La Campagne Sensuelle De Pauline
Mon prénom est François-Xavier. Jai 44 ans et suis dirigeant dune petite société de société de conseil sur Paris. Je suis bien éduqué, équilibré, et jaime me décrire comme un gentleman rugbyman dans lâme. Ayant pratiqué ce sport, jai la carrure qui va bien et les cheveux rasés. Bref jaime bien les bonnes manières, mais il ne faut pas me chercher non plus.
Pour améliorer ma réputation dans mon milieu professionnel, je me suis impliqué dans les associations professionnelles qui gravitent autours de mon univers. Jai aussi écrit un livre de référence sur le sujet, ce qui me permet dêtre régulièrement interviewé par les journalistes de mon secteur. Je suis devenu en quelque sorte un des référents de la profession. Jinterviens aussi régulièrement dans le cadre des conférences organisées lors des salons professionnels.
Je ne fus donc pas étonné quand une école de commerce de Lyon me contacta pour que jintervienne au sein de leur établissement. Ils souhaitaient que je donne une conférence en qualité dintervenant professionnel, sur le thème de mon livre, lors de leur convention annuelle. Ce type de proposition fait toujours plaisir.
Une fois la date et lheure de mon intervention programmée je reçus par email les billets de train en première et la réservation dhôtel dans un bel hotel de la ville. Cétait bien la première fois que lon soccupait si bien de moi. Je remerciais donc la secrétaire, Pauline, de son organisation et elle me précisa quelle viendrait me chercher à la gare pour sassurer que je sois bien en temps et en heure à lécole.
La personne qui tenait le panneau à la gare était bien Pauline, mais elle nétait pas une vieille secrétaire catholique de lécole. Cétait une jeune étudiante de la promotion, qui dans le cadre dun stage, avait la charge dorganiser cette convention.
Jai un faible pour les filles aux cheveux long comme Pauline. Elle les avait méticuleusement lissés pour obtenir un look de vraie petite professionnelle, habillée dun tailleur noir et dun chemisier blanc du style avocate daffaires.
Nous parlâmes de tout et de rien dans le taxi. Je souhaitai mettre Pauline à laise car je sentais quelle se refermait dans sa coquille, inquiète que la convention ne se déroule pas au niveau de ses attentes. Je dois dire quun mec bien baraqué comme moi aime bien sentir cette fragilité toute féminine qui rend douces et belles les filles. Jaime offrir mon épaule pour quelle vienne sy appuyer, leur donner de ma force et de mon assurance.
Nous arrivâmes à temps pour la convention à son plus grand soulagement. Tout se déroula très bien tout au long de la journée, dans un amphithéâtre bondé. Ayant suivi les mêmes présentations que les participants de la journée, il me fut facile de conclure la convention. Je pris soins de résumer les points importants de manière un peu théâtrale avec force et abus danecdotes et de joutes oratoires.
Le Directeur de lécole nous reçus ensuite pour un cocktail. Il était tout sourire et visiblement ravi du bon déroulement de la journée. Je retrouvais une Pauline soulagée, qui avait retrouvé un sourire joyeux qui faisait plaisir à voir. A la fin du cocktail Pauline rayonnait de joie et de fierté comme une fleur au soleil de midi. Elle accepta mon invitation à diner dans la foulée et jétais ravi de la recevoir dans mon hotel médiéval lyonnais.
Cest une Pauline toute en douceur et en timidité qui me retrouva au diner. Je du parler pendant tout le repas car elle ne semblait pas trouver la force de me parler, mais sa gestuelle non verbale trahissait son émoi : sa façon de me regarder, de toucher ses cheveux, offrir son cou dégagé à ma vue, de détourner son regard sur moi pour échapper au mien. Le doux baiser dadieu ne me laissait aucun doute sur le fait que nous allions nous revoir un jour.
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Cest donc une correspondance de plus de deux mois par email qui sen suivit et rapidement nos échanges partirent sur des sujets plus personnels. Javais découvert une jeune fille brillante desprit, mais aussi ouverte à toutes les expériences sexuelles que la vie puisse lui offrir. Elle qui souvrait à la sexualité y allait avec une grande envie accumulée de sensations plus belles les une que les autres. Cétait une fleur quil fallait initier à lamour de la plus belle des façons. Elle aimait que je lui compte mes expériences et en retour elle partageait ses envies, ses désirs, mais aussi le fruit de ses lectures érotiques et des vidéos quelle partageait avec moi sur internet. La fille douce et sage avait un grand besoin de sensualité que je comblais par des échanges endiablés sans tabous.
Quand je lui dis que je descendais en vacances dans le sud en juillet elle me proposa de faire un arrêt en Bourgogne ou elle serait en congés chez ses grands parents. Cela me surpris delle car Pauline avait refusée toute rencontre malgré mes diverses propositions.
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Jarrive dans ce fameux petit village en milieu de matinée. Elle était là devant léglise, tout sourire quand elle reconnu ma voiture. Elle enfourcha son vélo et comme convenu je la suivie sans faire de geste, discrètement, jusquà un petit chemin en dehors du village. Jétais ébloui par ses longs cheveux qui volaient au vent, une coiffure non artificielle, avec de vraies boucles et une vraie couleur toute nature.
Pauline portait une robe printanière et légère avec des boutons devant, comme je lui avais demandé, Une robe féminine, ni trop courte ni trop longue, légèrement transparente en contre jour pour que ses jambes fines et longues se révèlent. Je savais quelle portait une petite culotte blanche sage et pas de soutien gorge. Ses petits seins navaient pas besoin de soutien et labsence de sous vêtement rend une femme plus désirable mais aussi plus fragile et plus féminine.
Elle quitta la route pour rentrer dans un champ et pointa un emplacement sous un bel arbre pour garer ma voiture à lombre. Comme convenus je sortis du coffre le panier de pique nique et nous nous éloignèrent de la route en suivant un petit chemin, sans nous tenir la main comme je lui avais promis. On marcha dix bonnes minutes en parlant de tout et de rien quand enfin on arriva en haut dune colline avec un point de vue magnifique sur une vallée, sans vis à vis. Un endroit romantique à souhait, calme et serin. La cloche du village marqua 11 heures.
Jétalai sur un carré dherbe une première couverture confortable, puis un joli drap vert. Ce nest quun fois assis et cachés au milieu des fleurs que Pauline membrassa sur la bouche avec force. Cest comme si elle avait besoin dun cocon protecteur rassurant et intime. Ce baiser enflammé résumait bien la nature de ses envies, le coté face de sa personnalité quelle cachait très bien par un coté pile de fille réservée et timide.
Cet échange de baisers dura bien un bon quart dheure puis Pauline me pris la main et regarda sans parler le paysage étalé sous nos yeux. Le soleil de midi arrivait, la vue était magnifique, il y avait un petit vent et lon sentait le parfum dune soupe dans lair qui devait mijoter dans la cuisine dune ferme environnante.
Pauline sallongea et ferma les yeux. Elle savait ce qui allait se passer, nous avions beaucoup échangé sur notre première rencontre. La façon dont elle allait se passer. Je crois bien que Pauline en avait rêvée souvent et était arrivé linstant ou tout allait se concrétiser. Du panier je sortis un léger foulard bleu que je nouais autours de ses yeux. Pauline, la belle timide, se laissa faire, laissant ses autres sens se mettre en éveil.
Je la regardais quelque temps ainsi, belle quelle était, allongée yeux bandés, offerte à moi, dans ce carré de verdure, perdu dans ce paysage magnifique sous ce soleil dété. Pauline frissonna quand mon premier doigt se posa sur elle. Cest là, à langle de son cou fin et gracile que pris naissance la première caresse. Lentement ma main partie en effleurement, à la découverte de ce corps sublime de jeunesse et de beauté. Je crois bien que jamais encore je navais pris autant de plaisir à sentir sous mes doigts la sensualité dun corps se réveiller aux plus belles sensations.
Je devinais les tétons de Pauline pointer denvie sous sa robe. Sa respiration lente et douce la mettait dans une certaine torpeur. Mes caresses avaient pris possession de son cou, de ses cheveux, de son visage, de ses épaules puis de ses bras. Javais délicatement dégrafé un bouton de son corsage puis un deuxième, prenant soins de ne pas toucher ses seins que je sentais hyper sensible.
Tout en caressant son ventre, javais délicatement fait remonter lentement sa robe jusquà ce que le soleil illumine sa petite culotte blanche. Pauline tressaillie quand mes doigts glissèrent de son ventre vers son bas ventre et elle ne put empêcher un petit cri dexcitation quand un premier doigt vint jouer avec lélastique de sa culotte. Sa respiration était plus saccadée et quand mes doigts glissèrent sur le tissus de sa culotte mouillée pour venir caresser son sexe. De mon majeur je tapotais légèrement son clitoris, un point visiblement sensible car je sentie Pauline partir en orgasme sous mes doigts, le premier dun longue série. Son corps parti en contraction et en détente et elle étouffa un cri qui en disait long sur le plaisir quelle venait de ressentir.
Pourtant je navais pas fait grand chose, quelques baisers et quelques caresses, dans un lieux assez unique et des circonstances particulières. Je pense que Pauline avait rêvée depuis des nuits sur ce que nous allions faire, et de le vivre enfin lexcitait terriblement. Jaccompagnais son orgasme en lui chuchotant à loreille quelle était belle, et à quel point jaimais la sentir jouir sous mes doigts. Je lui disais la vérité, point de compliment, juste ce que je ressentais au fond de moi. Je la laissais apprécier son plaisir, sous ce petit vent, sous ce soleil, dans la quiétude de ce paysage et de ce lieu. Elle me savait là à ses cotés, fier de lui avoir apporté du plaisir et quelle le partage avec moi. Jétais fier de la regarder belle et douce, terriblement féminine dans sa petite robe, sa culotte blanche mouillée offerte à mes yeux, et ces jambes longues et fines toute en beauté.
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Pauline reprenait lentement ses esprits. Jen profitais alors pour commençer à me déshabiller. Je savais que Pauline entendait mes habits se défaire, ma veste qui tombait au sol, les boutons dégrafés de ma chemise. Les chaussures enlevées et les chaussettes qui partent avec. Jétais torse nu à se cotés. Je sais quelle mécoute et je sais que cette image quelle ne peut pas voir lexcite énormément. Le sens de la vue soumis à la frustration du léger foulard bleu décuplait la force des autres sens.
Cest a demi nu et bandant à mort sous mes jeans que je me rapproche delle et vient effleurer son cou à peau fine et sensible que jadore. Jévite que mon bassin ne touche trop son corps, linstant nest pas encore venu. Point de baisers, Pauline sait que la suite ne va être queffleurements de mes lèvres. Après des caresses, uniquement des effleurements. Mes lèvres toutes légères sur sa peau partent de son visage pour descendre vers son cou. Mes doigts ouvrent deux autres boutons de son corsage et mes lèvres viennent enfin prendre possession de ses petits seins hyper sensible que jeffleure au travers du tissu. Le corps de Pauline se tend à nouveau et ses envies et ses sens sont en alerte.
Après un long moment à effleurer ses seins, à jouer complice avec ces tétons chargés denvies, mes lèvres partent en effleurement vers son ventre qui se contracte. Je sens la respiration de Pauline saccélérer et sa respiration se saccader. Plus mes lèvres se rapprochent de sa petite culotte blanche plus je la sens partir en délire. Je remonte un peu plus sa robe sur ses hanches et elle sent que le soleil est désormais sur son ventre. Je vois ses jambes trembler quand mes lèvres viennent se poser sur sa culotte blanche et mouillée. Jécarte doucement sa culotte pour laisser mes lèvres effleurer son clitoris. Jai a peine le temps de commencer mon jeux intime quand soudain son second orgasme explose. Son corps nest plus que tremblement et son cri non étouffé cette fois ci vient se perdre dans la grandeur de la vallée.
Je la laisse reprendre ses esprits et viens lui chuchoter à loreille que jadore la voir jouir ainsi. Elle est belle, douce, féminine, désirable et je veux le partager avec elle. Je dois dire que mes yeux se délectent dun tableau unique : une Belle aux yeux bandés, petits seins à lair, tétons tendus, robe printanière remonté sur son ventre, culotte blanche mouillée dévoilant son petit clito rouge sang et ses jambes longues et fines sans fin.
Quand Pauline repris une respiration lente et que ses muscles furent détendus je fis exprès de lui faire entendre la boucle de ma ceinture de défaire et mes jeans tomber au sol. Le bruit de lélastique de mon caleçon ne laissa aucun doute sur ma nudité totale à ses cotés. Mais linstant nétait pas encore venu et Pauline savait que jallais commencer mes jeux de langue à ses pieds. Après mes caresses, mes effleurements, la suite nallait être que jeux de langue.
Ses orteils sursautèrent quand ma langue se posa sur eux. Ma langue se fit coquine pointue et maligne. Une langue qui allait procurer du plaisir, beaucoup de plaisir
Une langue qui joue avec chaque doigt de pied, comme pour les amadouer. Une langue qui remonte rapidement les mollets avant de venir se faire plus douce derrière les genoux de Pauline. Une langue qui prenait plaisir à remonter le long des cuisses, lentement cette fois ci, centimètre par centimètre à la conquête de ce sexe chaud qui attendait la langue. Mes mains caressaient les hanches en lentement firent descendre la culotte blanche mouillée le long des jambes accompagné de mes petits coups de langue. Cette culotte hors du corps de Pauline, dans ma main était pour moi comme un trophée de sensualité. Pauline nétait plus que vêtue de sa petite robe, remontée sur ses hanches et au décoleté tellement ouvert que ses petits seins pointaient au dehors. Une robe si féminine,et sensuelle comme on les aime.
Je glisse alors mon visage entre les cuisses de Pauline, main sous ses fesses pour faire remonter ma langue de lintérieur de ses cuisses vers son sexe blond à la peau blanche qui luisait denvie et de mouille. Que jaimais sentir ses jambes trembler et son ventre se contracter. Jaimais entendre ses petits cris quelle ne cachait plus désormais et sa respiration désordonnée. Son corps nétait plus quun grand orgasme ou les vagues de plaisir de ma langue sur son clito. Elle posa ses mains sur ma tête invitant ma langue à prendre possession de son sexe. Son corps se contracta et elle jouie pour la troisième fois.
Le clocher du village sonna une heure, je navais pas entendu sonner midi. Il ne restait à Pauline que peu de choses pour se retrouver nue comme moi. Je dégrafai donc les derniers boutons de la robe et dégageait les bras de Pauline de la robe printanière qui lui allait si bien. Regarder son corps nu sur ce drap dans ce paysage magnifique était un sentiment de supériorité jouissif. Cette belle et jeune beauté venait de vivre une superbe expérience de sensualité et de douceur, un cadeau de la vie unique à vivre. Tant de belles émotions partagées
Nous étions nus tous les deux, allongés lun a coté de lautre, main dans la main, dans ce cadre champêtre idyllique. Javais en moi la fierté de lui avoir offert de beaux orgasmes et beaucoup de joie.
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