Soirée Estivale 2 : Jenga En Folie
Ce second récit sinscrit dans la suite quasi immédiate du premier épisode.
Pour ceux qui ne sont pas intéressés par les mises en situation et par la découverte de ma super personnalité (vous ratez un truc !), allez directement aux pointillés, cest la partie croustillante !
Je vous rappelle que ceci est encore une histoire vraie.
Je situe très vite le contexte. Je mappelle Alexis, 19 ans, étudiant en 2ème année de médecine à Paris. Je passe une semaine en île de France avant de repartir en vacances à létranger, et compte bien ne pas passer toutes mes journées devant la console chez mes parents
Lété était très bien avancé, le soleil était haut, pas encore caniculaire (contrairement à cette fin de moins de juin
), tout allait bien en somme.
Bon, cest légèrement hypocrite ce que je raconte. La raison principale de ma bonne humeur était surtout le fait de mêtre fait goulûment avaler le sexe hier soir par Julie (voir histoire précédente).
Je suis un homme simple avec des plaisirs simples
Je doute quil y en ait beaucoup pour me contredire :)
Après cette surprenante soirée, je me réveillais avoir une gueule de bois comme on les connait à 19 ans : une fatigue légère qui était déjà passée à 11h du matin. Héhé. Je pétais la forme. Prêt à aller retrouver des copains, boire des bières
Bref, profiter de cette semaine.
La sonnerie de mon portable retentit alors que je prenais mon petit-déjeuner, sur la terrasse chez mes parents. On habite dans une banlieue à 20 minutes de Paris, plutôt calme et sympathique, avec dailleurs un nouveau couple de voisins très charmant. Leur rencontre fera sûrement lobjet dune histoire.
Je mégare.
Je déverrouille laccès à mon iPhone, et ô surprise il sagit dun texto de Julie ! Surprise de courte durée car je viens de me souvenir quon avait échangé nos numéros hier et quon avait décidé de rester en contact
Faut que les synapses se reconnectent !
Nous démarrons la conversation par texto :
« Coucou Alexis, bien remis ? Cétait chouette de te rencontrer hier !!
- Salut Julie ! Ouais ça va, je prends un peu le soleil là, répondis-je en essayant de me faire un peu désirer.
- Ah cool ! Moi, je vais sûrement aller me promener au Parc Monceau cet aprèm, si ça te dit de maccompagner
Ah super, pensais-je, encore sous le coup de la pipe magistrale dhier soir
Ce regard lubrique quelle me lançait en sortant sa langue pour me lécher les couilles surgit sans prévenir de ma mémoire et me fit tendre mon short.
Ma réponse ne se fait bien entendu pas attendre :
- Trop cool, je taccompagnerai avec plaisir !! »
La conversation continue pendant quelques minutes puis je retourne à mon petit-déj.
Bon, jespère que je nai pas trop fait le mec en manque (même si ce nest pas le cas). On sait bien que les filles sentent ce genre de trucs, pensais-je alors.
Après une bonne douche et un choix avisé de tenue à porter pour retrouver Julie, je contactais mes amis en attendant le RER.
Depuis le lycée jai gardé un groupe damis (mon noyau dur) composé de 4 mecs : Antoine, Amine, Pierre et moi. Je vous ferai la description de ces zozos au fur et à mesure de leur apparition.
Cest Antoine qui me répond en premier. Cest toujours lui qui répond en premier dailleurs. Avec son grand corps dégingandé, son allure nonchalante et sa bonne mine, vous lui auriez donné le bon dieu sans confession. Il était plutôt mignon, très porté sur la politique, toujours au courant de tout. Très drôle. Cétait mon pote préféré.
Jétais notamment avec lui hier à la soirée.
Il menvoie :
« - Bro, tas prévu quoi aujourdhui ?
- Bah là je vais voir la meuf dhier, tu sais Julie
Bien entendu je lui avais tout raconté hier, en buvant des coups sur le balcon, après le départ de lintéressée
- Haha coquin. Tu vas chez elle ?
- Non non, on va se promener au parc Monceau.
- Tu déconnes, tas pas géré là
Tu voulais pas finir ce que tas commencé hier ?
Il met le doigt là où ça fait mal, ce petit enfoiré.
- La ferme, on verra bien où ça nous mènera.
- Ouais ça roule, bah après ton date avec ta nouvelle meuf, tu me tiens au courant. Ya sûrement Anna qui fait un barbecue chez elle ce soir, tes convié.
- Perfecto. Je te tiens au courant. »
Il adore me faire chier sur ce genre de détail, le Antoine. Disons que je ne suis pas vraiment le genre à avoir une copine, jai toujours préféré faire un peu nimporte quoi. Mais bon depuis un moment ça me travaille, alors jaimerais quand même bien essayer
Avoir des sentiments tout ça. Javoue que pour linstant je nai jamais eu vraiment envie dêtre le copain de quelquun, mais bon, on change tous davis un jour ou lautre !
Cest sur ces réflexions que jarrive tranquillement dans Paris et que je me dirige vers le parc Monceau. Il est mignon ce parc. Bien entretenu, on peut se poser dans lherbe, marcher sur les sentiers (en faisant attention à ne pas se faire bousculer par les fous furieux du jogging), le cadre est vraiment sympathique, surtout en été, avec les arbres fleuris et les odeurs dherbe fraîchement tondue.
Julie arrive.
Mouais. Elle était mieux dans mon souvenir, pensais-je, en bon ingrat que je suis.
Elle était toute mignonne cette fille, mais cest vrai que je ne ressentais pas vraiment détincelle, pas de palpitations cardiaques, pas de mains moites, pas un seul papillon dans le ventre.
Jessayais danalyser la situation : « quest-ce qui ne va pas Alexis ? Bah cest quelle est vraiment plate en fait. Rooh arrête. Bah regarde ! Ah oui cest vrai tas raison. Non mais on ne va pas sarrêter à ça et on va quand même être cool et passer un bon moment. Tas encore raison, faisons un effort, on va peut-être développer des sentiments pour elle ? »
Ah oui, jadore me parler à moi-même. Souvent nous sommes deux dans ma tête, mais bien sûr lun est lautre et inversement, nous formons un tout. Mais je vous rassure, je ne suis pas schizophrène hein ! Je suis sûr que ça vous arrive aussi.
Quoi quil en soit, nous passons un bon moment, je prends sur moi, jessaie dêtre agréable. On sentend plutôt bien, le courant passe mais pour moi lattirance nest pas à son paroxysme. Dommage.
Néanmoins, on sembrasse comme un couple le ferait, on se tient la main
Blablabla toutes les mièvreries habituelles. Ça minsupporte.
Vous voyez un peu le dilemme moral dans lequel je suis : je laisse tomber ? Je continue ? En même temps je laime bien, mais physiquement cest bof
Allez, jopte pour le « romantisme » et je joue le jeu. Ça viendra peut-être plus tard.
Avant de se séparer, on sembrasse, on se cajole, on se touche. Ça cest cool. Puis je lui annonce que ce soir je vais passer la soirée chez ma pote Anna avec des copains.
Et elle me répond, sur un ton mi-soucieux, mi-amusé :
« Ah ok
Mais tu ne me trompes pas hein ? »
Jai limpression que cest plutôt 80% soucieux et 20% amusé, en fait.
Je la rassure :
« Bah évidemment, quelle idée. On sort ensemble depuis genre un jour, comment veux-tu que je fasse une chose pareille ? »
A cet instant, jétais vraiment sincère.
Gonflé dun orgueil peu commun davoir réussi à vaincre mes aprioris et commencé une relation sûrement durable, je joins ce bon vieux Antoine pour connaître le programme de ce soir.
On convient de se retrouver à 19h chez Anna pour laider à tout installer et commencer à allumer le barbecue. On sait bien comment ça finit toujours ce genre de dîner, les mecs sont s dallumer ce satané barbec et de puer la friture
Mais bon, que ne ferait-on pas pour ces dames !
Anna.
Anna, pour tout vous dire, cest la fille de ma première fois. Celle qui restera à jamais dans mon cur. Comme une amie. Toujours ce même problème de sentiment
Bref. Cest une jolie blonde, aux yeux marrons, rieurs, très intelligente, bien foutue. Je vous la présente pour la forme, mais lhistoire de ma première fois est trop intime pour que je la raconte.
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On passe un moment très sympa, tous les trois, à tout préparer en attendant les autres. On picole, on boit des bières. Bonne ambiance.
Puis les invités arrivent au compte-goutte dans la maison, cette maison modeste est constituée de deux étages, avec un grand jardin (où nous sommes tous), un salon au rez-de-chaussée et trois chambres à létage.
Je ne connais pas grand monde finalement. A part Antoine et Anna, les autres me sont inconnus. Ce sont surtout des potes de la propriétaire des lieux. Nous sommes en tout 3 filles et 4 mecs.
Le début de soirée se passe sans évènement majeur, les bouteilles se vident, les cigarettes se fument, les pétards se roulent. Très bonne ambiance.
Charles, un des mecs de la soirée, lance alors un jeu dalcool. On joue au Jenga, avec des règles plus rigolotes : dès quon arrive à retirer un morceau de la tour, on boit une gorgée (oui, on est des soiffards
), si on tente mais que finalement et si on fait tomber la tour, on boit cul-sec et on finit les verres des autres.
Ça sannonce sportif.
Disposition de la table : table ronde, dans le jardin. Des chaises pour tout le monde. Alternance : Anna, Moi, Marie, Antoine, Charles, la dernière fille et lautre mec.
On commence à jouer. Tout le monde réussit son coup, tout le monde boit. Les esprits séchauffent assez vite. Super.
Et puis, des choses se passent de manière fluide et apparemment inaperçue : Marie qui vient de se lever pour jouer sa pièce, se rassoit directement sur les genoux dAntoine. Bon. Ok. Anna se rapproche de Charles et ils commencent à se parler dans loreille, se raconter des trucs
Jai limpression que la température vient daugmenter de quelques degrés.
Je commence à être moi-même un peu saoul, comme tout le monde ici présent.
Et surtout je suis un peu irrité que Marie ne soit pas venue sassoir plutôt sur MES genoux. Je me considère quand même plus beau quAntoine, plus stylé et tout quoi ! Merde ! (Sympa le pote).
Je profite tout de même de la proximité de Marie et Antoine pour draguer Marie assez ouvertement.
Cest une fille assez lambda, châtain aux yeux marrons, ni belle ni moche, avec un corps bien moulé dans un top qui lui enserre la poitrine, que je devine menue mais bien ferme, et dans un jean stretch qui finit de mouler sa silhouette callipyge. Comme vous le savez, jadore les culs. Surtout ce genre de cul. Bien rond, bien rebondi, se dressant fièrement, lair de dire : « att-moi si tu peux
», quand elle se lève pour jouer sur la table.
Elle commence à mexciter en fait.
Le fait quelle drague plus mon pote que moi me fait la désirer dautant plus.
Je commence à être beaucoup plus tactile, à faire mon intéressant, juste pour capter son attention.
Et ce petit jeu porte ces fruits.
Là on pourrait se dire : il est gonflé quand même, il a une copine (Ah oui mince !!), la fille est déjà sur les genoux de son pote et lui il ne peut pas sempêcher de faire son gâté et de la draguer
Sauf que ! SAUF QUE !! La Marie, elle nest pas très farouche ! Cest super bizarre, elle se frotte pratiquement sur lentrejambe dAntoine, qui reste bien stoïque dailleurs, mais en plus elle ne rechigne pas à laisser traîner sa main sur ma cuisse, feignant de sy appuyer pour atteindre la table.
En plus de ça, elle narrête pas de parler de son mec, avec qui elle est depuis 1 an, et qui bien entendu nest pas là ce soir
Elle commence à parler de cul, à dire quelle est en manque, tout ça devant tout le monde, et en continuant de se frotter contre Antoine et de me caresser la cuisse.
Electrique, lambiance.
A partir de ce moment, je pense que nous étions tous franchement bourrés, et cest pour cela que tout sest accéléré très vite.
Profitant dun moment de flottement, jétale ma science à lassemblée, et notamment à Marie :
« - Tu sais doù vient le mot « canicule » ? réussis-je à formuler malgré une légère difficulté à articuler proprement, en bon vieux saoulard que je suis.
- Euuuuh non, répondit Marie, pouffant comme une attardée.
- Je me disais bien. Bah ça vient du fait quon voit la constellation du Chien apparaître lors des grosses chaleurs. Et canicule vient du latin « canicula » qui veut dire « petite chienne »
accentuais-je en la regardant fixement dans ses yeux rouges, associés à ce discret voile derrière lequel sa conscience avait dû se réfugier il y a un petit moment maintenant.
- Hihihihi
Tes con, tiens bois ton verre plutôt, dit-elle en caressant dautant plus ma cuisse, en remontant dangereusement vers mon entrejambe.
Je bandais comme un âne depuis un long moment.
Elle reprit, touchant ma bite qui déformait tellement mon short quon aurait pu croire que javais glissé la tour de Jenga dans mon boxer
- Tiens, cest quoi ça ? Tas pas honte ? osa-telle, tout en me caressant le sexe au travers du tissu. Elle te fait de leffet la petite chienne ?
Oh mon dieu. Oh mon dieu. Oh mon dieu.
Elle balance ça, comme ça, devant tout le monde ! Bon ok, les autres étaient plus ou moins concentrés, pas ment très attentifs à notre échange. Anna et Charles étaient en train de sembrasser, les autres continuaient de boire comme des trous. Eux ils nous bien entendu pour le coup
Et ni une ni deux : la garce se barre dans la baraque en entraînant Antoine avec elle. Nooooooooon. Cest pas possible. Quelle allumeuse de première, je suis en feu moi !!!
Mais au moment de passer la porte de la maison, Marie jette un regard en arrière, lair de voir ce que je fais. Je ne fais rien, cloué par ma gaule qui mempêche de marcher.
Elle rentre. Avec Antoine.
Merde.
Jattends quelques minutes, essayant vainement de mintéresser à ce que les autres racontent mais je ne suis plus vraiment dans le jeu.
Mes pensées se bousculent : « Putain je suis tellement excité je vais mourir, elle ma tué ! Non mais cest quoi cette énorme salope
Elle nous parle de son mec en nous caressant la bite, on est tombé sur une folle !! Bon, quest-ce quon fait ? On y va, on ny va pas ? On attend ? Combien de temps on attend ? Oh bordel, viens on y va tout de suite, sinon il sera trop tard, elle nous a beaucoup trop excité !!! »
Rien de mieux que lauto-persuasion.
Chaude, lambiance !
Incognito, je me lève soi-disant pour aller aux toilettes.
Je fais le tour de la baraque à la recherche des deux fuyards.
Rez-de-chaussée : personne. Le salon : vide.
Mmmh. Où sont-ils partis se cacher ces coquins ?
Je monte doucement les escaliers pour accéder à létage supérieur.
Et là, jentends des « ploc ploc ploc » entrecoupés de gémissements de femme
Trouvés !
Jentre dans la chambre dAnna où sétaient réfugiés Antoine et Marie, sans gêne. Affalés dans le lit double dAnna, Antoine était en train de doigter Marie tel un forcené, en allant fort, laquelle poussait des gémissements à réveiller un mort.
Quelque chose a craqué dans mon esprit à ce moment là.
Jentre avec fracas et je balance un :
« Ah vous voilà ! Tes vraiment une sacrée cochonne Marie cest pas possible !!
- mmmh, oui
répond-elle entre deux ahanements
- Tiens, suce plutôt ma grosse bite salope, clamais-je, tel un roi antique à son esclave.
Moi qui ne suis jamais vulgaire, cette fille avait eu le don de me faire sortir de mes gonds. Le pire est quelle répondait du tac au tac, de la manière la plus salope qui soit. Du coup, jabondais en son sens :
- Bah alors il est où ton mec ? Il naurait pas été capable de soccuper de toi comme on le fait maintenant hein ? Continuais-je en enfonçant mon sexe au plus profond de sa gorge.
- Mmmmh Hummpfff Glglglg, grogne-t-elle, étouffée par ma bite.
- Pardon ? Quest-ce-que tu dis salope ?
- Cest bon
jadore
Je suis votre petite chienne, tavais raison tout à lheure
Et Marie de ponc cette phrase en prenant mon vit à pleine main pour se taper la langue, sortie hors de sa bouche gourmande, telle une affamée de bite.
On était vraiment tombé sur une dingo.
Génial.
Marie continuait de me sucer comme elle pouvait, allongée sur le dos, se faisant doigter allégrement par Antoine, assis à sa droite, et moi, assis au dessus de sa tête à sa gauche.
Mes pensées reprirent le dessus dans ma tête : « Ah cest génial, elle est vraiment complètement folle celle-là. Ouais cest vrai, mais Julie suçait mieux quand même. On sent un peu les dents là. Tas raison cest vrai, attends on va lui dire, à tous les coups elle va nous répondre un truc marrant. »
Pourquoi je pensais à Julie à ce moment là moi ? Avec mon pénis dans la bouche dune autre fille, qui se faisait doigter par mon meilleur pote en même temps, pendant que le mec de cette fille était peut-être en train de penser tendrement à elle dans son lit ? Faut croire que ça ne me dérangeait pas plus que ça à ce moment là et que intérieurement javais déjà décidé darrêter cette relation.
Ces réflexions ne mont pas empêché de protester à Marie :
- Putain je sens quand même vachement tes dents, tes pas hyper douée pour sucer !
- Tu vas voir si je ne suis pas douée pour sucer, rétorqua-t-elle en sortant mon sexe de sa petite bouche, faisant un bruit de ventouse que les voisins ont dû entendre à 10 km à la ronde.
Ce faisant, elle se dégagea de sa position allongée pour se positionner à 4 pattes, tête vers moi, pour reprendre ma bite en bouche, en sappuyant de ses deux mains sur mes abdos et mes cuisses. Elle en profita pour gober mon sexe sans les mains, avec sa langue en guise de tête chercheuse, tandis que mon missile trouvait rapidement son chemin. Ah, cétait mieux. Elle avait beaucoup plus damplitude pour bien lécher ma hampe de long en large, la prenant parfois dune main pour mieux la contrôler, et la lécher de haut en bas, en instant sur le méat et en me regardant droit dans les yeux, de défi :
« Alors ? Elle ne sait pas bien sucer la petite chienne ? » samusa-t-elle à répliquer.
Là javoue je nai rien répondu, elle mavait cloué le bec.
Soudain, Marie fut prise dun soubresaut qui lui fit prendre ma bite pratiquement en entier dans sa gorge, avec un bruit de gargarisme digne dune actrice porno. Je me demandais bien la raison de ce regain soudain de vitalité, quand japerçus Antoine, que javais presque oublié, à genoux derrière cette cochonne.
Il venait de lenfiler en levrette sans prévenir personne ! Il devait la travailler depuis un bon moment, javais bien vu sa grande tête disparaître dans le cul de Marie, sûrement pour lécher goulûment sa chatte débordante de sécrétions intimes.
Il était bien lancé en tout cas le bougre. Il lui pilonna la chatte en cadence, si puissamment que Marie narrivait même plus à garder ma bite en bouche, elle criait, criait, criait de plaisir. Elle hurlait en fait. Les potes en bas devaient ment lentendre depuis le jardin, même si on avait fermé la porte.
Jessayais tant bien que mal de lui bâillonner la bouche avec mon sexe, qui coulait de salive, tout en linsultant de plus en plus, ayant compris que les mots crus lexcitaient :
- Tes vraiment une bonne petite chienne
Il te baise bien mon pote hein (petit high five par dessus son dos avec Antoine, on ne pouvait pas laisser passer cette occasion pour notre première fois « ensemble »). Taimes te faire prendre par deux mecs dans le lit de ta pote, pendant que ton mec tattend sagement à la maison ?
- Mmmmmmh Mmmmh, ne peut-elle que marmonner, la bouche remplie par mon sexe.
- Tiens dailleurs on va lappeler ton mec, file moi ton portable.
- Mmmmmh
. Non
non
tes con arrête... Quest-ce que tu vas faire avec ?... réplique-t-elle, tentant vainement de faire linnocente alors quelle farfouille dans son jean sur le lit pour me le filer. Complètement barge. Moi javais pété les plombs et je voulais que son mec lentende se faire prendre par deux inconnus.
- Rémi, cest toi ? Soupire-t-elle, tentant vainement de cacher les soupirs daise que les coups de queue dAntoine lui faisaient lâcher.
- Oui ma puce, tu vas bien ? La soirée se passe comme tu le voulais ?
- Mmmmh
mmmmh
Oui
. Elle se passe exactement comme je le voulais.
- Cest quoi tous ces bruits ? Tes avec qui ??
Il devait entendre distinctement le claquage du ventre dAntoine sur le cul de sa chérie, agrémenter du bruit que faisait ma bite lorsque je la frappais doucement sur sa joue
- Oh
Oui
Je suis avec des copains, je suis désolée chéri mais javais trop envie ! Je me fais bourrer le cul par un mec et il y en a un autre qui narrête pas de caresser mon visage avec son sexe
- Tes vraiment une petite traînée, je savais bien que tu ne pourrais pas tempêcher de recommencer, je nen peux plus de ton comportement, tu me
Bon là, jai viré le téléphone (sans raccrocher) et je lai envoyé sur le lit à côté, histoire quil puisse quand même entendre la suite si lenvie lui prenait. Fallait quand même pas quil casse lambiance.
En tout cas, Marie était plus cochonne que jamais, elle reprit mon sexe en bouche avec voracité, crachant dessus, léchant le gland avec une avidité qui me laissa pantois.
Léchange téléphonique avait dû également exciter Antoine, car celui-ci montrait des signes de fatigue, et allait sûrement bientôt jouir.
Moi-même, il men fallait peu pour atteindre le point de non-retour.
Soudain, Marie poussa des cris plus forts que les autres, je vis ses yeux se perdre dans le vague, ses mouvements se firent moins précis, puis elle se tendit. Elle jouit. Cest beau à voir. Je me retire de sa bouche pour la laisser apprécier sa jouissance le plus longtemps possible.
Antoine continue de la besogner pendant quelques secondes puis éjacule à son tour, pour le plus grand bonheur de Julie qui en profite pour reprendre ses esprits et me saisir la queue au vol.
Elle me branle maintenant dune main experte, tout en gobant mes couilles de sa petite bouche, elle me lèche les bourses et descend même sa langue plus bas, frôlant mon anus. Cest exquis.
Sous ce traitement de choc, Marie sait que je ne vais plus tenir longtemps, si bien quelle me branle de plus en plus énergiquement au-dessus de son visage. Brutalement, je me fends, je jouis, jéjacule une énorme quantité de sperme sur son visage de cochonne, sur ses cheveux, sur sa bouche, sur ses joues. Elle en profite pour gober mon gland pour absorber les dernières giclées directement à la source et nhésite pas à avaler jusquaux dernières gouttes.
Puis, voyant que mon sexe devenait trop sensible pour ses caresses, elle me relâcha, pour ramener de ses doigts agiles le sperme répandu sur son visage jusquà sa bouche avide, et avala le tout en plusieurs gorgées, gourmande.
Plusieurs minutes passèrent, durant lesquelles chacun reprenait peu à peu ses esprits, lambiance redevint plus calme et amicale, Julie reprit son téléphone (qui était resté allumé, oups) et redescendit dans le salon, sans passer par la case salle de bain. Décidément.
Avec Antoine, nous nous faisons une joie de débriefer sur ce qui vient de se passer, et il me sort en conclusion :
- Bon, je pense quand même que tu devrais arrêter de croire que tu peux avoir des relations sentimentales après ce quon vient de faire ce soir.
Il a raison, bien sûr.
Après cette soirée jai revu Julie, pour finir cette relation avant de lui faire plus de dégâts.
Cela a finalement été une semaine riche en émotion, il mest arrivé encore quelques bricoles mais rien daussi foufou que ces deux soirées daffilée.
Il me reste en revanche plusieurs autres épisodes excitants de ma vie que jaimerais partager avec vous, donc je vous dis à bientôt.
Bises.
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