La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1002)

L’anniversaire du Marquis d’Evans – Saison 2 - (suite de l'épisode précédent N°1001) -

C’est donc avec application qu’elle s’attela à sa tâche …

- Dis-moi que tu aimes cela quand même ? Belle salope que tu es ! Dis-moi que tu n’es pas frigide, car on dirait que tu n’as pas apprécié, car tu n’as pas pipé mot et pas poussé le moindre gémissement de plaisir. J’avais le triste sentiment de baiser une muette insensible et de devoir prendre mon pied tout seul.
- Veuillez me pardonner, Monsieur, si tel a été votre ressenti négatif. Je suis vraiment désolée de savoir que vous n’avez pas pris tout le plaisir charnel et sexuel que vous étiez en droit d’attendre de moi qui ne suis là que pour vous contenter de toutes les manières possibles, conformément aux exigences du Maître auquel j’appartiens. Je ne suis pas frigide, je pense qu’aucune des chiennes en chaleur du cheptel MDE ne l’est d’ailleurs. Mais comme vous ne m’aviez pas autorisé à jouir, je me suis retenue dans l’expression de mes émois charnels et intellectuels qui n’en furent pas moins intenses à défaut d’avoir été expressifs et jouissifs.

Monsieur le Marquis d’Evans ayant vu du haut de son promontoire que la distribution des tickets numérotés par Ses quatre chiennes-femelles prenait beaucoup plus de temps que prévu sur l’horaire du déroulement de la soirée, tant les convives semblaient intéressés par les corps dénudés à portée de mains, qui s’offraient si généreusement à eux. Il fit signe à son assistante pour qu’elle réquisitionne dès que possible Ses quatre femelles qui devaient rejoindre leurs places respectives sur la tribune d’honneur. La fin des tickets fut répartie entre les derniers convives par les deux « pony-boys » qui une fois désaltérés étaient désœuvrés dans leur coin. Les deux bipèdes eurent beaucoup moins de succès dans leur tour de table que les femelles qui les avaient précédés. A croire, que les esclaves dont le corps et le visage était entièrement recouvert d’une tenue « fetish équine » devaient être beaucoup moins tentant pour les mains baladeuses et perverses des invités, qui craignant peut-être de se heurter à un sabot ferré qui tenait lieu de gant, se contentaient de piocher rapidement le billet numéroté.



Le premier esclave fut emporté par une Domina qui présentait toute fière le ticket N°2 en venant chercher son tribu pour la soirée. Elle était vêtue d’une robe médiévale qui aurait bien pu convenir à Aliénor d’Aquitaine, celle que l’on nommait en son temps reculé « la Reine Insoumise ». Avec fermeté, elle empoigna la queue de l’esclave le forçant à descendre de la scène s’il ne voulait par être émasculé. Elle retourna à sa place et glissa sans plus attendre le dominé sous la table entre ses cuisses et sous ses grands jupons sous lesquels elle ne portait pas de culotte. La gente Dame sous ses airs de prude Damoiselle d’antan avait bien l’intention de ne laisser que peu de répit à l’esclave déchu pour ses qualités équestres déplorables. Elle lui agrippa la tête pour l’enfoncer encore plus dans son intimité et le forcer à venir respirer le peu d’air embaumé de ses odeurs corporelles qu’il trouverait dans l’ouverture de sa fente humide qui n’attendait qu’une langue experte pour se faire sucer, de bas en haut et de haut en bas tant qu’elle le voudrait et qu’elle laisserait couler sa cyprine abondante.

Le ticket N°3 permis à un homme de haute stature déguisé en centurion romain de s’approcher de la scène pour récupérer à son tour l’esclave qui lui était généreusement attribué pour quelques heures de libres plaisirs D/s et sexuels. Son œil lubrique s’était mis à briller en découvrant le numéro sur le ticket, car la vue de ce frêle soumis, dénudé et affalé après sa défaite, avait excité le vicieux qui sommeillait et avait éveillé en lui des pulsions de Domination qu’il allait pouvoir assouvir sans tarder. Son petit côté exhibitionniste à l’égo surdimensionné le poussa à monter jusque sur la scène pour pouvoir, au vu de tous les autres convives, récupérer, la vraie lopette qu’il venait de tirer au sort, tel un trophée arraché haut la main. Le faux romain tenait dans la main droite un glaive qui n’avait rien d’une arme puisqu’il était factice et fait de bois léger flottant.
Mais cela ne l’empêcha pas de jouer du poignet devant toute l’assemblée avant de venir s’en servir comme d’une simple spatule de bois à défaut de paddle sur les fesses du soumis masochiste qui ne put s’empêcher de se mettre à bander tandis qu’il s’arcboutait pour se redresser et offrir encore plus son arrière train à l’aplat du glaive de bois, allant à la recherche des coups dont il était friand et ayant bien du mal à refreiner son désir de sentir ses fesses s’enflammer encore plus. L’homme malgré ses quelques défauts et sa perversité avérée restait un vrai Maître D/s avec des qualités de Domination certaines, et voyant qu’il était tombé sur un masochiste qui devait être cadré et contraint dans des limites strictes, s’il ne voulait se laisser manipuler en devenant juste un simple « distributeur » de plaisirs-douleurs, s’arrêta net dans sa lancée, rangeant aussi sec son glaive factice sous sa ceinture de cuir.

Le centurion portait aux pieds de larges sandales plates de cuir dont les lacets entrecroisés lui remontaient jusqu’aux genoux et d’un geste ferme du pied, il appuya sur le postérieur rougi pour le faire ployer sous son poids et ramener l’esclave à la plus simple platitude à même le plancher de la scène. Tel le chasseur qui pose le pied sur le corps sans vie de la bête féroce qu’il vient d’abattre, le romain surplombait de tout son poids pesant le corps de la lopette qui sentait son sexe durci se recroqueviller tant bien que mal pour se faire une petite place et ses couilles écrasées sur les lattes de bois. A ses dépens, l’esclave venait de comprendre qui serait le Maître de la suite des réjouissances, celui sous lequel il devrait plier. Le romain à la forte carrure attrapa par les épaules le chétif soumis dompté et le souleva pour pouvoir le traîner telle une larve inerte jusqu’à sa place. Et il décida de l’ignorer pendant un laps de temps, le laissant prostré à côté de sa chaise en méditation, car l’indifférence est une punition bien adaptée pour un masochiste qui n’attend et n’espère qu’une sanction bien plus douloureuse physiquement pour en tirer profit et plaisirs.


Le repas pouvait se poursuivre plus facilement tandis que le spectacle plus traditionnel du cabaret reprenait en interlude. Monsieur le Marquis d’Evans avait décidé de ne pas avoir de table devant lui ne voulant pas être gêné par un banal mobilier purement utilitaire. Les esclaves qui occupaient les marches de la tribune officielle venaient à tour de rôle Lui présenter plats et boissons, servant tantôt de table d’appoint avec leur dos bien droits ou de porte-verres humains immobiles que remplissaient les échansons de service. Il en était de même pour Walter et Marie qui avaient à leurs pieds des « tables » humaines immobiles sur le dos desquelles se trouvaient des mets savoureux à déguster. La cuisinière bien qu’intéressée par le spectacle avait rapidement fait de la place juste devant elle pour faire venir entre ses cuisses la soumise Vanessa MDE, dont la langue expérimentée ne tarda pas à lui arracher quelques gémissements forts évocateurs. Walter avait décidé pour sa part de la jouer cosaque, puisque c’était le rôle qui lui avait été attribué. Il faisait claquer l’une contre l’autre ses grandes et lourdes bottes de cuir noir pour diriger les esclaves chargés de lui servir son repas, les invectivant encore de plus belle de grands coups de cravache sur les fesses lorsque par malheur ces derniers ne comprenaient pas parfaitement les attentes du diabolique domestique dont les bruits de bottes jouaient un étrange morse bien peu déchiffrable.

Lassé de ce petit jeu de talons en résonnance, il attrapa soumise Laïs MDE qui était agenouillée à droite de son siège par sa longue tresse et tirant dessus la touffe de cheveux qu’il avait empoignée, il la contraint à venir se coucher sur ses genoux, dans une position qui était rendue d’autant plus humiliante et excitante tout à la fois que tout cela se faisait sous le regard possible de toute l’assemblée de convives réunie pour le repas dans le parterre en contrebas. C’est à pleines mains qu’il se lança dans une volée de fessée en rythme avec l’accompagnement sonore du spectacle, comme s’il avait été chargé de jouer la partition du tambour de l’orchestre.
Le postérieur de la chienne-femelle ne tarda pas à afficher une couleur plus rougissante, corroborée par une température croissante, due à l’afflux sanguin dans toute la zone stimulée par les frappes successives. Laïs MDE était habituée à subir les plaisirs pervers du domestique fesseur qui aimait s’échauffer le poignet sur les croupes dodues des chiennes MDE, mais la mélodie qui était de plus en plus rythmée faisait qu’elle devait serrer les dents pour supporter l’envolée du domestique qui tapait de plus en plus fort.

La soumise fut presque soulagée lorsque la musique s’arrêta ainsi que simultanément le jeu de mains du cosaque, qui décida illico presto de la renvoyer à sa place car il commençait à avoir mal au poignet et aux cuisses. Walter lui imposa de surcroît de rester à genoux, le dos bien droit, ce qui fut presque plus une récompense qu’une exigence, car la femelle aurait eu bien du mal à faire reposer sur ses talons son postérieur en feu qui allait apprécier d’être à l’air libre pour refroidir un tant soit peu. Monsieur le Marquis d’Evans, assez content de ce début de soirée et de tout ce que cela laissait encore présager pour la suite, décida de se mettre à l’aise et de se faire offrir une petite gâterie bien méritée. Il fit approcher et positionner devant lui ses deux esclaves Aphrodite MDE et Phryné MDE.

- Mes belles chiennes que J’apprécie et dont Je savoure chaque jour la fidélité et la Dévotion, venez encore plus près vous occuper du Maître Vénéré. Il vous faudra vous partager Ma Noble Queue à sucer, mais je suis certain que je vais apprécier de sentir vos douces lèvres venir enserrer en sandwich Ma verge qui est bien trop à l’étroit pour l’instant dans mon boxer, car rien que l’idée de vous savoir totalement à MOI et de vous sentir à mes pieds aussi désirables dans la soumission me donne envie de bander.

Les deux chiennes en chaleur ne se firent pas prier pour venir profiter d’un plaisir inégalable tel que celui de pouvoir s’occuper du Noble Joyau phallique du Maître Vénéré. Après avoir soulevé les longs pans de la veste redingote du costume de Marquis, elles ne furent pas surprises de trouver une bosse caractéristique de la bandaison. Mais elles furent néanmoins surprises toutes deux de s’apercevoir que le costume taillé sur mesure et confectionné pour l’occasion avait été aménagé pour pouvoir s’ouvrir juste à l’endroit voulu afin de mettre à l’air libre tous les attributs virils du Dominant, un peu comme une poche qui n’avaient qu’à plus qu’à être déboutonnée et rabattue. Elles commencèrent chacune de leur côté à lécher la hampe du phallus déjà gonflé de sang et dont les veines saillantes le rendait encore plus excitant et attirant. Après avoir bien humecté l’ensemble de la verge, à tour de rôle, l’une ouvrait ses lèvres pour y insérer un gland violacé qu’elle embrassait, suçait, aspirait, léchait de mille et une manières, tandis que l’autre gobait un testicule gros comme un œuf le faisant rouler dans la bouche avant de passer au deuxième. Les deux esclaves étaient devenues expertes dans l’art de la fellation ayant été à bonne école après un dressage mené de main de Maître au Château. Il leur aurait fallu guère plus de temps pour soutirer de la moindre queue le sperme qui accompagne la jouissance, mais les ordres du Dominant avaient été clairs :

- Du plaisir à donner au Maître, que c’est bon ! Du plaisir …. Beaucoup de plaisirs, puisque vous savez que j’aime recevoir vos caresses buccales, mais …….. Oui ! J’ai bien dit Mais …….. Et donc, interdit de me faire jouir. Ce n’est pas que je n’en aurais pas envie, c’est que j’ai MES raisons pour vouloir me retenir pour l’instant. Et d’ailleurs, je n’ai même pas à Vous expliquer le pourquoi du comment, et le bien-fondé de Mes raisons. Mon ordre est clair : « interdit de me faire jouir »

La dernière phrase avait été dit sur un ton ferme et lourd, si Dominant dans la voix qu’il n’aurait même pas laissé de place à la controverse à toute personne vanille, soumise ou non de tempérament. Le Châtelain repartit de manière plus naturelle, car il savait bien qu’avec Ses deux chiennes-femelles, IL n’avait nul besoin d’insister pour transmettre la moindre exigence. Il lui suffisait de l’exprimer et aussitôt elles se mettaient en quatre pour donner satisfaction à Celui qui dirigeait totalement leurs deux vies de servitude pour leur plus grand bonheur d’esclave MDE.

- A vous de modérer avec savoir-faire vos bouches expertes. Et malheur à celle qui outrepasserait Mon ordre ! Le Maître a dit !

Les deux esclaves ne cherchèrent pas à en comprendre les raisons, elles devaient obéir et surtout contenter le Maître Vénéré. Elles ne ménagèrent pas leurs caresses buccales, encouragées par quelques petits soupirs de bien-être du Dominant qui semblait apprécier leurs lèvres expertes, mais même si elles en rêvaient toutes deux, elles ne prirent jamais en bouche totalement le sexe en gorge profonde au risque de le voir jaillir et de se voir punir. Le Marquis d’Evans fit signe à son échanson pour qu’on lui porte une flute de champagne.

- Mes belles chiennes, puisque ce soir vous n’aurez pas le bonheur de savourer mon précieux nectar, je vais à la place vous faire l’honneur de pouvoir partager quelques bulles avec Le Maître…

Le Châtelain se redressa légèrement en s’extrayant de l’emprise des bouches femelles avides et d’une main, il guida son vit dressé pour le contraindre à se courber légèrement afin de pouvoir le plonger dans la flute de champagne. Sa queue dégoulinait encore lorsqu’il se rassit pour laisser ses deux esclaves lécher le liquide dont elles n’auraient sans doute que quelques gouttes, mais un souvenir grandiose que de cette gorgée de champagne lapée à même le phallus du Maître.

Sur la scène, un nouveau spectacle se mettait en place avec tel que cela venait d’être annoncé une présentation de petits chiens dressés comme on peut en voir dans les cirques avec des caniches, sauf que les quadrupèdes qui firent leur entrée sur scène avaient un tout autre gabarit car ce n’étaient ni plus ni moins que les trois fidèles toutous qui avaient trouvé refuge dans l’Enclos du Chenil du Château du Marquis d’Evans, dont les noms furent annoncés à voix haute par le dresseur du numéro, qui présenta : chienchien, chien docile, chien soumis.

(A suivre …)

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