Nelly

Je roulais en direction de la base ce vendredi après-midi là non sans une certaine satisfaction de retrouver mon chez moi avec à la clé, un weekend complet de repos. Pour un routier longue distance en ce milieu d'année 2005, le retour à la maison se faisait le plus souvent le samedi.
J'étais donc tout à ma joie de savoir que dans deux heures, ça serait fini, quand une belle berline allemande en train de me doubler sur cet autoroute, ralentit soudainement en arrivant à la hauteur de ma cabine. A son volant, une fille d'environ 35 ans, vêtue d'une courte robe à boutons qui ne servaient à rien sur le devant, puisque la dite robe était complètement déboutonnée et largement ouverte, laissant apparaître un corps dépourvu de sous-vêtements et ma foi, fort agréable à regarder. Une paire de seins bien dessinés, une chatte parfaitement lisse comme je les aime et des hanches qu'on aurait tord de ne pas empoigner pendant qu'on prend la belle en levrette. Voilà de quoi agrémenter d'agréable façon pendant quelques centaines de mètres, ce voyage de retour! Il m'est arrivé bien des fois durant ma carrière d'assister à ce genre de spectacle éphémère, mais je trouvais quand même que cette fois, ça s'éternisait un peu trop et que la belle ne devait pourtant pas manquer d'autres camions et d'autres chauffeurs pour se faire mater. Après 2 ou 3 bornes, elle finit enfin par me dépasser, se place devant mon camion et ralentit d'un seul coup, m'obligeant de fait à la doubler à mon tour. A peine mon dépassement achevé que je vois dans mon rétro la berline qui déboite se porte de nouveau à la hauteur de ma cabine et ralentit, toujours aussi dévêtue et ses longues jambes tours aussi écartées. Elle reste cette fois moins longtemps à ma hauteur, entreprend de terminer de me dépasser mais se rabat si brutalement en me faisant une queue de poisson que je suis pratiquement obligé de monter sur les freins pour ne pas emboutir l'arrière de sa voiture. Je la vois ensuite accélérer et s'éloigner.


Ce voyage qui jusque là se passait très bien prenait d'un seul coup une tournure bien singulière. Pour une fois que j'étais à peu près à l'heure, il fallait que je tombe sur une espèce de folledingue qui avait failli m'envoyer dans le décor! J'en suis encore là de mes pensées quand un panneau indiquant une aire de repos à quelques kilomètres se présente. Ca tombe bien, j'ai encore une petite coupure de trente minutes à faire et un café me fera le plus grand bien. Je m'engage sur la bretelle d'accès pour me diriger vers les emplacements poids-lourds, quand passant à hauteur des places pour les voitures, je reconnais la berline allemande qui m'avait causé tant de soucis un peu plus tôt. Je stationne mon ensemble rapidement et me dirige vers la station, bien décidé à ce que cette excitée du bocal m'explique un peu pourquoi elle a fait ça.
En entrant dans la station, je n'ai aucun mal à localisé cette courte robe jaune à fleurs, maintenant parfaitement boutonnée cette fois et tout en m'en approchant, je m'aperçois très vite que la fille qui l'occupe est vraiment superbe. Elle fait bien 1m70 sans compter les talons de 10cm sur lesquels elle est perchée et qui allongent encore un peu plus ses jambes fuselées, de longs cheveux ondulés d'un roux presque rouge et des yeux rieurs d'un gris perle à tomber. Je commence à me dire que je vais avoir bien du mal à passer un savon à une aussi jolie créature, mais quand même je mérite une explication:
- Bonjour, vous ne vous souvenez sûrement pas de moi bien que nous nous soyons rencontrés déjà il y a quelques minutes, je suis le chauffeur que vous avez doublé deux fois un peu plus tôt.
La surprise est totale et son joli visage s'empourpre d'un seul coup:
- Ah oui... euh... Bonjour! Je suis désolée... pourrions-nous aller parler dehors?
Je la suis donc à l'extérieur et nous nous asseyons à une table de picnic un peu à l'écart. Je commence:
- Ecoutez, que vous vouliez montrer votre cul et tout le reste à la terre entière, personnellement ça ne me pose aucun problème, je dirais même que le spectacle était vraiment plaisant, vous êtes une femme magnifique.
Ceci dit, se permettre des acrobaties de ce genre au volant en présence d'un bébé de 40 tonnes et en mettant en danger votre vie et celle des autres, là je ne suis plus du tout d'accord!
Elle répond en regardant le sol:
- Je suis vraiment désolée et je vous demande pardon. Je ne sais pas ce qui m'a pris d'un seul coup... J'étais furieuse, hors de moi...
A moitié interloqué par ses mots:
- Vous étiez furieuse et hors de vous dites-vous? A cause de quoi? De moi?
- Oui... En quelque sorte...
Je comprend absolument rien à ce qu'elle me raconte! Je continues:
- Alors expliquez-moi ce que j'ai bien pu faire pour vous mettre dans un état pareil!
Le ton de ma voix semble tout à coup la mettre en confiance et à partir de ce moment là, moi qui croyait déjà en avoir vu et entendu des tonnes de vertes et de pas mures, je m'apercevais que j'avais encore bien des trucs à explorer. La belle décide de se lâcher et de tout m'expliquer en détails:
- Je m'appelle Nelly, j'ai 34 ans, vous avez déjà une petite idée de mes mensurations je crois, je suis fille unique de bonne famille au Luxembourg et mariée à un homme d'affaire de dix ans mon aîné. Ceci me permet d'avoir assez d'argent pour faire tout ce que je veux sans avoir à travailler, mais mon mariage est un échec. J'ai des envies et des attentes sexuelles qui sont bien particulières et que mon cher mari n'a jamais pu comprendre. J'espère ne pas vous choquer en vous racontant tout ça...
En essayant de prendre un air blasé:
- Ne vous en faites pas, depuis plus de vingt cinq ans que je suis sur la route, vous n'imaginez pas ce que j'ai déjà vu ou entendu!
Nelly poursuit donc son récit:
- Dans mes relations, je n'apprécie pas vraiment d'être touchée ou caressée par un homme ou une femme d'ailleurs. En revanche j'adore exhiber mon corps pour le plus grand nombre. Je pratique l'exhib depuis plusieurs années maintenant sous plein de formes différentes, que ce soit dans ma voiture comme tout à l'heure, dans des lieux publics réputés pour ce genre d'activité, en utilisant skype ou bien par mails torrides accompagnés de photos cochonnes quand je suis à la maison, en me servant de jouets ou non selon mes envies du moment.
J'aime aussi parfois me masturber dans des endroits insolites avec le secret espoir d'être découverte par un ou une inconnue en mesure d'apprécier le spectacle. J'adore également en retour pouvoir regarder un homme ou une femme se branler pour moi, lorsqu'ils apprécient l'effet que je leur fait. C'est le seul moyen pour moi de laisser libre cours à ma propre sexualité. Voilà en quelques mots mon histoire.
Franchement, je n'en reviens pas d'être tombé sur un tel phénomène, je poursuis donc:
- D'accord je vous comprends mieux maintenant, cependant, pour quoi avoir agit de la sorte tout à l'heure?
De nouveau, elle regarde le sol, prend une grande respiration et commence à expliquer avec un air un peu honteux:
- En fait, je me sentais frustrée depuis un long moment déjà aujourd'hui. Quand je me décide pour une journée exhib en voiture, je choisis toujours une route ou je serai sûre de trouver une foultitude de routiers. Chaque camion que je dépasse, chaque petit coup de klaxon, chaque petit appel de phare fait monter en moi une excitation insensée, à tel point qu'il m'est parfois arrivé d'atteindre l'orgasme sans même avoir besoin de me masturber. Aujourd'hui, je me suis trompée d'itinéraire, vos confrères étaient ailleurs et j'ai rencontré bien peu de routiers sur cette route. J'étais déjà très en colère contre moi et quand je vous ai abordé, même si j'ai lourdement insisté en restant longtemps à votre hauteur, pas la moindre réaction de votre part. J'ai parfaitement conscience que c'est stupide mais cela a fini par me rendre furieuse et n'excuse en rien l'attitude déplorable que j'ai eu à partir de ce moment là.
Je pars soudain d'un grand éclat de rire:
- Donc si je comprends bien, il aurait juste suffit d'un petit coup de klaxon pour nous éviter cette improbable cascade???
- Oui et je suis encore une fois profondément désolée. Mais vous n'y êtes absolument pour rien, vous étiez simplement au mauvais endroit au mauvais moment.

Elle marque un temps d'arrêt, me regarde à nouveau en plongeant ses magnifiques yeux gris dans les miens:
- Y'a-t-il quelque chose que je puisse faire pour me faire pardonner?
Je reprends un air plus sérieux:
- Oui, terminer le travail. Je t'attends dans ma cabine.
Elle se lève sans un mot, se rend à sa voiture récupérer un petit sac et me rejoint quelques instants plus tard. Une fois montée, elle prend place sur la couchette en s'étonnant de la spaciosité de ma cabine. Il est vrai que ces nouvelles cabines à fond plat permettent d'accueillir sans problèmes deux personnes, pouvant même avoir la possibilité de se tenir debout. J'ai tiré les rideaux de nuit et ouvert le store du sun roof afin d'avoir suffisamment de lumière et que je ne puisse rien manquer du spectacle qui se prépare. Je prends ensuite place sur le siège passager pivotant que je tourne de façon à bien me trouver face à elle. L'ambiance est électrique et je trouve qu'il fait déjà bien chaud. J'enlève mon tshirt ne gardant que mon pantalon de jogging dans l'immédiat et vu que je ne porte jamais aucun sous-vêtement, l'anticipation de l'excitation à venir provoque déjà une légère bosse que la belle ne manque pas de remarquer tout de suite. Elle est à ce moment à genoux face à moi sur la couchette, les cuisses écartées et commence à dégrafer un à un, très lentement, les boutons de sa courte robe jaune. Ce faisant elle questionne:
- Combien de filles sont déjà montées dans cette cabine?
Ce à quoi je réponds direct:
- Aucune jusqu'à maintenant. Cet ensemble est tout neuf, je ne l'ai que depuis deux mois.
En prenant un petit air mutin:
- Alors, tu as de la chance qu'elle soit inaugurée par une vraie cochonne.
- Je te dirai dans quelques temps si tout était à la hauteur de mes attentes.
Du coup, elle prend ma réponse pour un challenge en fronçant légèrement les sourcils, accélère le déboutonnage et envoie la robe valser dans l'autre coin de la couchette. Elle est maintenant complètement nue, place ses mains sur ses talons, se cambre à l'extrême et reste ainsi offerte à ma vue pendant quelques instant. Puis, se mettant à quatre pattes pour faire demi tour, elle me présente maintenant son joli cul si bien rebondi en écartant ses fesses le plus possible pour que je puisse apprécier au mieux la vue de sa chatte et de sa rosette. Avec deux doigts qu'elle a préalablement humecté avec sa bouche pulpeuse, elle joue maintenant avec sa rondelle dans des petits mouvements circulaires qui donnent l'impression qu'elle inspecte chaque pli de l'entrée de son conduit, jusqu'au moment ou trouvant qu'elle est suffisamment détendue décide d'en forcer l'accès en y insérant un premier puis un second doigt, lui arrachant quelques petits gémissements. Dans le même temps, par dessus son épaule, elle fixe la bosse de plus en plus proéminente à l'intérieur de mon jogging se demandant certainement pourquoi ce pantalon est toujours sur moi. Elle ouvre maintenant ce petit sac et en extrait un plug en métal argenté orné d'un diamant translucide qui rappelle un peu la couleur de ses yeux. Elle le suce un peu pour l'humecter le plus possible, me fixe maintenant droit dans les yeux par dessus son épaule et introduit le plug directement et sans ménagement à son maximum dans son rond, cela lui arrachant un râle de douleur et de plaisir confondus. Là, elle marque un point, je commence à être très sérieusement excité par ce sexshow privé et mon jogging ne passe pas une minute de plus sur moi, libérant enfin ma bite qui n'attendait que ça, ce jogging aussi ample soit-il devenait tout de même bien trop étroit pour elle. Nelly semble satisfaite de l'effet qu'elle produit sur moi. Se remettant à quatre pattes, elle fait de nouveau demi tour pour me faire face et se remet à genoux. Elle sort maintenant du sac un mignon petit gode de verre qu'elle entreprend d'introduire dans sa chatte. Elle commence à se besogner en prenant appuie le plus en arrière possible sur sa main gauche, de façon à être cambrée et offerte au maximum pour que je ne perde pas une miette de ce qui est en train de se passer. Tout s'accélère tellement que sans même m'en rendre compte j'ai pris mon mandrin en main et je le branle frénétiquement dans des mouvements de va et vient d'une intensité monstre. Et alors que jusque là tout se passait en silence qui n'était seulement troublé par quelques râles de sa part et le bruit de nos respirations passablement saccadées, Nelly demande:
- Dis-moi, monsieur le conducteur, ça te plairait de voir ce qu'une vraie cochonne est capable de faire?
Incapable de parler, surexcité que je suis, dans un souffle, j'arrive tout de même à lâcher:
- Oui... Vas y...
Elle surenchérit:
- Alors, profite bien de la suite du spectacle et surtout essaie de ne pas jouir trop vite, ce serait dommage... avec un petit clin d'oeil coquin.
Elle a toujours le plug et le gode plantés en elle, elle se met maintenant en chien de fusil toujours fasse à moi, prend appui sur son coude gauche pendant que sa jambe droite vient prendre appui sur le rebord d'un des placards en haut de la cabine. Dans cette position, j'ai une vue encore meilleure sur ses deux orifices, pendant qu'elle recommence à pilonner sa chatte au même rythme que je branle ma queue, ralentissant quand je ralentis et accélérant quand j'accélère. Je la crois satisfaite d'avoir trouvé un partenaire de jeu à sa hauteur puisqu'elle décide de mettre la barre encore plus haut. Tout en gardant le gode planté en elle, elle s'occupe maintenant de son bouton qu'elle avait jusque là délaissé. Elle lui fait subir tous les outrages possibles en le frottant, le malaxant, le triturant dans tous les sens. Elle me rend complètement dingue et je sens que je ne vais pas tarder à perdre tout contrôle. Elle s'en aperçoit très vite et bien qu'elle commence aussi à avoir de mal à articuler autre chose que des grognements de plaisir:
- S'il te plait... Ne jouis pas encore... J'aime tellement te regarder te branler avec cette force et cette vigueur... Nous n'en avons pas encore terminé tous les deux...
Tout ça pendant qu'un flot de cyprine commence à inonder l'intérieur de sa cuisse gauche. Elle extrait maintenant le gode de sa chatte trempée à l'extrême, puis le remplace par trois doigts dans des mouvements de va et vient d'une violence incroyable. La cyprine coule encore et encore alors qu'elle adjoint un quatrième doigt et c'est maintenant la moitié de sa main qui est engloutie dans son conduit vaginal:
- Tu es prêt?
éructe-t-elle bientôt dans un râle lubrique auquel je ne peux que répondre par un hochement de tête affirmatif. Je vois alors son pouce disparaître dans l'intérieur de sa paume et dans un dernier effort, c'est maintenant sa main qui disparaît totalement jusqu'au poignet, comme aspirée à l'intérieur de sa chatte. Quelques va et vient déchaînés vont bientôt avoir raison de nos dernières forces et pendant que j'expulse enfin ma semence en de longs et puissants jets de foutre chaud, je la vois s'abandonner, terrassée par cet orgasme d'une intensité inouïe auquel je n'avais pour ma part encore jamais assisté.
Il nous faudra un très long moment pour recouvrer nos esprits puis, quand nous nous séparons finalement après avoir échangé mail et n° de téléphone et nous être promis une autre partie tous les deux si d'aventure nous nous retrouvions de nouveau dans la même région, il fait déjà nuit noire quand je reprends le volant pour terminer mon parcours. Décidément, il devait être écrit quelque part qu'un routier longue distance ne devait jamais rentrer de bonne heure le vendredi.

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