Laure Éduquée 1

LAURE EDUQUEE - 1

J’ai été bien éduquée, tellement bien que je suis devenue sensuellement (et sexuellement) très expérimentée. Mon éducation terminée, j’ai perdu de vue mon prof (parti ailleurs). J’ai terminé mes études, réussi mon diplôme grâce à mon cul plus que par mon travail, il faut le reconnaître. J’ai fait bien des rencontres au cours de ces dernières années, pratiqué toutes sortes de jeux (avec des hommes, des femmes, des couples, des vieux, des jeunes, des partouzeurs et partouzeuses, dans des lieux parfois insolites…)
J’ai revu plusieurs de mes anciens « clients » généreux. Pour le plaisir et parfois pour des raisons de pécune. Je suis rentrée dans le monde du travail, celui des adultes qui se prétendent sérieux alors que souvent il s’agit de vicelards refoulés, de débauchés en manque. Moi, j’aime la et les débauches, j’aime forniquer, me masturber, me montrer, me faire tripoter comme une petite malpropre et me faire enfourner, enculer par toutes les bites que je sais faire dresser. Dresseuse de bites – belle profession ! (Chez Paul Emploi on ne reconnaît pas cette profession exercée cependant par beaucoup).
Voici quelques qualificatifs dont j’ai été gratifiée au cours de ma petite carrière. Je ne sais pas lequel choisir, tous me conviennent fort bien:
« Bandeuse, baiseuse, baisarde, bordel à queues, à bites, broute bites, broute minous, suceuse, lécheuse, broute couilles, collectionneuse de bites, craqueuse de slip, culeteuse, enconneuse, enculeuse, fouteuse, grosse cochonne, garage à bites, gagneuse, astiqueuse, moule bites, mouilleuse, pisseuse, putasse, pute, putain, pouffe, pouffiasse, racoleuse, tapineuse, racoleuse, michetonne, vide couilles, paillasse à bites et bien sûr l’inévitable salope, salopeuse etc. »
Suis-je tout cela et est-ce que je mérite ces qualificatifs ? J’ai aimé et j’aime encore être celle-la qui fait bander, mouiller. J’aime les langues, les mots, les sexes qui se dressent et ceux qui trempent leurs petites culottes.

J’ai découvert les plaisirs liés aux jeux mouillés. Sentir ses dessous trempés (de cyprine, de pisse, de foutre…) est fort agréable. J’avais pris l’habitude de porter jupes, robes, pantalons, shorts… en cuir ou en peau. C’est non seulement agréable à porter mais c’est très sexy et puis sa protège bien.
Un soir où j’avais envie de « rencontres » (c’est-à-dire de sexe) je vais dans un café à Montparnasse (habillée mini en cuir, tee-shirt sans soutif, bottines… tout pour plaire, quoi !) Je m’installe au bar, il y avait un type qui me plaisait, je me mets à côté de lui, commande un demi. Il commence à me draguer, comme il se doit. On discute, commence à flirter. Je vais aux toilettes pour pisser et j’arrose un peu ma culotte qui est déjà toute trempée de mouille. Je reviens au bar, près de mon type. Il m’a commandé un autre demi. On continue nos badinages, je constate qu’il bande bien dur comme j’aime. Il passe sa main sous ma jupette et commence à me tripoter. Je lui dis comme pour m’excuser que je suis toute mouillée. Il me répond qu’il adore les pisseuses. Nous ne tardons pas à nous rendre aux toilettes, spacieuses et propres. Il me lèche, je le suce, il jouit dans ma bouche. On se reverra, j’espère, lui aussi en a désir.
J’ai envie de terminer la soirée avec un type qui m’avait payé et qui me plaisait foutrement. Je l’appelle, il est là. On se rencarde dans un troquet, je n’habite pas loin. On va chez moi. Il me dit un prix, j’accepte. Refaire la pute petite pisseuse avec ce type m’excite. Il a apporté une bonne bouteille. L’ambiance est des plus excitantes. Je connais ses goûts pour les petites culottes bien mouillées (c’est pour ça que je l’avais appelé). Il a droit au spectacle de mes cuisses bien ouvertes avec vue sur mon petit linge blanc bien humide. On s’embrasse, on commence nos caresses (j’aime sa bite, elle est superbe, longue, dure…), il me touche sous ma jupe, malaxe ma culotte, mes nymphes toutes ruisselantes de mes humeurs diverses. Il me traite de pisseuse.
Je lui dis que j’ai envie de me soulager, il m’accompagne aux wc. Pendant que je m’inonde – sans avoir ôté ma culotte, selon ses désirs – il m’offre son sexe que je suce avec gourmandise. Comme une pâtisserie. Je ne l’achève pas. J’ai trop envie de la suite. Je vais sur le canapé, en levrette. Il me bouffe littéralement la chatte, mâche ma culotte toute souillée. Me suce, me lèche, me lape, me doigte et me baise. Il jouit sur mon cul, malaxe linge et nymphes mêlés. Je suis terriblement excitée, comme folle. Je lui dis :« je veux une bite, d’autres bites, encore, je suis à foutre ! » etc.
On s’apaise, il part. Il m’appelle au téléphone une heure plus tard pour me dire combien je lui plaisais et qu’il avait des idées de débauches à réaliser avec moi (il organise chez lui de temps en temps des fêtes, des partouzes…) Ces perspectives me rendent folle. Je téléphone au couple rencontré il y a quelque temps pour les inviter à passer la soirée demain chez moi… Je suis fatiguée, je prend un bain, ne lave pas ma culotte. Demain sera un autre jour !

(à suivre…)

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