Mon Stage De 3Ème Année
Voici mon histoire.
Je mappelle Paul, la nature a été très généreuse avec moi : je suis beau et jai beaucoup de succès. Je mesure 1m80, je fais 70 kg, je suis chatain clair, la peau bronzée un tatouage sur tout le bras droit et surtout des yeux très verts. Je fais juste assez de muscu pour avoir un corps sculpté et des bras suffisamment durs et gonflés pour quils soient visibles sous mes vêtements.
Je suis un jeune étudiant aimant samuser et profiter de la vie ce qui ne fait pas toujours bon ménage avec les études comme cest le cas durant ce stage de 3eme année dont je tiens à vous parler.
Stage obligatoire dans une entreprise de ma ville, je ne parviens pas à mépanouir et la fin de lannée scolaire approchant, jai négligé le stage avec des retards, absences ou des nuits bien trop longues et arrosées pour être opérationnel le lendemain matin
bref mon bilan de stage est une cata. La visite le dernier jour dun de mes professeurs le confirme et le redoublement sannonce avec la perspective du diplôme qui senvole.
Dépité, presque en larme, le responsable de la logistique me propose daller prendre lair et de laccompagner fumer une cigarette. Il sappelle Pierre, la quarantaine. Bien quavec un physique un peu ingrat : presque chauve, un peu de ventre, des cicatrices dacné, Il a toujours été sympa avec moi, même si très discret. Il minterroge sur mon entrevue avec mon professeur, ma vie personnelle, mon futur
il mécoute, comprend mon désarroi. Je fume cigarette sur cigarette ; je ne parviens plus à détacher mes pensées de mes échecs quand Pierre me propose un contrat inattendu :
« je peux peut-être faire quelque chose pour toi : écrire une lettre à tes professeurs sur ton travail, ta motivation et quelques missions « enjolivées » que tu as pu faire dans mon service. Je taime bien et je suis attristé de te voir comme ça ».
Moi : surpris, le regard perplexe, en bégayant un simple : oh tu ferais ça ? ce serait vraiment sympa de ta part
Pierre : je vais être très direct : en échange je voudrais que tu toffres sexuellement à moi.
Moi : je le regarde droit dans les yeux sans rien dire
.aucun mot ne parvient à sortir de ma bouche
Pierre : tu fais partie des beaux gosses de ta fac. Jimagine que tu enchaines les filles sans soucis et tu ten vantes peut être. Là ce que je voudrais cest que pour une fois des moches, si je peux dire, puissent prendre du plaisir avec une personne qui ne parviennent à imaginer que pendant de rares fantasmes solitaires. Tu as déjà couché avec des hommes ?
Moi : euh ouais jaime bien le sexe, javoue jai déjà fait quelques trios avec un pote. Mais en gros tu machetes, limite de la prostitution
si je refuse jai pas ma lettre ?
Pierre : mais non prends le plutôt comme du bénévolat, une bonne action. Je ne tobligerai à rien et je suis sûr que tu vas prendre du plaisir. Plutôt que de te taper une inconnue samedi soir que tu auras su draguer et délaisser le lendemain et bien là tu vas procurer du plaisir à des personnes qui sont un peu en manque et rêvent de coucher avec un mannequin. Le deal : on se met daccord sur 5 plans. Tu te laisses aller avec ces 5 garçons et moi je vais juste te filmer pour garder un souvenir. Je te laisse réflechir et reviens me voir ce soir à 19h à mon bureau.
Réflechis bien.
Je reste là, seul. Je narrive pas à penser. Je me parle à moi-même : Que faire ? dun coté jai besoin de ce papier et au final je couche avec plein de filles différentes en connaissant tout juste leurs noms donc un peu plus ou un peu moins. Mais putain Paul
comment ten es arrivé là
jai limpression dêtre une pute.
19h
je frappe à la porte du bureau de Pierre
En retenant ma respiration et en ouvrant dun coup la porte je lui lance : cest ok mais 5 fois et pas un mot à personne et pas de trucs chelous genre SM ou des malades.
Pierre : je suis content que tu aies pris cette décision mais ne le prends pas comme un fardeau, je veux que toi aussi tu prennes ton pied. Tu ne dois pas avoir honte de donner du plaisir aux gens, tu es tellement beau cest dommage de ne pas en faire profiter les autres. On reproche souvent aux millionnaires de ne pas partager avec les plus pauvres, cest un peu la même chose avec toi. Tu verras que tu vas peut-être en tirer meilleure satisfaction que tes petites petasses coincées du samedi soir. Et je te le rappelle je ne toblige à rien
dailleurs tiens voilà ta lettre elle est à toi. Tu peux meme partir maintenant avec.
Moi : je ne trouve pas dautres mots. Je prends la lettre. Je lis les éloges quil me fait et les missions fictives quil mattribue. Cest sur avec cette lettre je valide mon stage sans problèmes.
Pierre : vas- y je te laisse partir. Je vais chercher mon chargeur de portable et si tu es encore ici quand je reviens je comprendrai que tu acceptes le deal et tu commenceras par te mettre completement nu.
Il part
je ne sais pas quoi faire
je reste stoïque
que faire
je lui suis redevable mais en meme temps si je pars je ne le reverrai jamais donc à quoi bon membeter. Bon après je lui dois bien ça
le pauvre lui et ses potes ne doivent pas avoir loccasion de samuser et ca me coute pas grand-chose. Que faire
jentends lascenseur
il revient
que faire ? partir
il est encore temps
non
trop tard je nai pas bougé il est ici
Pierre : je vois que tu nes pas parti. Sil te plait mets toi nu et masturbe toi jusquà éjaculer. Je veux te voir.
Je suis comme hypnotisé.
Mon esprit est déconnecté : jenleve mes chaussettes puis mon calecon. Je suis completement nu dans ce bureau froid. Pierre me regarde et me sourit.
Pierre : tu es parfait. Tout est beau chez toi. Tes orteils et doigts sont parfaitement droits. Tes jambes et ton sexe ne sont ni trop poilus ni pas assez. Cette petite bande de poils qui remonte à ton nombril doit rendre folles toutes les filles ? Mets-toi à laise et oublie que je suis ici : masturbe toi.
Je massois à même le sol ; le dos contre le mur, je ferme les yeux et tiens fermement mon sexe. Je narrive pas à penser, jeffectue des mouvements de va-et-vient, comme si jeffectuais un travail monotone et répétif, un travail à la chaine dans une usine de montage. Ma bite devient dure et ma respiration est haletante. Pierre me regarde et jai limpression quil me prend en photo avec son teléphone. Soudain je le vois sapprocher : enlève tes mains et laisse moi te contempler.
Jécarte ma main et le laisse découvrir pleinement mon sexe. Jai limpression detre comme ce petit qui a volé un jouet quil cache derrière son dos lorsque son professeur lui ordonne de tendre ses mains pour voir ce quelles contiennent. Mes mains posées sur le sol, mes yeux tournées vers mon gland par gène de croiser son regard, je lui présente ce que jai de plus intime. Mon sexe est tout à fait normal : une quinzaine de centimètres, bien dur, droit et qui tend fièrement vers le haut quand je suis en érection.
Soudain il empoigne fermement ma queue, il me tient comme sil tenait la laisse dun chien. Je le regarde sans rien dire. je ne ressens ni plaisir, ni crainte ou peur, jeffectue ce quil me demande.
Je lui demande lautorisation de boire un verre deau et de fumer une cigarette. Il relache mon sexe quil tenait toujours fermement puis je me redresse pour me servir un verre deau à lopposé de la pièce et prendre mon paquet de clopes. Il mobserve sans rien dire. Je suis nu, je bois ce verre deau mon pénis tourné vers le ciel. Je ne me sens plus gêné par la situation, ma nudité, mon érection deviennent naturelles.
Je me rassois et continue ma tache en lui demandant si je dois éjaculer et sil a des mouchoirs. A ma surprise il minterdit de messuyer : « ton sperme est ta continuité, ne sois pas dégouté, jouis librement et remets tes vêtements ».
Je reprends mon travail tout en allumant une cigarette. Je me sens complètement détendu. Une clope dans la bouche je sens léjaculation arriver, un bonheur interne qui ne demande quà éclater. Je décide de ne pas me contenir et laisse monter en moi liquide. En une profonde respiration, de voluptueux jets sortent de mon pénis et viennent se cogner contre mon torse.
Je reste quelques minutes dans cette position. Je suis nu devant cet homme qui mobserve, mon sperme dégoulinant de toute part. Je me relève enfin et comme il me la ordonné jenfile directement mes vêtements. Je sens le liquide gluant traverser mon polo et très vite des taches sombres se forment.
Le silence est entrecoupé par cette simple phrase de Pierre : je te remercie, tu étais magnifique. Je te rappellerai vite pour que tu accomplisses notre contrat. Naies pas honte, sois fier de procurer du plaisir aux gens.
Je repars sans rien dire (sans oublier mon précieux document).
Une suite ? envoyez moi vos commentaires ou demandes sur mon mail.
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