Une Tranche De Vie 11
Le bain de minuit
Le samedi 23 aout 1980 Jean raconte
En quittant la boite au lieu de tourner à droite, je tournais à gauche.
AL : « Où vas tu ? »
Moi : « À la plage, nous allons nous baigner »
AL : « Je nai ni maillot, ni serviette »
MI : «Jai toujours des serviettes (En fait la travaillant sur la route bordant locéan, il marrivait à midi ou le soir daller prendre un bain avant de rentre à la maison, javais donc toujours des serviettes de bains dans la voiture). Tu nauras pas besoin de maillot, il fait nuit. Les bains de minuit se prennent nus. »
AL : « Il est fou. Je nai pas lintention de me baigner nue »
Arrivé à lhutte, (petite case en feuilles de palmes tressées, qui se trouvait sur la plage et que nous louions aux pêcheurs), je laidais à descendre du 4x4 et nous nous sommes rendu dans lhutte. Bon gré mal gré, AL me suivi. Je la pris dans mes bras et après quelques baisers et des frottements corps à corps, je la retournais et me collais derrière elle. Avec son immense décolleté, je pouvais atteindre ses seins et cest ce que je fis. Je descendis la fermeture éclair de sa robe elle avait le dos nu, en dégageant les épaulettes de la robe, celle-ci tomba sur le sable, elle était ainsi complètement nue, et javais ainsi accès directement à ses seins et les caressais, puis le ventre et je descendais jusquà son intimité, qui était toute chaude et humide.
Elle réagit assez vite, et se colla un peu plus à moi, elle du sentir que jétais raide, ce qui me fit penser que B avait du bien la chauffer, comme Véro mavait chauffé.
Al : « Quas-tu dans la tête. Je naime pas être nue comme ça, va encore pour se baigner, mais tu naurais pas lintention de faire lamour ?»
Moi : « Pourquoi pas, tu es toute chaude, tes trempée, ça va être très bon »
Il me fallait la mettre en condition rapidement.
Jenlevais, rapidement, mon pantalon et mon boxer. Jétais collé contre son dos, je lui caressais longuement les seins, puis je descendais lentement sur le ventre, les hanches, sa respiration saccélérait au rythme de mes allées et venues sur son corps.
AL : « Arrêtes, on rentre à la maison et on fait lamour comme tu veux, mais pas ici, on risque de nous voir »
Moi : »Tu ne sens pas que jai très envie de toi, maintenant, tout de suite, jai envi de te baiser »
Tout en la serrant fort contre moi, ma main droite se glissa dans son entrejambe. Elle poussa un long soupir et après une petite hésitation, écarta les cuisses pour me laisser lui caresser la chatte et recula son bassin et jen profitais pour bien placer ma queue entre ses fesses. Encore un peu de patience, de ma part, et ce serait le moment ou elle serait prête à souvrir et à soffrir à moi, car elle serait bien chaude et bien humide et elle me voudrait en elle.
AL : « Non pas ici, STP . »
Je la retournais face à moi et je lui fis sentir que javais très envie delle. Elle se laissa faire et se colla contre moi, je sentais ses seins contre la poitrine et son ventre collé à mon sexe bien dur.
Enfin, la prenant sous les cuisses, je la soulevais et la posais sur la table en lui disant :
« Ouvres ta chatte, je veux sucer tes grosses lèvres et boire ton jus »
Je lui écartais les cuisses et continuais à lui caresser lentrejambe. Enfin elle se laissa aller sur la table, elle était complètement couchée, les cuisses relevées bien écartées, cétait une invite. Avec ma langue, je lui parcourais la chatte, puis jy ajoutais mes doigts qui, après les avoir humidifiés de sa mouille jallais jusquà son petit trou que jenfonçais doucement. Je savais quelle aimait ces jeux de langues et de doigts se promenant de sa chatte à son petit trou.
Au début cétait : « Non pas ici, puis Non, puis Non pour enfin devenir Oui, puis Oui, enfin Oui et Oh !!! oui continues, continues »
Effectivement elle devenait de plus en plus accueillante, bien ouverte, dégoulinant de cyprine. Je quittais sa chatte, et me mettant debout, je lui relevais les jambes et je me trouvais à hauteur pour la pénétrer, je menfonçais en elle. Elle souvrit encore et je pus glisser en elle tellement elle était trempée.
Nous sommes allés nous baigner et aussi nous faire des canailleries dans leau. AL nétait moins inhibée par le fait dêtre nue, je pense au contraire.
Après le bain direction la maison.
A la plage Nouveau RV
Dimanche 24 Août1981 Jean raconte
Le lendemain comme à lhabitude, nous retrouvions toute la bande à la plage. Véro et B arrivèrent, ce fut « Salut tout le monde » et ils sinstallèrent. Véro sétait allongée à prendre le soleil, avec parcimonie, normal avec sa peau de blonde, et on avait limpression quelle nétait pas là. Jessayais de croiser son regard, impossible. Javais pensé quaprès ce qui sétait passé la veille, jaurais un sourire, enfin un signe, rien. Jétais déçu, mais enfin loccasion était passée, jen avais profité tant mieux. Il ne fallait pas avoir de regrets inutiles. En bikini elle montrait vraiment un corps parfait. Un ventre plat, une taille mince avec de belles hanches et des seins généreux, comme je lavais imaginé taille C, confortable.
Avec la bande nous avons déjeuné sur place et sommes rentrés à la maison en raccompagnant un ami. Il fut donc impossible de discuter avec AL.
À peine arrivée à la maison, Al souleva sa mini jupe et retira son maillot en disant : « Ouf, jai oublié de prendre un slip et jai été obligé de garder mon maillot mouillé. Cest désagréable, je vais mettre un slip. »
Moi : « Pourquoi, je te préfère sans rien sous ta mini. Dailleurs tu aurais pu lenlever à la plage ?»
AL : « Pour me balader les fesses à lair, au vue et sus de tout le monde. Tu rêves, mais maintenant nimagine rien, hier soir tu ma surprise, je vais aller faire la sieste. »
Moi : «Ne dis pas que tu nas pas apprécié notre bain de minuit ? »
AL : « Oui, enfin, je naime pas trop me promener toute nue »
Moi : « Jai bien aimé la séance sur la table, et le bain, jaurais du prendre des photos.
AL : « Oui, j ai aimé, je reconnais, mais heureusement quil ny avait personne. »
Moi : « Je regrette simplement hier soir de ne pas avoir pris des photos, lors de la baignade ».
AL : « Me prendre en photo nue ? Non »
Moi : « Mais si et tu apprécieras. On en reparlera. Au fait comment ça se passe avec le beau militaire ? Il mest apparu quil te serrait de très près ? A-t-il réduit la forteresse AL ? »
AL : « Tu arrêtes de faire limbécile ? On na pas eu le temps den parler. »
Moi : « Je técoute,
, Non, je vais te raconter : Chère AL, tu enseignes tellement bien cette langue que, jaimerais pouvoir reprendre encore quelques heures pour me perfectionner et te montrer que jai fait quelques progrès dans cette langue. »
AL : « Tu as fini ? »
Moi : « Je suis certain quil a apprécié toutes tes qualités et il ta demandé de te revoir et de remettre le couvert ? »
AL : « Oui, tu magaces, je me demande pourquoi je tai épousé ? »
Moi : « Parce que je suis un gentil mari, je te fais bien lamour, que je vais te prendre en photo nue et que ça va texciter, que jaccepte que tu te fasses sauter par un autre, et que tu aimes que je regarde
Alors ? »
AL : « Arrêtes tu magaces. Eh bien oui, il voudrait que lon se revoit. »
Moi : « Tas envie de faire des galipettes avec lui. Jai déjà accepté une fois, pourquoi pas une deuxième fois. Non ? Jaimerais malgré tout que ce soit un peu discret. Je ne voudrais pas que lon me prenne pour un mari complaisant et qui prête sa femme et de plus que ça fasse le tour de ville. «
AL: « Ne sois pas grossier, tu ne prêtes pas ta femme. »
Moi : « Quand allez vous consommer ? Jaime bien cette façon dappeler la chose. »
AL : « Je nai encore dit ni oui, ni non. »
Moi : « Bon, quand tu te seras décidé, car tu vas te décider pour le oui, ou veut-il que vous vous ébattiez ? Il vient ici, comme la dernière fois. »
AL : « Il a un collègue qui est parti et lui a laissé les clés de son appartement.
Moi : « Hors de question, si on se met daccord il faudra quil vienne ici »
AL : « Naturellement, parce que tu voudras assister ?
Moi : « Ne dis pas que ça ne texiste pas de savoir que je te regarde. Tu aimes ça. »
AL: « Pour être honnête, jétais un peu coincé au début, mais après, je pense que je tai un peu oublié et quensuite jai aimé de te savoir là. Pourtant, je nai la fibre exhibitionniste. »
Moi : « Quest ce que tu proposes ? »
AL : « La même chose, tu veux rester à regarder, tu restes ? »
Moi : « Bien sur, mais en plus ? »
AL : « Quoi. Oh non,
tu ne veux pas faire des photos ? »
Moi : « Oui, je veux faire des photos »
AL : « Moi avec B en train de
. Non tu es fou. »
Moi : « Pas de photos, pas de B ... Réfléchis. »
Je quittais la salle de séjour pour aller dans mon bureau, ou, comme tous les dimanches javais de la paperasse à rattr, AL quant à elle, allait dans notre chambre pour faire la sieste. En soirée, la soupe à la grimace semblait vouloir sinstaller quand heureusement des amis sont passés pour prendre lapéritif et nous sommes allés, tous ensemble manger une pizza. En rentrant nous sommes allés nous coucher, mais ça était lhôtel du cul tourné. Je my attendais un peu.
Le lundi départ de bonne heure AL, dormait encore. Déjeuner sur le chantier. Retour le soir tranquille.
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