée.
Le tour des tables assurée par les quatre femelles se poursuivait à petite allure, tant chaque invité voulait profiter de cette chair impudique qui venait soffrir généreusement à eux. Ils étaient rares ceux qui se contentaient de reluquer sans toucher la femelle MDE qui sapprochait pour leur permettre de plonger leurs mains dans lurne ouverte contenant plusieurs billets numérotés, qui leur donnerait droit à lun des lots bonus de la soirée. Les mains venaient bien plus avidement se fourrer dans les chattes quelles fouillaient de doigts lubriques qui en ressortaient dégoulinants de cyprine. Les fesses prenaient de la couleur sous les mains dautres invités qui préféraient les caresses cinglantes aux attouchements humides. Chaque convive commençait à séchauffer, et cest Aphrodite MDE qui fut la première à être renversée sur une table de service par un invité qui était déguisé en général, et qui fort de ses galons factices sétait mis en devoir de faire en public le premier lever du dau phallique. Il dégrafa son pantalon et sortit de son boxer un sexe déjà bandant parti à lassaut du zénith, quil enfourna sans préambule dans la chatte luisante de lesclave, regrettant que le côté pile ne soit pas librement accessible et nosant pas en retirer le plug orné dun cabochon aux armoiries du Noble Châtelain qui lui avait permis dêtre là ce soir.
Lesclave bien dressée némit pas le moindre son, ce qui interloqua le faux général qui redoubla deffort pour enfoncer sa bite de mâle en rut au plus profond de la caverne chaude par de grands coups bestiaux, laissant à chaque fois ses couilles venir taper sur lentrecuisse ruisselant de la chienne en chaleur. De son côté, esclave Aphrodite MDE nayant reçu aucune autorisation de jouir se retint de laisser la vague de plaisir lenvahir et la déborder, se contentant de se faire ramoner pour le seul plaisir phallique de celui qui la pourfendait sauvagement
Au bout de plusieurs minutes et de nombreux vas et viens, sous lil attentif de ses voisins de tablée, lhomme poussa de profonds râles avant de répandre sa semence laiteuse dans la vulve béante de la chienne-femelle quil venait de saillir diligemment. Sa jouissance avait été démesurée, du fait de lexcitation de se trouver en pleine assemblée inconnue, tout emporté quil fût par son élan et son désir phallique qui lavait poussé à culbuter sans attendre celle qui venait tout simplement lui tendre une coupe pour lui permettre de piocher un billet. Il eut besoin de récupérer et se rassit sans attendre, le temps de reprendre son souffle. Sans quaucun mot ne soit prononcé, la chienne MDE bien éduquée, sentant que la prise dassaut était terminée, entreprit de se retourner pour sagenouiller afin de pouvoir nettoyer de ses lèvres le sexe qui était resté souillé, imprégné tant de sa cyprine de femelle que du sperme qui continuait à perler de la queue qui commençait à ramollir
Cest donc avec application quelle sattela à sa tâche
(A suivre
)
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