L'Épouse Prise
Vers fin juin un soleil caniculaire brillait pendant qu'un mari observait sa femme et son amant sur le lit conjugal. A se trouvait assise sur le matelas toute nue. C, torse-nu, debout devant elle. Il se rapprocha d'elle. Il baissa froc et boxer jusqu'au centre des cuisses. Pénis tendu, il empoigna en chignon-nuque les longs cheveux noirs puis enfonça son chibre sombre dans la bouche mariée. Une manière de les soumettre tous les deux à la fois, son mari et elle.
M debout observait la scène en rougissant partout, particulièrement de la cage-bite. Sa femme pour ce soir lui avait installé une cage qui plus petite, serrait plus son pénis ; métallique elle ne lui accordait aucun répit et restreignait sans pitié ses érections ! Elle lui serrait déjà le sexe quand il ne bandait pas, alors, lorsqu'il bandaient la pression de la cage sur sa bite empirait ; littéralement elle lui donnait l'impression qu'à chaque seconde la dominatrice main épouse lui écrasait le sexe ; une situation qu'il jugeait à la fois désagréable et très érogène ; chaque fois qu'il voyait pendre en collier la clé de sa cage pour chaste sur le pied de son épouse ça le bouleversait érotiquement...
Le braquemart noir entrait puis ressortait dans la bouche tiède ; parfois il entrait jusqu'à la racine du pubis permettant ainsi au gland de chatouiller la gorge féminine ; la bouche qui embrasse l'époux est la même qui fellationne l'amant.
-Regarde comment ta femme me suce !
-Elle te suce bien !
-T'aimerais qu'elle te suce comme ça ?
-Ouais !
L'amant sortit son pénis de la bouche cocufieuse. Il tapota les lèvres de la femme avec son gland ! Manière de prouver au cocu que sa femme lui appartenait et qu'il pouvait faire d'elle tout ce qu'il voulait devant lui. « Branle-moi et suce-moi en même temps ! » Les ongles roses saisirent le pénis. Malgré les deux mains qui branlaient la queue il restait toujours la marge pénale haute.
« Allonge-toi, je vais te lécher ! » L'épouse s'étala sur le dos puis elle ouvrit les cuisses. L'amant posa la bouche sur son vagin. Les lèvres noires épaisses répandaient plaisir et douceur dans les petites lèvres roses. Elle gémit répétitivement lorsque la bouche lécheuse se mit à téter son clitoris.
Le cocu qui regardait la scène et qui entendait les gémissements féminins se mit à bander plus fort et à subir une érection plus douloureuse dans sa petite cage très serrée. Il se souvenait du goût, un goût variable, parfois légèrement salé, parfois légèrement sucré, le goût de la vulve de son épouse ; il se souvenait de l'odeur, une odeur charnelle, une odeur aphrodisiaque, parfois animale, qu'il aimait renifler mâle en rut. Comme il aurait aimé remplacer celui qui était en train de sucer le clitoris de son épouse !
Mue par le plaisir intense ressenti elle déposa la main sur ce visage qui la cunitait pour toucher le front, les yeux, le nez, les lèvres épaisses, qu'elle ne pouvait voir parce qu'elle gardait ses yeux clos à jouir du plaisir que lui offrait ce visage généreux qu'elle ne pouvait s'empêcher de caresser. L'amant, quant à lui, il continua le cunnilingus et pressa ses seins. On aurait dit deux fruits moelleux. Elle saisit entre les mains le sommet du crane lécheur qu'elle appuya. Le plaisir qu'elle ressentait était intense et piquant comme les très courts cheveux de la ciboule quasi-chauve qu'elle massait. Soudain, elle cria sa jouissance ! Plus fort il pressa ses seins.
« J'ai envie de te prendre ! » se relevant un instant il tenu sa queue qu'il masturba un peu. Elle tendit la main puis se saisit du préservatif. Elle sortit le condom qu'elle déroula sur la longue verge adultérine en érection.
La bite sous préservatif frottait contre les parois vaginales qui répandaient la cyprine blanche s'accumulant le long du condom au fur et à mesure que la longue queue noire y plongeait, y revenait, y plongeait, y revenait, inlassablement, le pénis noir sous plastique modelait le vagin rose.
Sous ses deux fesses qu'il était en train de labourer il passa les mains pour les soutenir et pouvoir mieux les labourer ! Contre son cou il répandit le souffle torride masculin. Elle lui caressa les côtes, le dos, les hanches et les fesses, pour qu'il continua à la saillir virilement comme il le faisait. Il stoppa soudain ! « Retourne-toi ! » Elle se retourna. Étendue sur le ventre, mains liées au dos par celles mâles, prisonnière ne pouvant bouger ou fuir, elle maintenait ses cuisses fermées comme ses tibias relevés. L'amant arc-bouté sur elle au pénis sous préservatif pénétrait et frottait densément son vagin compacte. Les coups de reins violents venaient s'amortir en partie sur ses fesses et dans son vagin durci. Elle kiffait cette position soumise. L'impression d'être une prise vierge.
Le cocu observant la scène se souvenait que c'était souvent dans une position similaire à quelque variante près qu'il léchait souvent le cul de sa femme ; c'était la même position sauf qu'elle dormait souvent devant la télé et qu'elle gardait cuisses ouvertes et cul bombé pour permettre à sa langue un égal accès au vagin et à l'anus ; c'était une position qu'il aimait visuellement mais il ignorait son nom, peu de gens connaissent le Kamasutra, encore peu les noms des différentes positions.
« Chevauche-moi ! » L'amant s'allongea sur le dos. Elle monta sur lui. Elle s'assit sur son pénis vertigineux.
Elle se blottit contre lui. Ses seins s'écrasèrent contre ses pectoraux. Ses lèvres se mélangèrent à ses lèvres. Leurs deux langues s'entremêlèrent. « Si tu veux, tu peux enlever le préservatif... J'ai envie de sentir ta bite complètement ». Il ne laissa pas répéter ! À l'aide d'une main il sortit sa queue du canal vaginal. À l'aide de deux mains il ôta le plastique. Il s'introduisit nu dans le vagin d'autrui.
Presqu'une année entière que C incarnait l'amant régulier d'A et le cocufieur d'M ; chaque week-end environ, il venait prendre A devant M ; cela avait débuté en trio échangiste ; ensemble, les deux hommes s'étaient occupés de la femme ; puis M s'était contenté de regarder C coucher avec A devant lui ; ensuite il s'était mis à les observer encagé ; c'était lui qui avait demandé à son épouse de lui faire porter la cage de chasteté et de garder les clés ; pour l'instant A le maintenait en cage que durant quelques jours ; une semaine était actuellement la durée maximum de sa chasteté ; à chaque libération sa libido explosait ! Elle aimait qu'il la désire ardemment comme il le faisait à chaque libération ; et lui appréciait le grand plaisir qu'il ressentait à chaque éjaculation ; après chaque durée d'abstinence, il avait un peu l'impression d'éjaculer pour la première fois : le plaisir était dense et puissant ! Intense et profond ! Cela contrastait au goût flocons d'avoine des éjaculations régulières.
-Tu dois ressentir beaucoup de plaisir de le baiser sans capote !
-Oui. C'est tellement bien et mieux sans capote !
Les mains sombres de l'amant il les vit se poser sur les fesses claires de l'épouse pendant quelle le chevauchait.
Durant quatre rapides heures l'amant et l'épouse avait couché ensemble devant le cocu. L'amant avait éjaculé une dizaine de fois dans le vagin marié. Maintenant cela faisait une trentaine de minute qu'il s'en était allé l'amant, laissant les époux entre eux. Les horloges urbains indiquaient 20H. Dieu Soleil somnolait. Dans leur chambre le couple entièrement nu discutait, le mari ne portait pour unique habit que sa cage chaste. L'épouse allongea son dos sur le matelas. Elle ouvrit ses cuisses pour montrer son vagin rempli du sperme adultérin. L'époux monta sur le lit. Il s'approcha d'elle.
-Libère-moi, chérie s'il te plaît !
-Tu veux que je te libère ?
Elle rit.
-Oui ! Je t'en prie !
-Non je ne te libère pas !
-Je ferais tout ce que tu veux ! Tout !
-Pendant un mois tu feras le ménage.
-Oui pendant un mois je ferai le ménage.
-Accord conclut !
Elle sortit la clé du collier ornant sa cheville. Elle ouvrit le cadenas. Elle défit la cage chaste. Le pénis bondit littéralement ! Elle ne l'avait jamais vu aussi gros et aussi long. Elle ôta l'anneau. Le sexe était très rouge et imposant. L'impression que c'était le sexe d'un autre ! Elle reposait les clés et la cage sur le matelas lorsqu'il bondit soudainement sur elle comme un chien en rut. Il introduisit précipitamment son braquemart dans le vagin humide qu'il se mit à labourer aussitôt. Le sperme de l'amant de sa femme se répandit tout le long de sa verge. Il la martelait de coups de queue déments ! Subitement il poussa un long cri presque crise cardiaque. Il n'avait jamais jouit autant.
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